vendredi 23 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Le week-end commence, ici ça sent bon ça sent le propre le ménage a été fait. Les gens rentrent chez eux après le boulot. Rue Saint-Laurent et tout près quartier latin plusieurs vont prendre un verre. Les bars et discothèques de mon temps de buveurs ont tous disparus, je m’ennuis pas de ça… Y’a un moment déjà j’avais l’habitude d’aller prendre un café au bistro je ne le fait plus sauf en voyage. J’ai bien aimé les terrasses de Porto et de Lisbonne souvenir aussi de la rive gauche à Paris. Un allongé avec une eau minérale très froide ça me rendait heureux. Je sais pas si l’ami qui était venus à Paris avec moi garde un bon souvenir, moi oui. Je vais essayer de me tourner vers mon sentis, ce soir, c’est rare, c’est pas douloureux, je pense quand même à cette personne très chère décédée. Je sais que c’est mal vu d’écrire son journal intime sur un blog, mais je me garde quand même des choses. Je parle beaucoup moins je fait, vous pouvez dire que je suis un faiseux c’est pas mal. J’aime beaucoup en parlant faire sourire c’est agréable. J’aime bien les villes Européennes, toutes cette culture, toute cette histoire. À Montréal j’allais surtout rue Saint-Denis au nord de Sherbrooke et sur la rue Mont-Royal dans des cafés déjà disparus. Ici c’est toujours la même chose les voisins se réveillent quand le soir tombe et marchent sur la passerelle c’est désagréable. Je pense à la chanson le roi de la marchette Gerry Boulet - Le roi d'la marchette (youtube.com)  Comme si c’était impossible de marcher sur le trottoir. Je reviens souvent avec les mêmes chansons c’est parce que je m’identifie à elles. J’ai beaucoup marché dans le centre ville et sur le plateau aujourd’hui je suis un peu moins brave pourtant quand je voyage je marche beaucoup et j’hésite pas. C’est loin de mes émotions et de mes sentiments, la télé et la radio sont fermées j’écoute les voix, elles ne parlent pas trop fort j’ai un peu peur qu’on me traite de fou même si c’est un peu vrai. Je pense aux gens et aux enfants qui aiment les livres qu’illustrés pourtant le plaisir de la lecture c’est de se faire ses images. Voilà! Je termine c’est la chute, la finale, l’épilogue !!! Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici, à la prochaine !!!

24/02/2024


jeudi 22 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je commence par remercier tous les gens qui me lisent. La semaine est presque finie, je continus mon parcours de rétablissement. Les idées se bousculent dans ma tête. Pour beaucoup de monde, pour moi c’était comme ça, c’est le jour de paye. Je gagnais pas beaucoup. Aujourd’hui point de vue santé mentale c’était une journée calme. Le bonhomme se repose, bientôt y’a d’autre activités qui devraient se présenter. J’ai soupé fait la vaisselle, la soirée commence c’est toujours mon petit journal du quotidien, la transcription de mes synapses et neurones qui s’agitent pas trop. J’ai remarqué sur des bouts de vidéo que j’ai les yeux exorbités c’est pas beau beaux. Voilà un poème

Sans trouver les mots

L’exo l’ego

Sans faut

Attendre des heures

Provoquant les pleurs

La peur

On feras pas trop long ce soir, la poésie ça se laisse pas toujours saisir, encore faut il avoir la conscience d’être poète, je suis pas certain comme toujours et partout je doute. Certaines personnes qui doutent de leurs écrits disent que c’est de la poésie où encore pour d’autre activités qu’ils l’ont fait avant vous, laisser moi vous dire je m’en fout. Écrire pour moi c’est nécessaire, ce soir je manque de mots dans le calme…

Dans le calme

Loin de la palme

Du psaume à la paume

Un baume au trône

On the tone

Jaune

Encore un autre, je les arraches comme de la mauvaise herbe l’été, les jettes comme des pissenlits tout ça pour dire que j’ai hâte au printemps à l’été. Les muses dorment déjà, y’a des écrivains qui utiliseraient le vocabulaire du rock’n’roll, moi je préfère pas je suis plus dans ce monde là, faut les laisser advenir, dirait un grand poète, les muses. Plus j’avance plus je suis vide

Mes heures au mal

Rejoignant le futal

Pour en sortir normal

Éveillé sans bailler

À terre les pieds

Et l’adresse du courrier

Bon! Je pense encore à mes snowbirds je suis heureux pour eux, ils font de belles randonnées à bicyclette, c’est bien. J’ai recommencé à marcher un peu moins qu’avant mais quand même. Voilà c’est le soir, avant quand la nuit arrivais je me sentais libéré, j’étais plus obligé. C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

23/02/2024

mercredi 21 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Terminé les formations maintenant ça va en avril. Parfois j’ai peur de me perdre dans tout ça… Y’a ceux qui sortent du boulot et marchent jusque chez eux. D’autre n’ont pas de boulot ni de chez eux et marchent. Ce soir je suis fatigué, l’angoisse et l’anxiété sont biens présentes quand je suis anxieux comme ça je pense à mon passeport je suis pas un criminel. J’ai peur je sais pas pourquoi ça fait plus de trente ans que je vie de la même façon, c’est une poussée de schizophrénie… Si ça se peux, ce soir c’est un sérieux acouphène. Pourtant je prie et ça me rassure pas, la nuit viens de tomber les lampadaires sont allumés… Je pense à mes snowbirds à la chaleur, je suis trop vieux pour vivre ailleurs. J’ai lavé la vaisselle, je me ramène avec l’ordinaire. J’ai des activités qui s’annoncent pour fin mai, après je partirai peut-être. Quoi que ce sois pas agréable de partir quand tout le monde est en vacance. J’attend si y’a une chose que j’ai fait dans ma vie c’est bien d’attendre, la pire attente c’est à l’urgence de l’hôpital, la plus agréable c’est à l’aéroport. J’espère que j’ai blessé personne avec la photo que j’ai placé hier. Je me sent bien seul à vous écrire comme ça, pour moi ça a jamais été hop la joie! On prend de l’âge les souvenirs s’agitent avec le regret et la mélancolie. J’aurai toujours voulu changer mon destin c’est pas arrivé mais au moins ce bout là je l’ai, je vous écris.  Y’a un moment déjà avec les cousins on s’est rappelé nos enfances si joyeuses. Lentement février s’en va, les « amis » de galères c’était pas des génies. J’en suis presque mort. Aujourd’hui j’ai rencontré un jeune homme qui veux se rétablir en suivant mon exemple, c’est gratifiant et valorisant. Je lui souhaite la meilleure des vies. J’ai de la peine ce soir pourtant je crois que j’avais de bonnes valeurs, j’en ai encore… Mais c’est toujours la peur maintenant je reste chez moi. Quand je finis les formations et après que j’ais parlé au collègue, j’ai de la difficulté, je tremble, à cliquer sur terminer. Voilà on y est presque. C’est la chute !!! La finale !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

22/02/2024


mardi 20 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir j’ai mangé ma poitrine de poulet bardée aux lardons, c’étais bon, quelques légumes avec ça  et des gousses d’ail pour garnir le poulet, un bon repas. Parfois je pense à l’école sans réaliser que j’ai soixante sept ans. La dernière fois que j’y suis allé ça fait plus de trente ans et c’est dans ce cours de discours poétique qu’on m’a dis que j’avais une voie et une voix. C’est pour ça que je vous écris. Je regrette d’avoir fait lire des textes remplis de haine envers les femmes, j’aurais du garder ça pour moi. J’ai écris ça à la sortie de mon univers d’alcoolique et de toxicomane ça excuse rien. En fait il s’agissait plus de haine envers moi-même qu’envers les femmes quelques insensibles m’ont dis que ce n’était que des mots mais ils peuvent vraiment blesser. Si tout va bien je devrais donner avec une collègue une formation sur la stigmatisation à Lévis au Colloque de L’Association Québécoise de Réhabilitation Psychosociale fin mai ça va être juste mais je joue au théâtre deux jours avant. Ce soir je reste chez moi dans le calme, le silence… Pour ce qui est d’écrire faut prendre le temps. Je sais pas pourquoi beaucoup veulent écrire et font de longues phrases. Je pèche par l’exemple. Demain je donne une dernière formation pour février sur la stigmatisation, plus j’en parle plus je vois que c’est un sujet délicat difficile a exprimer. Le stigma je crois que tout le monde en souffre à un moment. La santé mentale nous fait souvent apparaitre comme différent et à partir de là les gens stigmatisent comme si on ne pouvait aimer que ce qui est pareil, on aime pas être remis en cause par la différence. Jamais oublier que nous ne sommes que des êtres humains bien imparfait. J’essais de rester positif que c’est pas idiot de rédiger ça, en vieillissant ça me dis que ce seras ça qui va rester de moi, pourquoi pas ? Cette année c’est un hiver pauvre en neige j’espère qu’il s’étireras pas trop longtemps. Je veux juste écrire ça fait partie de mon combat contre la stigmatisation, ce seras long. Voilà pour ce soir je termine. C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine !!!

21/02/2024


lundi 19 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir en revenant de la répétition je suis passé au supermarché et je me suis sentis filer par deux jeunes hommes. Quand je sent ça je m’approche d’eux et ils s’en vont.Si jamais je disparais mettez la main sur mes cahiers dans des boîtes de la penderie chez moi dans les bibliothèques aussi et garder ce blog vivant. Je sais vous allez dire que c’est la schizophrénie mais pour moi c’est très réel, je crois aussi qu’il y a des gens qui aiment pas que j’ais intitulé mon blog Goulag. Je vous dirais qu’aujourd’hui il faisait presque aussi froid que là-bas en fait j’ai beau me creuser la tête je trouve pas ce que je fait de mal, c’est interdit de taper sur son clavier à un doigt ? C’est peut-être là qu’il part mon déséquilibre a marcher.  La paranoïa que je vie c’est une maladie de gay, je sais pas pourquoi on se met sur mon cas aussitôt que je semble réussir quelques chose, j’ai envie de dire F*** Y** à mes persécuteurs. Trop sournois pour me prendre de front. Je pense au quartier Villeray à quoi ressemble aujourd’hui les alentours du métro Jean-Talon toujours étonné de l’odeur de cannabis qui brûle, je pense que maintenant c’est le quartier des petits traffic de toute façon on s’y reconnait plus. J’ai fait des provisions j’aurai pas a sortir. Je suis désolé pour mes lectrices mon propos est maladif, de l’anxiété, à l’angoisse, à la schizophrénie… N’hésitez pas c’est facile de commenter. Faut pas que j’oublie les nuits d’insomnie j’arrive quand même a dormir après un moment. Des fantômes ce sont peut-être des fantômes… Je suis fatigué de tout ça de cette angoisse qui monte et arrête juste avant la psychose. Le métro Jean-Talon carrefour de la ligne orange avec la bleu, je savais pas qu’il y avait tant de monde qui circulait est ouest à cette hauteur. Je viens de me réveiller n’ais aucune demande particulière. Je me sent, écarté, je n’ais aucune demande particulière c’est une existence privée, lentement on arrive au dénouement, le clavier me guide. L’amie médiatrice culturelle aime beaucoup ce qu’elle fait ça parait. Voilà! C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir été lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

20/02/2024


dimanche 18 février 2024


Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’est la neige, je souhaite un bon retour à mon lecteur secret. Je me suis avancé dans mon « projet ». J’ai annulé les démarches pour mon départ en voyage il est trop tôt. Les snowbirds ont fait une belle croisière. À la télé une émission sur la bohème du début du vingtième siècle à Montmartre qui deviens très cossus et à Montparnasse qui est beaucoup plus abordable. Encore y’avait des artistes de génie qui s’intoxiquait déjà à cette époque. Moi j’ai appris qu’il est possible de travailler sans être intoxiqué. Je suis pas à Montparnasse mais bien dans le Centre-Sud à Montréal c’est possible d’écrire ici. De toute façon on ne maudit plus personne y’a toujours moyen pour une rédemption on deviens représentant de commerce. Regarder une émission sur le sculpteur Maillol ses sculptures de femmes sont magnifiques quand Rodin est mort on a dis de lui qu’il étais le plus grand sculpteur. J’ai pris une douche me suis parfumé ça sent bon, je me sent bien. C’est la nuit il ne neige plus, je suis calme j’aime la nuit dans le silence on s’entend pensés. Je pense à la femme de mon neveu que je salue ici, on a toujours de bonnes discussions. Lundi, aujourd’hui c’est une réunion virtuelle du groupe d’entraide et en après-midi une répétition théâtre. Mes snowbirds sont passés du bateau à la roulotte je souhaite qu’il ais du beau temps. Je sais pas si je vous avais écris avoir commandé mon eau de toilette chez les américains, Burberry Brit, la livraison a été très rapide je suis satisfait autrement j’écoute mon senti, pense au Désarroi des docteurs Ferron et Bigras de grands littéraires qui savais nommer leurs sentis. Me souviens des longs jours et des longues heures d’hospitalisation en psychiatrie, c’étais difficile. Parfois je vais mal mais ça va jamais jusqu’à l’hospitalisation. Je ferme la radio, la télévision et je me calme parfois je vous écris mon délire. Je pense que c’est semaine de relâche pour les enfants. Je trouve ça un peu tôt après la grève. Non c’est début mars. Je crois que dans mon enfance y’en avait pas. Voilà !!! C’est la chute !!! La conclusion !!! L’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! Ça y est !!! À la prochaine j’espère !!!

19/02/2024 

samedi 17 février 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est un ciel bleu frette d’hiver. Je sais pas si mon lecteur de la Rolls Royce est déjà allé boire de la bière dans la capitale de ce breuvage Munich. Faut dire que les abreuvoirs de Montréal et région sont déjà populaire comme micro-brasserie. J’ai  souvenir de la brasserie Futenbulle sur la rue Bernard c’étais la seule à avoir autant de bières importées. Je crois avoir bu toutes les marques. Inquiétez vous pas je m’ennuis pas de ça, quand je buvais je me retrouvais toujours à quelques part à quatre pattes. Je sais pas si c’est encore comme ça mais à la brasserie ça sentais les vieux œufs, le souffre un peu. Je me souviens d’avoir bu un verre d’une nouvelle brassée au café Central rue Saint-Denis j’avais été malade mais malade, pourtant j’ai pas arrêté là. Aujourd’hui j’aurais pas les moyens de boire ça coûte trop cher. Dans le journal on parle d’abreuvoir qui vont rester ouvert jusqu’à sept heure du matin, je suis content d’avoir arrêté. Je sais pas ce qu’ils pensent de ça au Saint-Patrick à Terrebonne, mon lecteur pourrait peut-être sonder les cœurs. Moi j’ai finis de me donner du trouble je reste à jeun. Je vais essayer de changer de sujet j’ai assez donner sur le boulevard des rêves brisés. Il fait froid c’est un temps triste, mon bro et sa douce reviennent du Mexique demain ils vont trouver ça dur. J’ai arrêté l’organisation de mon prochain voyage, j’attend après les Olympiques de Paris. J’avais oublié qu’on ne pouvait réserver son siège d’avion deux ans d’avance. Je viens de regarder une émission télé sur les impressionnistes américains ça porte bien son nom, de magnifiques jardins, j’ai pensé à maman qui aimait tant jardiner je pense que ça lui aurait plut une étendue de fleurs dont la beauté est profondément émouvante. Chez nous y’avait un potager et un jardin, maman s’occupait de ça. Si c’était a refaire je m’occuperais des fleurs, lirais la flore Laurentienne du frère Marie-Victorin, maintenant je suis très et peut être trop urbain. J’ai de la difficulté a nommer les fleurs, mon idée est bonne mais elle auras vécu ce que vivent les roses l’espace d’un matin. Voilà!!! C’est la chute !!! L’épilogue !!! La finale !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir, À bientôt, Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

18/02/2024