jeudi 9 mars 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! On gèle… Je suis pas sortis de la journée, les dames du ménage sont passées, elles sont pas restées longtemps. C’est propre, j’avais nettoyé. Je vous écris en regardant passer les camions et en rêvant de voyage comme toujours… J’aime toujours autant les avions… Ce toujours, c’est comme si j’en avais encore pour l’éternité. Je crois qu’à Cuba c’est quand même pas si mal, La Havane j’irais bien malheureusement je parle pas espagnol… Non! Vaux mieux que je pense pas à partir pour le moment, j’ai des engagements je dois les remplir. Dehors y’a un grand vent fatigant comme dirais la matriarche. Jeudi je crois que c’est la journée de la paye pour les salariés. Souvent quand j’étais payé le jeudi je rentrais pas le vendredi. Je vous dirai pas ce que je faisais vous le savez… J’attendais je ne sais quoi assis au bar… C’est finis tout ça je me rétablis, bien que parfois je m’ennuis. Les ouvriers de Gaz Métropolitain ont fini leur journée, ils ont plus qu’à rentrer la machinerie. J’écoute comment je me sent, y’a des moments vides comme ça où j’arrive pas à traduire mon état… Le groupe de sauvetage technique passe sirène hurlante, l’échelle mobile aussi… Je pense aux musiciens qui font trois sets la nuit, est-ce qu’ils répètent le jour? Y’a longtemps tout près de chez moi y’avait un bar salon, un trou! Heureusement c’est fermé… C’est toujours l’hiver, un hiver sec. J’ai la tête calme pour écrire faudrait qu’elles sois agitée, le docteur Destouches parlait de Sartre comme de « l’agité du ciboulot ». Je prétends pas à ça, cet après-midi j’ai écouté la station de radio rock, ça vieillis bien. Mon lecteur technicien à la Rolls-Royce regarde des vidéos de golf je crois qu’il a hâte d’aller faire un dix-huit trous. Je devrais m’y mettre au golf ça m’aiderait pour ce qui est de marcher. Maintenant j’arrive plus à marcher deux heures, une demi-heure et je fatigue. Je sais pas si ma lectrice puéricultrice et mère de famille de Cantley est toujours là. Je lui fait le message que bientôt je vais poster un autre recueil Spirou à Antoine. Elle peut le lire moi je les lis avant c’est bon pour les grands enfants comme moi. Lentement le ciel se dégage, je crois que c’est des cumulus c’est bon pour les pelleteurs de nuages comme moi. Je sais pas ce que vous pensez de la construction de mes textes, c’est mon journal quotidien que je vous donne à lire, il se passe pas tellement de chose dans le goulag occidental et c’est tant mieux comme ça, à part la voisine qui passe et repasse sur la passerelle… J’ai hâte au printemps pour aller m’asseoir dans le parc et prendre un café avec le très cher ami. Le pire c’est qu’elle avait raison que je serais content après avoir fait le ménage. Je sais qu’ils vont revenir avec les détails. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui c’est encore une histoire de ménage. Je vais essayer quand-même de m’en tenir à mon senti… Je pense à ma regretté sœur, si elle avait vécu ça aurait été une belle personne pour nous aider. J’essais de voir comment je me sens. C’est là nuit, les bars vont bientôt fermer, étrangement ça sent l’ail… Je dors très mal mais cette nuit c’était mieux. Dehors la neige est fondue c’est gris. Aujourd’hui je vais aller à la pharmacie, il manque quinze comprimés dans l’ordonnance. Le matin c’est difficile de vous parler de mon senti… Je suis anxieux j’ai peur de me faire mettre dehors parce que tout n’est pas comme ils veulent chez moi. Je vais les laisser entrer mais je ne parlerai pas. J’ai fait ce que j’ai pu, c’est pas une très belle phrase. Souvenir de Raymond qui s’était fait mettre dehors de son appartement et qui s’est suicider. J’ai sortis pas mal de chose hier, je sais pas de quoi on risque le plus de crever, de la vermine où des gaz d’échappement de la circulation automobile? Parais que la pollution atmosphérique en tue plusieurs dans le goulag occidental. https://www.google.ca/?gws_rd=ssl#q=tout+est+rose+eric+charden&*  une vieille chanson ce matin, c’est ce que j’ai en tête… L’inspection ça me fait piquer une crise, je me dis, je vais pas chez ces bonnes femmes voir si il y a de la vermine pourquoi elles viennent chez moi? Je sais c’est pas comme ça que ça marche mais je peux pas m’empêcher de penser qu’il y a une sorte de contrôle là-dedans. Dehors y’a un grand vent, je fais trempé la vaisselle. Je crois que je vais devoir sacré le camps je ne sais où… J’y arrive pas, j’y arrive pas ce matin de vous parler de moi, de mon narcissisme aigu, de mon égocentrisme latent. En fait j’ai nettoyé et c’est comme ça je peux pas faire plus. Je me répète, c’est une obsession… Le ménage ça toujours été mon point faible même quand je vivais avec une femme, je le faisais pas. Je ramassais ce qui trainait ici et là mais pas plus. Hier, j’ai tout mis dans des bacs que j’ai laissé dans l’entrée et comme toujours j’ai mal ce matin c’est difficile, ce que j’aime pas c’est me faire dire quoi faire… Ce matin je me sens à l’étranger, je ne sais où y’a des jours que c’est comme ça parfois c’est agréable d’autre pas. J’ai retrouvé mes gants d’hiver, je peux pas m’empêcher de pensés au patriarche à qui il manquais trois doigts de la main gauche. Ce matin je crois que je vais pleurer… Tout ce que je veux c’est qu’on m’oublie… Mais maintenant on est sortis de la nuit, les gens vont faire leurs boulot le plus salaud, ils vont s’excuser parce qu’ils ont une job à faire pour moi c’est pas une raison les nazis fonctionnaient comme ça, J’arrête ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 8 mars 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! La radio est sur la station rock de Montréal. C’est la journée internationale des femmes je leur en souhaite une bonne, une libératrice… Je suis très mal placé pour parler d’aliénation l’étant moi-même pas mal. Elles se libéreront sans moi… En attendant j’ai fait un peu de ménage. Souvenir d’avoir pawné une radio et une fois l’argent en poche je me sentais tout puissant, un malade pour vingt-cinq piastres… Ça fait longtemps au moins vingt ans que je suis pas allé à la pawn shop, c’est un endroit peu fréquentable. Maintenant on veut que je me débarrasse de mes boîtes de carton, j’attends à demain je verrai ce qu’ils vont dire… On vient de me téléphoner pour donner une entrevue dans un journal traitant de santé-mentale c’est pour la semaine prochaine. Je suis déjà fatigué. Je crois que je serai pas capable de tenir tous mes engagements. À la radio Kashmir de Led Zeppelin. Je me sent battu mais battu comme si un train m’étais passé dessus… Je pense que le défunt oncle avait raison, je suis pas capable de me torcher. Me souviens de ces moments sans labeur, chômeur, tellement perdus que je passais mes journées au lit, pauvre fou je sais même pas à quoi je voulais en venir. Je pense qu’il y en a qui vont sortir leurs motos. Je suis triste j’ai pas assez travaillé maintenant je suis retiré, retraité. Je vous parlerai pas des sociétés de tempérances comme les Lacordaire. Je les ai pas connus je suis pas assez vieux. Les voitures passent rapidement dans le goulag occidental. J’ai envoyé les cartons au recyclages, ai passé l’aspirateur et j’ai croisé le grand boss je lui ai dit que je voulais pas passer pour « un gros ostie de cochon ». Je fais trop de choses à la fois, me suis un peu ramassé, la vaisselle est dans l’évier. C’est très loin de mon senti ce que je vous écris là, c’est le quotidien plate qu’il faut faire… J’ai souvenir du gars qui chez lui dans toutes les pièces avait un bon trois pieds de détritus. Ils s’en trouvait pour ne pas vouloir qu’il abandonne ça, moi j’ai aidé le propriétaire à barricader, fallait que l’autre se fasse soigner… Paranoïa pour la propreté, bacs de plastique, ziplock, sacs vert, je pense que je vais demander à Ti-Mé de venir ramasser… On peut quasiment appeler ça le ménage du printemps, les peintures dans des sacs vert, les écritures dans des bacs, pourquoi on me demande pas de jeter ça aux vidanges, ça vaut rien, parfois j’aimerais avoir une pièce de débarras…Ils vont passer demain, je dirai pas un mot. J’aime pas qu’on vienne me bousculer chez moi… Je me souviens plus, je crois que je suis allé au supermarché ce matin et après j’ai fait la lessive. J’en ai assez fait pour aujourd’hui j’ai le goût de brailler. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Je vous laisse!!! Ciao!!!
Bernard

mardi 7 mars 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai pas sommeil, la télé est sur le match. Ce soir j’ai mangé mon chili, c’est vivant sur Facebook à cette heure, il est vingt-trois heure. La neige est toute fondue dans le goulag occidental. J’écris plus lentement, il est toujours question de mon senti. J’ai fait la sieste cet après-midi… Ils vont faire l’inspection des logements jeudi, je crois que chez moi c’est très vivable. J’essais de respirer par le nez. Y’avait cette vieille histoire qu’on me racontais « T’a qu’un défaut tu respire ». C’était rien pour augmenter mon estime. Je me souviens j’aimais bien quand la nuit arrivait, j’avais plus besoin de sortir me chercher une job, tout était au ralentis… J’étais bien quand j’étais à l’abri mais à un moment les créanciers harcelaient même les voisins. J’ai jamais su vivre… Y’a comme un parfum de tabac chez moi, je sais pas vraiment c’est peut-être l’after-shave… J’ai survécu mais que suis-je devenus? J’écris, j’écris ça vous dis rien sur mes nuits, mes nuits noires en plein jour, toujours obscurs même à midi de quoi tuer mes envies. Je reste debout, j’ai des souvenirs de roadies à déménager des caisses de matériel sonore, à la fin des shows. Ce matin j’ai eu un appel pour faire un déménagement mais j’en fait plus c’est trop difficile, trop épuisant. Soixante ans voilà mon âge,  un mon’onk, je sais pas si mes snowbirds ont du beau temps, c’est surement pas froid mais peut-être qu’il pleut… Je me vois vieillir c’est épeurant, j’ai plein de petits bobos, il parait qu’à mon âge quand on en a pas c’est qu’on est mort. J’ai commencé jeune à me mettre la tête dans les speakers, les haut-parleurs, ça me surprend de pas être sourd. Oui! Oui! Encore ces nuits à la discothèque la tête dans des boîtes de quatre pieds, on s’entendait même pas parler. Bon! Le match viens de se terminer, les Canadiens ont gagné, ça fait parfois oublier ces désirs de partir. Ce soir je vous en place une de Milan l’hiver sous la pluie, on fait de la romance comme on peut… Je sais plus quoi vous raconter ma grosse tête est vide. Pourtant… Le goulag occidental est lui aussi vide, ça m’inquiète plus d’entendre les voitures ronronner. J’essaye de terminer sur une bonne note… C’est vraiment la nuit et j’ai pas de place pour l’ennuis. J’entends les voitures rouler dans l’eau… Milan c’était au mois de novembre 2012 déjà, j’ai parlé je crois que c’était O.K. Novembre c’est l’automne, c’était quand même exotique d’être là… J’ai pas acheté de parapluie… Ici le printemps s’en viens du moins je l’espère. Vous voyez le bonhomme radote. Je vous aurai raconté ma soirée, parfois je suis éloigné de mon senti, c’est pas que j’essaye pas, parfois cette prose me trahis au moins j’ai pas mentis. Je souhaite encore une fois un bonjour où une bonne nuit à tout le monde. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il pleut je peux pas m’empêcher de pensés au temps qu’il faisait quand je suis allé à Milan. J’aimerais ça partir, tout à coup je suis tout dans ma tête… Je pense au bistro sur la place. J’ai beaucoup dormis, le temps est triste… J’aime avoir de nouveau lecteur. Je marche plus beaucoup, j’avance lentement comme un petit vieux. Ai lavé la vaisselle et passé l’aspirateur… Je suis toujours étonné de voir comment les prestataires se contentent de pas grand- chose… Y’avait ce vieux soldat qui me disait si t’est barré dans les missions tu vaux rien. Je n’y vais plus, me fait à manger chez moi, je suis pas barré mais quand j’allais là je me sentais humilié… Les voyages, je suis pas Tintin, je sais pas si je serais capable de marcher dans une ville étrangère, je crois que oui. Je pense aux avions, je prendrais un vol pour n’importe où, vous n’aimez pas que j’écrive ça? Le voyage ça se vie aussi dans la préparation, y’a l’Espagne y’a l’Italie de beaux pays plein d’histoire. J’essaye de me tenir loin des clichés, me semble que j’irais voir une corrida même si c’est sanguinaire. Le doux temps c’est bon pour les itinérants mais la pluie c’est difficile faut se garder les pieds au sec, ça fait mal de toujours marcher, d’avoir de mauvais souliers. Pour revenir aux voyages je suis un gars de plage quand je suis pas seul quand j’ai quelqu’un avec qui discuté. Quand je suis allé à Cuba j’ai pas niaisé longtemps au bord de la mer, c’est beau mais j’ai marché en regardant l’horizon. J’aime les villes remplies d’histoires, les vieux pays. Souvenir du directeur de l’hôpital Robert Giffard à Québec, je savais pas trop comment lui adresser la parole, par son prénom? Monsieur? Docteur? Je crois que ça lui a pas plus quand je lui ai demandé, il m’a dit appelle moi monseigneur! Ça m’a fait penser au roman Le ciel de Québec du grand écrivain Jacques Ferron, les rapports avec l’autorité religieuse. Sans me diminuer je pouvais pas vraiment y aller d’égal à égal. Je crois que je vous ai déjà raconté tout ça. Je peux pas réinventer ma vie. Écrire vous me direz! On en a déjà vu d’autre, quand même je persévère… Aujourd’hui je suis tranquille chez-moi je peux pas vraiment partir j’ai beaucoup de choses à faire. Dans mon écriture y’a ce rapport avec le pouvoir quand j’écris que je peux où je ne peux pas. Je demande une certaine force mais je crois plus au désir. Dehors les éboueurs passent, le temps est toujours gris… Je pense à mes snowbirds, je pense aussi au Challenger de mon lecteur de Deux-Montagnes, on est pas dans point limite zéro, Vanishing point en anglais. J’entends les corneilles croasser, l’après-midi défile le temps passe trop vite, je ne déprime pas. Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 6 mars 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Voilà c’est encore moi. C’était difficile ce matin à la réunion de mon groupe d’entraide. Je suis un pauvre grave et j’ai toujours l’europe en tête. Je pense au speaker’s corner dans Hyde park à Londres. Je sais pas si ce serais une bonne idée de m’y rendre et de parler de la confédération, mon accent anglais est pas très british mais je crois qu’ils comprendraient, me souviens plus si c’est la constitution que le Québec a pas signé et oui c’est ça… Quand même le speaker’s corner c’est un peu démodé avec tous ces réseaux où on peut dire son mot. Quoi que c’est un bon endroit pour mettre en valeur ses talents d’orateur. J’aimerais ça vous dire comment je me sent. J’ai le mot homosexualité en tête, je sais pas pourquoi, j’ai pas envie d’avoir des relations sexuelles, je vous parle de mon intimité aujourd’hui, je suis pas misogyne mais parfois je suis misanthrope pourtant j’en fait partie du genre humain. Ce que je vous écris ça ressemble à un devoir de philosophie collégiale. Je donne la chance aux autre de vivre je vois pas pourquoi ils me donneraient pas la mienne. Je pense à l’ouest du goulag occidental, j’ai envie de me donner quelques tapes sur la gueule, à l’ouest rien de nouveau tout est tranquille on y affute son anglais, les vendeuses vous servent encore dans la langue de Shakespeare, y’a beaucoup de gens des maritimes échoué là… On auras compris qu’on ne pense plus au chèque ni au dépôt, on va aller souper à la soupe populaire pour après essayer de se trouver une piaule pour dormir. C’est rough de coucher sur un plancher de bois franc mais c’est au chaud et mieux que dehors sur le ciment... Je pense au petit boss qui met à la porte un employé qui lui n’a plus d’endroit pour coucher, fallait produire, l’exploitation de l’homme par l’homme, je sais c’est idiot ce que je vous écris là, j’ai plus envie de me battre, juste de fermer les stores et de prier… Darwin je l’oublie, le laisse avec ses camarades anglophones, j’aime pas les êtres humains parce que je trouve qu’ils valent plus que ça. Je sais les poètes on les assassine, les empoisonne puisqu’ils ne veulent pas payer leur due. Mauvais texte que tout ça on en trouve justement pas de poésie et oui j’y retournerai à London city. N’importe qui peux écrire, mais y’a juste Bernard qui peut écrire comme ça, seize heure quarante cinqs, on rentre chez soi… Encore des passants sur la passerelle. J’ai souper et les jours se sont allongés. Dans le parc la neige est presque toute fondue et moi j’arrive pas à vous dire mon senti, c’est quand même pas si mal d’avoir la tête vide, un semblant de sérénité zen, je me fait l’effet d’être un légume. J’arrive pas à être positif. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Trois heures, je suis debout. J’ai eu un sommeil agité… Plus tard ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide. Je suis réveillé, comme toujours j’aime voir apparaitre les mots dans l’écran, le paragraphe prendre forme. Je fais de l’eczéma c’est fatigant. Je crois que c’est une autre de ces maladies nerveuses… J’entends Hank Williams dans « I saw the light » https://www.google.ca/?gws_rd=ssl#q=i+saw+the+light+hank+williams&* ça affaire avec la foi, l’amérique profonde. Je prends mon temps pour vous écrire ce matin. Je suis bien réveillé. Je veux pas écrire de cliché, je suis un peu gêné de ces textes pornographiques que j’ai envoyé pour le cabaret poétique, j’ai rien inventé c’était comme ça c’est ce qu’il me disait. Un bref souvenir du Lola’s Paradise de son comptoir avec des miniatures, j’étais toujours étonné qu’on me laisse entré là. http://www.tagtele.com/videos/voir/133821/ Je laisse zazou vous souhaiter la bienvenue à trois minutes seize dans cet épisode de fusée XL 5. Lentement le goulag occidental se réveille, ai beaucoup aimé cette émission de Découvertes http://ici.tou.tv/decouverte  les avions ma passion comment vous dire que je croyais pas que je volerais autant dans ma vie. J’ai hâte de repartir mais je sais pas vers quelle destination ça me dérange pas d’attendre un an encore… Ce soir à la télé un épisode de Ultimate airport Dubaï, je raterai pas ça… Je vais essayer de revenir sur mon senti, la nuit comme ça quand je vous écris je m’ennuis pas, hier je pleurais je sais pas trop pourquoi, la solitude peut-être? Mais je sais où aller si je veux voir du monde, j’en profite pour dire bonjour à ma lectrice de Deux-Montagnes j’espère que tout va bien. Bon! Je sors de la douche, me suis rasé et y’a ce parfum d’after-shave, c’est bien… Les avions, j’ai été trop malade, trop fou pour pensés travailler ailleurs qu’à la shop sur les pièces d’avions… Je me souviens du patriarche qui le matin pendant un bout de temps se rasait au rasoir électrique, ça réveillait toute la maisonnée mais je crois pas que c’est pour ça qu’il a arrêté, les rasoirs jetables rasaient mieux… Souvenir du matin, j’en ai pas, partir pour le boulot tôt le matin y’a longtemps que j’ai fait ça… Ce matin c’est la réunion du groupe d’entraide, je trouve que ça commence bien la semaine… Y’a mon lecteur de Terrebonne qui lui travaille vraiment sur les moteurs d’avions à la Rolls-Royce… Je préfère faire autre chose et voir les avions comme tout le monde en touriste… Un bonjour au snowbirds en Floride, j’espère qu’ils se plaisent dans leurs nouveau camping. J’aime beaucoup quand à la télévision ils montrent des endroits où je suis passé, où quand je lis et je vois la vrai image… Lentement j’arrive à la fin, malheureusement je pars pas ce matin. Je verrai bien quand l’occasion va se présenter. Mais oui! Je termine ici pour comme toujours vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Je souhaite que vous serez là à la prochaine!!!
Bernard