jeudi 4 février 2021

Rhumatisme


 

Bonjour ! Bonsoir ! Ce midi je suis allé au supermarché, j’ai retrouvé mon pas. J’ai acheté L’Obs juste pour me faire plaisir … Je trouve plus le temps entre écouter une émission de radio lire et écrire… Je peut quand même me rattraper sur internet. Il fait un temps superbe j’ai bien fait de sortir … Ce soir y’a un match hier j’ai enregistré une émission de radio sur ce qu’est vivre le confinement avec une maladie mentale. Je me gâte je mange du fromage en grains … L’ami sclérosé voulait que je le rappelle ce que j’ai fait, il ne m’a pas parlé … C’est difficile ce qu’il vie , y’a longtemps que j’avais acheté une revue un magazine. Souvenir d’un polar et d’un magazine que j’avais trouvé à lire dans un appartement où j’aménageais c’était dans Villeray, ça fait plus de trente ans… Je comprend pas le rapport qu’a la matriarche avec les cheveux, la coiffure elle parle de se faire trimer la caboche c’est pas très doux. Je tourne les pages de la revue, ça m’inspire pas beaucoup. Je lis un roman intéressant. À tourner les pages j’ai les doigts tachés. Je rêve toujours d’aller encore passés un moment en France, c’est pas de si tôt !!! Hier y’avait un village inondé par la Garonne. Je viens d’écraser un moustique c’est insignifiant, l’interprète du Dalai Lama m’a rassuré on peux pas arrêter tout ce fracas dans la tête, méditer toujours méditer les réponses viendront au bon moment. Je reviens à l’intitulé de ce texte j’ai un genoux douloureux c’est surement des rhumatismes de toute façon ça prend des années avant de se faire opérer… Les enfants s’amusent sur le tas de neige, jeudi déjà presque terminé la première semaine de février … Le magazine que j’ai acheté je sais pas si j’ai empêché un habitué de l’acquérir, on peut certainement le trouver ailleurs que dans ce comptoir postal … On m’a envoyé un lien pour revoir la conférence de la conférencière et athlète olympique médaillé Sylvie Fréchette je crois pas en avoir besoin… Je sais pas si je vous l’ai déjà écris mais j’aime bien parler de mon rétablissement devant un auditoire. Je regarde les enfants jouer, je me souviens avec plaisir de cette réplique dans le film La guerre des tuques « La guerre! La guerre! C’est pas une raison pour se faire mal. » Délicieux! En ce moment j’écoute en rattrapage l’émission littéraire, ils vont parler du grand Jacques Ferron, dans L’OBS y’a une photo rare de Tom Wolfe un grand écrivain américain associé au nouveau journalisme. Bientôt je vais préparer mon souper, peut être lire un peu en mangeant et après regarder le match. La radio joue, je vous laisse en sachant pas vraiment comment terminer … C’est la conclusion, l’épilogue d’un court texte. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Abandonnez pas je vous laisse avec les souhaits d’usage. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

mercredi 3 février 2021

Logorrhée

 

Bonjour !  Bonsoir ! C’est le début de l’après-midi. J’ai intitulé ça logorrhée mais c’est pas de ça qu’il s’agit. J’aime écrire c’est dans cette façon que je préfère « créer ». Ce matin j’ai assisté à une télé-conférence de Sylvie Fréchette dans le cadre de la semaine de prévention du suicide, c’est vrai qu’il faut trouver son bonheur  dans les choses simples surtout dans ce temps de pandémie. La marche la lecture l’écriture sont des activités qui me rendent heureux quand ça va moins bien j’en parle aux amis on finis toujours par en rire … Écrire ça toujours été mon rêve, j’aimerais bien écrire la biographie d’un joueur de hockey du Canadiens de Montréal qui ont gagné le match hier, le commentateur parlait de l’équipe de Scotty Bowman dans le temps, c’est vrai que si ils continuent comme ça ça y ressemble… Je crois vous avoir déjà raconté que le patriarche nous amenait les voir jouer au Forum rue Atwater, un petit gars chanceux voilà ce que j’étais. Je partais toujours avec le programme que je collectionnais… J’aimais bien crier et applaudir quand ils comptaient. Je vous écris ça et je suis ému j’ai repris goût a regarder les matchs. La sainte flanelle voilà l’institution montréalaise qui a survécu à toutes les époques, le hockey a toujours fait partis de ma vie même si j’ai jamais jouer, j’allais aussi voir les copains du club midget le dimanche, il y avait de bons joueurs qui rêvaient d’une équipe junior … Je crois qu’il y en a eux un où deux qui sont allés jouer au États-Unis dans le cadre d’une nouvelle ligue qui est devenue une expansion de la ligue nationale. Quand j’étais dans la vingtaine j’ai essayé de jouer mais j’avais pas de souffle et je comprenais pas le jeu de passe … Parfois je passait des dimanches à l’aréna à regarder les ligues de garage … Y’a rien de trop trop émotif là-dedans. Je vous le mentionne encore c’est toujours mon journal du confinement malheureusement je m’appelle pas Réjean Tremblay notre grand scribe sportif, un bleuet je crois … Je prend la direction de mon senti, de mes émotions que j’écoute bourdonner … Ce soir ce seras le couvre-feux c’est quand même moins douloureux que la maladie mentale, l’immense sentiment de solitude que je vous décris à répétition … La logorrhée est une diarrhée verbale qui peut être associé à la schizophrénie, ça me fait douter de mon écriture mais j’écris plus que je parle … Je pense à mon lecteur technicien à la Rolls-Royce qui a vraiment jouer au hockey. Je m’éloigne de l’émotion c’est pas facile de se creuser l’âme pour en tirer une pépite d’amour, de bon … Je pense aux enfants qui peuvent pas jouer au hockey dans des ligues organisées à cause de la pandémie, c’est triste … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Voilà lâchez pas c’est finis à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


mardi 2 février 2021

Coups

 

Bonjour ! Bonsoir ! Aujourd’hui il neige tout un coup, ça tombe et je trouve ça beau heureusement j’ai pas à pelleter. Je vous écris dans l’après-midi, le premier ministre provincial dois annoncer un assouplissement aux mesure de confinements… Ils ont installé un abri chauffé pour les itinérant au square Cabot coin Sainte-Catherine et Atwater … La neige ça rend mélancolique on pense aux vers du poète… La poésie et la neige c’est rare y’á surement des poètes d’Europe du  nord intéressant sans parler d’une poésie cruelle du goulag… Je pense à mes snowbirds qui ont pas connus la neige depuis longtemps. Ce matin j’ai trouvé une vis à œillet sur le plancher et du beurre transformé en camembert dans l’assiette à beurre comme si quelqu’un était entré chez moi pourtant ça fait des jours que je suis pas sortis … J’ai téléphoné à l’agente de planification de programmation et de recherche pour lui parler d’argent, elle a pas retourné mes appels… Ce temps là est idéal pour la raquette, ai mangé un sandwich au jambon beurre, je vous citerai pas Émile qui a bien survécu au passage du temps. Je me triture le ventre pour trouver à dire sur la vie dans une ville du nord… L’équipe locale de hockey a gagné son match, j’ai entendu mon nom à la télé avant j’avais téléphoné à mon service internet quand j’ai terminé l’appel j’ai entendus le gars dire merci Allah. Des hallucinations tout ça mais j’étais confortable … Il neige, il vente, les arpèges et les rentes, le beige et la pente… C’est pas bon faut en finir avec la rime mettre de vrais mots sur ce sentis intérieur, sur la douleur… Y’a tant de mots dans le dictionnaire c’est triste d’être incapable d’utiliser ceux-ci,,, C’est tout blanc, parfois je suis fatigué d’être fou, la douleur que ça cause, c’est comme si j’étais envahis … Je pense au mot délestage nouveau pour certains, qui veux dire lâcher du lest sois par les montgolfières sois par les sous-marins, on vole où on monte, l’idée est là. Quand je vous écris je lâche du lest, j’essais de m’élever en oubliant pas l’humilité … J’ai ouvert la fenêtre, ils parlent des livraisons de restaurants c’est cher, doucement la nuit arrive … La radio à l’heure de pointe c’est nerveux pour pas dire énervé.. Allez! On donne un coup et on termine, j’aimerais échanger avec les poètes dans les refuges … Ce soir y’a un match … Je sais pas à quoi ça sert cette folie d’information, comment c’était au début du siècle ? Moi j’en rajoute … Aujourd’hui si tu sais pas parler t’est un loser sans mentionner l’écriture … La matriarche ce matin m’a mentionné que dans mon enfance j’avais eu la polio, je me souviens pas ma folie elle viens peut-être de là. Voilà! Je termine à ma façon habituelle comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Le premier ministre nous remercie, à la prochaine je l’espère !!!

Bernard

 


lundi 1 février 2021

Tuque

 

Bonjour ! Bonsoir ! J’ai reçu la tuque le masque et les pins on cause pour la cause, je remercie ma lectrice. Dans mon courriel d’achat de parfum y’avait un questionnaire de satisfaction pour le service j’espère que j’aurai pas de trouble. Plus tôt y’avait un courriel d’extorsion pour des habitudes intimes, y’a longtemps que j’ai cessé tout ça il semble pas imaginer comment c’est douloureux… Aujourd’hui c’est le soleil avant la neige demain … Juste de vous écrire ça j’ai mal. Aujourd’hui je vous place une photo du grand intellectuel que j’étais déjà dans la lecture. C’est une casquette pas une tuque, je me souviens y’avait une voix qui me disait t’a tu ta tuque pour me demander si j’étais psychotique … Trompez vous pas j’étais adulte, J’avais le crâne engourdis et je savais pas comment l’exprimer. C’est le premier du mois le jour des prestataires pour la survie urbaine … À la télé ils parlaient des vingt-huit jours sans alcool, je me souviens le premier je me payais une bouteille de vin ça me calmait maintenant j’ai plus besoin de ça même si je dors mal … La sobriété on y prend goût, c’est bien. Comme souvent mon texte tourne autour des déshérités, j’en aperçois quelques un avec leurs valises qui s’en vont au refuge dehors c’est pas tenable et les chambres coutent trop cher. Je sais pas pourquoi j’ai des sanglots c’est pas la solitude j’ai toujours quelqu’un à qui parler. J’entends un avion, ça me manque les départs, une fois que la pandémie seras terminé je m’en payerai tout un … Dans les escaliers ça sent la mouffette mais c’est plutôt l’odeur du cannabis qui brûle, je me souviens trop bien ça me rendais psychotique … Je vous embarquerai pas dans ce qui est normal où pas, la norme ça jamais été mon affaire. Le bonhomme écris toujours son journal du confinement.  La Renault 5 est de retour ! | La Presse   Voilà une voiture qu’apprécierais ma lectrice de Deux-Montagnes , je sais pas ce que mon lecteur en pense ? J’écoute ce que mon cœur me dis souvent ce serais des mots pour les amis d’ avant, pendant et après … Une fois dans l’au-delà je ne pourrai plus vous écrire pas même vous parler parfois je parle aux regrettés. J’aurai fait ça lire et écrire en fait c’est ce que je préfère … Dans le parc y’a un jeune homme qui s’amuse avec un ballon, c’est vrai que ça prend pas grand-chose pour jouer. Abandonnez pas tout de suite je vais trouver encore quelques mots pour vous distraire. Ce soir y’a du hockey on se demande si l’équipe locale va vivre nos espérances. Mes cycles d’écritures sont désorganisés, j’y arrive lentement comme on marche sur la pointe des pieds. Pourtant dans ma tête c’est pas un ballet, on remercie la matriarche pour la photo. Comme toujours encore des remerciements pour avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


dimanche 31 janvier 2021

Pauvre


 

Bonsoir ! Bonjour ! Me voilà encore, aujourd’hui je suis dans le parfum j’aime ça … C’est vraiment froid, j’ai passé l’après midi à dormir, je suis bien reposé.  J’ai soupé de brocoli, carottes, pommes de terre, chou-fleur er d’un steak français. La table ça fait pas de la grande littérature. Je vais essayer d’y aller avec l’émotion, c’est toujours mon journal du confinement … Je crois qu’un bon écrivain dois éprouver beaucoup de solitude, seul face au monde a tenter l’expression de la douleur. Mais oui, je suis quand même heureux ce qui n’est pas la même chose que d’être comique, l’humour j’y arrive pas. Je me suis arrêté pour dévorer un millefeuilles, je ce je me fatigue, la première personne du singulier, la donné à un autre, ce qu’il faisait cet autre sans arriver à l’imaginer … le journal c’est toujours facile vous me direz ce que vous pensez de votre narcisse … Une pensée pour l’immense miroir du petit bar maintenant fermé comme tout les autres, toi tu me lis sans enthousiasme préfère te consacrer à ton œuvre, les bons romanciers travaillent ils ont pas de temps à consacrer à la socialisation, ils partagent un monde qu’ils ont créer… La tristesse serait peut-être un personnage qui envahis toute la page, les larmes aussi … Écrire pour vous nommer mon senti, sinon mon ressentis, mais oui c’est à toi que j’écris sans rancune essayant d’être honnête et d’avoir la satisfaction du devoir accomplis. Tu viens de t’asseoir devant ton écran, tu essais de trouver à quoi ça rime, vous êtes tous là pourquoi ? Échappé à la niaiserie voilà ce qu’il faut faire pourtant ! Le personnage qui vous écris est en prise avec le désir, il veux sans savoir quoi et pourquoi. Vous allez me dire de changer de ton bein voyons … Tu me tourne le dos comme à l’époque sur la plage , on ne peut plus y aller … Souvenir de la plage Pimbina au Mont-Tremblant avec cette impression devant ces femmes seules d’être ton gigolo, rien de flatteur dans cet oublie pas même amoureux. Vous voilà à l’aéroport attendant d’être en quarantaine, les dollars, les dollars avant de rentrer chez soi … Tu lis ça et tu te demande la direction… C’est une espèce d’exercice  vous voyez ? Nous étions quand même assez bien, mon affect était pas trop perturbé c’était quand même pas la passion. Ils lisent ça sans me connaitre, se font une idée et vont peut-être passés à autre chose. Ma littérature les emballent pas elle est absente à eux … Le sommeil m’a quitté ce seras difficile de dormir cette nuit. Y’a pas autre chose que les mots, le parfum encore aussi… Narcisse dors, il rêve, le voisin parle à son chat… Comment terminer encore ce soir, quelques mots pour vous remercier d’une façon pas très originale en tout cas vous vous êtes rendu là merci !!! À la prochaine espéré !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard

samedi 30 janvier 2021

Sac en papier

 

Bonjour ! Bonsoir ! Ce midi votre humble serviteur est allé au marché, ça fait beaucoup de lavage de main … Lentement je prend un rythme plus rapide pour la marche. Je me régale des images d’aéroports et d’avions au téléjournal, y’auras pas de vol avant mai et encore … Vous le savez je préférerais écrire de la poésie plutôt que ces pauvres textes. J’écoute mon cœur j’attends qu’il me place sur une piste sentimentale sinon amoureuse. Les amours dans Montréal froid l’hiver j’en ai pas, j’aimerais avoir une écriture brute presque enfantine c’est difficile. J’essais de composer sur une tonalité de bébé … La vie a pas permis que je reste enfantin quand même je deviendrai pas grave. J’écris plus la nuit j’essaye de dormir et j’y arrive pas, je passe du lit au sofa en écoutant la radio. Quelque chose de fort voilà ce que je veux écrire mais ma vie est pas inspirante. Je pourrais très bien essayer de vous pondre une de ces mauvaises poésies dont j’ai le secret mais ça aussi s’annonce pas … Ce matin au coin de la rue en reprenant mon souffle une dame m’a demandé si ça allais, c’est rare quelqu’un qui s’occupe des autres. Je pourrai plus aller loin avant longtemps, c’est la pandémie, la covid-19 est partout et y’a personne qui me rend visite de toute façon c’est permis que pour une personne … J’aimerais bien vous raconter mes délires sur la rue Saint-André, je sortais du métro et je marchais jusqu’au bar j’y passais la nuit en attendant toujours une connaissance qui ne venais pas … C’est de l’histoire ancienne les endroits où je buvais n’existent plus covid-19 aidant et en prenant de l’âge on veux plus aller se briser sur les écueils de l’alcool … J’aimerais beaucoup tourner autour d’autre chose que l’alcool mais ça a pris la place que prennent les femmes pour d’autre. Je suis tellement bête j’ai beaucoup lu mais j’arrive pas à citer un auteur en particulier y’a ce titre d’un roman de Norman Mailer « Les vrais durs ne dansent pas » à partir de ça j’en suis pas un vrai j’aimais bien danser la salsa avec de jolies demoiselles dans les bars latino. Le ciel se dégage y’a du soleil … Je sais pas pourquoi j’aimais le Barfly de Bukowsky, un écrivain pour les jeunes bourgeois décadents selon moi, je préfère beaucoup Jean Genet … Quand même c’est toujours étonnant de lire si souvent par des auteurs différents un monde tout croche… Je sais pas pourquoi je regarde le bulletin de nouvelles Suisse du samedi et ensuite Littoral le magazine des gens de la mer, c’est très intéressant… Avec la pandémie le discours est à l’argent à l’économie … Ces émission européenne c’est le voyage que je peux  pas faire… C’est l’épilogue, la chute, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore pour vous remercier. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao !!!

Ber

vendredi 29 janvier 2021

Solaire


 

Bonjour ! Bonsoir ! Je pense à l’ami historien de l’art, je crois qu’il aime bien me lire la nuit où le soir … J’ai changé mon horaire maintenant je suis de jour. Les cols bleus sont passé dans le parc avec des tracteurs et on fait un monticule de neige, hier les enfants se sont bien amusé à glisser. Moi je peux pas faire autrement que de pensés à cette neige que je me mettais dans le nez … Aujourd’hui j’ai laissé tomber la répétition et l’écriture des monologues je me sent coupable, je me suis rebranché on m’a dis de pas m’en faire … Aujourd’hui c’est vraiment solaire le ciel est tout bleu … Je reste à l’intérieur c’est mon confinement, je partirai pas en voyage de si tôt. Le gouvernement a annulé les vols vers les Caraïbes et vers le sud … Je sais pas comment on va sortir de cette pandémie ça va prendre des années. J’ai déjà été plus franc que ça dans mon écriture, plus franc et plus brut a essayer de dire directement ce qui me passe dans la tête, sans filtre … Je pense aux enfants de la super-maman qui doivent avoir beaucoup de plaisir dehors, ils sont à la campagne … Je m’arrête le voisin parle à son chat. Hier quand le match de hockey a débuté je me suis mis à pleurer ces gars là savent qu’ils jouent pour nous distraire et on a gagné. Je pense à mes lecteurs lectrices les plus proches mon couple de Deux-Montagnes, mes Snowbirds de Gatineau, clesaul de Mascouche et mon lecteur technicien à la Rolls Royce. Je m’ennuis j’ai hâte de vous voir en vrai semble que ça vas être long … Parfois je regarde les publicités gouvernementales pour les formations de métier, je réalise pas que j’ai soixante quatre ans et qu’il est un peu tard enfin trop tard … Effectivement j’en ai plus derrière moi que devant l’avenir c’est pour les enfants. Cette semaine je calculais l’âge de la matriarche quand j’ai « quitté » la maison paternelle, il étais temps que je packe mes petits … Je me souviens plus si je vous ai écris à propos de mon achat d’eau de toilette, une aubaine et ça sent mauditement bon … C’est vendredi je vieillis, je pense au bonhomme qui mettais du fort dans son thermos pour travailler c’est y’a longtemps, y’en a un autre qui me parlais des Lacordaire https://www.facebook.com/watch/?v=202718734503975  Voilà c’est pour l’ami comédien … Lentement le soleil se couche c’est très beau, il fait trop froid y’a pas d’oiseaux. Demain samedi quand on est à la retraite ça change pas grand-chose. Le temps passe et je vous laisse avec mes écritures, quelques mots encore avant la chute. J’aurais du m’y mettre avant mais j’attendais la machine, j’écris dans le vide cybernétique, j’essaye de changer ma finale en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!

Bernard