samedi 9 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir chez moi y’a une odeur de fromage bleu. C’est la nuit sur le goulag occidental. J’ai fermé la télé, j’écoute ce que mon cœur dis, faire du théâtre c’est pas nécessairement une affaire d’efféminée. Ça grouille toujours en dedans, on appelle ça des émotions, parfois je crois que quelqu’un a déplacé des livres dans ma bibliothèque, c’est une forme d’hallucination… J’ai souvenir de ces soirées étendu sur le sofa dans le sous-sol chez mon père, je regardais la télé, j’ai rien construit là, je me suis juste enfermé dans l’aliénation, la névrose et la psychose. J’avais peur à mort, maintenant je veux voyager, je veux respirer, je suis libéré, quoi que la folie reste. J’ai souvenir de papiers que j’ai signé y’a longtemps, je sais plus ce qu’il y avait là dedans je crois que ça avait rapport avec la psychiatrie. Longtemps une femme de l’institut Pinel me suivait pour me poser des questions. J’ai été chanceux on m’a pas enfermé… Toutes ces nuits passées dehors a cherché des amis parce que ceux que j’avais me repoussait, y’avais rien pour me bâtir une estime, le patron du bistro me dénigrait et moi comme un idiot j’y retournais. Je prenais un taxi dans la Petite-Patrie pour descendre dans le bas de la ville, boire dans les odeurs de cigarettes et de bière. Je voulais pas vivre dans le goulag occidental pourtant c’est ici que je suis le mieux. Je pense aux gens que j’invitais à discuter devant un café, il croyait tous que c’était pour autre chose… Le centre Bell viens de se vider y’a plus de circulation dans le goulag occidental. J’essais comme toujours d’y aller avec mes émotions, ce soir y’a pas de paranoïa, pas d’anxiété ni d’angoisse j’espère qu’il y auras pas d’alarme incendie c’est toujours la nuit et je m’ennuis c’est pour ça que je vous écris. J’écoute le tic-tac de l’horloge, c’est comme l’enfer toujours-jamais, pense à l’éternité à pourrir. J’aimais bien les dessins animés de Popeye et j’avais peur de la présentation d’une émission avec un énorme œil dans l’écran c’étais pour moi l’œil du tout puissant omniprésent, je pouvais pas me cacher. Je commence a fatiguer à m’endormir, demain c’est dimanche pour ce que ça veux dire maintenant y’a beaucoup de monde qui travaille. Quelques mots ça a pas une grande valeur, je pense à la maitresse d’école anglaise qui étais aussi écrivaine, elle a pas fait grand cas de moi… Je me sent lourd et dans les vapes, je termine ça et je me couche mais comme souvent je vais me réveiller insomniaque au beau milieu de la nuit… C’est un soir de printemps dans le goulag occidental, je colle les mots l’un à l’autre en essayant de trouver un sens, c’est toujours mon monde intérieur qui est présentement silencieux. Ça prend un abrutis pour écrire ça,  ça grouille plutôt d’émotions pêle-mêle. Je vous en ai assez écris. Je termine donc comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je me sens bien. Je vous écris sur All Blue de Miles Davis j’essais de suivre le rythme. Pense à toutes ces années passées dans les clubs, parfois du jazz, parfois d’autre musique. On entend plus le crissement des disques comme à l’époque des trente trois tours. Les aiguilles, y’avait celles des gramophones et celles des seringues pas beaucoup de génie là dedans. Ça sent le souffre, je sais pas pourquoi… Samedi, tranquille et serein, le jazz de Miles Davis c’est du cristal comme du verre aux mille reflets. Y’a des chefs d’œuvre qui ne vieillissent pas, je saurais pas vous écrire ce que ça évoque pour moi à une époque le jazz grouillait à Montréal. Je pense au Esquire show bar, je l’ai connus à sa fin. Je me vois à quatorze quinze ans marchant seul sur la Catherine un peu dépressif et me questionnant, j’entrais dans un bar vide au sous-sol d’un édifice et je commandais une bière déjà là j’étais alcoolique, la descente fut longue… Les jeunes filles étaient toujours par deux, j’arrivais pas à choisir, je pense que ça a contribué à ma schizophrénie faut dire que quand je buvais avec leurs chums, elles appréciaient pas elles me rendaient la pareille je crois. C’est un après-midi Miles Davis, là ce qui joue c’est Ascenseur pour l’échafaud,  du génie pur. Cette musique c’est aussi vieux que moi mais ça reste actuel. Je cherche de Paris où de New-York laquelle étais la plus jazzé, quoi que le jazz c’est très américain. Je suis loin de mes émotions aujourd’hui, souvent la musique était tellement énervante ça vous forçais a consommer, sans parler du brou ha ha des discussions à chaque tables. Je pense au style de vie de Miles Davis, à cent mille à l’heure dans des voitures de luxe et tout ce qui va avec quelqu’un qui a beaucoup d’argent pour s’amuser. Je peux pas vraiment vous parler de ça j’ai jamais été riche dans mes années de consommation je fréquentais des clubs de troisième zone si on peux dire. Maintenant j’ai une légère migraine, je pense au vilain jeu de mot. « Mon gourou m’a rendu fou, maman, maman, maman, ton fils passe un mauvais moment, Maharashi Mahesh Yogi »-Jean-Pierre Ferland. Dehors dans le goulag occidental, la neige a fondue, y’a un peu de soleil et moi je suis pas trop irritable. Non! Non! Je retourne pas à New-York pour voir des shows, tout le monde le sait c’est une bizzness, les verres coûtent chers. Lentement je vous rédige une sorte de blog où je parle pas trop de mon monde intérieur, faut parfois s’en éloigner pour mieux y revenir Quelques mots encore, je respire par le nez c’est un bon moyen de couper l’angoisse. J’ai plus tellement envie de traîner dans les bistros, quand je suis seul je reste chez moi. Maintenant je termine vraiment, c’est la partie la plus difficile, je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

vendredi 8 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Grosse journée de répétition, je suis de retour du théâtre. Je veux pas trop vous en parler ce serais pas délicat pour des personnes qui souffrent. J’essais ce soir de vous en écrire un autre, la télé est sur le jeu questionnaire français Question pour un champion. Au fond j’ai pas à me flageller je suis correct, je fais de mon mieux. Je vous le dis souvent mais à force de l’écrire je vais être convaincu. On a une pensée pour la matriarche qui a eu une chirurgie de l’œil… Je vais vous avouez je suis à un moment où je ne sais pas quoi vous raconter, ce soir j’ai soupé d’une pizza c’étais bien. Je pense à ceux qui ont deux jobs je me demande comment ils font. Mais non! Mais non! C’est pas maman fonfon y’en a surement de vous qui se rappellent de ça, sans parler de tante Lucille à la radio le samedi matin si je me souviens bien. Elle racontais de magnifiques histoires, je pense aussi à Chez Hélène à la télé anglophone j’aimais ça parce que parfois y’avait des dessins animés, sans parler de la marionnette souris. J’ai toujours aimés les histoires me les faire raconter où les lire, je me sentais ailleurs mais bien. Je pense à repartir je sais pas trop où, la France encore? L’Espagne? L’Italie? Le cousin m’a fait tripper avec ses photos de la fontaine de Trévi… Rome c’est surement magnifique je crois qu’on peut y admirer des œuvres de Michel-Ange, y’a de l’histoire là! En attendant le goulag occidental est gris. Renaud a sortis un nouveau CD, on lui souhaite du succès au vieil anar après l’enfer qu’il a connus. Je sais pas si il porte encore le perfecto, les jeans et les santiag. O.K! O.K! La veste de cuir et les bottes de cow-boy. C’est qui les cons cubains? Ha non! C’est pas ça c’est concubins. Bon! Je suis rendus que je fait des farces plates, mais je