Bonsoir ! Bonjour! Finalement ça se calme, la neige est
toute fondue, janvier commence. C’est assez affolant la vitesse avec laquelle
le temps passe. Le mur est là on accélère pour foncer dedans… Mes jours de l’an
sont pas ceux de la télévision de Radio-Canada. J’ai aussi des « snowbirds »
en voyage au Mexique, je commence déjà a désiré partir pas mal certain que ce
seras encore Paris la ville lumière. Ce soir j’ai pas de douleur intérieure qui
tranche avec la pensée poétique, poésie, poésie pourquoi n’est tu pas là. J’essaye
d’être lyrique en pensant à l’œuvre prenante de grandes poétesses, l’amour a
toujours tort quand je ne vois qu’elles, a trop vouloir nommer on ne dis rien.
J’ai perdus mes habitudes de prestataire… La caissière me donnait du petit
monsieur, la travailleuse sociale aussi pourquoi pas monsieur tout simplement.
Je crois que ça a voir avec mon revenu, les mauvaises valeurs de ces dames… J’aimerais
bien être à l’aurore de mon « œuvre » c’est plutôt le crépuscule. Les
mots se couchent et s’étendent comme des arbres aux branches verglacées, elles
atteignent leurs points de tensions avant de briser de fracturer et ça brille
ça brille de glace maudite pendant que j’essais d’être poétique. Écrire un cri
qui dis l’amertume d’une mauvaise boisson d’un mauvais drink, l’ivresse et le
délire compagnon… Je trouve pas, je trouve plus l’essence du mal. Je cherche
une phrase fluide et perverse qui bouleverseras ma bien pensance, avec un écho
faible et chaud traversant les entrailles du poème qui meurt avec le poète,
exhalaison pourquoi ? C’est ridicule de désir nocturne d’espoir de grandeur a l’humilité
abandonnée… Je pense à Cantat au drame a comment son œuvre vieillis bien malgré
tout… À la nouvelle année j’écoute toujours la musique de mon adolescence. On
voudrais être poète on est qu’un tas de gras avec un mystère qui s’appelle la
vie, un poème mort-né avorté et on écris sans douleur… Ce seras ça pour cette
nuit, les nouveaux voisins sont turbulent, le sommeil arrive… La semaine
avance, je sais pas comment vous écrire une chute qui a du bon sens, quelques
mots encore et j’y arrive pourtant parfois à la fin comme au début c’est plutôt
ne rien dire… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au
revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye!!! Ciao !!!
Arrivederci!!!
03/01/2023
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire