lundi 24 octobre 2022

 

Bonsoir! Bonjour ! J’y suis encore, à me débattre avec mon monde intérieur pourtant je suis pas une jeune fille en fleur. Je vous écris comme si vous étiez ma fiancée qui m’attend outre-mer ici le monde est sordide et je me réfugie dans la poésie même si elle aussi  parfois est cruelle, on s’intéresse au poète que mort. Hier la machine a été très active ça grouillais partout , j’ai partagé ce qu’étais ma vie avant d’arrêter de consommer… Y’avait beaucoup de monde sur le webinaire, j’étais très nerveux mais je crois que mon témoignage a bien illustrer une forme d’itinérance.. J’avance avec ma patrie, la folie, en tête, ma vision est romantique et insensée, les hommes de lettres sont dans les principes rédactionnels. Je cherche une nouvelle destination pour le printemps prochain. En attendant je rédige ce journal, ce pourquoi électronique on en est plus à la plume et au buvard. Je pense à tout ceux qui espèrent devenir riche en écrivant ils se trompent au mieux c’est séduisant, une syllabe à la fois j’avance vers une terre d’espérance, une langue de foi. C’est toujours le parfois pourquoi. La grande carence le manque de diplôme ça me laisse sans autorité, étudier j’aurai essayé mais j’apprends et je travaille mieux seul, y’a des mots que je n’emploie pas je trouve qu’ils sont galvaudés, servis à toute les sauces ils ne veulent plus rien dire. Laissons faire l’amour il sauras nous guider dans les textes en jachère sur des fermes littéraires inexploitées. Je vous donne mon ignorance a lire je suis au bout et à bout de mots. Amérique française je suis tout à toi je viens vers toi en foule excentrique qui vie de la mère patrie de là on m’enfermeras de trop vouloir vivre. J’ai encore l’espérance quand je réfléchis la langue m’accompagne, compagne de mes questionnements. J’aimerais tant, j’aimerais tant être poète je me répète… Toi là-bas j’écris pour toi j’espère que tu me liras gène toi pas c’est là pour ça, c’est ma voix. J’espère mettre un baume sur ta plaie littéraire, une cicatrice douloureuse que seul le temps guériras. J’y arrive à qui? À toi à quoi c’ est à ça que je m’adonne. Me voilà encore qui termine et c’est toujours de la même façon, je vous remercie d’avoir lu jusque là, je souhaite que ça vous plaise. À la prochaine je l’espère.

25/10/2022


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