Bonjour!
Bonsoir! Je risque de me faire plus rare sur mon blog, je veux entreprendre la
rédaction d’un roman. C’est difficile pour moi d’écrire ça, j’ai pas envie de
vous lâcher. Je vais probablement « travailler » sur les deux plans.
Je comprends ceux qui me lisent
régulièrement, moi je suis accro à l’écriture. Je suis pas certain d’être capable d’écrire ce
roman, quand même me voilà encore avec la machine, j’ai payé mon titre de
transport. Je pense toujours au voyage, ce matin je vais aller m’acheter un
cahier… Il est deux heure du matin je pense à mes pairs dans la souffrance et
la douleur assis tranquillement au bar et essayant de noyer le malheur. Ils se
sont déjà bien endormis du sommeil alcoolique mais on tolère pas qu’ils
penchent la tête et somnolent tranquillement, on veut du monde debout… Le gars
me racontais l’histoire d’un vieil alcoolique au bar de l’hôtel à la fermeture
le staff allait le reconduire à sa chambre et le lendemain le bonhomme se
présentait au bar pour recommencer le même manège. Pour l’instant j’ai encore
le souvenir de cette création collective à laquelle j’ai participé… Me souviens
que je buvais du fort mais que ça ne me calmais pas. Vous voyez c’est mon thème
de prédilection, j’y reviens toujours comme un idiot… Je suis réveillé je prends
mon temps, pense à une maison d’édition avant d’avoir écrit une ligne. Y’a les
fumeurs qui se rencontrent à la porte des boîtes de nuit, ça socialise beaucoup
plus là qu’à l’intérieur, souvenir de cette attente en ligne comme des veaux pour
entrer se saouler. Je sais pas pourquoi je vous écris ça, c’est pas par
nostalgie je détestais ça. J’entends le tic-tac de l’horloge… Avion, voyage
voilà ma distraction, je vais essayer de pas boire encore aujourd’hui ne jamais
oublier que c’est un jour à la fois, à jeun j’ai la tête plus libre… Hier la
responsable des dédommagements m’a écrit que ce serait pour bientôt, j’apprécie.
J’ai fait le chèque du loyer. J’ai hâte d’être à Barcelone et j’ai aussi hâte
aux noces de ma nièce quelques jours avant mon départ… Quand je vous écris la
nuit je vois pas le temps passé. J’attends
pour trouver quelques mots, pense aux jeunes femmes « Il suffirait de
presque rien peut être dix années de moins… » Mais oui je me fait vieux et
tout ça pour en arriver là, un moulin à souvenirs. Je pensais pas être capable de vous écrire
encore cette nuit, le café noir me brûle l’estomac, Bon puisque je tire et j’étire
vers la fin je vais essayer d’y aller sans trop réfléchir, une sorte de finale
en écriture automatique en piochant sur le clavier de la machine. Un peu plus
de deux mois avant mon départ changer d’air me feras pas de mal. Je sais pas
comment je vais me débrouiller en Espagnol. Je termine comme ça en vous
remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire