Bonjour!
Bonsoir! C’est le matin, j’ai dormis, il fait un temps superbe… Le parc est
tout vert, les feuilles commencent à sortir, la répétition commence à quatorze
heure cet après-midi… Je pense toujours au voyage… Je fais tremper la vaisselle,
tout à l’heure je vais la laver. La voisine reçois beaucoup de monde qui vont
chez elle en passant par la passerelle, je sais pas ce qu’elle fais, quel
traffic elle mène. J’ai pris une douche me suis parfumé. Je la soupçonne de
prostitution, c’est peut-être complètement autre chose vente de cigarettes? Les
oiseaux chantent… Ce matin j’ai de la difficulté à vous parler de mon senti,
vous êtes surement au courant je suis pas allé à l’université pour apprendre à
écrire. Ça donne ce que vous lisez là on croit que je m’amuse, mais non… Je
pense à l’époque où je travaillais dans le recyclage de papier, ce chauffeur de
camion qui avait eu un accident, il s’était collé en roulant sur une voiture,
les policiers étaient venus à la shop… Pour le moment le balai-brosse mène un
bruit du diable. Je regarde dehors les voitures passent, y’en a beaucoup qui
ont pas de silencieux. Demain samedi je vais m’acheter des chaussures, ça vous
intéresse pas trop que je vous raconte ça, c’est le quotidien plate, loin du
senti, la vaisselle est lavée, je la laisse sécher et ensuite je vais l’essuyer.
Ça fait dur mon écriture ménagère ce matin. Je me sent tout chose… La semaine
prochaine je vais parler de l’instauration d’une gouvernance clinique soutenant
l’intégration des patients partenaires au sein de l’organisation, c’est dans le
cadre du grand forum de la santé mentale deux mille dix sept. Je vais leurs
parler d’argent parce que selon moi l’intégration passe par le dédommagement
monétaire, ils semblent avoir changé cette orientation. J’ai eu le reçu de mon
rapport d’impôt provincial je suis bien en dessous du seuil de pauvreté, j’essais
quand même de ménager… La vaisselle est rangé, je suis bloqué j’arrive pas à
vous exprimer ce que je vie. J’ai parlé à personne ce matin, émotivement ça me
donne un break, j’ai pas mal. Je crois que le malaise il va s’installer plus
tard. Je le souhaite pas mais ça me prend toujours par surprise… Je pense aux
commis de la sécurité du revenus comment ils nous reçoivent mal, heureusement j’ai
pas d’affaire là… Ce matin j’irai pas dans le conditionnel, c’est comme ça faut
que j’accepte et ne reviennent pas sur le passé, en ce moment c’est pas clair
ce que je vous écris. Je veux parler des si j’avais et des si j’aurais inutile.
Je termine bientôt, je vais me rendre au théâtre, une autre répétition, ça
risque d’être intéressant. Voilà, ce matin je sais plus quoi vous raconter,
dehors y’a un petit vent, il fait quand même doux. Je termine comme j’ai
commencé en vous parlant de la température. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!! Salut!!!
Bernard
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