samedi 12 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Le temps se couvre, ce midi c’étais grand soleil. Hier un gars m’a traité de gros twit, ce matin une bonne femme m’a traité de lâche. Le problème c’est que je sais pas si ce sont des voix où qu’on me dénigre vraiment comme ça… En tout cas je me suis fait des cadeaux le dernier roman de Biz et un album relié du magazine Spirou. Il y a que dans les livres que je trouve du réconfort . Ce soir je vais rédiger le compte rendu de mon groupe d’entraide, j’aime faire ça aussi… Je me souviens dans mon enfance je lisais des B.D. et j’arrêtais pas avant d’avoir terminé. Je pense aux enfants de mes nièces, j’espère qu’ils vont aimer lire autant que moi. Dans le building y’a des parfums qui me ramènent en arrière, une nostalgie des odeurs… à m’en arracher les poils du nez. Je suis un peu vieux pour faire l’écrivain mais sinon je fais quoi? La neige a fondu bientôt les cabanes à sucre, je me souviens m’être fermé la porte de l’automobile sur le pouce, c’étais dégueulasse la blessure toute collante et personne qui prenais soin de moi le pouce dans le sirop. Vous allez dire c’est de l’imagination pure mais non c’est vrai c’est dans ces moments là que j’aimais m’asseoir tranquille et lire enfermé dans ma bulle. C’est épuisant se jouer dans le nez, je sais je vais vous écoeuré . Les services municipaux ont sortis les énormes aspirateurs. Bientôt la ville va être toute propre. Bon! Me voilà encore dans mon sentis, heureusement je suis sortis j’ai fait face au dénigrement imaginaire où réel, cet achat de B.D. c’est comme si je retournais en enfance. C’est un bel objet de couleurs, j’aime le regarder sur le sofa, je vais prendre mon temps pour le lire disons que c’est plus distrayant qu’Emmanuel Kant… Y’a un malade qui claque sa porte, je sais pas pourquoi, l’ennuis toujours l’ennuis. J’entend des gens gueuler dehors, les chinoises niaisent dans les rues du goulag occidental, je crois que ce sont elles qui claquaient la porte elles voulaient s’assurer qu’elle étais bien fermé. Je sais pas ce que vous faite le W-E moi           j’ai commencé par du ménage hier soir. C’est pas très très littéraire mais c’est ça. On vie pas de grande aventure à récurer la salle de bain. L’autobus est passé il a ramassé les deux chinoises qui s’en vont peut-être acheter du canard laqué… Bein oui! Je suis peut être un gros twit mais eux que sont ils, je peux pas plaire à tout le monde et à mon père… Je me dépêche de terminer, je veux regarder les actualités et après je mettrai en ligne ce que vous lisez présentement. C’est difficile sur les temps vous y êtes et je n’y suis plus. Je pense que j’en ai assez écris pour ce soir c’est pas fort mais enfin! Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

vendredi 11 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est grand soleil réjouissant, week-end pour plusieurs, bien mérité, sur la rue y’a des anarchistes qui passent armés de leurs téléphones cellulaire. La technologie au service de Proudhon… Je trouve pas cet après-midi, à part que les portes claquent. Le ventre me gargouille pourtant j’ai pas faim, ai essayé de dormir un peu ai pas réussis. J’attends une carte cadeau dans le courrier elle est pas là, la neige fond. Je cherche une façon de vous écrire surtout au lecteurs, lectrices discrets. Le téléphone sonne pas, mes appels sont pas important. Le ciel bleu me rappelle La Guadeloupe et Cuba, j’ai toujours le désir de partir. En Guadeloupe c’est les semaines de santé mentale, on croirais pas que dans les pays chaud y’a aussi ces problèmes. À l’hôpital psychiatrique de Basse-Terre y’a des pavillons avec des cours intérieures, on peut sortir et s’asseoir au soleil. Une psychose dans les îles de quoi ça a l’air, psychotique sur la plage entouré de touristes, de quoi enragés.  La voisine viens de passé avec son chum sur la passerelle il m’a traité d’estie de beigne… Je me dénigre moi-même suffisamment, j’ai pas besoin des autres pour le faire. Ça me fait mal d’entendre ça, ce jugement mais qui c’est lui, un pauvre type. Cette façon de se revaloriser en dénigrant les autres je déteste ça. Ça me fait mal à l’âme, une douleur intérieure mais pas dans la tête… Non! Non! Non! J’irai pas le voir j’ai pas envie de faire du trouble, et de l’autre bord y’a une généreuse voisine asiatique qui donne du pain, j’en ai mangé il est frais mais j’ai peur de gonflé, il est encore chaud. Je crois que chez les chinois ils fêtent quelque chose, je sais pas quoi… On claque les portes c’est fatigant, le pain m’a calmé, les voitures comme toujours passent et klaxonnent, j’ai une pensée pour les snowbirds avec leur Courailleuse en Floride… Quand je suis sorti tout à l’heure j’ai pas aimé l’odeur dans le corridor. Y’a un camion Fedex stationné devant l’édifice je crois pas que c’est pour moi, j’ai rien commandé il viens de partir. Je me calme, je me calme, dans le meilleur des mondes je voudrais éviter tout les irritants, tout ce qui me dérange et Dieu sait que je suis facile a déranger. Il fait tellement beau les gens rentrent du travail à la marche. Je  sortirais bien ce soir mais j’ai personne a invité, sortir seul c’est plate… Je peux pas toujours être émotif et vous traduire mon monde d’émotions. J’essaye même pas d’être comique j’y arrive pas d’autre le font mieux que moi. Je crois que je vous ai déjà écris ça. Lentement j’arrive à la fin, quelques mots encore pour vous dire la finesse que vous avez de me lire. Moi j’ai toujours plaisir à vous écrire. Je vous remercie de m’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Il manque quelques mots je vous remercie encore une fois!!!

Bernard

jeudi 10 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je sais pas où je vais mais j’y vais. Je pense aux toxicomanes à la toxicomanie à comment ça fait mal, à comment ça détruit, un jour tu te retrouve au fond de la cale avec pleins d’ennuis dans un monde sale où c’est toujours la nuit. Je peu pas garder ce rythme là  c’est une introduction maintenant je suis en rétablissement mais c’est quand même un univers qui m’a marqué… Aujourd’hui la vraie neige a fondue, j’écris, j’écris pour ce que ça donne c’est pas le fruit. Aujourd’hui j’ai parlé de mon senti avec l’intervenante, à cette difficulté que j’ai a vivre mes émotions. Quand j’en vie une ça se tord ça me triture et je comprends à l’envers, je me dénigre par exemple plutôt que d’entendre bienvenu j’entends t’est un trou de cul. Souvent c’est pour ça que je m’isole pour éviter ces mésinterprétation.  Je sais je peux vérifier mais je veux pas faire vivre ça a personne. J’écris, je lis j’attends que la tempête lexicologique se calme. Je vous dirais que je comprends ceux qui mettent fin à leur jours qui ne veulent pas vivre ça, ceux qui l’ont anticipé dans leurs jeune âge et ne voient pas quand ils vont se rétablir. Moi je me rétablis mais je me demande pourquoi et comment aussi… C’est difficile de vivre ça surtout que les malades mental on aime pas ça, je me rétablis pour montrer que je suis pas un danger, que je suis capable de m’exprimer et d’aider, m’entend tu, m’entend tu, tu n’est pas seul, je sais y’a pas de recette facile, la vie est dure pour tout le monde pour moi comme pour toi mais parfois faut faire des choix. C’est assez sordide comme message pourtant c’est ce que j’ai à offrir comme rétablissement, un toît, de la bouffe et j’oublie quelques chose des amis je crois. Le luxe c’est pas pour moi la maladie c’est la nuit, l’obscurité… Je pense au pair-aidant de Québec qui a toujours le mot pour rire on a pas le même rétablissement. J’y arrive pas a rire de ce syndrome de l’envahissement, je préfère ça au vrai mot la schizophrénie. Ça me fait mal aux oreilles. Aujourd’hui ça ressemble au printemps dans le goulag, on pourra plus patiner, je voudrais que vous donniez un jour à ma nuit, une réalité à mes mirages, de la chaleur à mon hiver… Je sais la complainte c’est un mauvais signe pour le fou que je suis parais que rire, faire rire c’est de l’humilité, je suis pas rendus là. J’ai le vécu triste et mélancolique si vous riez c’est que j’ai raison… C’est important pour moi de vous écrire, d’exprimer tout ça sans rire, l’humour je laisse ça au autre qui ont plus de talent. Ça sonne un peu comme si j’étais jaloux des humoristes mais non c’est pas ma tasse de thé. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mercredi 9 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous reviens aujourd’hui en me cherchant un propos, comme souvent j’ai souvenir de ces gens que j’ai rencontré durant ma longue dérive. Je cherche y’avait quand même des gens sérieux et d’autre qui savaient comment nous vendre de l’alcool. On buvait et on dansait et eux mettait le fric dans leurs poches. J’arrête ça là je ferai pas l’imbécile… C’est encore une mauvaise nostalgie. Ce week-end j’ai écouté la musique de Peter Gabriel pour la dernière tentation du Christ, de la grande musique, méditative je dirais. Pâques bientôt ça veut plus dire grand-chose on y croit plus, pourtant cette religion a forgé nos valeurs, Dieu il en reste toujours un peu, la foi où la tentative de foi pour moi est maintenant essentielle, pas de spiritualité je tombe et m’écrase dans la dépression. J’ai toujours eu tendance a trouver l’herbe plus verte chez le voisin, c’est faux quand on aura marché quelques kilomètres dans mes bottines on verra que chez moi c’est quand même pas mal. Je suis un peu mêlé, la neige a fondue, je pense aux moyens que j’ai pris pour avancer dans la vie j’ai pas réussis tout ce que j’en ai tiré c’est une schizophrénie, des allers retour à l’hôpital où j’ai rien appris. Ce soir je mange du poisson avec des carottes et des pommes de terre, c’est pas un festin mais c’est mieux que ce rien que j’ai longtemps consommé rien et quêter, la soupe populaire des refuges, je pense à ce gars qui me disait avoir habité l’hôtel Central à Terrebonne après une faillite, je sais pas ce qu’il est devenus je crois que c’était un petit pègreux… Ces gens là j’ai plus besoin d’eux dans mon univers. Ils ont réussis avec les valeurs qui sont les leurs, moi je réussis un jour à la fois en écrivant ce que vous lisez maintenant. « Je vais à l’université, la plus anglaise et la plus belle, je travaillerai pas au pic pis à pelle »-Robert Charlebois. Moi j’ai jamais fréquenté l’université et maintenant je suis trop vieux, remarquez que dans mon patelin d’origine il est pas sortis de grand leader économique. Aujourd’hui ce seras une photo d’avion, ma vocation ratée… Je suis incapable d’écrire de la littérature positive aux méthaphores qui donnent des réponses à tout les problèmes mais je prie, je sais pas quoi faire d’autre. Je sais vous me trouver idiot pourtant dans ma grande solitude la prière me réconforte. J’écris ça et en même temps je prie. Eux ils ont eu l’instruction et l’argent moi j’ai eu l’université de la vie… Hier je disait à un caméramen que j’étais devenus poète parce qu’il ne me restait plus que ça, lui semblait dire que c’était pas un si mauvais choix. Encore quelques mots et je termine ma seule ambition c’est d’écrire du mieux possible. Je sais pas ce que vous en pensez, je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard  

 

mardi 8 mars 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Veux veux pas on travaille! Il est dix huit heure et il fait toujours clair. Aujourd’hui c’étais la journée de la femme, ces femmes qui m’émeuvent qui me font parfois pleurer d’autre fois rire étrangement ça fait pas longtemps que j’ai réalisé qu’il y avait de mauvaises femmes comme chez les hommes. Ce soir j’ai pas grand-chose  à dire j’ai juste le sentiment que je fait rire de moi. Dans ce temps là je m’enferme chez moi, la télé sur TV5 et je continue ma démarche « littéraire ». J’ai de la difficulté a réaliser qu’écrire c’est pas une course. Cet après-midi j’ai croisé une femme qui écrivait tout ce qu’elle vivait dans un cahier, une sorte d’érudit féminin… Comme toujours je pense aux avions, une façon hygiénique de s’envoyer en l’air. L’ambulance est devant l’édifice heureusement c’est pas pour moi… La détresse, la détresse qu’on amène à l’hôpital qui souvent y peux pas grand-chose, non, non j’entend pas des voix c’est ma présence sur les médias sociaux, qui fait que je me crois important. Au supermarché un gars cherchait les aliments pour chien et le chien c’est moi… Aujourd’hui j’ai écris dans l’atelier Cabaret poétique, on aime bien ce que j’écris ils ont tous un bon mot mais moi je m’en crisse, j’écris ce que je ressent ce que je vie et c’est pas drôle c’est douloureux, je m’arrache le cœur comme souvent… Ces dernières années j’ai fait pas mal de millage en voyage et la folie était toujours là. J’ai un bon souvenir de cette marche pris à Londres sur la promenade de la Tamise, les villes sont remplies d’inconnus on les vois souvent comme monstrueuses ces villes pourtant… « Twenty first century  schizoïd man »-King Crimson. La télé est sur les actualités françaises, les trains encore en grève. On m’a dis que j’ai un complexe d’infériorité, mais oui je le sais d’où je viens y’a rien pour se gonfler d’estime. Orgueilleux pour rien, faut prendre le temps de fouiller dans le dictionnaire à l’époque des voix je lisais le dictionnaire pour savoir ce qu’elle disait. Ce soir je suis épuisé la création du show m’en demande beaucoup. Je sais plus où sont mes vrais amis de toute façon ce sont pas les bouffeurs de scène les voleurs de show… Je pense qu’il y en a un qui se gèle c’est facile de faire des niaiseries devant un public quand on est intoxiqué… Je m’avance un peu mais je sais reconnaitre un loup. Voilà d’où je viens cet après-midi, j’ai expliqué pourquoi je pouvais plus fréquenter les troquets, les bistros où on lit de la poésie. Je pense qu’on dit de moi que je suis un gros dégueulasse parce que j’ai un statut d’invalide. Je me bas avec ça, c’est ce qui fait que j’écris je veux pas me laisser mourir sans avoir rien fait.  Pauvre con! Pauvre con! Pauvre con que je suis. J’arrive pas a remonter je prie. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 7 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui j’ai des souvenirs de ces journées passées a bambocher un peu partout hé oui! Mon bureau c’étais la brasserie et la nuit la piste de danse a danser le go-go… Je descendais toujours plus bas et la folie m’a accroché, pendant que la gang se rangeait, je prenais le chemin des soins psychiatriques. La dernière fois que je les ai vu c’était au vingt-cinquième anniversaires de l’école secondaire. J’en ai envoyé promener quelques un plus fou que moi, j’ai pas pensés à leurs faire amende honorable. On ne me visite plus, le fait est qu’on ne m’a jamais rendus visite sauf comme un point de départ pour une saoulerie. À soixante ans cette tribu là c’est étrange que j’y pense encore… C’était tellement lourd cette solitude maladive, j’étais dans la rue avec les voyous. J’en suis sortis, j’habite pas un château mais c’est juste assez grand pour l’ordinaire et le nécessaire, me suis arrêté au bas de la pente, ai planté mes deux pieds et je me rétablis. Quelques manies aussi comme d’attendre impatiemment le facteur, mais ça vous le savez merci à Monsieur Le Lièvre le regretté. Hier à la télé y’avait Biz de Loko Locass qui expliquait que vivre tabletté, juste faire acte de présence c’est très difficile, c’est vrai étrangement j’ai jamais tant travaillé depuis que je suis invalide, c’étais ça où la mort. Parfois je me perd entre mes quatre murs je préfère ça a être coloc… Je regarde les voitures passées pense aux vieux ivrognes qui sirotent leurs bières à la brasserie là aussi maintenant je préfère être chez moi. Retraité la vie passe et je n’aurai été… Y’a un voisin qui re gardais dans sa boîte à lettre, y’a pas de courrier. Je dis bonjour aux nouveaux lecteurs, lectrices… J’entends l’eau couler quelqu’un prend sa douche. Comme je disait souvent c’est pas de travailler qui me tue c’est tout ceux qui entourent le travail. Des bêtises, je vous écris que des bêtises. « La maudite machine qui m’a avalée à marche en câline faudrait la cassée »-Pierre Flynn. Je me suis perdus, j’ai pas toujours été chômeur mais j’ai longtemps voulu mourir pour m’aider un beer buddy m’avait dis d’y aller de me tuer, méchant fou, plus que moé. Le directeur de la chorale ancien directeur d’école se demandait où j’étais passé, ici monsieur! Ici dans le goulag occidental. Comme rarement on est au milieu de l’après-midi, je préfère vous écrire que de m’allonger sur le sofa. Dehors le ciel est gris, c’est aussi difficile de passer de bum à écrivain que de bum à travailleur. J’ai mal, pense à ce millwright qui avait prédis ce que je deviendrais. Pourtant maintenant j’essais de vivre honorablement, de pas faire de mal. Ce sont des souvenirs, c’est préférable pour moi de vivre le moment présent. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

dimanche 6 mars 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je reviens dans le goulag occidental mon patelin. Mais je dois vous dire tout de suite que la photo a été prise à Central Park New York. Aujourd’hui il fait très beau c’est ensoleillé et la neige fait mal aux yeux. Dimanche, je prends mon temps… Je mange des pommes et des clémentines. Je me sens pas mal ce midi, me souviens de l’antédiluvien terminus d’autobus de Laval au milieu du boulevard Henri-Bourassa dans Ahuntsic. Je me rappelle un soir ce gars étendu sur un banc avec un sac en papier pour sniffer de la colle. J’ai eu peur, je crois que le dernier départ pour Terrebonne était à minuit                quinze. Je le ratais souvent prenais l’autobus Gouin pour me rendre au Pont Pie-IX où je faisait de l’auto-stop, c’est étrange j’avais pas peur. Pourtant sous le pont y’avait le Belhumeur un night club mal famés et un bar de danseuses dont je me rappelle plus le nom, c’étais vraiment pas un endroit pour traîner la nuit. J’avais de la famille qui habitait près du pont des deux côtés. Celui de ma mère au sud et celui de mon père à Saint-Vincent-de-Paul au nord. Je les ai jamais dérangé pas par vertus mais parce que j’y pensais pas. Tout à coup j’ai envie de vous écrire sur la photo du Fauconnier une sculpture de Georges Blackall Simonds (octobre 1843-décembre 1929) un sculpteur anglais directeur de la brasserie H&G Simonds, le fauconnier est un bronze coulé lost wax. L’original a été créé pour la ville de Trieste Italie. Le marchand Georges Kemp aimait tellement la sculpture qu’il en a commandé une réplique à l’échelle pour Central Park. C’est un bronze que l’on retrouve west 72nd street ses   dimensions sont une hauteur de 12 pieds par 2 pieds 6 pouces de largeur. Le moule est de 1871 et dedicated : 31 mai 1875. La fonderie est Chevalier Clemente Pape, Florence Italie. Il y a une deuxième réplique à Lynch Park, Beverly, Massachussetts. Après ça je reviens à mon senti en essayant de construire quelque chose avec… Me souviens de ces dimanches d’enfance où j’avais déjà commencé à m’ennuyer ayant finis de lire les bandes dessinées des petits journaux. Je pense que j’étais déjà malade mental, c’est difficile à détecter chez un enfant mais j’avais des vertiges, des étourdissements sans oublier les démangeaisons que me causaient l’eczéma. Je reviens à maintenant, j’aime beaucoup ce que je fais et j’espère que vous appréciez. Ça sonne comme une fin de blog mais il me reste encore de la place pour quelques mots. C’est ça mon bonheur vous écrire en sachant que quelques un d’entre vous sont là. Je suis pas cynique j’aime pas ça j’essais d’écrire sans malice j’y arrive pas toujours. Je termine… Je sais pas si je termine, je trouve pas les mots pourtant c’est toujours les mêmes, merci d’avoir lu jusque là!!! Et pourquoi pas je vous aime beaucoup de lire ça!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard