samedi 3 septembre 2022


 

Bonsoir ! Je pense à tout ceux qui comme moi ont pas sommeil. J’ai très hâte de vous présenter mon livre cette nuit je suis dans une espèce de torpeur que je ne saurais nommer autrement. J’ai regardé une série Islandaise je rêve d’aller à Reykjavik. J’aime ses jolies maisons colorées sur le littoral. Je me torture pour vous nommer, vous  décrire mon monde intérieur. Hier j’ai pleuré en écoutant souvenir d’un vieillard une chanson que les grands pères chantaient aux petits enfants. Que de souvenirs… Maintenant le vieux bonhomme c’est moi, je crois que sans trop me risquer je peux dire que je suis un vieux garçon. La vérité c’est que je suis pas tellement ému les émotions surgissent pas quand je veux. C’est toujours le goulag montréalais  je voudrais vous écrire mon désir, mon mal, mon malaise qui fait que souvent je pense à mourir. Y’a tout et toutes ces camarades de classe qui ne se souviennent plus de moi, c’est triste on a jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression. « Le monde est fou on s’en va où ? » J’aurai vécu la fin du vingtième siècle et le début du vingt et unième rien ne va rentrer dans l’ordre c’est une époque bousculée. Pour l’illustration j’arrive pas a trouver c’est de qui mais c’est superbe peut être qu’un lecteur va l’identifier.

03/09/2022

jeudi 1 septembre 2022


 

Bonjour! Je sais pas si ça prend que du désir pour écrire mais plusieurs disent que ça prend un minimum d’huile de bras. Ce matin j’ai comme toujours une panne d’inspiration. Je trouve que le goulag deviens violent tirs d’arme à feu, poignardage on est en sécurité nulle part. Je pense aux amis de Roberval c’est surement pas aussi violent. La chasse bientôt dans les bois ce seras les coups de feu tout ça vous dis pas mes sentiments intérieurs. L’angoisse toujours,  la peur pourtant j’ai qu’à me souvenir du mouroir où j’étais y’a trente ans comment c’est plus facile maintenant. Voilà comme souvent je vous écris de la nuit, le voisin regarde un film d’action à la télévision chez moi j’entends la musique, la bande sonore c’est peut être un film d’épouvante. Ce soir y’a du football à la télé j’aime ça… Je me souviens de l’époque où j’animais la rue en plaçant la radio à la fenêtre, les gens en avaient rien à foutre mais je le faisait quand même disc-jockey du trottoir. Cette semaine je me questionnais sur un éventuel retour en banlieue, une mauvaise nostalgie où je pourrais pas profiter d’un logement subventionné maintenant je suis bien montréalais. Je termine ce soir en vous parlant d’une photo d’une peinture impressionniste toute de couleurs. Je vous remercie d’avoir lu jusque là à la prochaine j’espère.

02/09/2022

mercredi 31 août 2022


 

J’espère que vous avez passé une belle soirée. J’en connais qui ont du mal à dormir. Je vous écris de la nuit, c’est le dépôt des prestations de sécurité du revenu. Plusieurs vont aller se calmer dans l’alcool, ce monde là je l’ai quitté y’a un moment souvent quand t’est pas trop utile on dis que tu est un poète. Les bars c’était pas le bon endroit pour discuter. Je ne pleure plus j’aimerais vous écrire un poème arraché au monde nocturne, faire taire ce malaise volubile. Je dis merci au gens qui ont commenté, je veux pas tout vous raconter tout de suite. Une voiture passe en fond sonore on entend de la guitare électrique dites moi comment fait on pour écrire ses émotions j’écoute et j’entend rien que le brouhaha de l’anxiété. Parfois je reçois des courriels en double comme si j’avais deux personnalités. Mon discours c’est toujours le schizophrénique, la paranoïa, la persécution cette semaine j’ai eu le reçu de l’assurance domicile. C’est difficile de vous écrire la solitude me dérange plus beaucoup. Chaque blog je l’escalade comme une parois rocheuse qui me déchire les mains, j’ai la peur de glisser et de tomber au fond du ravin « littéraire ». J’essais d’y croire, écrire il ne me reste plus que ce pouvoir mais si j’y pense bien je peux vous raconter mon expérience du rétablissement en espérant aidé quelqu’un en ce moment, dire que la maladie mentale a une fin qu’on peux se rétablir. Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque là, à la prochaine j’espère,

01/09/2022

 

mardi 30 août 2022


 

Bonsoir les insomniaques ! Me voilà qui vous écris avec plaisir, c’est la nuit la radio diffuse une émission de parlotte. Septembre arrive c’est la rentrée j’ai toujours mes souvenirs d’enfance, le papier cartonné, la poudre verte du concierge de l’école qui nettoie le dégât sur le plancher qu’avait fait un camarade trop anxieux. Hier au supermarché les employés disaient que j’avais pas le droit de manger parce que j’avais pas travaillé. C’est faux j’ai fait plusieurs boulots aujourd’hui je suis retraité comme beaucoup. J’écoute j’essaye de nommer ce sentis ces émotions, la nuit c’est plus calme . Je pense à tout ces voyages que j’ai fait dans les dernières années, je vous le souhaite, je creuse je cherche je pense à cette journée à l’hôtel à Paris où assis sur le tapis devant la fenêtre je lisait un magazine Picsou et j’ai connus une sorte de félécité de  bonheur que je n’avais pas connus depuis longtemps . Je peux pas vous dire comment c’était un délice. Je vous écris comme ça heureusement je suis seul ça dérange personne. J’ai pas de lourdeur ni d’angoisse cette nuit, un peu peur qu’on envahisse mon logement. Voilà c’est ça pour cette nuit je vous souhaite tout le bonheur du monde.

31/08/2022


 

Bonjour ! C’est le petit matin, je viens de terminer la lecture du journal j’entend la radio. J’ai dormis je m’étais couché tôt. J’aime le matin je suis moins anxieux j’entend I want to hold your hand des Beatles à la radio. J’essais de garder vivant mes souvenirs de Paris. Je me sent émotivement vide. Je pense à ces sportifs qui disent qu’ils sont excités… Ça deviens difficile de vous écrire, ce sont les élections ils font des promesses. J’essais d’écrire de l’intérieur de ce qui habite mon âme, un point sourd dans mon estomac c’est un peu ridicule. Hier j’ai lu le recueil de poésie d’un ami. Je rêve encore de Paris. J’aime la liberté je suis pas un nazi. J’aimerais bien pouvoir faire de longues phrases du bout de mon univers ordiné computerisé. Je sais pas si ça s’écris j’évoque la licence poétique. Je sais pas où j’en étais avec ce blog. Ça sent quand même bon chez moi, le ménage c’est important. C’est de l’écriture en direct c’est pas trop travaillé, je vous écris de mon insomnie. Je sais pas comment terminé voilà j’y suis. Je vous remercie d’avoir lu. À la prochaine au revoir !

30/08/2022

lundi 29 août 2022


 

Bonjour ! De retour chez moi ce matin après un week-end occupé. Une belle fête anniversaire chez ma nièce avec du beau monde. J’ai dormis chez ma toujours accueillante sœur, j’y ai croisé une cousine que j’avais pas vus depuis longtemps. Y’avait des enfants qui s ’amusaient. Aujourd’hui il va faire chaud avec un humidex assez haut. J’ai une belle famille avec laquelle je m’entend bien quand même on est tous dans nos univers mais toujours heureux de se rencontrer. J’ai beaucoup aimé la soirée avec le feu de camp. Quand même quand y’a beaucoup de monde je suis angoissé, anxieux aussi mais j’étais heureux. La matriarche avec son grand âge est toujours aussi inspirante. Mon frère collectionneur d’auto est toujours aussi rigolo je suis content de participer toujours dans la sobriété. Le beau-frère est toujours aussi érudit on en apprend toujours. Ce matin je suis chez moi je vous écris ça, je suis pas trop angoissé. Je termine en vous souhaitant un bon lundi.

29/08/2022

vendredi 26 août 2022

Bonsoir! Ce soir je me sens étrange. Je trouve plus les petites publications dans lesquelles j’avais des textes. Demain je vais chez ma nièce à Cantley toute la famille y seras on devrais avoir du plaisir. J’ai encore le souvenir de Paris, j’y retournerais. Comme toujours ce sont mes entrailles qui parlent, je me sent comme un chien battu. J’en ai assez de regarder la télé je préfère vous écrire. Montréal a jamais été si violente, ils rajoutent une escouade de police. Je pense au treizième arrondissement, les Gobelins. Ça fait quelques jours que je reste chez moi dehors c’était trop lourd. À chaque jour j’ai conscience de vieillir c’est affolant. Je reviens au blog y’a un moment que je l’avais abandonné. Pour les enfants aujourd’hui c’étais le retour en classe moi je trouvais ça difficile. J’étais ingrat ma mère me faisait des vêtements que je ne voulais pas porter c’est à treize ans que j’ai déboulé y’a cinquante trois ans de ça. Je veux pas devenir un vieux gâteux. Je mélange tout les arrondissements c’est Paris. Je ne pleure plus ma nièce y’a longtemps m’écoutais au téléphone. Je termine là-dessus et vous remercie d’avoir lu.

26/08/2022