dimanche 14 avril 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Dimanche qui se termine, c’est gris. Je viens de regarder une série qui me donne le désir de partir. J’ai lu quelques articles sur le Brésil, je pense à tout ceux qui travaillent ils en ont pour toute leur vie. Ouais! Le Brésil, Salvador la ville pas le pays, semble que c’est difficile de se faire comprendre si on parle pas Portugais. Si je pense à un voyage que j’ai déjà fait en Italie ce serait pas mal, Rome et Palerme j’y suis jamais allé ça serait bien je crois qu’en Sicile on mange bien. Enfin je vais laisser le temps passé, je commence la physiothérapie dans deux semaines… Le dimanche je pense beaucoup à maman. Je pense que mes snowbirds reviennent bientôt. Y’a un roman que je veux lire ça s’intitule La Manche c’est un livre coup de poing sur les clochards en France comment on ne les vois pas on ne les vois plus ici aussi c’est comme ça on les vire dehors du métro. Quand je donne de l’argent je contribue à cette chaîne du malheur et ce qu’on leurs propose c’est pas grand-chose plusieurs en sont arrivé là à la suite d’une grande déception, de promesses pas tenues. Comment dire y’en a qui étaient à l’aise matériellement mais la vie les a malmenées on est pas à l’abri personne. J’étais de ceux là une petite chambre pas sur d’y dormir un jour sur deux, je mangeais avec mes semblables dans une soupe populaire et vogue la galère. Parfois j’ai de la rancune, je devrais pas mais on vie dans un système si matérialiste on reconnais le succès aux nombres de pièces que tu habite pourtant j’y crois pas. Les bijoux, le clinquant la moquette c’est pas ça qui va me rendre heureux et de toute façon c’est pas moi qui va réorganiser la société. Bon ! Je vais cesser de prêcher et faire de mon mieux, à la télé le grand écrivain parlais de ceux qui vomissait ce qu’ils écrivent. Je me suis sentis visés… Pour moi l’important c’est le premier jet le reste ça m’appartiens pas. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que ça vous a plu ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Ciao !

15/04/2024


samedi 13 avril 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’étais comme vous dans mon enfance j’aimais ça camper. Même quand il pleuvait, la tente bien installée j’aimais écouter la pluie qui tombais sur la toile. Maman achetais de la lecture, les journaux La Patrie, Photo-Journal, le Petit Journal, Le Dimanche-Matin des Bandes Dessinées et des photos romans c’étais pas nécessairement pour les enfants mais on nous laissait les lires à l’abri dans la tente. Moi et mon bro on partageais une petite tente on couchait pas dans la tente roulotte c’étais pour mes parents mes sœurs et mes petits frères. Le matin maman avait souvent une histoire d’ours qui était venu rôder dans la nuit, on avait rien entendu. Parfois on lisait des romans Signe de piste… Les feux de camps c’était aussi agréable. Dans le temps y’avait un très beau terrain de camping à La Tuque et je me rappelle aussi de celui de Dolbeau avec surtout des tentes françaises peu de tentes-roulottes. Parfois maman cuisinait sur le feu d’autre fois sur le poêle à gaz propane, les menus étaient jamais compliqué ça aussi on aimait ça des burgers, des hot-dogs, des sandwichs des chips et de la liqueur ! Souvent pour dessert c’était des galettes à mélasse que maman avait préparé dans la semaine. On allait aussi chez un oncle à Maman, il buvait beaucoup parfois j’avais peur, mais c’était un jolie endroit dans un petit village des Cantons-de-L’Est… C’était bien agréable tout ça mais un jour on a grandis on nous laissait seul à la maison, papa avait acheté une roulotte on était trop vieux trop grands pour ça… Je me rappelle aussi être partis avec le frère de mon beauf, un bon ami, on était à bicyclette pour se rendre de Terrebonne à Hull, on avait monté la tente au bord de la rivière à Montebello  et on avait bien dormis, l’ami était plus en forme que moi on avait bifurqué vers les montagnes j’avais pas des bons braquets beaucoup de difficulté à monter. L’été passait comme ça je suis un peu nostalgique quand je vous raconte ça. J’ai pris un coup de vieux je campe plus. Je termine comme ça ce soir. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

14/04/2024


vendredi 12 avril 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Une excellente nouvelle ce matin, un bébé qui s’en viens chez mon neveu et sa femme. Je leurs fais encore toute mes félicitations, ce seras une petite fille si elle ressemble à la mère et aux grands-mères elle sera très belle. Je me suis fait mouiller en revenant de la répétition une vraie douche, c’est un temps qui fait verdir avec un peu de soleil ça va fleurir. J’oubliais que le bébé a une jolie petite sœur de huit ans son ainé. Le théâtre ça avance, la mise en scène seras là. J’ai dis à notre metteur en scène que pour écrire les textes ça va mais pour jouer c’est autre chose elle m’a répondu que je lui disait la même chose à tout les ans… Quand je suis là ça occupe quand même tout mon esprit. Fin mai je serai très occupé… Après j’ai encore la folie des voyages mais pour maintenant c’est le moment présent. J’aime quand même ça vous écrire à tout les soirs. Cet automne je serai dans un balado de Radio-Canada sur la santé mentale où plus exactement la maladie mentale. Hier après midi j’ai écouté ça Fais un homme de toi : thérapies de conversion (radio-canada.ca) c’était très intéressant mais très dur c’est étonnant que ça existe encore aujourd’hui même si c’est criminel. Je dis bien ce sont les thérapies qui sont criminelles pas l’homosexualité je vous raconte ça parce qu’il y a encore beaucoup de monde qui croient qu’être gay c’est un choix, c’est pas le cas. Je pense à notre metteur en scène que j’aime beaucoup elle est toute en jeu travailler avec elle c’est amusant. Je me dis toujours je fais de mon mieux plus que ça je suis pas capable. Je pense à l’époque où je fabriquais des portes de garage en bois, le patriarche voulait en acheter une pour la shop mais la direction a préféré une porte en métal, ils m’auraient pas donné un coup de main pour cinq cennes. J’en ai finis de ces histoires là j’espère qu’elles sont avec eux là où ils sont. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! Quelques mots pour dire que je vous embrasse ! À la prochaine je l’espère ! Ciao !

13/04/2024

 

jeudi 11 avril 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Soirée de jeudi à vendredi, aujourd’hui j’étais d’assez bonne humeur. La journée a bien commencé avec les bons commentaires d’une lectrice sur mon livre. Je la remercie encore une fois ici. C’était la pluie, ça semble vouloir se dégager, une accalmie que la météorologue nous dis à la radio. Demain c’est répétition théâtre, on va avancer encore un peu si vous voulez voir ça c’est le vingt sept mai au Théâtre du Nouveau Monde, j’ai peur de me planter mais je vais faire de mon mieux. Il reste plus beaucoup de temps va falloir prendre les bouchées double. Y’en a pour qui les jeudi soirs sont toujours à la taverne, je pense à une connaissance qui est devenus paranoïaque bien après moi et qui ne sortais plus sans son couteau un Normark. Je sais pas ce qu’il est devenus il voulait pas se faire soigner. Pour moi de ce côté-là ça va bien, j’ai parfois des espèces de montée de psychoses mais j’arrive a me calmer. Je sais qu’il y en a qui rentrent à pieds, ils ont tout bu hier pas même un rond pour prendre l’autobus, c’est la vie de l’honnête travailleur. Déjà vendredi demain, y’a longtemps que j’ai laissée la night life, à mon âge j’en connais un peu plus qu’a vingt ans comme on dis « j’ai plus d’affaire là ». Ce soir je place une photo de notre regrettée maman en compagnie de mon bro et de moi. Je m’ennuis veux veux pas on se téléphonait souvent pas parce qu’on avait grand-chose a se dire mais juste pour entendre la voix, comme je dis dans une vidéo. Parfois on rigolait quand même pas mal. Je lui parle dans ma tête, je vous dirai pas que j’entend sa voix vous allez dire il est encore psychotique. Ce soir j’entend le train ça me fait pensés à un voyage en TGV que j’avais fait entre Paris et Lille, un beau moyen de transport rapide, j’avais discuté avec un marocain assis à mes côtés. Je crois que le premier ministre Français est à Québec ce soir, c’est toujours pour renforcir la francophonie. J’espère que je vous fait pas trop honte avec mon français. Voilà ! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! À la prochaine je l’espère ! Ciao !

12/04/2024


mercredi 10 avril 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Lentement mon habitude de la marche se replace. Va falloir que ça sois bien si je veux repartir en voyage. Je me donne encore un an et demi. J’ai hâte d’entendre le balado auquel j’ai participé ce seras pas avant l’automne. Comme vous voyez y’a quelques activités dans le futur mais j’essais de vivre un jour à la fois.  Pour le passé je laisse ça la, j’aimerais vous faire de belles phrases avec de beaux mots littéraires qu’on ne retrouve que dans l’écriture d’un érudit mais j’en suis incapable comme disait l’autre je reste simple. Ça reste mon journal intime côté sexe c’est le désert et c’est tant mieux ça fait moins mal. Je passerai toujours mon tour pour les grandes passions, le célibat ça a du bon. Ça dois vous rappeler la chanson Quand j’vas être un bon gars, pas d’alcool pas de tabac j’aurais aimé l’écrire celle là, j’aime pas le sens qu’il lui a donné comme si c’était une mauvaise chose que d’être sobre. Disons que ce chanteur là si il était pas sortis des clubs et des hôtels pour lui le temps aurais été long. Quand t’est alcoolique et que tu bois t’est entouré d’alcooliques c’étais mon cas. Heureusement j’ai arrêté et ce soir je dors chez moi le loyer est payé… et j’ai mangé ! À jeun la nuit seras moins difficile, j’écris aussi pour ceux qui restent pas sobre faut être arrêté assez longtemps pour faire la différence. Moi j’ai pas vraiment envie d’aller dormir dans le métro. Les dortoirs c’est pas terrible surtout quand tu te retrouve là après une éviction parce que t’a pas payé ton loyer, t’est allé boire et voir un show. Je vous parle même pas du gars qui vous refile son logement en vous disant que le propriétaire est accommodant et que dès que tu saute un loyer les lettres enregistrées arrivent. Je devrais pas écrire ça c’était y’a plus de trente cinq ans… Faut voir combien coûtent les loyers aujourd’hui. Moi je bouge pas je suis bien où je suis, ce soir c’est doux y’a probablement beaucoup de monde qui boivent sur les terrasses sans parler des bars qui restent ouvert toute la nuit. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! À la prochaine je l’espère !

11/04/2024


mardi 9 avril 2024

 

 Bonsoir ! Bonjour ! Je suis content j’ai donné la première de trois séances de formation sur la stigmatisation. C’était bien mais les personnes se sont pas beaucoup exprimé. Je pense au poète travailleur social, je me reconnais dans ce qu’il écris. Je cherche comment vous dire la mienne ma poésie, y’a longtemps que je fréquente plus le monde trash, je suis à court de mots pour dire la douleur, loin de la dope et de l’alcool. Je me trompe je suis a une manche de l’alcool, un avant-bras, ce soir j’y vais pas. Le stigma du malade mental me tue, y’a quand même des gens sympathiques. Les pareils dans la virulence toxicomaniaque et l’alcoolisme ce sont eux qui te payent la traite avec des qualificatifs sexuel pourtant on leurs demande rien à eux. Lentement ils s’enfoncent en dénigrant qui tu veux. Toujours a dire que ce sont les autres jamais eux. J’ai hâte de joué au théâtre le propos c’est le Normal, j’ai écris un court texte je pense qu’il est bon. Je joue le vingt sept mai, le vingt huit je devrais être à Lévis et le vingt neuf je devrais donner un atelier avec des collègues. Ensuite ce seras l’été faites moi signe si vous voulez que je vous rende visite. Ce soir y’a rien de tendrement sentimental mon cœur s’arrache au mal sans courage de race et sans trace. Je courre aux rêves et je les rejoint pas ils s’évadent de ma prise de la nuit. Le rêve c’est la pêche d’une grosse truite grise dans un lac limpide seul dans une chaloupe parfois je pense à ça il est un peu tard, j’ai préféré l’urbanité à la campagne et au boisé. Je vous avoue que j’ai déjà passé près de me perdre dans le bois j’ai eu peur.  Souvenir d’une taverne à Saint-Michel-des-Saints un amérindien y jouait de l’accordéon, plus tard ils voulaient jouer a survivor dans le bois après une journée à pêcher j’avais rien pris, un autre gars non plus restait que le troisième qui a pris une truite a fait un feu l’a fait cuire et l’a partagé avec moi y’a rien a faire j’étais pas fait pour le bois. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

10/04/2024



 

Bonsoir ! Bonjour ! Cet après-midi j’aurais préféré le ciel de la Floride des snowbirds à celui du Goulag Centre-sud. Je vous en parle pas plus j’ai envie de vous donner une variante de ma recette de poitrine de poulet. Une poitrine parée quatre cinq tranches de bacon deux gousses d’ail, trois choux de bruxelles, une petite pomme de terre, quelques têtes de chou-fleur, un peu de brocoli et une carotte. On prépare une casserole avec un peu d’huile d’olive les tranches de bacon d’un bord à l’autre, on incise la poitrine à quatre où cinq endroits pour y placer l’ail, on place la poitrine au centre par-dessus le bacon, on place notre pomme de terre tranchée sur le long comme des frites, nos choux de bruxelles aux extrémités, notre carotte tranchée sur le long, le chou-fleur et le brocoli dispersé pardessus la poitrine, on arrose d’huile, rabat les tranches de bacon sans oublier les herbes de Provence. On fait chauffer le four à quatre cent cinquante pour après enfourner notre poitrine quinze minutes. Je crois que ça fait quelques bons repas mais comme d’habitude c’est meilleur réchauffé. L’idée des légumes au four ils restent plus ferme. Bon ! C’est pas de la grande littérature mais comme on m’a dis que je ne suis pas un écrivain voilà une recette. Aujourd’hui je vous illustre ça avec la photo d’une jolie moto prise à Montmartre, dans le Centre-Sud on vois beaucoup de motos le temps est propice. Je vous parlerai pas beaucoup de motos à toutes les fois que je suis monté là-dessus je me suis pété la gueule même si la première fois c’était une moto d’enfant et j’ai pris le champ. Je trouve quand même que c’est des belles machines mais pas pour moi. Il me restait la marche mais je semble perdre le rythme quoi que j’ai réussis à marcher ma demie heure aujourd’hui, le beau temps c’est aidant je reprend mon souffle. J’ai ouvert la fenêtre ça aussi ça fait du bien… Demain c’est la formation, je vais faire de mon mieux, c’est toujours intéressant, parler de stigmatisation c’est toujours utile et aidant. Voilà ! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas tout de suite on y est presque. Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine j’espère !

09/04/2024