mardi 4 mai 2021

Entrée

 

Bonsoir! Bonjour ! Ce soir je crois que je termine avec quelque chose intitulé entrée. Je reçois des courriels inutiles. Je crois que c’est parce que je parle trop dans les formations, je suis allé dire j’ai jamais tant travaillé depuis que je ne travaille plus… Je veux pas être à côté de la track, c’est remplis d’obstacles, je réalise que de la stigmatisation y’en a partout ne serait ce que dans ces courriels à connotation sexuelle … On ne veux pas on ne veux plus que j’écrive, ici il n’est pas question de schizophrénie je ressent de la haine. À soir j’ai juste le gout de pleurer de partir de m’en aller c’est une idée de gars bein magané, qui veux sortir pas entrée. Je suis gêné par les mots qui courent comme des azalées des fleurs d’été … Je sais pas où j’irai le sais tu toi bébé ? Le stigmate c’est comme une armée qui veux me défaire me faire plier. Jamais plus je n’oserai vous dire ayez pitié j’irai au champ attendre le blé. Je laisse la porte débarré venez la chercher la machine désirée je vous donnerai les clés et vous l’emporterez vous l’emporterez au feu d’un brasier bien allumé. Je voudrais tout casser tout abimer a m’ennuyer et je continue à délirer le sexe ça me fait mal comme un organe coupé j’ai arrêté j’ai pas besoin de votre pitié continuez à me harceler. Je suis un fermier fermer avec des problèmes de santé qu’on vois surtout dans la féminité. Je vais me coucher je vais me coucher vous m’enlèverez je suis pas donné après ce seras la dernière virée une histoire d’égo plombé dans la ruelle la publicité, franchement je sais pas dessiné je m’excuse de vous avoir trop regardé c’étais avant c’étais signé je vous dis tout désespéré. Hé oui ! Hé oui ! Je vais pleurez tout ce temps à m’ennuyez avec mon slam allumé je veux comme eux m’arrêter m’entendre dire des saletés, je me sent menacé  enterré à la pelleté dis moi dis moi comment me rendre en Vendée la France la liberté l’égalité la fraternité … Pis toé tu boé moé j’ai arrêté je veux toujours et encore m’en aller, donne le moé donne le moé le temps qu’il fait le mal de pieds, allez allez allez c’est inversé traversé par la mouvance par les tranchées. Ollé! Ollé! Beurré Beurré Beurré dans la vallée dans la contrée je suis partis sans arriver il est minuit presque passé faut enduré faut enduré … Je m’en sortirai un peu pincé des écritures galvaudés un rien galvanisé. Parfois écrire s’est se saouler, se mettre nu déshabillé on y arrive qu’à côté. Voilà ce soir je voulais vous raconter j’y suis entrée et j’ai coulé des mots sans planifier ce seras ça ce seras entier. Voilà! Voilà ! C’est terminé et comme toujours je veux vous remercier et espéré que vous avez aimer. À la prochaine peut-être que j’y serai …

Bernard

 


lundi 3 mai 2021

Dubitatif


 

Bonsoir ! Bonjour ! Lundi soir, nous avons préparé notre formation, c’est bientôt le deuxième et troisième thème. Je sais que pour certain d’entre vous la santé mentale c’est pas intéressant. Je reste donc avec mon journal du confinement, ici ils commencent à déconfiner mais faut pas partir en peur. Le mal m’arrache, m’étripe je veux trop en dire trop en faire un peu d’humilité me ferais pas de tort. Les premiers mots sont souvent les plus expressifs et disent le senti, la journée est passée rapidement, y’a des femmes dans mon courriel qui m’invitent. Elles me prennent pour un idiot. Je lis beaucoup ça m’aide pour mon écriture. J’ai des souvenirs du regretté Mistral à qui j’avais demandé de me lire et qui m’avait répondu ne pas lire dans ses périodes d’écriture parce que ça l’influençais trop, ça brisais sa prose. Pour dire la solitude de l’écrivain, on discute pas. Je me souviens de ce bistro à San Francisco c’étais italien, y’avait un gars qui écrivait seul à sa table. C’est difficile de se sentir chez soi … Semble qu’on va avoir un passeport vaccination mais je me donne un où deux ans avant de partir. J’ai hâte de voir la vidéo qu’on a tourné. Le bistro étais pas loin de la librairie Second City … Je racontais au collègue comment j’étais désagréable à l’époque de mon alcoolisme et ma toxicomanie active ça me menait à la psychose tellement j’étais à l’envers de ce que je voulais faire. Je suis vide ce soir, les mots se jettent un sur l’autre et n’arrivent pas à faire de phrase mais quand quand et qui qui a dis que c’est facile… L’équipe locale a encore gagné le match, j’aime ça je sais je sais ça fait pas de la bonne littérature comme les sentiments de la douce envers son vieux, lapsus j’avais écris soin plutôt que son, je n’irai pas dans cette direction. Bon! Ce soir c’est du délire de bègue, aujourd’hui j’avais le film « Un après midi de chien » en tête avec l’incroyable Al Pacino un classique. Le cinéma malheureusement j’arrive pas à regarder des films c’est comme si j’avais tout vu, peut-être que de l’écrire ici ça va me donner la force d’en visionner un … Pour le moment je lis L’OBS c’est intéressant, il est presque vingt deux heure c’est le couvre-feu et c’est comme si on se permettais de sortir après les heures. Pour terminer je manque d’inspiration, je veux y aller pour la composition mais… L’imagination est en retrait c’est bien beau d’être vrai encore faut il avoir quelque chose à écrire. J’aime quand même, des fois je pense aux itinérants campeurs, j’irais me construire une cabane dans un arbre avec eux … J’arrête d’écrire et c’est comme si ça m’étais interdit mais je veux changer le beat, de toute façon c’est la chute, la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard

dimanche 2 mai 2021

Lost


 

Bonsoir ! Bonjour ! Le voisin d’en haut gueule en nourrissant les mouettes, c’est pas très hygiénique tout ça. J’ai parlé avec l’ami d’un voyage possible en Provence et en Corse ce serait pas avant deux mille vingt deux. Faut voir quel seront les tarifs. Je dis merci à la personne anonyme qui a pris la peine de faire un gentil commentaire. C’est toujours mon journal du confinement demain le couvre-feu seras à vingt et une heure trente. Je suis toujours dans la bataille avec l’expression du senti… Les autorités vont expulser les campeurs semblent qu’ils vont résister, j’espère qu’il n’y auras pas de mal. À la télé y’a une jeune femme qui parlait pour eux, elle disait qu’installer comme ça ils buvaient moins ce que je pense c’est qu’elle avait pas d’affaire là, elle disait ne pas être itinérante … J’ai passé la journée entre l’OBS et la télé. Ce soir c’est toujours le même défi dire dire là et ici. Je ferai pas trop de style la tête m’enfle. Je pense au sud de la France comment ça doit être beau au printemps, j’oublie pas Pagnol je sais ça fait cliché mais comment faire autrement. J’aime bien les écouter, les entendre parler. Cette semaine je donne deux formations, une sur la stigmatisation et l’autre sur le rétablissement. Je ne crie pas, je ne crie plus je ne sais pas je ne sais plus. Je manque de mots comme souvent j’écoute ce que ça dis, hier j’étais heureux de la victoire de l’éq        uipe locale. Je veux éviter de faire un bulletin de nouvelles, l’ami critique d’art nous place des statuts intéressant sur Marcel Proust c’est toujours dans mes lectures à faire mais j’y arrive pas c’est gênant c’est un trop grand maître. Les journées s’allongent encore, y’a les restaurants qui sont fermés mais comme j’y allais pas ça fait pas un grand changement. Y’a un voisin qui gueule, je sais pas trop pourquoi, une psychose ? Demain j’ai une réunion zoom de mon groupe, ils vont peut-être avoir encore besoin de moi à l’institut, je me rétablis lentement grâce aux formations du centre d’apprentissage santé et rétablissement, Recovery College, le CÉRRIS aussi le centre d’étude sur la réadaptation le rétablissement et la réinsertion sociale. Ouais! C’est long pour rien tout ça mais quand je m’implique avec eux je me sent mieux. J’ai ce moyen là aussi pour me rétablir, l’écriture… Ce matin j’ai appris qu’ils restauraient les sculptures de l’Île des Moulins à Terrebonne, elles ont subis l’outrage du temps comme on dis, à peu près cinquante ans … Je vais vous illustrer ça avec la photo d’une œuvre de l’artiste Jacques Huet. Ce soir c’est rien de très intérieur, mon âme ne trépigne pas c’est comme si les émotions me faisaient faux-bond. Y’a pas de quoi pleurer, la nuit viens d’arriver. C’est la chute la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! J’espère que ça vous a plus. À la prochaine !!! Ciao

Bernard

 

P.S. Je vous place aussi une photo d’une œuvre d’André Geoffroy


samedi 1 mai 2021

oeil

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai marché un peu ce matin. Ça va mieux, je lis L’OBS c’est intéressant, la télé est sur le match de l’équipe locale, toujours l’hymne national y’a que là qu’on l’entend … J’aimerais bien qu’on en sorte avec la victoire… Le hockey c’est pas le meilleur endroit pour exprimer ses émotions,  journée ensoleillée,  c’est toujours la même histoire du confinement. Je crois que le couvre feu a été reculé. Je pense à ces septiques qui croient pas à la pandémie, une gang de paranoïaque qui fument trop de pot, ces gens là vont retarder le rétablissement de la population. Je comprends pas pourquoi ils n’y croient pas, si y’a des gens près d’eux qui tombent malade c’est triste mais ils vont changer d’idée. Je croyais que la maladie mentale faisaient un écran pour mes autres malaises qu’on veut pas me soigner. Je crois que certaines personnes sont endoctrinés par les stations de radio où on répand des faussetés, y’a des animateurs qui disent avoir la vérité, de mauvais éditoriaux. En fait je comprends pas les millions d’indiens qui meurent  c’est faux ? Parfois je trouve que ça vole bas, c’est partout dans le monde pas seulement dans notre coin de pays, probablement que la maladie les empêches de réfléchir correctement. Moi j’essais de respecter les consignes, je me lave les mains, je porte un cache-visage, me tiens à deux mètres des autres, limite mes sorties et je suis vacciné … En Italie les croisières ont recommencés, en France c’est le déconfinement, avant de partir je vais attendre. Je vois que je vous fais une sorte de rapport des actualités. Je vais encore tenter le sentis, aujourd’hui ça va mieux j’ai moins mal me sent moins vide. La nuit est tombée, j’ai souvenir de certains week-end avec une copine, à cette époque je travaillais pas ça me donnait une chance la fin de semaine j’avais pas à chercher de job je me perdais dans la lecture. Pourtant c’était toujours entre l’appartement, le bar, le bistro et le café j’avais pas d’affaire là … Mon senti c’est souvent des souvenirs sans nostalgie, ivre dans le bas de la ville. L’équipe locale viens de se faire marquer un but, je plonge au plus profond de mon âme je cherchais l’amour y’en avait pas, on voulait pas se coller sur moi, le malaise du solitaire … Allô! Allô! Est tu là ? Je comptais sur toi pour lire ça ma douleur existentielle ma couleur expérientielle. Je partirais, je partirais je sais pas où je sais pas quand j’attends… C’est difficile d’avoir une écriture soul, une écriture de la rue. Dans la confusion j’essais de nommer et de développer ce que j’écris. Pour ce soir tout ça c’est presque terminé. Je te vois flashé avec ton cash pourtant je m’étais toujours dis que c’est pas important y’a que quand on en manque qu’on parle comme ça. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!

Bernard


vendredi 30 avril 2021

Vinyenne

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est pas terrible, je suis gris comme le temps comme les nuages comme la pluie. Avant de dire que je suis incompris, je vais essayer de vous expliquer c’est comme si la maladie essayait de me rattraper. Parfois j’ai envie d’en finir mais je sais que c’est pas la solution ma douleur est toute morale pas physique. Parfois psychose et misère ne font qu’un dans ce cycle de haut et de bas pourtant je suis pas bipolaire,  je me rétablis d’une autre maladie… Des jours et des jours soixante cinq ans bientôt. Un jour à la fois c’est encore la meilleure façon de vivre. Je passe du courriel à Facebook et je lis des choses inutiles, l’ami dis que c’est hyperréaliste ce que j’écris. J’en ai pas vraiment conscience. Je me meurs d’ennuis, je vous écris pour m’amuser puisque tout le monde dit écrire pour passer le temps … C’est plutôt pour me rétablir en ce moment avec ces quelques mots j’ai réussis à changer d’humeur. Je donne peut-être trop de pouvoir à l’écriture mais ça marche … J’ai téléphoné à la ligne d’aide, j’ai raccroché le gars croyait que j’avais bu. Je ne bois plus depuis longtemps … Pour ceux qui veulent m’entendre encore une fois je suis là https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien . C’est comme si je me courrais après la queue. Lentement dehors ça verdis, l’odeur me rappelle Lille en France malheureusement les voyages sont déconseillé par les autorités. J’écoute ce que dis mon âme elle répète toujours son chagrin sa peine, je suis malheureux. Aujourd’hui j’ai participé à une formation virtuelle sur le rétablissement. J’en connais un peu surtout l’expérientiel … Ce blog fait aussi partie de l’expression de l’expérience mais c’est mon côté indépendant quoi que je compte sur vous pour me commenter, me critiquer.  J’ai reçu un appel téléphonique, je lis les gens qui écrivent et qui disent qu’ils ne sont pas écrivains pourtant, moi je crois en être un j’écris c’est tout ce que ça prend. La difficulté c’est d’explorer son monde intérieur écouter ce qui coule vers le dis, parfois quand je parle en public je suis dur c’est pas évident d’entendre la morbidité mais à la fin je suis toujours vivant et positif. Tout à coup je pense à la solitude des maladies mentales comment c’est difficile pour les proches, j’en reviens aux explications d’angoisses d’anxiété … « De tants en tant un copain de tants en tant un ami mon frère » Jean-Pierre Ferland. Je me suis calmé ça aide s’exprimer. Demain samedi et le cahier voyage dans le journal faute de partir on lis. Je vous écris tout il arrive que j’ais plus rien à vous raconter. Voilà! J’ai presque finis je me cherche une conclusion potable, je suis heureux de vous écrire j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Arrivederci !!! Bye !!! Ciao !!!

Bernard


jeudi 29 avril 2021

Chemin

 

Bonjour ! Bonsoir ! Je me rend bien compte que je répète toujours la même histoire va falloir que j’invente. Aujourd’hui j’ai terminé la lecture de L’OBS de la semaine. J’ose pas aller chercher le nouveau numéro c’est pas essentiel, c’est le moment de la rentrée pour plusieurs bien qu’il y en ais beaucoup qui font du télé-travail … J’ai vue aux actualités que La France allait ouvrir ses frontières dans deux mois, ça va prendre une passe numérique malheureusement j’ai pas de téléphone. Je vais attendre assez longtemps pour que les choses se placent mon choix ce serait la Corse et la Provence. Aujourd’hui j’ai eu le souvenir d’être allé chercher un camino à la frontière avec mon  lecteur de Deux-Montagnes qui étais partis chercher je ne sais quoi des sangles je crois pour attacher la voiture sur le trailer, en tout cas il m’avait laissé seul avec le trucker qui voulait que je pousse l’auto hors du camion, j’aurais pu m’éreinter il étais assis au volant et pesait sur la pédale des freins. J’ai arrêter de pousser. Je sais pas pourquoi il faisait ça je le connaissais pas. La vaccination est ouverte, le ministre de la santé étais ému, moi je dis qu’ils font une bonne job. On va en venir à bout. C’est toujours mon journal du confinement, je respecte les mesures j’adhère. Y’a une chose que j’ai hâte de voir c’est le vidéo qu’on a tourné au Théâtre du Nouveau Monde. Parfois j’ose pas sortir j’ai peur … Le temps est gris, on parle beaucoup du prix des loyers. J’ai reçu la confirmation de l’Office Municipal d’Habitation de Montréal, j’espère habiter ici encore longtemps. J’apprend qu’à soixante cinq ans les transports en commun vont être beaucoup moins cher. Je suis vieux ! Cet après midi j’ai parlé avec la matriarche quand on s’est quitté j’ai compris estie de fou plutôt que merci beaucoup, c’est ma folie. J’écoutais un écrivain qui disait qu’il fallait écrire librement sans se censurer. Pour les voyages ont va peut-être pouvoir partir avec Air Transat mais je crois que ce seras beaucoup plus cher. Je pense aux hôtels en France, ils vont certainement être heureux de voir des touristes. Je sais sur internet on devrais pas révéler notre vie intime mais de quoi voulez vous que je traite … Ce soir j’ai souper avant de vous écrire, j’essaye d’être original. Dehors les voisins promènent le chien, j’y vais avec mon senti faut pas que je m’écoute trop c’est dangereux pour la rechute, ce serait moi qui camperais avec la façon de pensés d’un ivrogne. Je vous dis merci pour les commentaires c’est apprécié, le gouvernement je peux pas m’en plaindre mon logement est subventionné par contre je sais comment ça peut être difficile pour quelqu’un qui a une maladie mentale de garder un logement, le syndrome du persécuteur pour parler simplement. Voilà! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! Ciao

