vendredi 29 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Au départ cette nuit je devais pas vous écrire mais malgré tout je suis debout et j’arrive pas à dormir. Mon parfum est tenace malgré la baignade d’hier je sens encore… Je pense à l’agent de la direction de la programmation de l’institut, je le salut ici il va se reconnaitre, c’est un des derniers qui reste depuis la réforme du système de santé. Ai reçu deux sondages sur la stigmatisation de L’AQRP, c’est intéressant, ce que vous lisez ici c’est ma façon de dé-stigmatiser. Je pense à ce bonhomme hier à la terrasse du café qui disait ne pouvoir payer son addition et qui attendais des gens comme nous pour la payer. Je lui ai répondu de se préparer à laver la vaisselle et la conversation s’est arrêté là. Cette nuit c’est encore l’obsession du senti. Je dois vous dire que j’ai beaucoup apprécié ma sortie d’hier, j’aime bien ce lac, j’aime bien cette plage malgré que je me suis pas beaucoup baigné, j’ai brisé le cordon de mon vieux maillot. Si tu travailles pas dans le goulag occidental tu vas surement être stigmatisé, je crois que la concentration de personnes souffrant d’une maladie mentale est plus grande ici. Comment vous écrire le jugement des personnes en complet veston. Je pense à la forêt du Mont-Tremblant aux gardes du parc, ils le protègent bien c’est toujours impeccable. Hier en me couchant j’ai trouvé le nom vulgaire du Tamia on appelle ça un « suisse ». Je suis loin de mon senti, le goulag est peuplé de stigmatisé y’a qu’ici qu’on peux survivre c’est la « faune » du bas de la ville. Je réfléchis peut-être un peu trop avant de vous écrire, je sais pas trop où je vais. Je fais de l’introspection et ça vaux pas un rond, je pense aux petits petons… Dans l’Outaouais les lecteurs attendent un bébé, je crois qu’il va s’appeler Thomas, ça va faire une famille de quatre enfants, grosse famille de nos jours c’est des gens courageux. Quand je passe un moment devant l’écran ça me réveille, c’est ça aussi l’avantage de vivre seul je peux rester debout la nuit, là je pense au nouveau-né qui va tenir ses parents réveillés un certain temps. Plus tard aujourd’hui je vais aller au supermarché acheter le nécessaire et là je sais pas pourquoi je pense à Félix Leclerc, je sais pas ce que j’ai en tête. Lentement j’y arrive bientôt ce seras Washington… Une pensée pour ma lectrice de Terrebonne, ai bien apprécié son message, d’accord pour la soupe en revenant de voyage. Je suis plus trop quoi vous écrire, je lire et délire en essayant de dire et j’entends le pire de la musique de sbire et ça empire, c’est pas un soupir c’est juste une mire une espèce de tentative d’atteindre la cible. Je termine souvent sur ces mauvaises rimes. Je m’en fais accroire. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 28 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce matin surprise dans la poste j’ai reçu mon recueil Spirou. Je ne l’attendais que le deux août et voilà qu’il est là… Je peux pas me plaindre de ma journée c’était magnifique en excellente compagnie de mon amie danseuse, à la plage du Lac Provost dans le secteur Pimbina du Parc du Mont-Tremblant… Je vous fait ça long j’aurais aimé que ça finisse pas j’aime beaucoup être avec elle… Veux veux pas la nature ça me sort de mes pensées de cabochon… Bein non! Elle danse pas à la plage, c’est de la danse contemporaine qu’elle pratique, c’est une femme magnifique… Elle tiens absolument que je vous parle de cet énorme chevreuil qu’on a presque frappé à Chertsey, il a fait deux bonds elle a freiné et personne a eu de mal, c’est quand même impressionnant… J’ai joué un peu dans l’eau et j’ai profité du soleil des journées comme ça y’en a pas trop dans un été, c’est étrange avec elle on dirais que ça me sort de ma tête, de tout le négatif, je me sent quelqu’un… Voilà ce soir c’est difficile pour moi de vous parler de mon senti, je me sent peut-être un petit peu trop high… J’ai oublié tout ces drames des actualités télévisées, la nature c’est paisible et tranquille je donnerai pas ça aux barbares. La soirée avance, faut que je me remette à la marche, ça me ferais du bien. Je vais essayer de marcher dans Washington, la nature oui! Mais l’œuvre des hommes au Smithsonian c’est pas rien, j’ai hâte de voir. Je pense aux familles des années soixante à comment j’ai sauté une génération, je me suis pas marié j’ai pas eu d’enfants et maintenant je pense aux petits petits neveux. Je sais pas trop si c’est ça ce sont les enfants de ma nièce. C’est vrai qu’il faut que je prenne ma place bientôt soixante ans et je crois que j’ai un bon bagage, cet après-midi en partant on s’est arrêté dans un café on a pas eu de service on a rien commandé voilà pour la liberté de dépenser notre argent où on veux… Je pense que chaque jour je suis un petit peu plus heureux, je vous aurais pas dis ça y’a vingt trois ans mais c’est comme ça. J’ai un peu peur de ça je veux pas que ça se termine dramatiquement, une rechute dans la psychose où dans l’alcool… Ce soir je vais pas vers ça, c’est le contraire qui m’intéresse la paix, l’amitié, la sérénité, je vous écris en ayant toujours une bonne pensée pour la matriarche… Je racontais à l’amie que comme bien des hommes je cherchais ma mère, elle m’a répondu pas du tout scandalisé que bien des femmes cherchaient leurs pères. C’est des affaires simples, un peu trop simple quoi que j’aime bien discuter avec la matriarche. J’étais bien partis je vais essayer de bien finir en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

 

mercredi 27 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je crois écrire dans le vide personne ne me lis! Je vais essayer de pas me dénigrer d’être positif. Hillary Clinton vas être candidate aux présidentielles américaines. J’espère que Trump la tête de nœud seras pas élu… Ai lu un peu le guide Michelin de Washington, j’espère être capable de marcher… Si tout va comme il faut je devrais aller me baigner dans la partie Pimbina du parc du Mont-Tremblant à Saint-Donat. J’aime beaucoup aller là j’ai de bons souvenirs. J’essais d’écouter la voix intérieure ça reviens au climatiseur… Le goulag occidental est tranquille cette nuit… Je sais les « vrais » écrivains couchent pas tout ce qu’ils pensent sur papier mais moi je veux rester au plus près de mon senti… Je pense à l’ami à qui on viens d’acheter une série télé bravo! Hier la matriarche m’a conseillé d’être prudent, je le serai. Il est une heure du matin je suis debout incapable de raconter une histoire, de composer… Je veux me faire aimer mais je crois rater le coche avec le blog… Même si ça fait pas l’unanimité, je pense à une cousine, je continus quand même… Parfois quand je suis seul je voudrais être avec des gens et le contraire est aussi valide, je suis avec des gens je voudrais être seul… Vous en faites pas vous avez pas affaire à Saint-Denys-Garneau je disparaitrai pas dans l’eau, on a pas tous les moyens familiaux et on est pas tous cousin d’Anne Hébert… Comment vous dire que je suis seul dans cette écriture et quand vient le moment d’en parler je suis muet… La poésie ne peux pas se prendre comme sujet je crois, c’est trop réflexif, on en tire que des bêtises. Je cherche le rythme, j’y vais, je descends les mots dans l’écran heureusement c’est pas Pokémon, c’est juste le texte à tonton cou donc? Cou donc? Où est le savon, cette nuit j’ai un doux parfum je sens bon… Faut avoir de la finesse quand on écrit je crois que je l’ai pas, je me répète, je pense au canot sur la rivière à Saint-Donat. Cette semaine c’est vraiment les vacances de la construction, les travailleurs des chantiers routiers travaillent quand même… Dites moi! Dites moi! Comment on fait pour écrire de la poésie, mettre de la musique et du rythme dans les mots, moi je sais pas trop je pense seulement à dormir sur le dos comme un gros nono. C’est pas ça, le talent je l’ai plus je l’ai pas mais je sais très bien qu’en m’auto-dénigrant ça fait pas de moi un bon poète. Je veux en venir à l’écriture grandeur nature, si je l’écris faut que ça dure, parfois je suis devant le mur, j’y arrive pas c’est jamais sur ça part d’en dedans c’est une torture. C’est de la folie tout ça, je l’aurai écris ici-bas et comme tout ce que j’ai fait je l’aurai appris sur le tas. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je pense aux carnages, à cette guerre contre le terrorisme. Y’a aussi les jeunes hommes voisins isolés qu’on soupçonne, ils ont le droit de vivre, c’est la peur qui me fait voir des terroristes partout, ils frappent pas souvent dans les lieux où ils habitent. C’est la France qui est la plus touchée. J’arrive pas à écrire là-dessus. Je retourne à mon senti un paranoïaque qui a peur c’est double, ça imagine toute sortes de scénario et oui j’ai peur de l’étranger, on a beau dire c’est avec la terreur qu’ils arrivent à leurs fin… Je développe pas plus là-dessus, j’y connais rien. Je pense à l’amie aphasique, j’essais de la comprendre c’est pas facile… Y’a une grande nuit de la poésie à Saint-Venant-de-Paquette ça devrais être intéressant ça s’intitule « J’en appelle à la poésie ». Si seulement j’étais un peu poète que j’étais coupable et capable de beaux mots, de belles phrases… Si jamais vous connaissez quelqu’un qui y vas et part de Montréal, faites moi signe… J’écoute la  fameuse  voix intérieure, j’ai peur, les kamikases djihadiste sont capables de tout. C’est vrai que c’est épuisant ces assassins. Mon monde intérieur est habité seulement par l’angoisse si forte qu’elle fait croire à du calme quand ce n’est que de la peur silencieuse. Comment je fait pour écrire, je ne suis qu’un abrutis, ce que vous lisez c’est pas de la poésie, j’aimerais ça mais je peux pas je me répète… C’est toujours ce je,qui réussis pas a parler à la première personne du pluriel j’ai pas la force pour parler avec et pour les autres. Je pense à l’écho d’un fleuve du Péristyle Nomade http://www.peristylenomade.org/  C’est dans le goulag occidental bien qu’eux je crois n’approuvent pas mon idée de goulag. J’aimerais ça, j’aimerais dont ça être un artiste comme eux, étrangement je pense à l’époque où j’avais une ardoise au bistro, c’est finis tout ça, voilà que je décolle sur ma thématique récurrente je laisse faire, y’a des gens qui animent le quartier pourtant il est peuplé de pauvres qui ne fréquentent pas les riches. On va m’haïr parce que j’écris ça. Je  suis toujours dans ma folie néo-dépressionniste je vole ces mots à une chanteuse. Toujours devant mon écran, j’ai le bain Matthieu en tête un autre centre-culturel du goulag occidental  http://www.bainmathieu.ca/ dédié au développement des arts gigantesques. C’est une tournée du quartier aujourd’hui, moi je suis plus au sud dans un coin plus populaire. De quel bord s’en va la track? Je pense à la culture à comment la mienne est déficiente, à comment elles n’arrive pas à assimiler certaines idées de la coopération. Je ne suis qu’un vieux fou… Le Touski http://meowpownow.com/touski/ c’est leurs repères je peux pas vraiment en parler je ne le fréquente plus. C’est pas fort comme écriture aujourd’hui. Un vieux vendu voilà ce que je suis, je sais pas pourquoi je pense à Armand Vaillancourt. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 26 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Puisque je suis debout je vais vous en écrire un autre. Le climatiseur est arrêté ça s’est quand même rafraichis chez moi. J’attends un chèque et un livre par le courrier… Dehors une voiture passe, le conducteur chante avec sa radio… Je sais pas comment dire on viens à bout de ses souvenirs… Enfants ont rêvais le monde en espérant une télé couleur. Je me souviens aussi que le disque sortis après sa mort de Jimi Hendrix étais beaucoup moins bon que le précédent, semble qu’il sort encore des disques de lui aujourd’hui. Pour le voyage à Washington un ami m’a prêté son guide Michelin, on s’est entendu pour dire que sans littérature de voyage on ne sait pas où aller et on entre un peu n’importe où. Je sais pas si mon amitié avec la danseuse résisterais à un appel au milieu de la nuit. Je pense aux seins féminins à mon désir parfois de les tenir dans mes mains ça change de ma thématique habituelle quoi que lorsqu’on bois à la bouteille ça rappelle le tétage du poupon, dans la consommation de bière y’a un rapport à l’oralité , le sevrage c’est un peu de ça qu’il s’agit lorsqu’on cesse de boire de l’alcool. Je suis revenus à mon thème habituel. Je vais changer de cap. Quoi vous dire sur l’époque où tout un chacun se proclame écrivain… Cette nuit je suis endormis je me fait un café. Hier l’intervenante est passée pour une inspection du ménage chez moi, je vous dirais que c’est pas nickel mais c’est vivable… Pour la littérature ce que j’écris cette nuit c’est loin de Jean Genet… C’est assez extraordinaire comment le climatiseur fonctionne bien. Je suis en amour avec cette machine là. Je pense à l’Amoraliste de Gide je crois, je suis pas dans la littérature des amoureux des petits garçons disont que je préfère Lolita de Nabokov mais elle était bien jeune, une adolescente, faut apprendre à vivre avec les gens de son âge. Là je mêle tout, la vrai vie et la littérature bien que celle-ci est parfois plus vrai. Je pense à ce bon ami disparus de ma vie, il avait le sida, la dernière fois que je lui ai parlé il avait des problèmes financiers j’ai pas pu l’aider. Je crois que maintenant il est décédé, le goulag occidental l’a engouffré. Je sais pas si vous avez remarqué maintenant je compte les mots, ça vous prend que quelques instants à lire, moi ça me prend quelques heures à l’écrire. Étrangement je pense à ce tenancier de bistro, il était bien bon de m’accueillir… Je pense aux gens qui m’entouraient à un moment, des sociologues, des étudiants en sociologie, des gens patients qui espèrent voir le monde se transformer mais ça n’arrive pas. J’en suis déjà rendus à la chute, à la tombée finale du texte, quand on a pas étudié on fait ce qu’on peut, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de pas être trop lourd ce soir même si les barbares ont encore frappés. Je commence à être à court de mots on vie tous nos drames personnels. Le départ pour Washington approche, j’ai hâte. Je veux pas vous écoeurez avec mes écritures, ça reste toujours des nouvelles du goulag occidental, de ma vie intérieure aussi. Je pense au jeune garçon à qui j’ai envoyé un recueil de bandes dessinées. Je veux qu’il se sente obligé à rien, j’avais juste ça en souvenir le bien-être que ça m’apportais de lire, le bien être que ça m’apporte encore… Les copains étaient pas toujours là, parfois il pleuvait j’en profitais pour lire, je me souviens même de la colorée encyclopédie Tout connaitre, que je lisais aussi. J’écoute ce que ça dis, le soleil brille, il fait chaud, je suis vraiment pas un grand poète je manque de mots savants. Y’a un parfum de café que j’irais bien prendre sur une terrasse en bonne compagnie… Je pense à l’écran comme à un écran de jeu, mais non je ne joue pas j’aime pas ça, me souviens du jeu du pendu au bout du bar, les journées comme aujourd’hui coin Saint-Hubert et Ontario, les fenêtres de la discothèque étaient ouvertes, le staff de cet endroit je sais pas ce qu’il est devenus. Je reviens encore avec mon thème de prédilection… Le barbu me jette dehors, je suis trop saoul, je fait des niaiseries. Quand j’ai cessé de fréquenter cet endroit il a fermé, quand à la brasserie rue Saint-Laurent elle a passée au feu ils l’ont jamais reconstruit… L’oncle disait que j’avais bu trop vite que c’est pour ça que je ne buvais plus, trop bu! C’est possible j’avais pas de fond… Je m’ennuis pas de l’alcool j’y retournerais on me tuerais… Je me vois faire la tranche de bacon sur la piste de danse des Foufounes Électriques j’ai réussis à me faire jeter de ce trou aussi… On y voyait rien dans ces endroits il faisait noir, parfois on rencontrais une connaissance qui disait si j’avais su que t’étais là je serais pas arrêté. Je racontais à une copine que je m’étais jamais fait d’amis dans les bistros, les brasseries où les bars. J’étais trop dingue. Quand je bois je suis un briseux de party, rien de bon. J’ai jamais été sérieux pour prendre ma vie en main, bientôt ça va faire vingt trois ans que je n’ai pas bu je ne m’en porte que mieux. Aujourd’hui c’étais l’inspection du logement pour la propreté j’ai encore des choses à améliorer. Le ménage ça me tue, je pense à cet autre oncle qui m’avais dis « ça l’air que t’est plus capable de te torcher » ça m’avait vraiment fait mal, c’est tout ce qu’il avait réussis à me donner comme travail balayeur!  J’ai fait un peu de ménage chez moi. J’arrête et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 25 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Faut que je me fasse une idée. Je suis pas publié papier, je suis pas écrivain. Je suis qu’un pauvre type perdus dans la blogosphère, y’en a des milliards comme moi et si j’étais bon écrivain ça se saurait. Je suis pas Paul Valéry ni André Gide. J’écris ça et je pense à l’ami qui est un vrai professeur d’histoire de l’art, un homme très cultivé… Quoi dire? Y’a des choses que je garde pour mon cahier, ce soir j’ai reçu le merci de mon petit neveu à qui j’ai envoyé l’album de bandes dessinées. J’espère qu’il va aimer ça, je suis bien conscient que c’est pas un jeu électronique que c’est suranné mais parfois y’a du bon dans les vieilles choses… Si je reviens à mon senti je suis un pépère, étrangement je pense à Jacques Ferron à son Ciel de Québec qu’il faut que je relise à L’Amélanchier aussi à Tinamer, mais non je suis pas un homme de lettre juste un bum qui a trouvé refuge dans la littérature, je mentionne encore les rockers sanctifiés de Francoeur, merci d’avoir mis la littérature rock sur la map. Je sais pas si je vais avoir le temps de lire Patrick Straram, Bison ravi… Je sais la littérature ça vaux pas le cabanon bâtis dans la cour. J’ai voulus y habiter on m’a pas laisser faire c’était bon pour le chien mais pas pour moi. L’ami historien de l’art nous a parlé de Toulouse-Lautrec et du sanatorium, je lui laisse je crois qu’il va en parler à la radio. Je pense à l’absinthe qui rend pas spécialement brillant. Mon senti c’est toute ces émotions j’essairai d’en vivre à Washington. Je sais pas si j’ai de la délicatesse, c’est brut ce que j’écris quoi que c’est pas à moi de juger ça. Je suis un pauvre fou dans le quartier qu’il a désigné comme étant son goulag occidental… Parfois je mérite des tapes sur la gueule quoi que je parle pas de la façon que j’écris… Je vais peut-être tenter une autre expérience d’écriture avec les gars de la radio… Je sais pas pourquoi j’arrête jamais d’écrire, la fille qui participais à la réunion tout à l’heure me semblait une militante enragé qui a oublié de demander pourquoi on l’attachait dans son lit la nuit, la contention ça demande une réponse quand on est hospitalisé. Moi j’ai été attaché qu’une fois, tellement fou que je l’ai demandé, je voulais en finir je crois que ça m’a sauvé. Je vais vers la stigmatisation, quand les gens, j’aime pas beaucoup écrire les gens j’en suis moi aussi, souffrent et croient que les pauvres prestataires ne souffrent pas c’est une erreur, voilà le stigmate la douleur solitaire. Je sais pas trop si ce que j’écris là à du sens. Je crois que plusieurs voudraient niveler par le bas. Enfin je sais pas si je participe à l’insignifiance générale mais je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard