mercredi 23 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’aimerais amorcer avec un texte fort dire en l’arrachant è mon esprit. Ce soir y’a un match Winnipeg versus Montréal ça risque d’être intéressant. Je remercie mon lecteur de la Rolls-Royce d’avoir lu mon livre et d’avoir commenter, c’est bien. Je vais essayer de mettre mes tripes dans ce que j’écris comme beaucoup de choses c’est souvent plus facile à dire qu’a faire, hurler à la douleur au mal lancer un grand cri à la perte d’espoir sans trop pensés. Je l’arrache je l’arrache le mot pour qu’en vienne un autre avec encore un cri malheureux parce-que pour moi la poésie c’est souvent le mal être, la difficulté et écrire une cochonnerie pour délaisser l’ennuis crier au trop au tant que ce seras sans pouvoir, y’a pas de poète heureux ils sont tous dans l’urgence d’écrire une prière à Méphisto une sorte d’exorcisme voilà ça prend de l’âge. Pourquoi dire ? Pourquoi les questions ? Cet amas de mots qui oublie souvent que la poésie ça s’écris souvent avec parcimonie. Un problème là aussi se couronner poète par défaut tout au bas de la pyramide avec le clan avec la plèbe et n’écrire pour aussi dire n’inscrire que des niaiseries. Désemparé comme toujours à des milles de l’amour authentique plutôt dans la mièvrerie dans le faux des mots désaccordés qui ne peuvent plus dire de façon originale en total désaccord. Pendant ce temps là dehors le verbe se fait chair d’itinérants insomniaques qui crie au bout de sa dope… Parfois y’a plus rien à dire on essaye de décrire l’hallucination on en est incapable non je ne fait pas de la poésie j’en écris pourtant je la traine pas avec moi dans des bistros aujourd’hui disparus. La poésie ça s’impose aussi à l’université beaucoup plus cadré. On en est pas à l’écriture sur un billet de vingt et pourtant j’appelle à la vie il m’en reste peu. Je m’allume la conscience. J’en reviens au parfum je crois qu’ils l’ont changé je vais l’essayer c’est une eau de toilette. Voilà! Je termine comme ça c’est la chute l’épilogue encore une fois je crois y être arrivé, demandé pas le sens. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!! Arrivederci!!!  Ciao  !!! Obrigado !!! C’est tout merci encore !!! Goodbye !!!

24/08/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Comment écrire à partir du silence ? J’ai presque pas de mots dans la tête, j’ai hâte de voir ce que seras l’automne, des inondations ? J’écoute étrangement je dirais que c’est un silence lourd, affolant aussi j’ai pas l’habitude. Je suis pas philosophe, peut-être un peu poète et beaucoup écrivain ça longtemps été mon désir d’écrire mais je crois que c’étais pas pour les bonnes raisons, raconter mon monde intérieur je crois que c’est suffisant à tout les jours je remet mon ouvrage… Je parle de jours c’est plutôt la nuit, cette nuit je suis moins torturé… Souvenir d’une adolescence perturbée passés à jouer aux cartes dans une salle dont j’ai jamais su à quoi elle servait , j’allais plus en cours je comprenais rien je sais pas comment ils ont tous fait… Quand je pense à ça je veux me faire mal, il est bien tard il est bien tard pour me reprendre. J’ai donné ce que je pouvais partout où je suis passé ce que j’aimais c’est jouer mais j’avais de la difficulté à être encadré. Hier quelqu’un me faisait remarquer qu’on étais toujours plus vieux quoi qu’on fasse l’important c’est la capacité de faire. Je me suis toujours demandé pourquoi chez les gars de la couronne nord c’étais le blues qui étais fort? Ce matin je rencontre quelqu’un pour faire une courte « biographie » de mes hospitalisations en vue d’une préparation pour une recherche. Cette nuit je suis moins fourbu… Je reviendrai pas sur le passé brasser la douleur c’est inutile comment ont-ils fait pour vivre jusqu’ici sans trop souffrir ? Maintenant pour moi c’est le repos, le calme, la paix pourtant parfois j’ai des sursauts douloureux… Soixante sept ans et je cherche encore à être au monde. Le mot c’est celui là cherche et même recherche je serai jamais finis toujours perfectible. Cette nuit je suis en bonne santé mentale, ça m’apaise me décentre, l’espoir toujours l’espoir du rétablissement quotidien. Je sais pas comment vous dire sans trop vous écoeuré si vous en êtes au début de votre rétablissement. Jamais oublier que c’est juste aujourd’hui… Voilà !!! J’en ai presque terminé c’est la chute la conclusion l’épilogue. Parfois les mots me manquent c’est pas tout de dire faut réaliser. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

23/08/2023


lundi 21 août 2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je viens de lire quelque chose de superbe. J’ai des croutes a manger avant d’atteindre une telle beauté c’est un texte de ma petite cousine Claudie aller sur sa page facebook vous allez le trouver c’est très touchant. J’écris et quand je tombe sur un texte pareil je suis gêné. C’est si bien dis… Chronique d'une jeune thérapie:

C'est comme une rencontre d'enfants... Veux-tu être mon ami? Veux-tu qu'on s'aime pour vrai même si c'est pas pour toujours? Les enfants, ça dit « oui » et ça a une mémoire de poisson rouge. Les adultes, ça dit « non » et ça se souvient.

Mais, des fois, y'a deux coeurs d'enfants qui s'ouvrent et c'est la magie qui embarque. Des fois, on se reconnait rien qu'entre coeurs d'enfants. Ton enfant intérieur, je veux jouer à la tag avec lui, je veux soigner ses bobos, je veux que, quand il pleure, il se mouche dans mon chandail. Ton enfant, je veux qu'il saute dans mes bras, qu'il sourie quand il me voit dans la foule, qu'il puisse respirer mieux quand je le prends par la main. Je veux aussi qu'il continue de grandir, devant mes yeux.

Pis je veux que tu veuilles la même chose pour mon enfant à moi. Je veux que tu veuilles rien que l'aimer, même si elle est exigeante, même si elle pense tout savoir et qu'elle a toujours raison, même si elle pleure, même si elle demande tout le temps ton attention, même si elle te tape sur les nerfs des fois. Je veux que tu veuilles être patient... mais émerveillé, aussi, par mes sourires, mes bisous, mes câlins, mes émotions qui prennent toute la place, mes succès, mes dessins qui dépassent les lignes, mon progrès, mes idées.

Je veux que tu veuilles te souvenir de tout, que tu prennes des photos. Je veux que mon coeur de petite fille soit le plus beau parce qu'il sera finalement fait d'un bout du tien.

Peut-être que la petite fille a jamais été une petite fille parce qu'elle ne voulait pas être un poids de plus, une préoccupation, une inquiétude, une déception de plus pour sa maman. Alors, elle a toujours essayé de tout faire comme il faut, parfaitement; être gentille, polie, bonne à l'école, respecter les règles, faire attention, ne pas se mettre dans le trouble, fréquenter les bonnes personnes, assumer ses responsabilités. Fallait la rendre fière.

La fierté, c'est pas de l'amour.

Impressionner, c'est pas de l'amour.

Faut pas être triste. Être triste, ça fait mal aux autres. Et être parfaite, c'est ne faire de mal à personne...

 Voilà le texte dont je parle une belle sensibilité, moi j’ai longtemps été en thérapie avec un psychiatre, toujours trop souffrant pour mettre en mots. J’étais lourd de peine, lourd de ne pas savoir si j’allais me rétablir. Souvenir de la salle d’attente et de la chaleur torride qu’il y faisait du silence pesant. Je me souviens de consultation qui durais pas beaucoup plus que dix minutes par contre un jour j’ai consulté un psychologue qui s’est avéré efficace je le remercie encore. J’ai envie de vous dire qu’aller rencontrer le psychiatre et pleurer je sais pas si ça m’a aidé. Je savais bien qu’il y avait pas de guérison possible on reste toujours schizophrène malgré tout, malgré soi et j’ai vécu désespéré. J’aurais aimé qu’on me prenne par la main et qu’on me console mais personne semblait avoir les mots pour adoucir la dureté du monde. Je suis toujours resté avec l’impression que j’étais pas très important pour le psychiatre qu’il me soignait à la va vite parce que c’étais sans espoir. Je restais pris avec mon angoisse et mes éternelles introspection dans la lourdeur, Souvent on consulte et on reste désespéré du monde autour. On raconte nos consultation à qui veux tu pour ensuite se faire réduire en bouillis alcoolique et existentielle ça faisait mal. Je ne voulais pas commencer a magasiner un psychiatre pour moi ils étaient tous les mêmes. Les jours ont avancé j’ai vieillis et je me suis résigné. Je ne rencontre plus de psy, je ne bois plus et je dis merci. Je reviens sur la dureté de la vie à la difficulté d’y trouver de la joie. Et ce faux départ dans la vie cette mauvaise thérapie, la seule réponse, les seuls soins qu’on croyais valide pour moi c’étais le travail pourtant encore une fois tout ce que j’y trouvais c’étais le désespoir. Maintenant les soins sont plus de strictes nécessité j’y arrive et j’aime bien discuter à ma dernière rencontre avec un psy il m’a parlé de mes cheveux gris comment ils faisaient foi de tout. Voilà c’est la chute l’épilogue la finale pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Le texte  Chronique d’une jeune thérapie est de Claudie Saulnier

22/08/2023

 

Bonjour ! Bonsoir ! Comme toujours je vous écris de la nuit. J’ai des douleurs je me soigne avec des Tylenol, ça va mieux. Lundi, je prend conscience que mon univers est étroit que j’ai souvent le même propos. Je cherche pas à vivre quelque chose de différent j’ai trop peur de la rechute. Une lectrice me disait qu’en me relisant je verrais comment j’ai changé. J’en ai pas le sentiment. Une voisine m’a donné des livres de philosophie classique dont j’ose pas commencer la lecture. Je crois que la connaissance de soi est pas suffisante pour soigner ce dont je souffre. Tout à coup y’a un délicat parfum c’est agréable. Je veux pas commencer à qualifier à dénigrer les gens qui m’entourent  j’essais d’être sage par la force des choses. Souvenir d’une maitresse qui tenait vraiment à ce que je déménage, à ce que je travaille elle était prête à ce que je fréquente en même temps qu’elle quelqu’un d’autre. Je l’ai jamais fait trop compliqué. J’essaye toujours la sobriété pour aujourd’hui c’est toujours la même litanie. J’aurai fait le tour des capitales du monde en me cherchant au retour je me suis trouvé toujours le même. J’aime beaucoup lire et écouter les nouvelles à propos de l’itinérance à Montréal encore un moment avant que la température change même aujourd’hui c’est difficile de passés la nuit dehors. On quitte souvent son chez soi parce qu’on se sent harcelé envahis… Je vous en parle parce que parfois je vie ça, je quitte pas mon appartement parce que j’ai peur d’être dehors, la peur c’est une sorte de conseillère. C’est vous dire que même à mon âge je me cherche encore heureusement je reste à l’abri, la vie s’est chargé de me débarrasser des mauvais amis mais au fait c’était peut-être moi le mauvais ami. La misère c’est de la difficulté… Quand on manque de tout on souffre heureusement avec l’âge ça va mieux je suis un peu plus heureux… Vous voyez je reviens toujours au même endroit, j’ai cessé de fréquenter les cafés, les bistros la semaine commence comme ça. Je crois que c’est la rentrée pour les collèges j’en souhaite une bonne à tout les étudiants. Voilà !!! C’est la chute la conclusion l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

21/08/2023


dimanche 20 août 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Ce soir les Alouettes de Montréal l’ont remporté contre le Rouge et noir d’Ottawa. Après plusieurs revirement en faveur d’Ottawa à la première demie les alouettes se sont repris de main de maître à la deuxième pour l’emporté. Je me suis recouché j’ai dormis un peu quelques minutes au jourd’hui c’est dimanche. J’ai regardé le match à la Télé j’ai bien aimé toujours le souvenir que le patriarche nous amenait au match moi et mon frère. On aimait bien jouer sur le terrain ensablé, une fois on avait joué les gars des nouveaux quartiers versus ceux des anciens sur le terrain du séminaire. On est pas aussi intense comme jeu qu’au États-Unis là-bas tout les petits gars ont au moins jouer pour une équipe scolaire ici c’est plutôt le hockey notre sport. Je pense que je vais aller vers mon monde intérieur encore cette nuit pour vous donner à lire je veux m’arracher le cœur  mettre des mots comme toujours sur ce que je ressent, en ce moment c’est moins lourd, je pense à canard le gars qui se tenait au parc je sais pas d’où il venait… Quand émotivement je vie rien c’est comme si j’étais vide. J’écris, j’écris en essayant d’arriver à une certaine beauté, je remercie les dames qui prennent la peine de me commenter. Du football aux lettres pour les américains tout est question d’université qu’on fréquente beaucoup plus jeune là-bas le système scolaire est très différent. J’ai pas eu la chance d’étudier j’aurais bien aimer fréquenter Harvard où Yale mais c’était impossible j’ai eu au travers des maladies a gagner ma vie très tôt. Maintenant c’est terminé je suis retraité quand je travaillais je réalisais pas que je devais rester en emploi, si je le réalisais ça me déprimait et je quittais. Au Québec y’a toujours le grand mensonge de la scolarité gratuite pour tout le monde l’idée aussi qu’il y en a qui y parviendront pas iront pas à l’école longtemps. Ça prend de la chair pour les boulots les plus ennuyants les plus déprimants les plus aliénants. Parfois je crois qu’à l’école on s’est pas occupé de moi parce que je le méritais pas, j’étais pas un garçon attirant. Enfin c’est terminé tout ça je suis rendu à la chute, à la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao!!!

20/08/2023


vendredi 18 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est samedi dans le temps le matin on se ramassais à la taverne du Central. Je me souviens qu’il y avait une rivalité avec les gars de Montréal-Nord j’ai jamais trop su pourquoi. Je m’assoyais devant la fenêtre et quand un gars m’apercevais il entrait boire avec moi. Souvent on était un groupe je me souviens pas de quoi on discutais. Ça fait un moment que je bois plus j’ai presque plus de temps de sobriété que de consommation. L’alcoolisme, la toxicomanie, la schizophrénie si vous connaissiez les chemins que ça vous fait prendre et la difficulté a se rétablir. Je pense qu’on aime bien m’entendre parler de rétablissement, de mon expérience. Je trouve qu’à l’époque les boss étaient pas fort sur les ressources pour aider, les maisons de thérapie on engageait pas un alcoolique pour qu’il cesse de boire. Je pense à ça y’a pas tellement de temps que les maisons de thérapie existent., on savait pas trop pourquoi on prenais la première bière dans la caisse et on arrêtais que quand elle était vide Tant que vous payiez votre caisse ça allait mais ne buvez pas celle des autres. Ouais! Je bois plus mes émotions sont plus égales quoi que ces temps ci j’ai facilement la larme à l’œil, y’avait qu’à la brasserie que je regardais pas l’heure… Parfois y’avait des bagarres… Je me souviens du film Clean & Sober, les substances, l’alcool sont toujours présent, y’a des bars à l’enseigne du désespoir faut pas y aller. Je cherchais je sais pas quoi mais je cherchais souvent c’étais des endroits où la musique jouais à plein volume on pouvait pas parler. Vous avez bien fait de rester chez vous y’avait rien d’édifiant dans les bars que je fréquentais, boire de la bière et manger des peanuts! Je me souviens des hôtels et des bistros du vieux Montréal la ville se ramassait là. Je partais de Terrebonne je prenais quelques bières et souvent je ratais l’autobus pour rentrer. À un moment ils ont créer un centre culturel, ceux qui avaient la graine artistique s’y produisait moi comme toujours je délirais. Disont que ça été l’apothéose de notre jeunesse après tout le monde est partis de son bord. Voilà c’était encore des souvenirs. Je termine là-dessus c’est la chute, la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

19/08/2023


jeudi 17 août 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Vous réagissez pas beaucoup peut-être que mes post se rendent pas à vous. Je reviens des années en arrière où la personne avec qui je vivait disait que j’étais un profiteur parce qu’elle se revalorisait comme ça, ça me faisait très mal. Je viens de voir qu’il y avait pas mal de monde qui ont visionné ma vidéo YouTube sur la stigmatisation je vous dis merci. Je suis un peu à bout de sujet pourtant la vie et la santé mentale en ont pas mal, J’essais de rester optimiste pense à ces personnes que j’ai rencontré en voyage avec qui j’ai discuté pas longtemps mais c’était agréable. Je sais pas pourquoi j’ai le sentiment d’être dans le temps des fêtes je crois que c’est la retraite… Mon partage ça vous a peut-être trop touché, j’essais de voir.  Comme toujours c’est la nuit c’est un moment que j’ai toujours apprécié où je me sentais obligé à rien. Faites moi en part si le blog vous intéresse plus je vais arrêter. Ce soir je vais illustrer ça avec une photo de la contrescarpe il y a deux ans. Je viens de visionner là quelque centaines de noms qui se sont intéressé à la vidéo. La nuit j’écoute le poète Jean-Paul Daoust à Radio-Canada j’ai toujours a apprendre, il parle brillamment du temps… Il vieillis moi aussi je vieillis, il parle de la rudesse de l’entourage pour certains, monsieur Daoust dis que c’est important qu’on puisse nommer les choses. J’essais de vous dire franchement comment je m’attache à l’écriture. C’est bien vrai ce que disait monsieur Daoust on peux pas toujours écrire des chefs d’œuvre. Cette nuit je suis fatigué pour vous écrire j’ai besoin de toute mon énergie Je veille aux mots dis mois de l’eau un beau grand veau fait faire le saut ça c’est idiot la forme comme le propos. Y’a une odeur un parfum la sueur… Ce soir j’ai dormis un peu, où vais-je a écrire seul sans lecteur comme ça. Pourtant on peux pas écrire avec moins de solitude, les mots demandent de l’attention autant qu’une fiancée… Voilà à quoi ça ressemble cette nuit, je veux pas vous exaspéré. Je termine c’est la chute la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore j’achève !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

18/08/2023