Bonjour!
Bonsoir! Le chat du voisin est seul, il miaule, je l’entends… C’est l’après-midi
je sais pas trop ce que je dis. Y’a un grand poète qui est partis. Je crois que
je retourne en enfance je viens de terminer la lecture d’une bande dessinée
certains historiens de l’art font démarré la B.D. par la tapisserie de Bayeux c’est
sérieux, une broderie longue de soixante dix mètres… Ce que je dirais du poète,
montréalais, oui, mais on l’a jamais entendu dire un mot en français https://www.youtube.com/watch?v=ttEMYvpoR-k C’est plutôt un poète anglophone du plateau
qui si vous le fréquentez est maintenant très anglophone bcbg. Cohen il a
jamais tenus pour moi une grande place dans la musique où la poésie. Je suis
pas de cette culture là, si je suis cultivé. Il avait la langue de la majorité
nord-américaine moi j’admirais les poètes québécois francophones, Desbiens,
Daoust,Miron, Godin,Vanier, Malenfant, Langevin, Hivon… et beaucoup d’autre qui
tentent de laisser une marque francophone dans ce monde d’amérique anglophone.
J’oublie pas les paroliers les auteurs de chansons qui font ce que nous sommes.
Je laisse ça là pour revenir à mon senti de l’époque où j’étais « en amour »
quand la copine m’a laissé, j’ai pas lu la lettre qu’elle m’avais écris, je
voulais m’étendre au milieu de la rue Saint-Denis pour une méprise… C’est loin
tout ça plus de trente ans je crois, ça pas de bon sens, le senti c’est celui d’aujourd’hui
moins malingre. Je suis vide je cherche pour trouver le mot juste, c’est les
limbes émotionnelles entre l’enfer et le ciel, ça fait pas mal c’est juste
plate. Cohen tout le monde croyait être son voisin alors qu’il vivait en
Californie pas sur la rue Saint-Laurent. Dans la poésie pour moi y’a que
Francoeur qui a réussis à marier l’américanité, le joual, et la québécitude, le
rock… Parfois les gens mélangent le vaudeville et la poésie, Mado c’est pas une
poétesse, dehors y’a quelqu’un qui gueule je ne sais pourquoi? C’est grand vent
ce soir, les arbres du goulag occidental sont secoués et les feuilles tombent.
Tout ce qui étais vert est partis, reste que les sapins et les pins, les cèdres
aussi. J’ai l’impression d’être un enfant qui écris une composition pour son
cour de français. Voilà où j’en suis avec mon écriture. J’aurais besoin de
quelques mots savants où quelques néologismes, ça serais plus obscurs mais
souvent les gens nomment ça poésie quand c’est moins clair et plus complexe. J’écris
rien qui brasse, rien qui me brasse, les femmes disait c’est que des mots.
Pourtant j’aimerais bien pouvoir vous toucher parfois j’ai l’impression qu’il y
a juste ma lectrice secrétaire syndicale à la retraite qui me lis. Le ouikend
qui s’en viens, je sais ça s’écris pas comme ça pour bien faire j’écrirais la
fin de semaine… Je vais essayer de marcher quoi que j’ai toujours un peu peur.
Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire