mercredi 19 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Cette nuit encore un cauchemar, je reste avec le sentiment de départ. Souvenir de fêtes avec les copains quand les parents partaient on faisait ça à la maison paternelle. Aujourd’hui je regrette ça fait presque cinquante ans je les faisait entré et j’allais m’étendre parce que j’étais trop saoul. Je suis heureux que cette période de ma vie sois terminé. Je me souviens on se questionnais sur ce qu’on ferait quand on aurait notre premier appartement j’avais répondu que je ferais un énorme party avec tout les copains mais ça a mis beaucoup de temps avant que j’ais un endroit pour crécher. Partis comme j’étais la folie a pas mis de temps a m’envahir, les murs me parlaient… Je… Je vous les ai toutes racontées les histoires. La peur le premier studio supervisé à Montréal on étais plusieurs alcooliques toxicomanes et on envoyais celui qui avait de l’argent chercher de la bière et parfois de la dope. Il faisait très chaud dans ces studios infestés de vermines ça nous donnait une raison de pas payer le loyer en entier. C’étais du vol pour consommer… Je dois vous avoir raconté mes histoires d’injections antipsychotiques tant que j’ai consommé ça fonctionnais pas. J’ai longtemps eu mal aux fesses. Y’a rien de gratifiant dans ce genre de vie j’avais beau avoir tout lu les articles du sélection du Reader’s Digest sur la toxicomanie je m’intoxiquais quand même. C’est encore ce même thème ça se passait la nuit, parfois j’étais heureux d’y être la nuit on a pas a chercher de job  mais c’est une façon de pensée dangereuse. J’essais d’être dans la bonne chronologie mais ça a pas beaucoup d’importance, dans une maison de chambres souvenirs d’un voisin qui puait des pieds, il puait mais il puait ça en était presque mortel. Plutôt que de mourir je me suis rangé, j’ai demandé de l’aide ça a marché. Je sais plus trop quoi vous raconter les blind pigs qu’on appelle aujourd’hui les after hours il y faisait noir et on buvait du fort dans des tasses à cafés, tout les bums de Montréal étaient là, la nuit finissait pas, j’y allais rarement seul on payait pour moi. Voilà je vous en ai assez radoter toujours le même radotage. Voilà comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

20/07/2023


 

Bonjour ! Bonsoir ! Comment avez-vous passé votre soirée ? Est-ce que c’étais climatisé ? Ici je suis au frais. Hier je parlais de mon prochain voyage sois en Grèce sois au Brésil. Je sais pas encore c’est comme si je venais d’arriver. Je crois que j’ai un lecteur qui s’en va à la pêche bientôt. J’espère qu’il va lire le livre que je lui ai offert et qu’il va me faire des commentaires. J’essais de sentir le temps qui passe chaque jour je vieillis un peu plus avec l’âge ça passe toujours plus vite, ma nièce a un grand garçon de dix sept ans me semble qu’hier j’avais cet âge là, j’en ai le vertige… Je veux encore faire des choses. Je suis content d’avoir voyagé pendant que j’en suis encore capable… Je pense que tous les gens qui ont publié un livre et qui ont souffert d’une maladie mentale devrais se réunir pour partager leurs expériences ça fait beaucoup de monde vous allez dire mais pourquoi-pas ? Je pense à la stigmatisation comment y’en a qui se battent seul au front. Hier j’écoutais une ligne ouverte y’avait une femme qui disait qu’il n’y avait pas que les drogués et les mental qui étaient itinérants. Voyons madame ouvrez vous les yeux ! Vous avez peut-être un de vos proches que vous voulez voir passé devant les autres ? Je m’étais recouché j’ai rêvé, j’attendais l’autobus une première est passée c’était à l’envers sur la rue Sainte Catherine une deuxième est arrivée y’avait quelques passagers dont un autre chauffeur on a dis qu’il y’avait eu un meurtre une personne était allongé par terre. C’était un rêve je me suis réveillé. J’essais d’analyser je sais pas ce qu’il veux dire c’est trop obscur. Le passager était en uniforme, j’étais debout. Cette nuit c’est toujours frais je crois que c’est les vacances de la construction bientôt. J’aurai écrit encore cette nuit me suis préparé un café. J’entend le climatiseur ronronner ça fait la job. Y’a un moment déjà pendant la canicule je me réfugiais dans un bar sous la sortie du climatiseur on se poussait pour être placé là. Je buvais mon verre de bière lentement, y’avait plus de vestiaire on y servait de la bière en fut. Voilà pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine j’espère !!!

19/07/2023


lundi 17 juillet 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Je savais pas que Jean Cocteau était un ami de Marcel Proust. Une année  j’ai vu une exposition Cocteau au musée des Beaux Arts de Montrèal. Ce qui m’avait surtout frappé ce sont ses petits dessins pornographiques tous à la mine. Ça me rappelait les dessins dans les toilettes de la shop qu’à tout les soirs dans une plate monotonie j’effaçais. On imagine Cocteau qui dessine bien avant la télévision. Cette nuit je vous illustre ça avec une photographie d’une œuvre vue au Musée d’Art Contemporain de Porto. Je me souviens d’une époque où on dénigrais les musées mais quel meilleur endroit pour voir de l’art ? Je dois pas oublier les impatients et l’ami critique  et historien de l’art, je sais pas où ils en sont rendus après l’incendie, c’est malheureux tant de belles choses détruites. J’espère qu’ils vont relocaliser l’atelier. Je pense à l’art contemporain qui pour certain a pris naissance dans les années quarante parfois confondus avec le kitch y’a eu les œuvres graves du Refus Global  qui sont toujours d’actualités. Je sais pas si c’est artistes rêvaient de se retrouver dans un musée c’était un peu leurs morts on enlevait la vie dans la citée à leurs œuvres. Je reviens sur ce que je viens d’écrire les signataires du Refus Global pouvait pas être confondus avec le kitch c’était des œuvres trop fortes trop actuelles. Je dirais qu’il y a plusieurs « écoles » d’art bien qu’on veuille pas cloisonner. Je pense à l’art crû du regretté monsieur Barras. En visitant les musées à travers le monde je vois qu’elles ont toutes une certaine parenté ces œuvre . Ici je pense à l’art Urbain ces fresques qu’ont retouve sur les murs dans les moindres espaces libres de la cité, souvenir de Zilon… Tout ce qui est festival dans les rues selon moi participe à ça, musique cirque ils sont tous là pour accompagner les œuvres plastiques dans la ville. Souvent sur les murs on revendique réinvente la calligraphie comme une forme de provocation… Moi je réinvente rien je me sers des médias sociaux de mon blog…. Monsieur Dolan se retire c’est triste mais d’autre vont le faire à sa place on auras toujours besoin du cinéma de l’art. Voilà ! C’est la chute l’épilogue la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

18/07/2023


dimanche 16 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Écrire pour chasser le monotone des jours. Écrire pour oublier les contremaitres. Écrire pour soutirer un peu de bonheur à la vie. Écrire pour effacer les ennuis. Écrire pour tenter la poésie. Écrire pour chasser ce qui détruis. Écrire parce qu’il sera minuit. Écrire parce que tout sera finis, voilà de quoi je me nourris cette nuit, je ne sais comment vous dire merci d’ouvrir cette page et de lire ce qui est inscrit. Je débute mal aujourd’hui pourtant y’a de la vie, du bruit. Souvenir de la douanière quand je suis rentré au pays qui me demandait si j’avais des amis au Portugal quand j’ai répondu non elle m’a demandé ce que j’étais aller y faire, du tourisme madame, du tourisme… J’ai mis un t-shirt qui sent le propre, c’est bien. Je constate qu’on peut avoir le désir d’écrire mais que c’est inutile quand les muses n’y sont pas surtout quand on a plus de nouveaux souvenirs que ce sont toujours les mêmes, ce gars qui je l’ai réalisé des années plus tard m’avait pété les dents parce que j’avais insulté, médis sur sa sœur. Ostracisé ? Ça fait longtemps c’est terminé, on m’a brisé une fois c’est assez. Cette nuit je suis pas particulièrement inspiré, je pense à vous tous qui lisez je veux vous donner de la matière de la substance a lire. Je pense encore à un nouveau départ Grèce où Brésil je sais pas mais je vais laisser le temps faire. Je trouve pas quoi vous écrire, je pense aux itinérants qui dorment sur le trottoir à ces autres qu’on a évincé de leurs campements, à comment c’est difficile de vivre dans un refuge, de tout partagé sans intimité, comment on se sent envahis quand on a un problème de santé mentale. Je viens de vérifier et j’ai pas de comité des personnes ressources en concomitance. Les vacances sont commencées ce seras pas seulement les campeurs du centre ville, je pense à ces magnifiques véhicules récréatifs. Bon ! Je termine, je vous garde pas plus longtemps, c’est la chute, la fin, l’épilogue quelques mots encore sur les feux de camps qu’on ne peux plus faire, c’est malheureux. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Voilà c’est fait pour cette nuit. Ciao !!! Bye !!! Salut !!!

17/07/2023


samedi 15 juillet 2023

 

Bonjour! Bonsoir ! C’est dimanche dehors tout est sec, me souviens plus à quoi j’ai rêvé. Souvenir de cette injection d’antipsychotique retard qu’on me donnait, piportil que ça s’appelait à toute les trois semaines le matin ça a cessé avec l’apparition d’une nouvelle molécule l’olanzapine beaucoup plus efficace beaucoup moins d’effets secondaire. Je sais pas si vous en êtes conscient mais je me met tout nu devant vous autre, y’a ceux et celles qui disent être guéris ils se leurrent. Parfois quand elles me disent ça j’évite de les contredire de leurs expliquer qu’il y a pas de guérison possible juste un rétablissement progressif possible. Y’a tout le concept de normalité qui va avec ça, le désir d’être comme tout le monde qui enlève toute créativité. Le fonctionnaire et ses sbires veulent vous mettre à l’heure du métro boulot dodo sans voir que c’est ça qui vous tue… Cette nuit c’est difficile d’écrire on en viens à rien, avoir tant voulus changer la vie pour ne parvenir qu’à des psychoses comme si ce mécanisme était là pour vous faire renoncer à tout changements de société, une fois le début du rétablissement commencé ça été long mais on vous laisse en paix brisé défait. Je sais ce discours là est propre à la paranoïa, parfois des valeurs, des principes pas respecté nous rendent malade. Je sais pas pourquoi je pense è la shop que j’ai jamais réussis à intégrer. Je me suis rendus j’ai quitté à tout les différents boulots y’avait une psychose à la clé. Je suis quand même heureux d’avoir cesser toutes consommations. Je vous écris comme si je n’avais fait que ça boire et me droguer toute ma vie. Je sais même pas si ça vous intéresse de lire ça. J’appellerais ça de la macro littérature. Encore et toujours cette thématique je peux pas écrire autre chose que ce que je suis. Je vous ferai pas le discours de l’halluciné du rétablissement. Va falloir que je trouve un autre discours. Je termine presque comme ça, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque là !!! Je vous fait mes salutations !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Arrivederci !!! Obrigado !!! J’ai fait une erreur y’a encore de la place pour quelques mots, les remerciements tiennent quand même. Cette nuit je suis quand même â bout. Continuez demain ce seras meilleur je vais essayer !!! Ciao !!!

16/07/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de la nuit, cette nuit qui parfois m’ennuis. Le climatiseur ronronne hier les Alouettes le club de football a perdus. Moi j’étais assaillis par une grande fatigue je pensais aux amis en Floride. J’ai hâte à lundi je devrais avoir un autre projet d’écriture, je me croise les doigts. J’ai mis de la musique, écrire à la première personne du singulier ça a ses limites c’est toujours en soi qu’on trouve les quelques mots en cherchant dans un verbiage moteur. Le problème c’est de ne plus savoir quand s’arrêter il faut faire face à la nuit. Les agents immobilier sont passés par les bars qu’ont aimait fréquenté maintenant c’est devenus des condominiums, les bars ont disparus pour moi, il faut sortir de ces thèmes alcooliques ça sert à rien de toujours revenir à ça, faut savoir attendre la vie d’avant semblait tellement plus excitante quoi que maintenant le voyage est beaucoup plus présent, une photo d’un azulejo contemporain va illustrer ce texte, ma dernière marotte le Portugal adoré ces gens si accueillants.. Sortir de ma torpeur de cette idée de maladie qui n’est plus là cette nuit. La musique est sur les succès des années quatre vingt c’était hier. Et puis après ? Mais après quoi écrire au présent, aller en Grèce dans les îles faut savoir perdre son temps quoi que c’est très beau mes passions sont plutôt urbaine, Rio De Janeiro serait une destination, souvenir de ce chauffeur de taxi qui me nommait les colonies Portugaises. Avancer mon écriture de cette façon c’est difficile les mots s’enfuient, à la fin on verras bien. La nuit avance, le texte moins vite une pensée pour Hugo pour Flaubert c’est permis ! Ceux là qui ont fait la littérature, ceux là qu’on oublie pas. Bon ! On raconte ! On raconte le plaisir des voyages comment parfois les agents de bord sont désagréables mais on s’y fait… Voilà c’est une tentative de finale, c’est pas une partition faut trouver le sens, déjà vieux avec les textes on est rendus depuis longtemps à la vidéo, les jeunes faut les connaitres. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue, quelques mots encore dans mon sac comme toujours c’est les remerciements d’avoir lu jusque là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! So long !!! Arrivederci !!! Obrigado !!! À la prochaine espéré encore et encore !!! Ciao !!!

15/07/2023  


jeudi 13 juillet 2023

 

Bonjour ! Bonsoir ! C’ était une nuit pleine de rêves après les orages et les alertes tornades de ce soir. Cherchez pas trop les changements climatiques ils sont là … Aujourd’hui la femme de ménage devrais passé hier un voisin m’a demandé si je m’ennuyais du Portugal c’était un si beau et si bon voyage, je me suis bien débrouillé. Je vais plutôt prendre la direction de mon monde intérieur de ce souffle émotif perpétuel je pense au patriarche qui disait que son père notre grand-père cherchait le mouvement perpétuel… Dans mon cas l’émotion perpétuelle seras là tant que j’aurai un souffle. Si on parvenait a faire de l’énergie avec ces états  d’âme ce serait très écologique sans parler de l’économie. Animer donner vie à une cafetière, un grille pain où une bouilloire avec le spasme des pleurs on pense à mourir de rire aussi les derniers éclats et larmes qui éclairerais une pièce on en redemanderais.. Les émotions c’est de l’énergie on pourrais s’y mettre en groupe pour faire avancer un autobus si quelqu’un s’avisait de demander pourquoi tout ce monde pleure la réponse serait là ça ferait des deuils payants. Je parlerai pas des toux et des vents de toutes sortes qui eux aussi pourrais être réutiliser ça pourrais aussi s’appeler la dynamique des pleurs. On aurais plus besoin des sirops de toutes sortes ont tousserais tout notre saoul et assez pour animer les glandes lacrymales qui donneraient une énergie a recharger les batteries, on serait d’une énergie inconsciente a réanimer la psyché. Je pense aussi au stimulant lavage de dents qui comme une dynamo procurerais l’énergie nécessaire à une radio. Tout ça ça grouille ça bouge c’est vivant on pourrais avoir une façon d’accumuler simple, je parlerai pas de vos pompes matinales qui animeraient votre rasoir. Ça pourrais aussi servir l’hiver une fois transformé en chauffage d’appoint J’oublie pas le souffle que ça prend quand on se mouche ça pourrais servir a charger une dynamo, c’est pas vraiment de l’énergie propre mais enfin ! Tout ça a partir du corps humain. Voilà j’espère que vous prenez pas tout ça au sérieux c’étais juste pour rire un peu qui… Non! J’arrête là, comme toujours c’est la chute, la conclusion, l’épilogue je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que vous avez aimé ça !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

14/07/2023