Bonjour!
Bonsoir! Cet après-midi c’est la flotte, journée parfaite pour la lecture. Je
pense aux lecteurs en camping j’espère que les orages sont pas trop violent.
Cherchez moi pas de job, je suis trop vieux pour retourner sur le marché du
travail. Le temps a passé si vite c’est à faire peur. Je contribue à ma façon à
la bonne marche de la société. J’essais comme tout le temps de vous décrire mon
monde intérieur, je suis plus capable d’écrire sans interruption ce que je
pense. Oh là! Oh là! Ce serait toujours possible mais ça demande beaucoup d’énergie
chose que j’avais a trente ans mais que je n’ais plus à soixante. Si écrire
permet de garder une bonne santé mentale, je crois que j’éloigne la
schizophrénie, y’a pas de remède miracle faut le faire c’est tout… Étrangement
je pense à mon père, le patriarche disparus, il aimait bien chanter mais pour
parler, exprimer ses émotions c’était autre chose et y’a eu ces temps
difficiles pour moi où il m’aidait a déménager, c’était l’enfer de vivre dans
un sous-sol sombre… J’allais à l’école des décrocheurs à Laval, je voyageais
sur le pouce en hiver en partant de Terrebonne c’était loin dans l’ouest de
Laval. J’ai jamais réussis à avoir de diplôme pour me dénigrer je dirais que je
suis un taré. Je reviens au présent j’ai fait mon chez moi dans le goulag
occidental, bientôt ce seras la journée du déménagement, je pense aux lecteurs
d’Aylmer qui vendent leurs maisons, j’espère pour eux que ça va se faire
bientôt… Oui! Je suis heureux de pas avoir a me déplacer encore une fois cette
année dans ma jeunesse je déménageais à tous les six mois, c’étais l’enfer.
Tout à coup une éclaircie, le soleil reviens, je suis incapable de vous nommer
les sentiments que j’ai en moi, c’est pas que je suis insensible, je suis
incapable de dire quand la douleur n’y est pas, le bas schizophrénique les voix
sont parfois absentes quand au haut l’impression de toute puissance je préfère
le garder loin. Je vous écris ça de cette façon c’est pas exactement ça mais c’est
une image. Tiens! Un petit souvenir de bière que j’avais appris à ouvrir sans
ouvre-bouteille, j’accotais le capuchon dentelé sur le bord d’un morceau de
métal, souvent une porte de voiture parfois un canif et je donnais un coup la
bouteille s’ouvrais comme par magie, c’est une autre histoire d’ivrogne. J’ai
mangé des biscuits salés ça m’a coupé l’appétit… Disont que je m’appelle pas
Lacan pour vous parler du ça dans mon écriture, vous ferez l’analyse vous-même c’est
simple… Je veux pas faire de phrases laides. C’est parfois difficile. « Ne
tuons pas la beauté du monde »-Luc Plamondon. J’avance lentement dans ces
écrits, j’espère que ça vous fait plaisir, moi, quand j’ai terminé je suis
content je suis heureux. Je ne devrais pas vous le dire. Je vous remercie d’avoir
lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard
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