Bonsoir!
Bonjour! J’ai dormis un peu. Viens de voir une vidéo qui se passe dans un de
ces endroits où y’a des éclairages distrayant. Le genre d’endroit que je ne
veux plus fréquenter. Il m’arrivait de sortir à pas d’heure et de ne rentrer qu’au
petit matin. Me souviens d’avoir laissé mon lit à un copain et de m’être couché
par terre quand je me suis levé je ne sentais plus ma jambe droite et j’ai
foulé mon pied qui est devenus tout bleu, la folie. J’aimerais beaucoup vous
dire comment je me sens ce soir, y’a un écrivain qui veux se présenter au
primaire française, une cure de rafraichissement? Je prends mon café et je bave, c’est
dégueulasse. Je sais pas si l’écriture ça reste pertinent sur la toile, y’a
tellement de vidéo disponibles qui va prendre le temps de lire? Est-ce qu’on
peut parler d’un art du blog? Ça reste
quand même simple comme moyen d’expression. Semble que le succès d’estime ça
empêche toute les autres façons d’être reconnus, d’après certains vaux mieux
être maudit de son entourage et avoir une « plume » magnifique.
Rejeté de partout mais la gloire posthume. Y’a tous ces écrivains, qui
écrivent, comment dire? En contrepoint? Qui ne prennent pas la posture littéraire
et déni la reconnaissance. Ils défont et se défont dans la contradiction. Je
sais pas si j’arrive à me faire comprendre. Je suis justement loin de mon
senti, les choses compliqué c’est l’écriture des simples, les choses simples
sont l’écriture des compliqués. Cette nuit y’a pas de voix, souvenir de Toronto
où à mon départ on me traitait de tapette, du moins c’est ce que j’entendais c’était
il y a trois ans. J’ai toujours aimé attendre dans les aéroports, y’a une sorte
de calme dans cette foule qui arrive et part. J’aime aussi la nuit comme
maintenant, c’est calme et tranquille, dehors y’a quand même un autobus qui
passe, viens de manger deux toasts avec du miel, cherche quelque chose qui
plairais à mes lectrices, mais oui! Je les lisais les Martines de mes sœurs, ai
souvenir aussi d’un album illustré magnifiquement qui racontais l’histoire d’une
vieille maison sauvée par des enfants, je vous raconte ça je suis ému j’étais
si bien quand je lisais ça. Sans parler de l’histoire du cheval Tonka un livre
que j’ai lu et relu pendant des années. J’étais choyé, la matriarche aime dire
que j’ai appris à lire très tôt, moi je me souviens plus. Y’a des choses qui me
passent par la tête et que je préfère ne pas mentionner, c’est juste un vague
souvenir. Dans mon enfance j’ai pas déménagé souvent deux fois si je me
souviens bien, voilà pour le stress des déménagements. Jeune adulte je tenais
pas en place, un logement après l’autre. C’est le premier dimanche de décembre
dans le goulag occidental on attend la neige. Je vous quitte en vous assurant de
ma plus grande sincérité. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!!
Bernard
dimanche 4 décembre 2016
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