Bernard

mercredi 28 avril 2021

Sol

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je reste au niveau du sol, je peux pas m’envoler… Dehors y’a des gens qui marchent sous la pluie, c’est un temps triste pourtant ça verdis, ce soir y’a un match de l’équipe locale. Souvenir de la radio on disait se faire aller le mâche patate et d’une façon pleine de sous- entendus, de parler dans le micro … C’est y’a longtemps je crois que ça a contribué à la maladie. À soir je sais pas quoi vous écrire, je suis triste, c’est le confinement rue Sainte-Catherine… Une sorte de mélancolie… J’aimerais bien être à un chalet et me faire un feu de camp. Je pense à la dernière fois où c’est arrivé avec le mari de la super-maman dehors dans sa court c’était très agréable, je pense à ça et je pleure tellement je m’ennuis. J’aimerais bien pouvoir y retourner un jour après la pandémie … Regarder un feu de camp c’est très apaisant j’aimais bien aussi en faire avec ma blonde du temps, le feu c’est fascinant … Je sais pas si les itinérants du camping Hochelaga vont faire un feu je devrais aller faire un tour pour voir. Ceux qui sont trop mouillé ça peut les aider à sécher enlever l’humidité. Tout ces souvenirs de campings en famille je partageais une tente, le soir on faisait un feu et on attendait la braise pour se faire des toasts, des plaisirs simples mais tellement agréable. Y’avait aussi tout les petits journaux du week-end et les bandes dessinées couleur sans parler des photos-romans italiens. C’est loin tout ça, à l’époque des terrains de camping y’en avait pas beaucoup je me souviens du camping Kelly, du Montcalm et celui de La Tuque qu’on avait adoré … Me souviens aussi du cousin de ma mère chez qui on avait campé à Chibougamau. Je pense aussi qu’on campait chez un oncle de ma mère à Sainte-Marie d’Ély dans l’Estrie, il avait un si beau chien Saint-Bernard mais il buvait beaucoup de bière. Mais oui le patriarche trainait toute sa famille comme ça, on allait aussi chez un oncle, mon parrain à Saint-François-du-Lac là aussi on s’amusait beaucoup avec le chien Rex. J’ai vieillis laissé passer tout ça en oubliant que j’avais été privilégier de jouer ailleurs que sur le trottoir où dans la ruelle, c’étais le bon temps ça s’est gâté à l’adolescence … Aujourd’hui les gens ont des VR des véhicules récréatifs, d’autre campent dans des bases de plein air plus sauvages. Avec la pandémie de Covid-19 et l’interdiction de voyager en région vaux mieux pas trop pensés à ça. À cette époque j’étais pas encore angoissé ni anxieux ont avais pas commencé à essayer de me tuer. Voilà! Plus tard je me souviens d’avoir passés une nuit dans la boîte du pick-up d’un ami, je crois qu’on étais tous malades. C’est la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao

Bernard