lundi 26 novembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me revoilà, ça me fait toujours plaisir de voir que vous me lisez…. Je viens d’entendre une mauvaise blague raconté par ailleurs par des bonhommes assez comique. Je cherche comment vous la raconter, je la trouve pas drôle quand un des protagonistes demande à l’autre si il prend des pilules, pour moi c’est pas drôle comme si y’avait quelque chose de mal à se soigner… Pour moi c’est une blague intolérante et stigmatisante toute deux des choses contre lesquels je me bats.  Les médicaments participent à mon rétablissement, si après avoir entendu cette farce je cessais de les prendre et me ramassait à la rue délirant c’est pas l’humoriste qui me ramasserais. Je me suis longtemps battu contre les médicaments jusqu’au jour où je me suis rendu à l’évidence qu’il fallait que je me soigne… Je sais, je devrais garder ça confidentiel que je prends des médicaments mais j’en parle parce que je me rétablis et j’aime pas les bonnes femmes ignorantes qui disent à leurs maris malades de pas en prendre… Souvent elles ont un sixième « sens » qui les fait me pointer du doigts en disant que je prends des « peanuts » incapable d’appeler les choses par leurs vrais noms. C’est mon senti d’aujourd’hui, je sais bien qu’il y a pas d’humour sans blesser personne, mais j’aime pas cette société dans laquelle ont vie où on rit de tout et pour rien, la maladie c’est triste parfois dramatique, la douleur morale ça fait pas rire, quand les personnages d’un show apparaissent ont vois pas souvent la souffrance qui va avec… Vous pouvez rire, je vaux une risée mais je préfère la tendresse, la délicatesse au cynisme. Je veux prendre ça en douceur, ce matin j’ai écouté des gens biens mais souffrant qui méritent mon estime, ont essais de s’aider l’un l’autre mais parfois on a plus envie de pleurer…Mais oui je me rétablis, mais ça m’empêche pas d’être souvent triste, c’est une émotion que je connais, comme si le bonheur parfois m’échappais, cet après-midi je ne pleure pas, je pense à tout ce temps passé à me détruire pourtant j’essais de me rebâtir bien que je sois maintenant un peu vieux… Tout ça c’est des tentatives d’expression… La difficulté elle est d’aller à la rencontre de l’autre quelque sois ses différences dans la souffrance, ont m’accueille je me dois d’accueillir.  Y’a longtemps que je me suis pas exprimer comme ça… J’entends les ouvriers dénigré les malades mental, je pardonne leurs réalité est pas mieux que la mienne. La maladie mentale ont préfère l’ignorer comme si elle n’existais pas mais j’ai fait un longs parcours à me soigner et à m’accepter comme je suis. J’espère qu’avec ce que je viens d’écrire j’ai pas fait mal aux amis, les autres je sais pas quoi leurs dire. J’écris pour vous et vous et vous… Voilà c’est la chute, l’épilogue, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 25 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit j’ai dormis un peu, le café, c’est étrange, à un drôle de gout de chips. C’est la nuit de dimanche à lundi… Souvenir de différent voyages et de différentes personnes avec qui j’ai voyagé, le dernier je l’ai fait seul, je représentais l’institut et malheureusement j’ai pas eu de compte à rendre. J’écris malheureusement parce que j’aurais bien aimé parler de cette expérience. J’ai pas à me plaindre on m’a tout remboursé et les hauts-de-France c’est pas trop mal au printemps. Disons que c’est le point culminant pour moi des voyages avec l’institut, parfois j’ai l’impression « paranoia? » qu’on cherche à trouver mon point de rupture. Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide, hier soir j’ai discuté avec mon lecteur de Deux-Montagnes, il m’a conseillé de pas m’en faire que ça arrive à tout le monde de faire des erreurs. L’atelier de photos est trop dispendieux pour ma lectrice de Terrebonne. J’arrive pas à donner une tonalité poétique à mes écrits. Encore quatre mois avant de partir pour l’ouest des états, la Californie… Quelques jours seulement mais c’est mieux que pas du tout, j’ai hâte d’être assis dans l’avion… Je pense à l’aéroport, à ce voyage comme une carotte après laquelle je courre, ça donne un but à mes jours gris et terne. J’ai finalement repéré le quartier, Tenderloin, où il faut pas que je mette les pieds c’est tout près de l’hôtel, j’irai pas la nuit… Hier je racontais à l’ami que le vol d’avion est pas si cher mais que la chambre d’hôtel est dispendieuse… Mon hôtel semble o.k. y’a pas l’air d’y avoir de vermine… J’entends les voisins qui ronflent… J’attends des nouvelles pour une participation à l’émission de radio, je vais parler de la désins en psychiatrie, de ce recul qu’on appréhende… J’ai toujours hâte de vous écrire même si parfois j’ai des délires d’envahissement, personne peut entrer chez moi sans permission, c’est mon château c’est mon domaine… J’espère