Bonjour !
Bonsoir ! Ce soir à la télé y’a un match de l’équipe locale. J’ai dormis une
bonne partie de l’après-midi ce soir je pense à la poésie … Voilà le week-end
de Pâques qui est terminé, la pandémie, covid-19 est toujours là, les avions
recommencent à voler au États-Unis et au Royaume Unis. C’est toujours mon
journal du confinement nos amis français y seront encore pour quatre semaines.
De mon sort que je retouve au nord je tord je tord j’ai tort poème de port
cherche l’envers d’Anvers je respire hier. C’est vraiment n’importe quoi j’essais
de vous faire vivre une émotion en dehors de votre tête, je vous tirerai pas de
larmes les mots sont pas là j’écoute comme un sourd dans le silence un muet
verbeux, mon âme dors à mort, ce soir ce soir j’irai voir l’endroit le pouvoir …
Et j’aimerai, j’aimerai la nuit endormis du somnambule dans … Pourtant je
croyais vous écrire quelque chose qui a du bon sens quelque chose avec l’espérance.
Vers toi vers vous j’irai demandant pardon d’une certaine équité et au matin je
recommencerai dans la pluralité des heures je serai réveillé. Ce soir je
cherche la musique un mouvement physique basique . Je ne plaiderai pas l’inconscience
parce que je sais et j’y vais d’un sale tour d’ une cale pour, le navire échoué
qu’est ce texte. Tout ça c’est dans ma tête un senti un peu moins cartésien
avec certaines impressions ce soir c’est comme si j’écrivais pour me débarrasser
pourtant je le fait pour tout le plaisir. Une vrai histoire voilà ce à quoi je
n’arrive pas, hier à la télé l’écrivain disait qu’il n’aimait pas la
littérature comme si il mordait celui qui lui donne à manger on en entends de
belles. Je pense toujours à l’île de beauté à la Corse, je rêve d’y aller,
peut-être après la pandémie… Je cherche toujours à dire mais j’y arrive pas,
ils sont tous poète mais moi que suis-je sans éditeur sans édition sans livre.
Le sud Français, la Provence j’irai bien un jour… Ma romance est pas très forte
ce soir. Partir Partir et savoir revenir au bout des mois au bout des jours, je
peux pas écrire dans la langue colorée des personnages de Pagnol. Mais oui j’aime
dire que j’écris, contrairement à ce bonhomme que j’avais rencontré qui disait
garder ça secret, le dire c’est comme de briser un tabou, l’écrivain est aussi
stigmatisé … Je m’arracherai le cœur demain mais quand à l’heure et la douleur
la douleur et les pleurs dont j’ai peur sans saveur autre que la sueur, je m’étonnerai
de savoir que vous lisez comme d’autre vont dans les rues à pieds sans s’informer.
Voilà, voilà c’est presque terminé, l’épilogue la chute la conclusion des mots
pour ne plus tourner en rond. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là !!! Lâchez pas ça y est je vous ai tout dis tout raconter. À la
prochaine j’espère !!!
Bernard