vendredi 1 février 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai mangé du gâteau pour fêter l’anniversaire d’un voisin sourd et muet… Je suis allé faire les courses, il fait froid… J’ai payé deux fois ma facture de communication j’ai demandé qu’on m’en rembourse une. Dehors la lumière est encore superbe, j’ai une oreille de bouchée c’est désagréable… Parfois la compagnie de communication donne pas un bon service, c’est bête ici il est pas question de mon senti… Je vous écris la bouche remplie de sucré… Nous voilà en février quelques mois encore avant les vacances… Discuté avec un voisin tough qui fait de l’entretien ménager depuis des années… Je pense déjà à mon horaire de départ en avion en cherchant à vous décrire ma sensation, mon sentiment du moment… Pas besoin d’être triste j’ai tout ce qu’il me faut. Les petits soucis du quotidien qui n’en a pas? Les miens parfois prennent une proportion maladive, les appareils ménagers qui se déplacent, la paperasse que je ne trouve plus… L’angoisse se jette sur moi comme si j’étais sa proie, elle est une sorte de fauve, l’animal dressé des agents qui me persécutent dans leurs complots… Mais j’arrive pas à le rencontrer cet animal, il me blesse toujours quand je suis de retour chez moi… Faut pas que je m’empêche de voyager, c’est l’apanage de la solitude, d’être seul… Je ne cherche plus de compagne. Mais oui! J’ai hâte d’être-à-bord de l’avion, j’espère qu’il y auras pas de contretemps… Le soleil est magnifique, j’ai acheté des pastilles en espérant me décongestionner, la nuit passée j’avais la bouche sèche à en faire de l’insomnie… Ce week-end c’est le SuperBowl voilà un texte que ça m’a inspiré y’a longtemps http://editions-hache.com/saulnier/saulnier20.html . Je suis étonné d’écrire encore après tout ce temps… L’ami sclérosé pourras pas malheureusement venir le regarder ce dimanche. Je pense aux snowbirds en Nouvelle-Orléans je crois qu’ils ont du beau temps. Je crois que le « métier » d’écrivain tel que je le pratique c’est nouveau, ça va être long avant que le blogue ais de la crédibilité, moi je veux « créer »… Je suis triste, le concurrent immédiat de mon fournisseur de service viens de me téléphoner, ce que je lui ai pas dit c’est que j’ai pas envie de me promener d’une compagnie à l’autre et de reconfigurer tout ça… C’est vrai que je suis de la vieille école et que je fais beaucoup plus d’uploading que de downloading enfin je raye rien je prends le temps d’y penser. Ne serait-ce que pour la facturation jusqu’à aujourd’hui tout serait o.k. Je crois que je vais terminer là-dessus, quelques mots encore, pas de bêtises ils sont beaucoup plus fort que moi. J’essais juste d’être original… J’accroche pas vraiment quand ils jouent la carte du sentiment, du vieux client perdus. J’ai peur en ce moment, je veux pas trop en dire. Vraiment j’ai finis pour cet après-midi. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Voilà! Ce n’est que ça. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

jeudi 31 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Minuit trente, je cherche ce que je veux vous raconter. Aujourd’hui ça va être le rush de la petite économie du bas de la ville, les gens ont faim, d’autre vont dégrisé remplis de remord parce qu’encore une fois ils ont succombé à la tentation, c’est un bon jeudi pour les taverniers. J’entends un avion qui passe, première journées de février, bientôt on va commencer les répétitions au Théâtre de Nouveau Monde, j’ai hâte. J’entends de la musique de big band style Glen Miller. Je vais y aller pour de la « poésie »
Au cœur en trace
L’aimée se mouille
La soupe elle touille
Matin mal marin
Sur l’espéré bateau
Pris dans la glace
Embâcler dans les mots
D’un monde gelé inconnus
Voilà! Je me suis couché tôt et j’ai bien dormis, cette nuit comme toujours je vous écris à partir de mon senti. Je dis merci à mes lecteurs lectrices de prendre le temps. Je sais pas pourquoi on s’attache à la poésie du poète saoul, comment souvent quand j’allais dans les lectures publiques, j’avais toujours en tête le temps d’attention qui est d’à peine dix minutes…
En ces lieux remplis d’esquire
Qui se renvoient la balle
D’une fausse noblesse
Par respect
Pour le scotch
De sa majesté
 Dire! Et toujours dire celui qui panse sa blessure enfantine, blessure qui lui fait… Mais il pardonne en essayant les mots muets incompréhensible qui comme toujours expriment la saudite douleur. Je pense à la visite à San Francisco à l’ancienne prison d’Alcatraz… Y’a toujours la peur de toucher parce que j’ai dit, de me faire rejeter. Me suis préparé un café, ce matin j’irai au super marché…
Un gros beigne, being..
Puisqu’il faut vivre
Dans l’inutile
Le mot sans joie
Qu’on attends pas
Et qu’on espère
Plutôt rire
J’attends après mon senti, les mots en laisse comme le mauvais poète que je suis… J’ai lu tes anciens messages c’est touchant, le temps passe trop vite on a pas le temps de faire la moitié de ce qu’on dis… On a essayé un petit chantage à l’extorsion avec les courriels, j’ai rien à cacher et j’utilise pas la caméra, voilà! Je sais c’est un peu pervers ma relation à l’écriture mais rien pour faire mal à une mouche. J’aime beaucoup écrire dans le silence de la nuit. Bientôt j’aurai tué tout mon temps, hier j’ai remarqué que j’avais moins de difficulté à marcher, ça fluctue ce handicap… L’ami s’est offert pour venir me reconduire à l’aéroport, je sais pas si je vous l’ai déjà dit mais je préfère de beaucoup attendre à l’aéroport qu’à l’hôpital, y’a moins de malades, c’est beaucoup moins urgent. J’ai changé mes lieux d’attentes c’est étrange ça va mieux, deux mois encore et je pars… Je pense au coût d’une hospitalisation versus un départ en voyage… Étrange j’ai un sentiment de voyage européen. Voilà! Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours j’aimerais vous revoir à la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent







Bonjour! Bonsoir! Il fait vraiment froid cet après-midi, je suis allé chez la coiffeuse ça m’a fait du bien… Y’a quand même une belle lumière dehors… J’ai parlé un peu de San Francisco avec la coiffeuse, de l’époque des hippies, c’est un bon salon elle est gentille. J’ai parlé de me faire teindre les cheveux ça semble pas facile, je vais passer mon tour. Lentement je décongestionne, j’ai regardé l’heure des départs pour Alcatraz, je vais noter dans mon cahier, ouais! On gèle, les snowbirds, j’avais oublié comment je les appelais, sont surement bien à la Nouvelle-Orléans. La chanson dis la Nouvelle-Orléans coule et je veux pas nager… Je sais pas pourquoi je pense aux carrossiers de voitures, l’odeur de primer de peinture et l’intoxication… Quand j’ai rien à dire je parle de ça, pourtant littérairement ça vaut pas une token… J’ai plus de thématique, ceux qui savent écrire se branchent sur leurs émotions j’en parle beaucoup mais j’y arrive pas… C’est difficile j’écoute la voix, celle qui est pas schizophrénique, cette semaine j’ai rédigé le compte rendu du groupe d’entraide. Plus j’avance dans cette écriture moins j’en ai à dire, mes textes sont des espèces d’avortons qui meurent avant l’heure. Deux mois encore et c’est les vacances, j’espère que tout va bien aller qu’aux douanes et à la sécurité ils me vireront pas de bord… Je pense que si ça arrivais je pleurerais… Pourtant je suis pas en prison, je peux partir deux semaines, c’est bien… Je pense à l’ami qui l’an passé s’était rendus en Allemagne. Les voyages c’est mon espoir, ça m’empêche souvent de pensés au suicide, je veux voir avant ceux qui ont vécu qui ont écrit… Je sais pas pourquoi je pense au Quatuor d’Alexandrie de Lawrence Durrell probablement parce que c’était un grand voyageur. C’est un titre comme ça que j’ai lu, une espèce de roman mythique, ça fait longtemps, je sais plus je sais pas. Y’avait quelque chose de l’empire britannique… Si je me souviens bien y’avait une débauche du vin on étais loin du macaroni fromage, bon ce roman là m’a pas marqué tant que ça, un peu trop aristocratique… Pendant ce temps-là c’est la veille… Je sais plus comment nommer ce montant déposé dans le compte des plus pauvre, y’en a surement qui au bout du rouleau vont aller se défouler en empruntant quelques dollars… Moi le prix que j’ai à payer ce sont les gens qui entrent chez moi et déplacent de menues choses…  Les journées commencent à être plus longues, je fais de mon mieux avec ce que je suis avec ce que je peux. Quelques mots encore, l’auteur à bien mal, parfois il comprend les itinérants. Sur le trottoir ont peux pas t’envahir… Voilà où ça mène la coupe de cheveux. J’ai souper je termine comme toujours avec quelque mots en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! C’est ça j’étire pas, je vous souhaite à la prochaine j’espère!!! C’est finis, au revoir et à bientôt!!! Bye! Ciao!!! Ciao!!!


Bernard


 


 

mercredi 30 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai retardé mon écriture aujourd’hui, beaucoup aimé les photos de la Nouvelle-Orléans des snowbirds, ça me donne envie de partir pour San Francisco. Hier j’ai reçu une confirmation de ma participation aux Journées Annuelles Santé Mentale, je vais y parler avec une collègue de mon implication dans les créations collectives au Théâtre du Nouveau Monde, en février on commence les répétitions et je crois qu’en mars y’a les bibliothèques vivantes vous voyez je me tiens occupé, ce sont toutes des implications qui me tiennent à cœur… Entre temps y’auras mon voyage à San Francisco que je prépare minutieusement. Tous les lundis y’a aussi les rencontres de Reprendre Pouvoir mon groupe d’entraide.  Je vais maintenant passés à mon senti, c’est important ce que je vous confie même si le psychiatre dis que c’est pas bon de faire ça, tout est dans l’expression vivante… Émotions, sentiments, vécu sont toutes des choses qui méritent qu’on s’y arrête et qu’on devrais signaler, j’allais dire d’une écriture particulière, en tout cas qu’il fait bon d’exprimer par-dessus la schizophrénie, parfois le senti est blessant on espère qu’il s’efface une fois exprimer, une psychologue m’a dit un jour que je suis hypersensible… Aujourd’hui je vous illustre ça avec la statue du poète romantique roumain Mihai Eminescu par Vasile Gorduz… Je sais pas trop pourquoi cette œuvre me touche, il y a un peu de schizophrénie dans le fait d’être incapable de dire pourquoi on apprécie une œuvre… Je pense que ma sinusite s’est calmée, les histoires de nez c’est pas très poétique à part peut-être pour les œnologues … Je pense aux snowbirds dans la Grande Courailleuse comment ça doit être agréable de revenir chez soi peut importe où on est… Moi je pense que je vais en profiter pas mal à Frisco, pour un vieux garçon comme moi l’hôtel c’est bien… Je me vois déjà assis dans l’avion, je vais demander combien coûte la connection Wi-Fi… Je suis certain que tout ça vous l’avez déjà vue, déjà lue je devrai prendre une pause, ça fait un bon bout de temps que je vous tiens ça. Parfois j’aimerais plonger dans l’écran et me colletailler avec les lettres et les mots poussée un e par ci trainé un certain par-là, je suis certain que l’accent aurais le dessus, chapeau… Je sais plus trop quoi vous raconter je prépare mon voyage, deux mois encore… Je prends des notes, y’a un esprit de compétition voyagiste dans lequel je veux pas monter, je voyage pas pour les concours mais pour m’amuser… Je pense que cette nuit j’ai réussis à vous écrire quelques chose qui a un peu de sens, je termine lentement en pensant à ceux qui savent sans pourquoi. Dehors y’a un gars qui chante c’est surement pour se donner du courage pas geler. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là! Quelques mots encore avant d’arriver à la chute c’est comme si j’en finissait plus d’écrire des épilogues. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je viens de regarder un extrait de documentaire aves Noam Chomsky, ça me rend triste je comprends le « principe » de la société égoïste https://www.facebook.com/rava.bakou/videos/2495850600487480/UzpfSTEwMDAwMjU0NTQ5MjY5MjoyMDUyOTkyMzIxNDYyMjY0/ . Seul devant son écran on achète en espérant le bonheur… Regardez l’extrait vous allez comprendre… Je pense aussi à la chanson du chansonnier « Quand toute les autres ont toutes pis toutes les autres ont rien ». Je voudrais avoir une pensée politique de gauche mais je n’étais qu’un pervers… Maintenant financièrement ça va mieux bien que je crois pas que le bonheur s’achète. Je suis incapable d’articuler une pensée politique qui se tiens. C’est le matin y’a longtemps que j’ai pas entendus de coq… Ceux qui veulent amener la campagne à la ville me font rire, ils ont oublié l’histoire de l’urbanité, les légumes sur le toit c’est bien mais c’est cher pendant ce temps-là je me nourris à la banque alimentaire des restes de la ville, dans le recyclage, les aliments naturels pour défendre ça y’a une question de sémantique que je suis incapable de développer, ça fait plusieurs choses qui me tiennent muet . Le peuple est arrivé en ville pour survivre plusieurs ont quittés leurs campagne natale en espérant trouver mieux, les « campagnards » comprennent pas qu’on peut vivre en ville sans travailler, que l’urbanité peux vous rendre fou dans sa course pour la consommation. Ce que je raconte ça vaux ce que ça vaux, j’ai bien essayé d’être un travailleur honnête mais j’ai pas réussis je me voyais pas avec la moppe pendant les vingt-cinq prochaines années. Je pense aux études où la aussi j’ai pas réussis… Méchant marxiste! Anarchiste! Qui n’a rien réussis incapable là aussi d’être syndicaliste. J’aurais du travailler et me bercer ça aurais été suffisant. Je vous parlerai pas de la vision nazi du dôme sur la ville… Pendant ce temps là, il est tôt le matin les prolétaires se préparent pour le boulot dans une atmosphère intenable, en anglais en plus, qu’elle est douce la retraite.  Je pense aux réseaux sociaux à toute cette activité médiatique qui me tiennent éloigné de l’essentiel mais elle est bien là la question, qu’est-ce que l’essentiel? Une fois que tu as mangé que tu est à l’abri en « sécurité »… Je reviens à l’urbanité qui permet de vivre avec le nécessaire plus facilement. Moi ce que je connais c’est une « certaine culture » pas vraiment l’agriculture, ça aussi j’ai essayé travailleur agricole ça à pas fonctionné. C’est un drôle de senti cette nuit, les snowbirds s’en vont visiter la Nouvelle-Orléans chanceux! Moi j’ai commencé à prendre des notes dans mon cahier pour San Francisco bientôt. Y’a longtemps que mon senti m’avait pas permis d’écrire si différent. Voilà! Quelques mots encore, l’écris est pas trop anarchique ce matin. Je vais essayer d’y aller d’une chute magistrale sans me faire mal. Je vous remercie tous d’avoir lu jusque-là comme toujours j’ai espoir de vous revenir plus tard!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Ciao!!!
Bernard
 

mardi 29 janvier 2019

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Je suis pas très inspiré mais parfois il s’agit de démarrer. Je vais tout de suite y aller avec mon senti aujourd’hui il a neigé, je crois qu’il fait meilleur où sont les snowbirds au sud des États-Unis d’Amérique. J’ai finis de lire le roman policier c’est pas un grand roman du genre. Lentement je recommence à lire le guide Ulyssse de San Francisco, je vais prendre des notes pour me diriger. Je suis toujours étonné de voir toute cette circulation automobile. Hier dans le coin de l’Assomption y’a eu un énorme carambolage… Je reviens à moi, à mon passé ces années ou j’ai bu en dénigrant la copine d’un ami qui me faisait la délicatesse de m’engager, de me donner du boulot… J’en ai dit des saleté, je le regrette aujourd’hui mais ça sert à rien de revenir sur le passé… Je me souviens plus de ce que je racontais mais c’était assez pour me faire boire de l’urine. Ils partaient souvent pour le sud l’hiver moi je bambochais seul dans les bars de Montréal, y’a longtemps déjà que j’ai arrêté ça je serais mort. L’alcool c’est un moteur à solitude, on croit se faire plaisir et on se déprime. Vous voyez je suis tellement pas inspiré que je reviens avec ma thématique habituelle. Dans deux jours c’est février, deux mois avant de partir… Ce ne sont que de petites vacances, milieu février on commence les répétitions au Théâtre du Nouveau Monde, fin mars ce seras la bibliothèque humaine à l’auditorium de l’institut. Je veux pas écrire de bêtises… Pas de courrier encore aujourd’hui, je me dénigrerai pas j’essais de me remonter. Ce que j’écris c’est toujours des tentatives de je ne sais quoi, une description de ma folie cérébrale? Mardi c’est que le début de la semaine, j’ai l’âme en peine… Je ne boirai pas aujourd’hui, j’ai parlé à un ami qui sait lui aussi que si on bois ça vas aller plus mal… Je me creuse la tête pour vous écrire quelque chose de mieux de neuf, j’y arrive pas… J’ai pas envie de m’inspirer en fréquentant les cafés du bas de la ville pas plus que les centres d’achats, il recommence à neiger, ça deviens de plus en plus sombre j’ai envie de pleurer mieux vaut oublier… Si dans votre entourage vous avez quelqu’un qui souffre de maladie mentale parlez en… J’ai perdus y’a quelques années une sœur qui n’en parlait pas, moi j’en parle dans ce que vous lisez mon écriture est toujours empreinte de schizophrénie. Parfois écouter c’est le meilleur des remèdes… Mais rien ne remplace un bon professionnel même si le parcours vers le rétablissement est long. Y’a des journées de peine d’autre de joie mais la vie c’est ça. Voilà! Oubliez pas de faire une petite prière pour vos proches. Je termine à ma façon habituelle en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour une chute un épilogue des familles. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!


Bernard

lundi 28 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’en peut plus de la beauté, je suis désolé me semble qu’une dose d’abject remonterais la valeur de mes crôutes. Je suis un imposteur j’ai jamais su peindre mais j’en ai trop vue de peinture voilà ce qui arrive au prétendant artistique. J’ai trop peur… La neige est pas encore commencé ma « peinture » je devrais la laisser aux autres elle manque de finis, je suis condamné à rien je suis pas assez inculte… Vraiment rien, j’en sais un peu trop un vrai goujat… Je devrais laisser les vrais artistes en paix et moi continuer mon vrai chômage d’ouvrier désoeuvré et sombrer dans la dépression du sans travail… Du niaisage pictural voilà tout ce que je sais faire, je suis incapable de vendre ma « salade » incapable d’auto-évaluation loin des valeurs du cru et de l’enfance. J’ai longtemps pensés à prendre ces « toiles » et les amener dans le parc en face pour y foutre le feu, de la cendre voilà qui complèterais bien « l’œuvre » comme chez les nazis, l’art dégénéré qu’ils disaient pourtant y’avait là parfois l’expression d’une grande et simple beauté… Je vois pas beaucoup d’œuvre qui innove qui met en question l’essence de l’art… Je sais pas ce qu’aurais à en dire l’ami historien de l’art… C’est difficile de faire son auto-critique ce que je fais c’est surtout écrire. Je me souviens qu’avec le praticien ressource à la retraite je me prêtais à ce genre d’exercice , je crois que c’est moi qui lui ai fait connaitre Le ciel de Québec l’œuvre du grand médecin et écrivain Jacques Ferron… Je pense aux petites madames tranquilles qui consultent en psychiatrie, elles prennent des notes et posent des questions, moi je crois que mon travail était tout intérieur, j’avais pas beaucoup de question j’étais la question. J’ai souffert longtemps mais je crois que ça a fait de moi un homme plus solide… N’empêche l’essentiel de ce que je fais passe par l’écriture, j’entends le clavier en écho… Je sais pas pourquoi j’ai Trois-Rivières en tête peut- être à cause des bateaux pris dans la glace. Je me souviens plus vous avoir raconté mon passage au port de Montréal à nettoyer des fonds de calle où à réparer de la tuyauterie les doigts sur le froid de l’acier… Le port je crois pas qu’il y ait un endroit plus froid à Montréal, les quais à Pointe-aux-Trembles. Mes excuses à l’ami historien de l’art mon discours sur la peinture il vaut pas des poux, piquant avec des démangeaisons. Ce sont des tentatives d’expression…  Voilà quelques mots encore pour terminer, je crois que ma « peinture » c’est un exemple de régression, cette nuit je suis tranquille j’ai pas d’hallucination et encore moins de psychose… Je cherche une façon de vous dire pour terminer, hier on me demandait comment allait mon blog, j’ai référé la personne à Google avec mon nom pour qu’elle voie par elle-même. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard