samedi 24 avril 2021

Marin


Bonsoir ! Bonjour ! C’est vraiment le printemps, un temps pour jouer dehors y’avait beaucoup de monde sur le terrain de basket. Les voisins promènent leurs chiens, bientôt c’est le couvre-feu, le parc s’endors. Y’a un chien qui jappe… Je sais pas je sais plus, la pandémie semble diminuer au Québec. Je suis sortis j’ai marché, je me suis pas lâché lousse j’ai mis mon couvre visage. Pas moyen de voyager avec le confinement, c’est difficile de s’inventer des aventures. Ils ont ouvert un autre camping dans l’est dans Hochelaga, deux roulottes… Celui qui étais sur Notre-Dame les gens s’étaient fait dire qu’on avais pas besoin d’avoir des tentes comme voisins de condos à quatre cent mille piastres. Je crois qu’avec un climat comme ce soir on peux coucher dans une tente sans problème, la mairesse veux pas judiciariser tout ça elle a bien raison. Je lis L’OBS moi qui sais pas compter j’aime bien leurs chroniques économique, ça me dépayse, je dis comme ma lectrice privilégié de Gatineau, j’ai pas mis une croix sur un voyage en France. Cet après-midi j’ai regardé un film Iron Man je l’avais déjà vue. Je réalise que j’en ai vu plusieurs … La semaine prochaine si tout va bien je donne deux formations, une sur le rétablissement et une autre sur la stigmatisation en vieillissant je me sens moins oppressé. J’aimerais beaucoup vous parler vous dire mon amitié. Je suis toujours mieux chez moi que dans l’aile psychiatrique. Je réalise qu’en restant actif ça augmente l’estime que j’ai de moi sans trop m’enfler la tête on aime ce que je fait. Tout est calme dans le goulag occidental, c’est toujours mon journal du confinement, y’a pas beaucoup de hobos. Je gagnerai pas de prix avec cette écriture… J’ai hâte que les choses reviennent comme avant, je sais pas si c’est possible je crois pas. Samedi soir c’est toujours plate après le lance et comte parfois y’avait le Austin City Limits pour finir la caisse de bière il était déjà dix heure et on descendais dans le bas de la ville au bar pour draguer. Je sais pas trop pourquoi je continus à vous écrire, j’aime ça, parfois je me couchait tard même que pas du tout je rentrais à six heure du matin sans savoir si j’étais saoul où psychotique. Je ne vie plus ça et j’en suis bien content. Dans le bar je suis presque devenus sourd la tête devant les hauts parleurs mais je vous l’ais déjà écris. Y’avait pas moyen de parler là-dedans, je me faisait aller sur la piste de danse je sais plus à quoi je pensais. Tout à coup j’ai peur que mon collègue du Recovery College sur la stigmatisation sois pas disponible, il a des problèmes avec son ordi, je vais attendre qu’il me contacte … Voilà !!! Je termine c’est l’épilogue la conclusion la chute … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Encore un peu, à la prochaine je l’espère !!!

Bernard 

vendredi 23 avril 2021

Casse


 

Bonsoir ! Bonjour ! Le soleil se couche en beauté, la neige est complètement disparue, le temps est doux, c’est mon journal du confinement pour une fois depuis longtemps les malades ont pas augmenté. Quand même c’est pas terminé faut respecter les consignes, le couvre-feu. Les avions Indiens et Pakistanais sont interdit, les autorités vont surveiller les autres arrivées certains passagers qui ont transféré de vol. En France c’est la fête des librairies elles se considèrent avec raison comme des services essentiel, je les aimes beaucoup l’odeur du papier, les livres qu’on feuillette, qu’on lis en diagonale et tout ces grands noms de la littérature qu’on à là entre les mains. Je sais pas pourquoi aujourd’hui j’ai eu froid, le soleil a réchauffé tout ça. Les voisins sont tranquilles, dehors y’a des motocyclettes. Je sais pas où vont tout ces gens faut être chez soi avant vingt-heure. Cette semaine dans le courrier y’avait une lettre manuscrite des témoins de Jéhova belle tentative mais mon Dieu je le garde pour moi. N’empêche la pandémie en a peut-être mené quelques un au désespoir, moi j’ai besoin que d’entendre parler. Je me rappelle y’a longtemps ne sachant pas quoi dire au psychiatre je lui avais dis que j’entendais des voix, c’est comme ça que je suis tombé malade en réalisant que cette voix serait là toute ma vie. Mais y’a pire comme de ne pouvoir sortir où d’être mal pris dans la foule. Le parc est vide les gars sont rentrés à la maison dix minutes avant vingt heure. Je crois que ne sachant quoi faire les gens se baladent en voiture. Peut-être que mon lecteur collectionneur de voitures de Deux-Montagnes a sortis sa BMW sport, un beau modèle que je confond peut-être avec l’Audi … Je sais pas pourquoi ça m’a jamais manqué d’avoir une voiture. Dans mes moments de maladie les pires j’aimais bien me faire conduire ça m’apaisait. La semaine prochaine c’est le mois qui se termine, je commence a donné une formation sur la stigmatisation. Je suis un peu perdus dans tout ça, je vais me débrouiller … Parfois je prends le taxi quand le chauffeur est pas bavard et qu’il y a pas de radio ça m’apaise ça aussi… Bon ! Assez délirer !!! Je vais vers mon senti, parfois je me vois comme un grand malade physique pourtant j’ai passé une batterie de tests et de prélèvements, le docteur m’a ausculté et examiner et j’ai rien. J’écoute ce que … Je me répète c’est pas fort, j’entends un petit avion à hélice, un Cessna peut-être je sais pas si vous vous souvenez de la série CFR-CK des aventures de pilotes de brousse que je regardais en revenant de l’école avant le souper je crois. Voilà !!! Je vais terminer là-dessus, l’avion c’était un hydravion qui amerrissais sur différents lacs en faisant des recherches. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! C’est la chute c’est finis . À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard

jeudi 22 avril 2021

Aplomb

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir j’ai dormis ça m’a donné un peu d’aplomb. J’en profite pour remercier tout le monde pour leurs commentaires de l’entrevue à Radio-Canada. Toujours mon journal du confinement. J’ai trouvé l’OBS au bureau de poste de la place Frontenac … Vendredi c’est presque le week-end faut pas que j’oublie que j’ai une réunion sur zoom cet après-midi… Je regrette de ne plus pouvoir voyager, la dame de l’Office Municipal d’Habitation m’a téléphoné pour me dire de combien le loyer avait augmenté. Je devrais recevoir les documents la semaine prochaine. Aujourd’hui ça devrais être plus doux. Je crois que mon dernier voyage ça été à San Francisco je regrette de ne plus pouvoir partir, je salut tout les Gascon qui me lisent. La neige a fondue, les oiseaux grelottent, j’ai hâte de voir une fois monté la vidéo qu’on a tourné, j’aimerais bien qu’on la présente au grand public. Dans mon écriture l’idée c’est aussi d’être vrai autant que se peut. Cette nuit j’ai sommeil hier soir y’a pas eu de match c’est ce soir dans l’ouest Canadien, Calgary. J’avance dans cette écriture question style c’est pas fort c’est toujours un regard sur mon senti, soudain y’a une odeur de frites. Je me demande quel seront les derniers mots que j’écrirai j’espère qu’ils seront rageur. J’ai encore acheté sur Amazon étant donné les règles de confinement y’a que ça a faire de toute façon j’aime pas magasiner.  Moi dans ma vie j’essaye de pas me placer en position de demande je préfère donner. J’ai pas assez de mots pour vous donner un aperçu de ce que je ressent. Je me suis engourdis un peu en regardant la série Le falcon et le soldat de l’hiver des super héros Marvel que j’adore, sur la chaîne Disney y’en a plein … Dehors c’est redevenus vert, ils me feront pas brailler avec les vignes brûlées par le gel. À tout les coups je rate ma tentative de nommer ce que je ressent. Hier à la télé j’ai vue la fille de Bernard Monnet un ami de mes lecteurs de Gatineau, la jeune fille est une artiste accomplis… Je suis un peu vieux pour me la faire ma bohème, j’irai pas vers les meubles de luxe et ne fumerai pas de mauvaises cigarettes … J’ai pas de diplôme je le regrette mon « œuvre » aurait peut être été plus connue. J’ai presque terminé, je vais retourner me coucher, mon lecteur technicien à la Rolls-Royce a surement hâte au retour de la pêche … Ne me faites pas dire ce que j’ai pas dis c’est dénigrant. J’ai plein de choses à lire, la semaine prochaine je vais donner une formation sur le rétablissement et plus tard sur la stigmatisation, cet après midi je rencontre des équipiers on va révisé ça devrait être bon. Voilà c’est la fin, l’épilogue, la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


mercredi 21 avril 2021

Action

 

Bonsoir ! Bonjour !  Je suis content je viens de m’entendre à la radio c’était une bonne émission. On y a parlé des rôles de femme que j’ai tenu, un homme qui joue une femme comme avant la première guerre mondiale. Ceux qui veulent écouter peuvent aller là https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien à la date du vingt et un. J’essais de voir où ça me mène tout ça, je me ferai pas payer pour vous écrire c’est que du plaisir… Ce soir je suis sensible quoi dire ? Je me cache pas, je me cache plus j’ai aussi le droit de vivre. C’est la nuit je fais ça pourquoi ? Pour qui ? Ça joue du piano chez le voisin, ça reviens toujours au même tout ce qu’on ferais pour se faire aimer. Dites moi ce que je peux écrire pour vous aider, parfois ça va tellement mal on sait plus à qui où à quoi s’accrocher … J’ai connus ça, cette semaine la paperasse de l’Office Municipal d’Habitation est rendus on va m’envoyer le montant la semaine prochaine, le loyer parfois c’est du domaine de l’intime presque autant que la couleur de vos bobettes. Je pense à la jeune amie qui s’est enlevé la vie, c’est regrettable mais y’a l’autre amie qui joue la chanteuse d’un autre temps, j’ai hâte de voir la vidéo. Je suis loin de la sensibilité dont je vous parlais au début je vous écrirai pas sur ma vie sexuelle y’a rien a écrire y’en a pas … La paranoïa c’est une forme de sensibilité ça a je crois un rapport avec la vie sexuelle mais je sais pas comment l’expliquer. Ce matin je pensais à la vision qu’on avait du fou, seul dans son studio du bas de la ville essayant d’apprivoiser le normal un mot que je déteste …Ouais! En camion de livraison ils les voient tous les errants aux cheveux teints aux habits féminins quand t’est helper on te demande ce que tu va faire de ta vie si tu va devenir comme eux … Comme si, comme si on devait choisir la vie parfois c’est une histoire de drifter de dérive, de courant qui t’emporte on ne sais où, tu peux pas devenir autre chose qu’un voyou. Pendant ce temps là c’est toujours mon journal du confinement on est encore et toujours pris avec la Covid-19 … Encore une chose intime on m’a livré deux paires de chaussettes magnifiques que j’ai payé cher mais ça vaux la peine, je passerai pas tout de suite au travers, c’est pas de la littérature c’est de l’écriture de catalogue. J’approche de la finale quelques mots encore, l’ami disait toujours que c’est difficile de terminer il commençait jamais rien … C’est la conclusion l’épilogue j’espère que vous avez apprécier. Encore une fois ce soir je croyais pas réussir mais c’est ça qui est ça !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard


mardi 20 avril 2021

Raison

 


Bonsoir ! Bonjour ! Je suis trop raisonnable pour être un bon poète, trop vieux aussi … Ici on me garde et j’ai peur avant je m’échappais pour mieux fréquenter l’asile. L’orgueil me fait espérer le génie pourtant le grand écrivain a créer son œuvre l’année de ma naissance. Je pars en retard … Je ne m’échapperai pas c’est finis je ne fréquente plus la nuit. De  votre regard vous voyez bien … J’ai trop voyagé la liberté étais là … L’ami regretté disait que l’institut Pinel c’est une prison. Je crois pas qu’ils encouragent les métiers des lettres … C’est le couvre-feu on ne peux plus sortir, à Alcatraz j’ai vu à quoi ressemblait les cellules aliénantes… Cet après midi j’ai reçu un appel téléphonique de l’Office Municipal d’Habitation, ils ont reçu tout les documents, la ligne téléphonique a coupé je suis sous écoute … La peur est plus réelle que la paranoïa ici y’a que moi je comprends pas mon complexe de persécution au mieux ce seras la gloire posthume. Je n’arrive plus a travailler les mots, la langue, incapable de bardasser c’est plate. Mais oui la raison fait que je me met à genoux, je prie … Si j’étais vraiment persécuté je crois pas que j’aurais un passeport, toujours la même histoire. Ce soir si vous voulez m’entendre pas longtemps vous pouvez m’écoutez ici dans la troisième émission https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien  Tout a coup j’ai ce désir d’autodénigrement, l’estime de moi viens parfois après une production. J’ai hâte que les monologues qu’on a tourné en vidéo sois monté … Bientôt je commence les formations sur le rétablissement et sur la stigmatisation ça aussi remonte mon estime … N’empêche je crois que le génie s’exprime souvent dans le malheur, je reviens donc à la raison. Ce soir j’ai presque raté une rencontre zoom on m’a téléphoné et je me suis branché. Bon! J’y vais avec de l’émotion, le poignard du désespoir, la corde du accroche toi, l’âme et le cœur ne sont et ne font qu’un difficile de trouver le bonheur. Je manque de vocabulaire pour exprimer mon désarroi angoissé, des mots sur la douleur c’est toujours difficile à trouver. Je me répète … Comment cesser ? La météo annonçais de la neige, on pourrais s’en passer … Je crois pas être fou un peu simplet c’est possible, les écrivains nomment ce qu’ils vivent mon écriture ça manque de personnage. On ne meurs pas de trop écrire parfois on est satisfait sans être suffisant et oui l’anxiété, l’angoisse je les ai-je crois que c’est la schizophrénie même si parfois j’en doute. Artiste par défaut je trouve pas ça fort fort quand même ! Je vais vous illustrer ça avec une œuvre de Rodin qu’on peut voir au musée du même nom à Paris. Voilà c’est la chute, la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! N’abandonnez pas vous y êtes presque !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Bye !!!

Bernard

 


lundi 19 avril 2021

Ratio


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je viens d’écouter la première émission de ce qui s’annonce comme une excellente série l’art de se faire du bien. J’avais oublié qu’un artisan de l’art brut ne cherche pas de public, c’est de l’art personnel, je sais pas comment dire une forme qui se regarde s’observe ne jette son regard que sur elle peux importe ce qu’on en dis demain il vont peut-être éclairé ma lanterne sur le malade mental créatif. Moi c’est toujours narcisse une vieille figure qui se pète la face dans le miroir… Je pense encore à la chanson le blues du businessman … Elle a été écrite ma création ne tiens pas de ça … Parfois j’ai mal quand j’entends les noms des grands artistes qui ont souffert, je suis pas de leurs taille. J’en ai retenue une plus malheureuse que les autres Camille Claudel la sœur de Paul Claudel et la maitresse de Rodin, elle était géniale pourtant elle a passé sa vie enfermé à demander de retourner à la maison ce qu’on lui a jamais accordé… Ça me donne le désir d’abandonner cette écriture, j’ai de l’estime de votre part mais pas de reconnaissance quand même… Je tisse reprend le métier pour en faire une espèce de couverture qui me cache, me tiens au chaud, mais oui c’est de l’artisanal que ça… Je suis plus crû que brut pourtant ces façons là se nomment pas, elles s’imposent d’elles mêmes  je suis pas si naïf… Je cherche, je cherche la poésie qui se sauve en courant quand je l’approche, poésie qui me regarde et me juge sans respect elle dirait un grand fou … Comme toujours c’est mon journal du confinement, j’y met aussi de mon senti, c’est pas de la grande poésie de la nuit, c’est épistolaire contrairement à la littérature des bouquins où on a de la difficulté à rejoindre les auteurs. Pourquoi? Pour rien ! Juste qu’écrire fait que je me sens bien sinon mieux et pourquoi pas heureux. J’ai quand même un fond triste y’a trop de désir dans mon affaire… Tant de jours et tant de mots souvent les mêmes une sorte de lumbago du cerveau ça va à l’eau avec le bébé… Je vous remet mon « ouvrage » jamais finis comme le fil d’un fuseau. Écrire ça coûte aussi la peau s’arrache à la chair des nuits d’insomniaques torturés par le temps. C’est pas la job d’un savant pourtant je ne suis qu’un urbain errant… Longtemps, longtemps on l’a attendu le printemps avec l’espoir d’un convalescent qui guette d’où viens le vent, une espèce de mutant qui descend devant pendant cent ans. Vous voulez que j’écrive comme une grive qui chante pour vous, je préfère rester seul dans l’expression en vous demandant quand même pardon voyons ! C’est ce que ça donne ce soir, un texte de foire… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Lâchez-pas, lâchez-pas !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

 

dimanche 18 avril 2021

Trouve


 

Bonsoir ! Bonjour ! Hier matin j’ai regardé une émission très touchante de la grande librairie, trois écrivains qui y parlaient de la mort dont une géniale femme rabbin  qui racontais des histoires juives et s’attaquais à la racine des mots. Ils ont bien mis en évidence la difficulté de dire l’irréparable, la « question » de Dieu aussi. Je sais pas pourquoi parfois je me sent hébreux peut-être à cause de l’absence de Dieu … Il est jamais là pour soigner les grandes tares du monde. Faut dire que je vois poindre la fin de mes jours ça va finir et j’aurai pas tout dis. Je pense aux amis qui ont mis fin à leurs jours comment maintenant j’ai une soif de vivre, la pandémie m’en empêche je dois rester en confinement pas question de voyages. J’ai soif de vie comme on a soif d’alcool, je veux me saouler de grandes villes et de grand air, je voyais dans le journal un vieil article sur la Scandinavie, les capitales, Oslo, Copenhague et Stockholm me semble que c’est à voir. Je reviens à l’écriture  c’est à ma façon si ça vous intéresse pas passez votre chemin. Cette semaine commence la série radio en trois épisodes, l’Art de se faire du bien. Souvenir de ce voisin toxicomane à qui on avait dis qu’il avait une vie palpitante, ça dépend du point de vue je crois pas qu’une vie à faire des petits vols pour payer sa consommation et faire du temps à Bordeaux pour moi c’est pas une vie de héros et encore il mélangeait tout avec la méthadone … Au début je vous parlais de l’émission la grande librairie comment elle m’a touché comment j’étais au bord des sanglots … Le toxicomane disait étudier en biblio-économie à l’époque la grande bibliothèque était pas ouverte, je souhaite qu’ils s’y soit trouvé un emploi. Parfois on crois que le temps passe à l’envers que le décompte pour mes funérailles est commencé. Voilà on est lundi… J’essais d’imaginer le nombrer de personnes qui lisent où écrivent cette nuit, c’est pas nécessaire on peux très bien vibre sans ça et se contenter de lire la boîte de céréale le matin. Je suis presque à l’épilogue je sais pas quel propos vous tenir, c’est toujours mon journal du confinement, j’espère que les gens vont aller se faire vacciner, espérer voilà un mot que j’utilise souvent je suis un faux pessimiste. Je pense à la scène rock québécoise y’a quelques années, je sais pas si c’est parce que j’en écoute plus mais tout ça semble disparus. Lâchez pas, je veux pas vous faire de fausse joie j’ai pas grand-chose à vous révéler, on y est presque… Je pense à deux groupes qui ont fait les beaux jours de la scène rock à Montréal Les parfaits salauds  et les vilains pingouins Les Parfaits Salauds - SOS - YouTube  Vilain Pingouin - Le train (vidéoclip officiel) - YouTube. C’étais le bon temps. Voilà c’est la chute la conclusion, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!

Bernard