Bonjour!
Bonsoir! Aujourd’hui il fait beau soleil mais c’est froid. Les snowbirds sont à
la chaleur et le chauffeur d’autobus aussi. Le temps passe trop vite, je
cherche mon post précédent que j’ai publié dans les nouvelles, il semble
disparus… J’ai recommencé à écrire ma page dans le cahier, c’est pas fort mais
je prends ça comme un exercice. Je pense
aux avions qui laissent des traces dans le ciel bleu. Aujourd’hui je suis pas
sortis, hier j’ai fait un bouillis il est très bon. Je suis plus tôt devant l’écran
la nuit passé j’ai pas écris, c’est toujours une question de senti parfois je
suis à moitié endormis. Je me souviens d’une époque où je me permettais pas d’être
touriste maintenant je réalise que c’est pas donné à tout le monde de vivre à l’étranger,
et que touristes ça fait quand même vivre plusieurs personnes. Je partirai pas
de sitôt, j’ai du boulot, la rédaction d’un texte pour un autre cabaret
poétique. Je viens de me servir un verre d’eau, il me reste la vaisselle à
laver, est-ce que Marcel Proust lavait sa vaisselle? Il devais avoir du
personnel pour ça, c’était vraiment du temps perdus. Je réfléchis à ce que je
vais vous écrire, je veux pas insulter personne, dehors les autobus sortent du
garage et vont faire le service pour l’heure de pointe. La rue est très
salissante les laves-auto vont faire une fortune. Je pense à l’antigel dont ils
arrosent les avions l’hiver… C’est fait la vaisselle est lavée, les coudes de
la plomberie sons plein d’eau, ça empêche l’odeur de refluer. J’y pense quand
on a peur d’insulter les gens on écris pas, y’en a toujours des plus sensibles…
Je réalise que si vous voulez voir mon dernier post vous avez qu’à vous rendre
sur ma page Facebook Bernard Saulnier. Chronique ménagère je viens d’essuyer la
vaisselle et de couper le beurre… Ce matin je réalisais comment j’étais bien,
faut que j’en profite de ces instants loin du délire, les journées s’étirent,
les amis ont téléphonés chacun va bien. Je souhaite pas le calme avant la
tempête… Je cherche qu’elle photo je vais vous présenter. À cette heure-ci
quinze heure trente je suis toujours tranquille, c’est plus tard que ça se gâte
dans la soirée j’ai souvent envie de m’intoxiquer mais ça dure pas, c’est l’anxiété,
l’angoisse de la nuit, ça finis toujours par passé je suis pas guéris. J’aimerais
ça avoir une grande et belle plume pour évoquer de beaux sentiments mais…
Dehors dans l’abri d’autobus une dame danse au froid. Je fais chauffer le four
pour une quiche… L’autobus qui va vers l’ouest passe, voilà! Ça chauffe. Je
pense à de vieux « amis » à leurs névroses j’espère qu’ils y ont
survécu, moi mon lot c’était la psychose, c’est plus lourd, je me soigne. Voilà
à quoi ressemble la fin de ce jeudi de février. Je vous laisse en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Ciao!!!
Bernard
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