peux dire que j’ai pas vu de con à Cuba. On se promène ce soir de l’Europe à Cuba, aux actualités un gros débat sur le mot pédé qui est effectivement une insulte. Quand on emplois des mots comme ça c’est difficile de rédiger, ça fait mal, ça rappelle de mauvais moments. J’ai commencé la rédaction j’allais bien et lentement l’auto-dénigrement s’installe… Je vais terminer ça sur une note positive, je vais essayer d’apprendre mon texte pour la lecture au Cabaret poétique ça s’intitule « Quête d’identité et d’imaginaire » à date c’est une belle expérience, je crois que les gens sont sérieux, on va faire quelque chose ensemble. Vous êtes tous invités c’est le 2 mai 2016 au TNM les portes ouvrent à 18hrs30. On vous y attend! J’aime ça, je sais pas si c’est un gage de qualité mais je prend du plaisir a travailler là-dessus. Bon! Maintenant je termine et vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 7 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive de ma répétition, je crois qu’on a fait une belle chose de mon texte… Dehors il pleut, je suis un peu fatigué ça demande de la concentration. Y’a eu des émeutes à Montréal-Nord, des casseurs cagoulés, pendant ce temps-là… J’essais de me brancher émotions. Je pense que je m’en demande beaucoup écrire un texte par jour. J’ai de la peine, la comédienne a rendue mon texte magnifique, une collègue m’a embrassé elle disait apprécier mon texte. C’est difficile d’écrire quand on est à bout, demain c’est la dernière répétition avant la dernière semaine d’avril où on va répéter toute la semaine avant la représentation de mai. Je sais les horaires c’est pas des émotions… Ça grouille en moi, j’arrive pas à mettre des mots, comme toujours ces temps-ci la télé est sur les actualités… J’ai pas de discours sur ce que j’écris du moins pas ce soir, j’essais de filer sur les mots qui se présentent, dans l’autobus y’avait une odeur d’alcool, le jeudi c’est soir de paye on en profite pour s’en jeter un petit derrière la cravate. Pas moi! De ce côté-là j’ai assez donné, je suis bien seul chez moi. Je me souviens de cet ami qui disait les textes on a pas besoin de ça, aussi bien récité le bottin téléphonique où le catalogue Eaton, c’était un être insensible qui niais ses émotions incapable de les vivre il était près de la schizophrénie. Encore une personnalité qui fait un ACV, on le souhaite à personne… Un imbroglio à propos d’une œuvre de Modigliani, ça me fait dire que c’est difficile le marché de l’art. Je pense à la sympathique comédienne qui a accepté de jouer avec nous. Jouer, c’est bien ça, le jeu c’est une chose que j’ai pas tellement développé, on en est qu’au début avril l’hiver s’étire. Les photos qui étaient dans ma tablette électronique sont toutes disparues. Heureusement j’avais copié les fichiers sur mon PC. Aujourd’hui je suis pas malheureux, j’écoute ce que dis mon cœur c’est romantique et sentimental comme l’éclairage tamisé assis sur le sofa avec sa douce. Y’a pas tellement de monde qui écoute pas au moins une télésérie, moi je les achètes je veux pas avoir de publicités. On parle des amoureux des mots, c’est bien de savoir parler et de savoir écrire… Pourtant dans le goulag occidental c’est pas ici qu’on retrouve le langage le plus châtié, l’autre soir j’étais dehors et je pensais aux enfants qui s’amusent dans les rues et les ruelles. Ce soir avec la pluie je sais pas ce qu’ils font. Y’a surement des émissions pour les jeunes à la télé… Encore quelques mots, parfois je sais pas pourquoi je pleure pas plus, mon humeur est stable c’est ce que dirais le psychiatre, y’a des années que j’en ai pas rencontré et je me porte pas plus mal. Bon! C’est la finale, je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! J’espère que vous allez revenir!!! À la prochaine!!!

Bernard

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer d’en écrire un autre. Je pense au désigner à la retraite en Caroline, j’espère qu’il me lis toujours. C’est tout blanc dehors, cet après-midi j’ai une répétition, comme je suis dans la représentation je verrai pas ce que ça donne dans l’ensemble. C’est la nuit je suis debout et je vous écris. Je fais bouillir de l’eau pour le café, je suis pas seul je pense aux amis. Je sais pas pourquoi j’ai Brassens en tête, un grand poète celui-là. Je mange des gaufrettes à la vanille c’est pas tout-à-fait Saint-Denys-Garneau, j’essais d’imaginer le quotidien du grand poète. Je le vois à son bureau près d’une fenêtre avec vue sur la rivière, il est assis devant lui y’a des feuilles et une tasse de thé, il souffre ça marque sa poésie, un grand poète méconnu, l’acte, le geste c’est toujours le même écrire… Étrangement j’ai de la musique de Peter Gabriel dans la tête, j’essaye la musicalité, je vous l’envois, je vous l’envois sans parler avec charité rien n’est donné ni parlé des onomatopé jazzé, vieux beep-bop chanté et moi déraciné enragé engrangé, j’épelle j’appelle saute dessus alittéré avec les mots du poète qualifiés. Vous verrai, vous verrai comment justement ça rime à rien, poésie sans pieds ni chaussures juste des chaussettes pour le dégueulasse jus du matin, tiens, tiens, je me souviens de rien sauf peut être du satin de la dame d’airain, so the rythm je le retrouve quand j’entrouve la porte du cloporte, bestiole qui s’étiole et moi qui chante dans l’espérance et la souffrance, allons, allons ce seras pas long je trouve pas le dicton, des mots sans noms en essayant d’éviter la répétition. Ai mangé toute les gaufrettes, terminé le café, pense à l’écrivain humoriste à sa façon de travailler y’a surement des journées où il a pas de joke. Là c’est de la musique de Pink Floyd « Hey you! Out there in the cold feeling lonely feeling old ».  Je me suis arrêté plus qu’exilé je suis déporté emporté dans l’immédiateté des mots purgés sans voile ni épée. Ne me demandez pas le sens trouvez le … Je regarde l’écran j’aime bien ce qu’il affiche, ces caractères, « All in all it’s just an other brick in the wall »-Pink Floyd. J’y vais j’y vais je vous termine ça avec un baroud d’honneur une poudre de peur à la lueur des amateurs des chercheurs, de ceux qui sont à l’heure pourtant y'a rien de meilleur que les mots tracteurs qui tirent qui tirent et cherchent le bonheur d’un aviateur qui vole sans sueur. Voilà! J’ai donné ce que j’ai pu cette nuit encore quelques mots avant de terminé. Je pense que je veux finir trop vite s’agit de pas pensés à avant dans le temps à mon âge on a pas connus les chantiers ni inventé la chasse-galerie et là je termine vraiment, je m’écrase en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 6 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Hé oui! Il neige… Ce matin j’ai reconfiguré ma tablette électronique ça vous dis rien. Je me branche sur mon sentis  c’est le vide. Mon lecteur de deux montagnes a fait l’acquisition d’une autre voiture je crois, encore une vintage… L’UPAC encore à la télé, je sais pas si je suis corrompus, je crois pas. Ils gardent le même directeur. Les hôpitaux tombent en ruine c’est des endroits a pas fréquenter. Je suis loin de mes sentiments de mes émotions. Je suis un peu tanné de la neige, j’ai ouvert le store, je regarde ça le parc est redevenue tout blanc. Je pense que la santé va prendre le bord, on va investir dans la brique plus que dans les malades. Des milliards de dollars sur cinquante ans, je verrai pas la fin. Ai mangé un peu de pain avec du sirop d’érable. Je crois que vous avez pas aimé mon blog d’hier enfin… J’attends un remboursement de ma carte de transport, les rues sont plus chaudes la neige fond. Si vous voulez savoir comment je me sent, je suis pas agité. J’arrive pas a vous écrire ce que je veux cette sensation un peu dépressive, je vous l’ai déjà dis la schizophrénie contiens toute les maladies mentales. Ce que j’écris c’est pour vous faire plaisir, les tribulations d’un homme seul dans le goulag occidental. Parfois y’a des publicités télévisées qui me prennent pour un débile avancé. Je fais une gingivite c’est fatigant. Ça tombe, ça tombe c’est blanc, la journée est passée je suis heureux d’avoir rétablis les fonctions du Ipad. Lentement c’est toujours pareil, j’écris jamais de grand texte. Au actualités c’est étonnant y’a une personnalité qui décède chaque jour. Je suis pas une personnalité mais je veux pas être le prochain. Aujourd’hui je suis resté encabané chez moi. Viens de regarder les actualités de France2. J’aime bien les images de pays français. Lentement dehors ça se refroidis la neige reste collée sur l’asphalte et le ciment. Comment je me sent? Comment je me sent? J’essaye de faire l’intéressant. Je recommence a avoir des brûlements d’estomac. Je pense à ma sœur qui est partie, qui a laissé la vie. On a pas fait beaucoup de choses ensemble, elle avait beaucoup de caractère. Je pense qu’au Québec il y a trois suicides par jour, c’est beaucoup trop mais parfois je comprends malheureusement. Ce soir ça me fait pas mal, parfois je prie… Quand je vais avoir finis de rédiger ceci je sais pas trop ce que je vais faire peut-être que vous trouvez ça ennuyeux mais moi quand je termine je suis satisfait. Je veux pas terminer trop vite, je raconte l’histoire de personne d’autre que la mienne. Je regarde par la fenêtre la vue est bloquée on aperçois pas les édifices à deux coins de rue. Pas de musique, pas de télé une certaine paix et la nuit qui arrive. Je termine bien que je vous ai pas beaucoup parlé de mon intériorité. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mardi 5 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vous en écris un encore cette nuit. Je vais essayer de pas me dénigrer d’être porteur d’espoir pour les moins chanceux qui me lisent. Oui! Ça se peut se rétablir mais ça demande beaucoup de pardon. Je reviens aux bonnes vieilles valeurs qu’on nous a enseigné il faut les réactivés. Je sais ça parais difficile souvent le responsable de nos malheurs est quelqu’un de religieux où de proche de la religion qui aimait les petits garçons. Je dois vous dire que moi je me souviens pas mais je suis profondément convaincu que dans mon enfance y’a une personne de mon entourage qui a abusé de moi. Je lui ai pardonné, tout ce que j’espère c’est quelle fasse plus de dégât chez les enfants. Ce que je vous raconte là je le vois souvent chez les autres mais pourquoi pas moi. En fait plus j’y pense plus je soupçonne deux personnes. Ce sont des sortes de hillbilies, de malheureuses personnes qui je ne sais pas pourquoi m’ont fait ça. Je sais bien quand vous allez lire ça vous allez dire c’est un malade, mais oui je suis malade j’ai comme vous le savez développer une schizophrénie paranoïde qui discrédite tout ce que je peux dire sur mon état et ce qui m’a amené là. Je devrais pas écrire là-dessus vous signaler ça, vous aller m’ostracisé encore plus que je le suis mais comme je suis les mots de la poète du tout écrire je vous écris ça. J’en connais plusieurs qui lorsqu’ils réalisent ça se suïcident. Je menace personne je veux juste vivre tranquille et écrire de la poésie pour le reste de ma vie. Je ne veux pas me dénigrer cette nuit, je suis juste moi avec mes difficultés vous pouvez prendre ça pour de la fiction et c’est le cas de le dire une histoire à dormir debout c’est O.K. J’en suis a me demander si je vais mettre en ligne, cette histoire là elle fait partie de mon rétablissement. Je vous la raconte clairement cette nuit pour essayer de m’enlever un poids, un stigmate, dehors y’a une voiture qui ronronne a faire sauter le moteur. J’ai jamais réussis a identifier qui m’a fait ça probablement que je trouverai jamais mais j’ai le droit de parole et je sais que ça vous plairas pas enfin je tiens pas personne de responsable pour mes malheurs d’aujourd’hui mais pour ceux de mon enfance y’a surement quelqu’un qui en sait plus que moi. On peux pas tenir un enfant responsable. Pour ceux qui se demandent quel genre de vie je mène, je suis juste tranquille dans le goulag occidental, je suis pas devenu pervers. Comme je vous l’ai précédemment écris je pardonne et j’espère que vous allez me pardonner vous aussi c’est une question de vérité et d’authenticité. Un jour peut être j’aurai un rétablissement solide. J’espère que je vous ai pas trop choqué. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard