Ils étaient
tous branchée qui sur le p.c. d’autre sur la tablette et encore sur le
portable. Ils avaient tous une connaissance virtuelle des gens avec qui ils
communiquaient parfois s’inséraient dans tout ça des amis des amours des parents, on échangeait
sur l’actualité la guerre, la terreur et tout ce qui dans notre pays faisait
peur, les voisins, les passants avec qui on discutait voyait des terroristes
partout étrangement c’était les immigrants qui avaient le plus peur des
nouveaux arrivants, on criais aux faux passeports. Y’avait ce gars qui comme ça
pensait aux idées radicales pourtant… Toujours surpris de voir ces itinérants
pacifiques qui auraient eu de bonnes raisons de se révolter, ils se calmaient
dans l’alcool, la difficulté elle était là accepter l’autre dans ses
différences. Le gars aimait pas beaucoup les autres langues , l’anglaise
surtout on le taxait de racisme, comme souvent on disait que les québécois
n’était qu’une autre race à intégrer à la masse anglophone canadienne. Pourtant c’était, le peuple fondateur, on en
accueillait d’autre qui apprendrais le français. Je sais, je sais les contes de
Noël c’est pas politique on a plutôt besoin d’allégorie pour faire oublier nos
compatriotes à la sécurité du revenus. Je suis pas un bon conteur mon gars
n’attend plus mes histoires, il est branché sur les jeux en ligne. Je sais pas
pourquoi tout le monde est victime de la machine. Moi je pense souvent à partir
pour le grand nord donné un coup de main aux autochtones essayer de comprendre
leurs cultures et pourquoi certains se noient dans l’alcool malgré le grand
esprit manitou et avec l’idée folle de rencontré le petit renne au nez rouge.
J’arrête ça là ce mauvais conte ce que je veux c’est de l’amour pour tous pour
tout le monde qu’on oublie la haine et qu’on écoute l’autre qui qu’il soit. Je
veux pas faire la leçon mais cette peur de l’enfer que véhicule certaines
religions c’est pas très bon, la nuit de noël les gens se sont tous branchés en
réseau sur le réseau et y sont allés des vœux de circonstances, c’était le
début de quelque chose. L’admission qu’il n’y a pas une religion meilleure que
l’autre que la puissance supérieure qui que l’on soit nous accueille tous dans
son giron… On y croyais à cette célébration médiatique qui mettrais fin à
toutes les guerres ignobles, un mot dialogue. J’aimerais bien avoir une
écriture fédératrice faire que mon gars ait une ouverture d’esprit et plusieurs
autre aussi. Je pense aux commerce des armes qui fait l’affaire de quelques
tarés. La chanson de Brassens disait « Mourir pour des idées oui mais de
mort lente ». Cette machine informatique est pas toute bonne ni toute
mauvaise. Si ce n’était que des langues ça irais mais y’a aussi les idéologie,
ça fait bien des mots savants pour un simple conte d’une réunion virtuelle pour
la paix. Pour en revenir au réseau les gens préféraient être branché plutôt que
de manger… La dinde, la dinde on pouvait la commander d’un poulailler
écologique où on la nourissait au grain dans un espace décent, le réseau
c’était aussi la coopération à plusieurs les dindes étaient pas chère et je
crois qu’elles sont kasher. J’ai un peu de peine j’aurais aimé vous écrire un
beau grand conte informatique, les réseauteurs sont tous là à manger de la
dinde. On rêvais de réseau de la terre comme d’une belle grande famille qui
échangeait dans les bons et les mauvais jours, c’est pas devenu ça mais une
guerre de pouvoir à qui auras plus de donné sur son prochain pour les vendre
demain. Mais non l’esprit est pas devenus informatique. Je crois qu’il est
important d’avoir une force spirituelle. Le lendemain de Noël les gens se sont
débranchés et on méditer d’autre qui ne savaient pas ce que c’était on prier,
ils se sont tous calmé et un par un la paix les a gagné.
Bernard
Saulnier
Noël 2016
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