mardi 4 août 2020

Tronc


Bonsoir ! Bonjour ! Je reste toujours confiné, j’ai démarré le climatiseur… Drame au Liban vraiment cette année est vraiment, je sais pas comment la qualifiée, douloureuse, tragique… J’étais assis chez moi et j’essayais de prévoir ce qui allait me toucher… J’ose plus sortir dehors, je sais plus ou me cacher. Dans des moments pareils je ferai pas l’humoriste… Il faut vivre malgré tout… Je pense à tous mes proches. Je veux pas être narcissique… En ce moment pour cause de pandémie on peut recevoir personne chez soi. J’ai beaucoup aimé que mon lecteur de Deux-Montagnes et sa douce passent me voir y’a deux semaines… J’ai perdus le fil de ce que je voulais vous écrire… Mon écriture est souvent comme ça elle saute, ils ont ouvert le casino, un retour vers le « normal » un mot que je déteste, normal c’est toujours relatif j’étais pas plus normal avant cette crise… Je pense à la maladie,  à la schizophrénie avec un zest de Coronavirus… Là où j’ai un peu de difficulté c’est le rétablissement de certains qui boivent encore de l’alcool là aussi le rapport il est encore avec le « normal » ceux qui ne boivent pas apparaissent déviant… Quand je manque d’inspiration je pense aux douches d’Alcatraz à la chance que j’ai de pouvoir en prendre une quand je veux… On est loin du manque de liberté de ceux qui ne veulent pas porter le masque… Ça aussi les anti-masques c’est un « rétablissement » détestable… J’aime beaucoup mon eau de toilette y’a plein de souvenirs de voyages qui va avec… L’ostie de Libarté j’ai pas encore trouvé d’homme libre et j’ai plus de soixante ans, y’a que des grandes gueules d’alcooliques actif, la libarté après une ou deux bières c’est pas fort, les plus snobs font la révolution après une ou deux bouteilles de vins pour le lendemain matin se demander ce qu’ils ont fait… Ils ne portent pas de masques en vertu de cette libarté. Sans se demander combien ils en tuent… Je vais remercier ma lectrice préférée secrétaire retraité du cégep de l’Outaouais pour sa
suggestion. Je préfère écrire un texte à tous les jours c’est une autre sorte de défi… L’insomnie! Je veux faire un petit boutte de nuit avec mon lecteur de Deux-Montagnes… Les amis libanais parlent d’apocalypse, c’est le peuple qui parle de la fin de son monde… Des ruines, de la poussière et du sang, ils souffrent. Je pense au poète Péloquin qui a écrit « Vous êtes pas tanné de mourir bande de caves! ». Cette nuit on veille avec une petite prière en pensant à ce prêtre vu à la télévision qui disait sa messe et qui a reçu des ruines sur la tête…. Ouais! J’ai hâte que le monde se replace ça risque d’être long… Mais puisqu’il faut vivre… C’est l’épilogue encore une fois ne m’abandonnez pas comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est terminé pour cette nuit, à la prochaine je l’espère !!!

Bernard


lundi 3 août 2020

Penture


Bonsoir ! Bonjour ! Nuit de lundi à mardi. Je reviens au vrai affaire le confinement. Je ne sors de chez moi que pour aller discuter avec l’intervenante, je porte le masque garde les gens à deux mètres et je me lave les mains parfois à la télévision j’entends des idiots dire qu’on brime leurs liberté parce qu’ils doivent porter un cache-visage, ce sont ceux-là qui font que je m’isole… C’est pas fort cette espèce de révisionnisme qui dis que la covid-19  n’existe pas… Pour ceux qui s’inquiétais à cause de mon dos j’ai plus mal je suis rétablis ça fait du bien… J’ai mis la tv au hockey, l’équipe locale perd par un but… Pour ce qui est de mon senti je pense à l’ami qui souffre de sclérose en plaque mes petites douleurs c’est pas grand-chose… Ce soir y’a un parfum de bouffe je crois que quelqu’un prépare un rôti de bœuf… La covid grince comme une vieille penture de porte sèche. Fermé la télé on perd par deux buts… J’essais de lire un mauvais roman, une histoire très bourgeoise qui se passe dans le milieu des banquiers de Genève. J’y crois pas… Aujourd’hui l’organisation mondiale de la santé à dis qu’il y avait pas de miracle que la pandémie pouvait encore durer très longtemps. J’ai refait mon lit une douleur à la hanche… Je trouve pas comment vous écrire que le paiement d’assurance vie s’est pas fait ils ont peut être décidé que je suis trop malade… Tout ça c’est de l’ordre de l’intime… Je mange du chorizo du saucisson sèché, c’est bon… Je m’en garde un peu pour assaisonner une pizza… J’ai ouvert la boîte de biscuits en pensant au jeune garçon dans la publicité qui dis « la vie c’est all sunshine and rainbow » il est impayable… J’arrive pas à me renouveler tout ce que j’écris c’est une autre mouture de la même histoire… Parfois je me dis que je devrais disparaitre… Je me suis vendu l’idée que je pouvais écrire, de quelle façon je vous laisse décider… Des milliards de personnes et de destins, j’emprunte ça aussi à une publicité de Radio-Canada … Déjà le mois d’août bientôt l’automne pour certain je suis pas assez gay pour bien écrire, je fais pas de belles images, est pas Proust qui veux… J’aime bien cette « tradition » québécoise qui laissait la chose intellectuelle dans les mains des docteurs en médecine… Ils avaient quand même fait le serment d’Hippocrate … On nous gave de tant d’information à en devenir fou, à tout mélangé… et pourtant on ne lis plus on laisse faire les scripteurs même si les textes sont pas toujours à la hauteur de la vrai littérature… La lecture que parfois le docteur conseillait  souvent le curé la brûlait, les livres à l’index  ça n’existe plus y’a seulement des livres qu’on ne lis pas. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


dimanche 2 août 2020

Béton


Bonsoir ! Bonjour ! J’ai pas eu de chance ce soir j’ai renversé ma tasse de café… Pour les courbatures ça va un peu mieux ça semble vouloir disparaitre… Je crois que ça prenais cette maladresse pour passer la douleur. J’ai remplis mon week-end de documentaire sur la France faute de ne pouvoir y aller… Je regarde ça, tout ces châteaux, je me souviens de rien je veux juste les visiter… Je suis malheureux d’avoir perdu le document qui m’indique le montant du loyer que je vais payer. Je suis loin de la rédaction poétique ça ressemble plus à un rapport de police…Bon! Je m’en vais sur mon senti ce sentiment de délaissé pourtant… Comme souvent quand je manque d’inspiration je prends une douche je me sens quand même tout tordus… C’est mieux quand je suis parfumé, la matriarche croyais que j’étais au courant qu’elle allait passé le week-end  à Aylmer chez ma lectrice je savais pas… Parfois j’ai envie de cesser tout ça ces rédactions pourtant j’ai toujours hâte d’arriver à ce moment de la nuit… C’est trop intime ça éloigne les lecteurs potentiel, ils préfèrent les « fake news » les théories du complot. Moi je suis juste un paranoiaque ordinaire… Un mauvais souvenir de ce gars qui s’est tué parce-que il ne pouvait travailler, pourtant il était pas démunis c’était un ingénieur… Je pense à mes achats au supermarché comment je suis loin du terroir… J’aime quand même beaucoup le fromage en grain Boivin… Ouais! On est maintenant lundi, y’a des cheddar que j’aime beaucoup… Ce matin j’ai une réunion virtuelle. La semaine commence plusieurs rentrent de vacances… J’ai un parfum de sauce tomate dans le nez. Ouais ! Les potagers sont beau… Pour le marché je passe mon tour je courre pas les foules… Hier à la télé ils préparaient un cassoulet,  on est loin de la frite et du burger… Je regarde ces émissions françaises et je peux pas m’empêche de pensés au magazine Pilote qui m’a suivis pendant longtemps… C’est comme ça que j’ai connus la France par la bande dessinée avec laquelle j’ai grandis… Un moment ce fut le belge Hergé mais je me suis vite tourné vers la Rubrique-à-brac de Gotlib. Je l’ai suivis j’ai grandis avec lui… Plus tard pour mes jeunes frères la matriarche achetait le Pif-Gadget le journal pour enfant du parti communiste français…  Y’avait aussi ces petits bouquins carré avec Nasdine Hodja et Gai-Luron… C’est loin tout ça des heures de plaisir… J’essais de me rappeler le scénario de ces bandes dessinées c’était jamais très compliqué mais mon dieu que j’aimais ça, j’en rêve encore… Avec le temps c’est disparus, les journaliers parlent de leurs cessation d’emploi comme d’un « petit livre de comics » en référence je crois à toute ces heures chômées, où les plus vaillant n’ont rien d’autre à faire que lire des bandes dessinées. Je termine ici comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Bye!!!

Bernard

samedi 1 août 2020

Sport


Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui ça a été une journée télévision. Différents documentaires sur la France et j’ai terminé avec un match éliminatoire de hockey que l’équipe locale a gagné. C’est bien… J’ai beaucoup aimé l’émission sur les petits trains français  et aussi celle sur le Var… Pour le hockey ils ont expatrié l’équipe locale à  Toronto… Quand je vous raconte ça c’est pas impliquant émotionnellement et c’est justement ce que je veux vous faire lire mes émotions, mes sentiments je veux les partager avec vous, tout doux ! Tout doux ! J’aimerais vous écrire et que ça vous fasse chaud au cœur… Déjà août, la rentrée et l’inoubliable parfum de cuir cartonné toutes les fournitures scolaires et les réglettes de différentes longueur pour les mathématiques qui me  font encore et toujours peur… Toujours le souvenir de vêtement neuf que j’avais de la difficulté à porter… Les réglettes c’était dans une boîte de plastique bleue, différente couleurs je croyais que c’était un jeu… J’étais qu’un enfant parfois le patriarche m’amenait au forum au match  de hockey, c’était excitant j’avais toujours le magnifique programme remplis de photos même quand j’y allais pas le patriarche le ramenait, ça me faisait quelque chose à lire le dimanche. Je lisais aussi la chronique de Maurice Richard dans le Dimanche matin, il la racontait et un journaliste se chargeait de l’écrire… À l’époque c’était vraiment la meilleure équipe de la ligue nationale de hockey… Au Québec pour un jeune garçon le hockey est très important, c’était pas toujours nécessaire de jouer mais on pouvait en discuter… Dans mon adolescence je passais parfois mes dimanches après-midi à l’aréna où je regardais l’équipe des copains jouer contre une équipe d’une autre ville de la ligue… Plus tard j’ai joué avec comme seul équipement des patins un bâton et des gants… C’est pas tellement mon senti cette nuit… Y’a quelqu’un qui s’amuse sur les passerelles un autre égaré… Ouais! La vie est étrange, on se fait des amis on les perd trouve une autre gang et on continue, l’alcool est toujours présent là-dedans… J’étais carrément très désagréable… Dans ma folie je voulais être aux mêmes endroits en même temps deux ou trois fois, c’est compliqué un peu comme je vais voir ailleurs si j’y suis… C’est peut-être pour ça que je me suis jamais trouvé toujours cherché… Vous écrire c’est une façon pour moi de me réaliser… Voilà ! J’y arrive encore cette nuit malgré la peur du solitaire, les voix que comme toujours j’entends dans la rue… Faut dire un paranoiaque c’est pas très brave… Je sais jamais comment terminer, je pense encore à la victoire de l’équipe locale… Les poètes maudits étaient rejetés, emprisonné, persécuté je crois pas être de ceux-là quoi que parfois la malédiction… Aujourd’hui dire « un grand maudit fou » ça a pas le même sens qu’au dix-neuvième siècle… Félicitation à l’équipe locale. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots et c’est terminé, à la prochaine j’espère!!!

Bernard


vendredi 31 juillet 2020

Effort


Bonsoir ! Bonjour ! Si jamais vous perdez un sac de papier vide qu’il s’envole dans le vent soyez prudent si vous partez après. C’est ce que j’ai fait et j’ai perdus l’équilibre me suis étendu de tout mon long sur l’asphalte maintenant je suis tout courbaturé, c’est douloureux… Je consulte pas le docteur ça va passer et j’ai pas envie de me déformer en portant un corset… C’est la soirée de vendredi à samedi, les clients buveurs de bar sont désolé de devoir passé leurs dernière commande à minuit, dans le temps au last call on demandait deux grosses bières. Je sais pas si ça existe encore, Who’s gonna drive you home tonight, https://www.youtube.com/watch?v=6GJyP5WwOu0  voilà ce qu’on nous faisait jouer avant de partir, une chanson mémorable… Ça faisait loin partir de Terrebonne pour se ramasser dans le bas de la ville, me souviens d’un copain gay de ma douce du moment, il s’était fait agresser dans le village… Ça fait longtemps, je me plantais debout dans le bar je buvais et je ne sais pas ce que j’attendais parfois je téléphonais à un où deux chums qui ne venaient jamais… Un film dur pour comprendre tout ça « Looking for mister goodbar ». Ce soir je vous illustre ça avec le Moulin Rouge au pied de la butte Montmartre. J’y suis jamais entré le corona virus doit lui donner un coup… Le night life, les boîtes ça peut paraitre amusant mais je n’y vois plus que des gens qui veulent endormir leurs désespoir, égayer leur malheur… Mais oui! Mais oui! On y va, je sais pas où mais on vide les bouteilles et on part… L’été niaiser dehors la nuit ça va mais l’hiver on cherche la chaleur… Parfois c’est dans le lit d’une rencontre, d’autre fois on marche pour traverser la ville jusque chez-soi… La majorité des bars que je fréquentais y’a plus de vingt-cinq ans sont fermés, je passais de l’un à l’autre je trimpais…  Je me vois seul au club, les gens me regardent et rigolent, je me commande une autre bière et je fais passer… Quand j’y entrais je perdais le sens des dimensions, le club c’était qu’un coin de rue… Ce soir j’essais de pas entretenir de nostalgie, je me rappelle surtout de la douleur… Je pense aux ambulanciers qui viennent me chercher en pleine psychose, dope et alcool départ pour les corridors de l’hôpital, le plus étrange c’est que je réalisais pas que la consommation me tuais… Ce soir je savais pas trop quoi vous écrire, on annonce une deuxième vague de coronavirus. Je vais encore me confiner, il est plus question de trainer dehors… Ouais! Je suis presque à la conclusion comme vous voyez il se passe rien de remarquable avec la boisson encore cette nuit je suis à jeun… et c’est tant mieux mon senti se terre loin dans mon âme. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! Lâchez pas c’est terminé, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 30 juillet 2020

Insulte


Bonsoir ! Bonjour ! Le fils de la voisine est passé chercher son vélo qu’il avait verrouillé sur la passerelle. Il a pas manqué l’occasion de me traiter de « gros esti de fif » c’est comme j’écrivais je suis chez moi et il faudrait  que je m’excuse d’être là, comment dire, la laissé recevoir qui elle veux le jour où la nuit sans suivre les consignes… Ça s’ appelle de la maladie mentale le goulag occidental en a une grosse proportion c’est difficile de démêler tout ça gay, schizophrène alcoolique et toxicomane…tout ça dans la même personne. Parfois pour éviter tout ça j’irais m’isoler dans le fond des bois mais je connait pas assez la vie en forêt je survivrais pas. Aujourd’hui c’est le dernier jour du mois  malheureusement  maintenant les bars ferment à minuit, à peine le temps de faire une saucette prendre un ou deux verres pour un alcoolique c’est pas terrible. Disons que de ce temps ci la fortune est pas dans les débits de boisson. J’ai encore mal au dos après la chute que j’ai fait la semaine dernière… Je me demande comment les gays vivent comment ils vivent les insultes? Encore ce soir j’ai regardé une émission sur une région du sud-ouest de la France, sur les conseils de ma lectrice de Gatineau j’ai regardé un cours film sur la magnifique île de Noirmoutier… J’ai pensé que si avec son chum elle faisait un séjour à Paris ça pourrais être amusant de se retrouver là sur la terrasse d’un bistro…. Je pense encore beaucoup aux départs, aux aéroports et aux avions…  Les chercheurs vont peut-être trouver un vaccin bientôt… Avec tous ces châteaux en France y’a toujours quelques choses à voir, faudrait que j’en profite pour renouveler mon permis de conduire quoi que je préférerais être dans le siège du passager pour mieux voir… J’ai visité qu’un châteaux en France c’est le Louvres quoi que le jardin du musée Rodin est très beau c’est un hôtel pas un château, Hôtel Biron rue De Varennes dans le septième arrondissement, il assure depuis mille neuf cent dix-neuf la conservation et la diffusion de l’œuvre d’Auguste Rodin (1840-1917) Bon! Je reviens à mon senti, on arrive à vendredi… Je me prend toujours au jeu, je suis toujours heureux de vous écrire… Hier avec l’intervenante je parlais de madame Christine Lagarde présidente de la banque centrale européenne comment c’était une belle femme à qui le pouvoir allait bien… La France, heureusement je vie pas là mais j’aime bien y voyager… Lentement j’avance dans la nuit… Quand je parle de Rodin je pense beaucoup à Camille Claudel une femme, puisqu’on parle des femmes, de génie… En ce moment je suis dans l’angoisse nocturne je l’écoute pas je continue à écrire. J’ai presque terminé quelques mots encore pour bien faire… J’entends le klaxon d’une voiture je sais pas ce qui se passe. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!

Bernard

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mercredi 29 juillet 2020

Voilà


Bonsoir! Bonjour! Je suis muet, je sais pas trop quoi vous raconter ces jours ci mes journées passent devant la télévision des documentaires extraordinaires sur des départements français ça s’intitule « Les cent lieux qu’il faut voir » c’est magnifique… Qui c’est qui va aller en France l’an prochain? C’est bibi! Ici pour l’instant je me confine j’essais de rester à l’écart de mon prochain… J’ai aussi regarder dans un autre genre une docu-série sur la mafia de New-York… Rien de ce qu’on ne savait déjà… C’est étrange je me sens comme une nuit plus tard, ce soir avant d’aller un peu dormir j’ai pris une douche, je sent bon… Mon  senti se présente pas de différentes façons c’est toujours pas mal pareil parfois je sais pas trop quoi pensés des huiles essentielles peut-être que ça pourrais m’aider dans ma schizophrénie virulente… Encore cette semaine un jeune homme qui a tué sa mère mon combat contre la stigmatisation se poursuis c’est difficile d’envoyer quelqu’un se faire soigner quand y’a une demande à l’aide les autorités doivent écouter. C’est épuisant de ne voir que ça, de n’entendre que la folie meurtrière, mon combat il est là dans l’ordinaire de la maladie… Comme toujours à la télé on ne voit que le monstrueux peut-être que ce blog participe à ça la douleur pathétique de la maladie… Je pense aussi au discours comment dans la schizophrénie il est souvent insensés et on peine à le reconnaitre… Le sens je m’efforce de le garder… Je tiens pas à ce que mes écris soient délirants ce soir. Tout ne passe pas nécessairement par le sentis, souvenir de ce voisin qui m’engueulait parce-que le ménage était pas fait chez moi. Ils sont venus le chercher dans une camionnette blanche… Je sais pas pourquoi je m’entête à écrire… Ce soir j’avais hâte d’arriver à ce moment où je vous écris, j’aime ça! C’est contradictoire… Y’en a toujours pour me dire où je devrais écrire et comment encore une fois je le répète c’est un journal de confinement… Parfois les gens sont méchant, les artistes c’est eux moi je n’y aurais pas droit… Tout juste faire la plonge dans un bistro de seconde zone… Bientôt ça va faire vingt-sept ans que j’ai pas pris une goutte d’alcool que je me rétablis… Je vais essayer de garder ça comme ça pour aujourd’hui… Une journée à la fois le temps passe… Je vieillis parfois j’ai peur d’avoir une autre maladie… Mes écrits ça tourne toujours autour de la même chose. Je vous illustre ça avec un arc à Lille en France… Le voyage ce serait pour m’inspirer d’autre chose… Je suis presque rendus à la conclusion pour cette nuit. Je sais je l’ai pas l’affaire c’est surtout vous… C’est toujours difficile de terminer, d’épiloguer… J’essaye de pas m’auto-dénigrer, je suis seul avec ma « création » quelques mots encore pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Je termine vous êtes bien bon. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard