vendredi 18 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est samedi dans le temps le matin on se ramassais à la taverne du Central. Je me souviens qu’il y avait une rivalité avec les gars de Montréal-Nord j’ai jamais trop su pourquoi. Je m’assoyais devant la fenêtre et quand un gars m’apercevais il entrait boire avec moi. Souvent on était un groupe je me souviens pas de quoi on discutais. Ça fait un moment que je bois plus j’ai presque plus de temps de sobriété que de consommation. L’alcoolisme, la toxicomanie, la schizophrénie si vous connaissiez les chemins que ça vous fait prendre et la difficulté a se rétablir. Je pense qu’on aime bien m’entendre parler de rétablissement, de mon expérience. Je trouve qu’à l’époque les boss étaient pas fort sur les ressources pour aider, les maisons de thérapie on engageait pas un alcoolique pour qu’il cesse de boire. Je pense à ça y’a pas tellement de temps que les maisons de thérapie existent., on savait pas trop pourquoi on prenais la première bière dans la caisse et on arrêtais que quand elle était vide Tant que vous payiez votre caisse ça allait mais ne buvez pas celle des autres. Ouais! Je bois plus mes émotions sont plus égales quoi que ces temps ci j’ai facilement la larme à l’œil, y’avait qu’à la brasserie que je regardais pas l’heure… Parfois y’avait des bagarres… Je me souviens du film Clean & Sober, les substances, l’alcool sont toujours présent, y’a des bars à l’enseigne du désespoir faut pas y aller. Je cherchais je sais pas quoi mais je cherchais souvent c’étais des endroits où la musique jouais à plein volume on pouvait pas parler. Vous avez bien fait de rester chez vous y’avait rien d’édifiant dans les bars que je fréquentais, boire de la bière et manger des peanuts! Je me souviens des hôtels et des bistros du vieux Montréal la ville se ramassait là. Je partais de Terrebonne je prenais quelques bières et souvent je ratais l’autobus pour rentrer. À un moment ils ont créer un centre culturel, ceux qui avaient la graine artistique s’y produisait moi comme toujours je délirais. Disont que ça été l’apothéose de notre jeunesse après tout le monde est partis de son bord. Voilà c’était encore des souvenirs. Je termine là-dessus c’est la chute, la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

19/08/2023


jeudi 17 août 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Vous réagissez pas beaucoup peut-être que mes post se rendent pas à vous. Je reviens des années en arrière où la personne avec qui je vivait disait que j’étais un profiteur parce qu’elle se revalorisait comme ça, ça me faisait très mal. Je viens de voir qu’il y avait pas mal de monde qui ont visionné ma vidéo YouTube sur la stigmatisation je vous dis merci. Je suis un peu à bout de sujet pourtant la vie et la santé mentale en ont pas mal, J’essais de rester optimiste pense à ces personnes que j’ai rencontré en voyage avec qui j’ai discuté pas longtemps mais c’était agréable. Je sais pas pourquoi j’ai le sentiment d’être dans le temps des fêtes je crois que c’est la retraite… Mon partage ça vous a peut-être trop touché, j’essais de voir.  Comme toujours c’est la nuit c’est un moment que j’ai toujours apprécié où je me sentais obligé à rien. Faites moi en part si le blog vous intéresse plus je vais arrêter. Ce soir je vais illustrer ça avec une photo de la contrescarpe il y a deux ans. Je viens de visionner là quelque centaines de noms qui se sont intéressé à la vidéo. La nuit j’écoute le poète Jean-Paul Daoust à Radio-Canada j’ai toujours a apprendre, il parle brillamment du temps… Il vieillis moi aussi je vieillis, il parle de la rudesse de l’entourage pour certains, monsieur Daoust dis que c’est important qu’on puisse nommer les choses. J’essais de vous dire franchement comment je m’attache à l’écriture. C’est bien vrai ce que disait monsieur Daoust on peux pas toujours écrire des chefs d’œuvre. Cette nuit je suis fatigué pour vous écrire j’ai besoin de toute mon énergie Je veille aux mots dis mois de l’eau un beau grand veau fait faire le saut ça c’est idiot la forme comme le propos. Y’a une odeur un parfum la sueur… Ce soir j’ai dormis un peu, où vais-je a écrire seul sans lecteur comme ça. Pourtant on peux pas écrire avec moins de solitude, les mots demandent de l’attention autant qu’une fiancée… Voilà à quoi ça ressemble cette nuit, je veux pas vous exaspéré. Je termine c’est la chute la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore j’achève !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

18/08/2023


mercredi 16 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui ça fait trente ans que je suis abstinent et j’en suis très heureux. J’ai pas oublié ce que c’étais l’alcoolisme et la toxicomanie, trente ans à me rétablir et je continue c’est un travail de tout les instants je cherche toujours à m’améliorer c’est jamais finis. Je pense que la sobriété c’est une façon de faire des amendes honorables aux gens que j’ai pu blesser pendant ma période de consommation. C’était si triste cet alcool cette drogue je remercie tout ces gens qui m’ont aidé à arrêter. Je peux dire que je suis une sorte de reborn j’ai changé les spiritueux pour le spirituel. Je pense aux petits gars de mes nièces j’espère qu’ils auront jamais a passé par là, les petites filles aussi. Ma sobriété j’y travaille à tout les instants c’est permanent. Pour ceux qui connaissent ça un peu on parle de craving c’est toujours là faut en parler… Y’a tout le rapport avec le « normal » la façon de croire qu’on peut en boire qu’une on reste toujours toxicomane et alcoolique, le rétablissement pour moi c’est toujours de chercher à aider raconter ce qu’on  étais et ce qu’on est devenu. Y’a l’idée de la mort quand on reste sec on l’éloigne comme on éloigne les psychoses toxiques et encore l’alcool et les drogues quand on est dans le bas-fond ne donne qu’un plaisir fugitif ça dure pas comme on dis en anglais on descend down the drain. Y’a un de mes bros qui croyait que j’allais me péter la face je l’ai tout de suite repris si il savait ce que la sobriété me permet de faire. Je sais vous pouvez mettre mon abstinence en doute mais moi je le sais c’est suffisant. Je parle de trente ans qui ont quand même passés vite. Je m’ennuis pas des bars et des tavernes pas plus que de faire marquer de la bière au dépanneur. L’alcool est puissant déroutant sournois je le combat avec de la spiritualité. Je pense à quelqu’un de proche dans la famille qui est dans le programme j’aimerais lui dire que ça vaux la peine un jour à la fois. Je crois qu’il faut rester abstinent assez longtemps pour faire la différence avec la sobriété nos valeurs sont à la bonne place et de la bonne façon. Aujourd’hui j’envois de l’amour à tous et vous remercie d’être là.

 

Photo par Nicole Khoury


 

Bonjour ! Bonsoir ! J’aime bien les vidéos voitures de mon bro mais la vérité c’est que j’aimerais savoir ce qu’il pense de cette vidéo (181) Folie Douce - 2 minutes pour la santé mentale - Bernard Saulnier -La stigmatisation en santé mentale - YouTube  comme souvent je suis vide. Je pense à tout ces festivals à Montréal, à toute ces activités et on dis que les gens ont pas d’endroit où loger ! Ce matin à là télé c’est la coupe du monde féminine de football l’Australie contre l’Angleterre deux sœurs qui s’affrontent. Mercredi, bientôt vous allez pouvoir me lire ici Accueil Lefil.ca - On se tricote une histoire (ciusssestmtl.net) j’y raconte mon expérience. Ce soir j’ai mis de la musique des années quatre vingt quatre vingt dix encore un vingt quatre heure et ce seras mes trente ans de sobriété.. Ces jours ci je suis très émotifs, une difficulté dire et écrire ses émotions, je vois pas quand je suis seul chez moi. Hier au souper j’ai eu très peur je me suis étouffé, après un moment j’ai réussis à vomir j’ai beau aimé la solitude j’aime pas quand ça m’arrive. Ouais! Le centre sud de Montréal se bat depuis un moment contre les fléaux de l’itinérance de la toxicomanie de la santé mentale. On se soigne comme on peux on arrive pas à faire revivre le quartier. Le match c’est dans quelques heures, j’ai dormis un peu. Le bas de la ville est maintenant à l’image de celui de toutes les autres grandes villes d’Amérique du nord  les mêmes maux les remèdes fonctionnent pas trop les voisinages sont difficiles, y’a plus tellement de clients qui y mettent les pieds, le quartier est uni-dimentionnel, quand les spectacles sont terminés on y mange de moins en moins on rentre chez soi. On laisse derrière la faune bigarrée qui mendie et cherche à trouver des substances en parlant seule. Je sais vous la connaissez l’histoire mais ça peut-être vous, votre frère, votre sœur votre ami personne est à l’abri s’agit d’une fois une mauvaise décision et on coule dans l’enfer, l’alcool fait ses ravages sans parler du vin même si vous ne croyez pas… C’est bien downtown vous y retrouverez peut-être votre fils une nuit comme ça sur le trottoir. Voilà c’est la chute la conclusion l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère!!!

16/08/2023

 


lundi 14 août 2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai le nez sec c’est désagréable. Je trouve pas d’anecdote a vous raconter plus tard cette nuit je vais regarder les championnats de football féminin de la FIFA. J’ai dormis une petite heure. Je remercie les gens qui commentent ma dernière vidéo. J’ai quelques principes, bien qu’on ais déjà dis que je les connaissais pas.  Le premier c’est de ne pas boire le deuxième c’est d’aider autant que faire se peu, le troisième c’est de ne pas me placer dans une position de demandeur à moins d’une rechute… Parfois faut savoir admettre et accepter qu’on est impuissant devant plein de choses (181) Folie Douce - 2 minutes pour la santé mentale - Bernard Saulnier -La stigmatisation en santé mentale - YouTube Voilà ce qu’on viens de mettre en  ligne. Je pense à ces gens en région qui n’ont pas de boulot et sont malade où sont malade parce qu’ils n’ont pas de boulot c’est l’œuf où la poule. Faut dire ces jours ci les boulots c’est pas ça qui manque y’a pas assez de personnel. J’ai été quand même bien content d’être à la retraite avec comme souvenir tout ce temps au chômage si je regarde bien c’étais ma difficulté a garder une job, sois je quittais moi-même sois on me renvoyais. Je touche du bois et me croise les doigts pour qu’il arrive rien de malheureux avec les pensions. Il est passé minuit la rue est tranquille c’est le désert dans la nuit, mes trente années de sobriété approchent encore deux jours… Tout à coup je me pose la question pourquoi les alcooliques sont si attirés par les terrasses ? À en faire une rechute… Je trouve plus quoi vous écrire comment et pourquoi dire. Je pense aux nouvel abris pour les toxicomanes de la maison Benoît Labre on peut inhaler moi je préfère encore et toujours la sobriété. J’ai fermé le climatiseur, j’attend le match, je suis ensommeillé, parfois on entend le train au triage, les camions passent c’est toute une histoire de transport, quelques mots encore, je crois que je vais terminer ici. Ce soir je vous ai écris ce que je pouvais, c’est la chute !!! L’épilogue !!! La fin !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!! Salut !!! Ciao !!! Merci

15/08/2023


 

Bonjour! Bonsoir ! Je regardais l’inventeur de la guitare électrique Fender Stratocaster un bonhomme a l’air tellement straight pour un instrument qui a changé la face de la musique pop. Je pense à Hendrix et son instrument en feu à tout c’est autre band au leader guitariste suicidé où au destin pathétique. La Stratocaster on rêvais tous de ça dans nos sous-sol, on en rêvais comme à une maitresse impossible, une originale pas une copie. Y’avait la superbe usure de l’instrument de Stevie Ray Vaughn qui a amené le concept du côté des cols bleu pour en faire un outil  délirant délicieux. À contrario on accordait une certaine noblesse è la Fender dans les années cinquante je pense à Buddy Holy plus tard y’a eu la magnifique while my guitar gently weep de Georges Harrison des Beatles joué d’une main de maître. On se demande si sans cette guitare le rock aurait été possible, la stratocaster originale est maintenant très vintage parfois les virtuoses passaient de la Gibson Les Paul, une autre icône, à la Fender Stratocaster.. Trois pick up voilà pour le son parfois utilisée avec un ampli twin-reverb. On peux dire que la guitare électrique est un personnage du rock parfois comme chez Keith Richards des Rolling Stones elle se faisait plus discrète donnant toute la place aux riffs d’enfer. Y’a aussi le virtuose Clapton qui dans les récentes vidéo en joue on pouvait pas être autrement qu’envouté. Quoi dire d’autre qu’après m’être usé les doigts sur une guitare bas de gamme, faut comprendre qu’il y a des strato japonaises des mexicaines aussi mais la plus vrai, la plus en accord est l’américaine plus chère aussi faut voir que l’apparence reste la même, le style aussi mais parfois on adaptais, fret différent pick up Hummbucker c’étais selon le musicien. La Fender c’est strictement rock c’est très rare qu’on la voie dans les mains d’un jazzman. Je pense à Johnny Gravel d’Offenbach le groupe qui avait avec cette guitare un son très original. Je crois qu’on peut en voir quelques unes dans les Hard Rock Café. Les musiciens souvent utilisent la Fender et travaillent aussi avec la Les Paul quand ils recherchent un son particulier. Voilà! C’est la chute ce soir je termine comme ça avec l’épilogue la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine j’espère !!!

14/08/2023

 

 

 

 

dimanche 13 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Quatre jours encore avant ma trentième année de sobriété, une façon et un mode de vie très différent. J’aurai jamais crû qu’être honnête serait si bénéfique. Je vous dirais que déjà adolescent j’étais désemparé et dans le trouble j’avais tant besoin d’amour, mêlé aussi j’étais mêlé je savais pas trop comment vivre. Malgré tout on a été très indulgent avec moi toutes ces années dans l’alcool j’ai été chanceux il est rien arrivé de grave . Je bummais dans le quartier latin et dans le bas de la ville, on nous avait passé le mot que dans un certain bar y’avait plusieurs étudiantes universitaire. J’en ai jamais rencontré pas plus que discuté avec une je vous dirais que la clientèle était masculine, ça longtemps été comme musique du rock des années quatre vingt ont dansait beaucoup une sorte d’expression corporelle une danse de névrosé épuisante où ont essayais de séduire et y arrivais jamais. Y’avait tellement de monde quand on étais dans le bar ont nous touchait avec un très grand manque de respect ça me donnait que des difficultés  en cherchant un endroit où me ranger le long du mur même le staff trouvais que je buvais trop ont me laissait dans mes vomissures. Je buvais et j’attendais je ne sais quoi peut-être que quelqu’un vienne me sauver. Si ça avais été un jour ici et là passe encore mais aussitôt que j’avais un peu d’argent et ça passais avant les comptes j’allais au bar… Maintenant je sais que je suis alcoolique, je prend pas mon premier verre et j’essais de vivre un jour à la fois… Viens d’écouter Pat Metheny malgré tout y’avait cette musique… Quand j’habitais chez les copains le désespoir était accompagné par Laurie Anderson. Musique alcool ça se conjugue bien Souvenir d’un ami auquel je disais ma peur qu’on dise notre homosexualité, lui me répondait t’inquiète pas on a trop l’air bête… Trainer dans les bars c’est tout ce que je savais faire entre ça et l’hospitalisation dans l’aile psychiatrique ça longtemps été ça, je surveillais le temps que le bien bon psychiatre me consacrait j’en suis venus à l’invalidité. Voilà! C’est la chute la fin l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Je pense à vous tous !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!! Ciao !!!

13/08/2023