que mon lecteur de Deux-Montagnes dors du sommeil du juste, cette nuit la voisine écoute un peu de musique, ça dure pas longtemps, elle se recouche assez vite… Parfois je suis fatigué de cette maladie mentale, je sais pas comment vous expliquer ces bouffées de peur et d’angoisse c’est difficile. J’imagine que si j’avais pas ça tout irait trop bien. Quoi qu’on fasse surtout en psychiatrie faut toujours qu’il y ait une pression. Voilà c’est ma « folie » ma maladie, j’ ai de la difficulté avec ceux qui se disent guéris, je reste à l’abri… Je vous aurai encore écris cette nuit, on m’envoi des courriels malicieux auquel je ne réponds pas. J’en suis à la chute, j’illustre ça avec une photo de Lille au printemps passé… Dans la soirée d’hier j’ai beaucoup discuter… J’essais de me soigner en prenant la parole, c’est presque terminé comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Continuer encore un peu c’est presque finis, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai regardé le bulletin de nouvelles à la télé, j’ai jamais vus autant de publicités… Aujourd’hui bien que je sois pas sortis, je suis très paranoïaque… J’ai regardé la carte de San Francisco ai réussis à situer le quartier Tenderloin par rapport à mon hôtel… J’ai hâte de voir les murales dans Mission… Je regarde dehors je sais pas si c’est de la brume où de la pluie, on voit pas très loin… Comme toujours je veux vous écrire sur mon senti qui aujourd’hui est fait de peur et d’angoisse… Le temps passe quand même assez vite, je crois que mon lecteur et ma lectrice s’en vont au Mexique pour les fêtes, je dirais qu’on est une famille de voyageurs. Je pense à ces gars dans cette voiture hier, ils étaient quatre et me regardaient en riant, quand je vois ça, ça me dis que j’ai raison de faire ce que je fais… Je vais devoir me mettre à l’anglais mais je crois qu’il est pas si mal. Souvenir d’un retour de voyage à Toronto où j’avais entendus des insultes en montant dans le taxi, je sais pas pourquoi, le réalisateur m’avait invité à la projection de son film au Festival des films du monde de Montréal…  C’était peut-être ce qui faute de mieux on appelle les voix. Ça fait maintenant cinq six ans… Vous voyez je suis tout mêlé, les voix c’est à Toronto que je les avais entendues. Je reviens en arrière ça sert à rien, les gens à qui je raconte que je pars en voyage me disent tous que je vais en faire un beau… C’est pas un voyage de noce si j’avais attendus après ça je serais jamais partis. Je me donne la permission de voyager même en ces temps écologiquement défavorisé. Viens d’apprendre grâce au lecteur de Deux-Montagnes qu’il y a encore des gens honnêtes, ça me fait penser au chauffeur de taxi qui était venus me porter mon porte-feuille. Je leurs dis merci à tous ces gens. C’est un temps triste… J’ai presque terminé la lecture de mon recueil Spirou après je vais lire la première édition des Fous crient au secours de Jean-Charles Pagé, selon certains la psychiatrie connais un recul vers les années soixante. Je sais pas, ça me donne à réfléchir comme disait l’autre faut savoir ce que les malades veulent. Je crois que la stigmatisation dois cesser et que les malades de leurs côté doivent cesser d’utiliser leurs maladie comme alibi. Moi je crois qu’on me surveille pour me donner une bonne volée si je recommence à boire, c’est de la paranoïa quand même j’irai pas… Je sais pas comment terminer, j’ai eu conscience une fois d’être suivis c’est très désagréable. Mais comme on me dis souvent si y’avais quelques choses la police viendrais me chercher chez moi. Je termine en essayant de m’apaiser. Voilà, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore pour une chute décente. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout c’est la nuit. Je pense à tous ceux qui choisissent leurs drogues, le tabac, l’alcool où le cannabis plus moyen de consommer les trois en même temps. Je crois que c’est tant mieux. Je vous ferai pas un éditorial, je vais comme toujours y aller avec mon senti, j’ai beaucoup apprécié l’édition nostalgie de LaPresse+, je me fait vieux j’ai beaucoup de souvenirs, parfois ils sont douloureux. Me souviens des Nebraska et Ghost of Tom Joad de Bruce Springsteen https://www.youtube.com/watch?v=iir_xAbt-ak  la musique américaine à son meilleur toute en sensibilité assez effrayante, la mort, la méchanceté horrible mise en musique. Aujourd’hui c’est dimanche y’a longtemps que je ne vais plus à la messe. Je prie quand même, lentement le temps avance j’irai bientôt à San Francisco… Les snowbirds s’en vont aux états eux aussi mais plus longtemps… Je pense à ce que je vais manger pendant mon voyage, y’a cette chaudrée de palourdes dans un pain qui a l’air délicieuse… J’ai changé mon rythme de marche, plus lentement et ça va plus longtemps. On m’a demandé de parler réintégration dans un colloque le printemps prochain, j’ai dis oui… Vendredi j’avais un comité éthique et rémunération, je crois qu’ils vont avoir de bons arguments à présenter à la haute direction… Cette nuit je vous écris ça les pensées toutes agitées, j’ai vraiment plus mal au côté ça a finis par se calmer… Mon écriture c’est un homme seul qui discoure avec lui-même, c’est pathétique sinon pathologique, j’irai pas jusqu’à dire que c’est psychopathe j’entends une sonnerie d’anciens téléphones du temps où il n’y avait que celle-là… Je pense à l’intervenant, un ancien drummer, qui s’était adonné à l’écriture et qui à la relecture avait décidé que c’était n’importe quoi et avait abandonné. Je crois qu’il aurais du persévérer moi c’est ce que j’essaye de faire tenir dans la durée… Ai pris une douche quand ça va pas bien je me rappelle ce que c’était dans la maison de chambres, l’enfer! Mes lecteurs étaient au match hier, l’équipe locale a perdue… Encore quelques minutes pour finir d’écluser votre bière. J’ai jamais compris ce qui m’attirait tant dans la nuit… J’ai de la difficulté à trouver pour continuer, me rappelle du forum avec des colonnes, de la taverne Toe Blake j’étais encore qu’un enfant… J’espère que mon lecteur de Deux-Montagnes a trouvé le sommeil. Je voudrais pas l’endormir avec mes inepties. Une autre semaine qui commence, j’ai souvenir que comme travailleur je détestais le dimanche, le samedi soir aussi le vendredi était passé remplis de promesses pas tenues on arrivait dans la nuit de samedi pour tenter sa chance encore une fois on réussissais pas et voilà on était au dimanche avec les promesses brisées… Tout ça c’étais des illusions d’alcooliques, les gens sérieux buvaient pas pendant tout le week-end. Écrire, voilà ce que j’ai fait de moi cette nuit, je préfère ça… Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 24 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui c’était un examen de la vue, j’ai aussi beaucoup marché et pris quelques photos. J’ai croisé une voiture avec quelques gars qui se payaient ma tronche. C’ était probablement ma paranoïa, ai écouté une émission radio sur l’alcool et la poésie pour certains l’un ne va pas sans l’autre, moi je préfère tout ça à jeun… La douleur ne se dis que dans l’abstinence, l’ivresse n’est que fausseté, je pense à ce sentiment bien réel d’avoir mon chez moi envahis… J’ai  hâte de partir, plus que quatre mois avant le départ, à la radio le poète parlait d’une rencontre de Vanier avec Ginsberg comme si ça avait donné ses lettres de crédit à la poésie, j’ai bien rencontré Gaston Miron ça fait pas de moi un poète, c’est d’écrire qui m’amène à la poésie… La contre-culture à trop existé elle se pose trop, elle n’est plus contre elle mène, elle est culture. Je sais pas si le vrai « poète » dois crever de faim et de solitude en tous cas c’est pas un gastronome ni un être très social. Il se déteste trop. Je plonge au fond de mon abyme existentiel en pensant au manuscrit composé de fines lettres de l’ami… Ça m’étonne toujours de voir l’artiste épanoui moi je suis torturé, je me malmène à essayer de dire, la peur ne me donne pas de grâce… Liberté ça rime pas avec gendarmerie royale du Canada ni avec agence de renseignement canadien… Je sais pas pourquoi parfois je veux mourir,  au bout de leur bière du samedi soir, ils s’enfoncent dans la dictature de l’alcool, ils crachent et fument dehors parce que c’est interdit à l’intérieur pourtant le poète rebelle ne se conforme pas aux règles il ne se gèle pas les fesses pour plaire au propriétaire, bientôt il se retrouveras sans logis… Sur un autre ton, je pense au soin psychiatrique qu’on dis patriarcal, j’arrive pas à voir comment on peut soigner si on est pas à la place du père, du bon père de famille, elle est dans l’inceste la contre-culture, encore! Comment dire la beauté su monde dans l’abus, vous savez mieux que moi, pour ce seul mot vous allez me rejeter et je retomberai dans la solitude du mal aimé… Le chien hurle à mort et mord… Les appartements comme un chenil gardent les locataires au chaud et calme. Dehors un gars crie, comme souvent… J’ai mal quand je pense à tous les intoxiqués, à la douleur des drogues cheap. Ce soir je me gèle pas, la toxicomanie pour plusieurs c’est pas une maladie noble on y préfère le cancer même si on sait pas d’où il vient… Je reviens sur ma vue, au bar on me disait d’ouvrir les yeux, quand même je ne voyais rien, j’avais pas envie de marcher en regardant toujours par-dessus mon épaule. Voilà! Je suis presque rendus à la chute. Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 23 novembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Me suis couché tôt ce soir pour mieux vous écrire… Ai finalement reçu le smart cover d’Apple pour ma mini tablette électronique c’était un trop grand format, je suis allé le changer à la boutique même le plus petit est trop grand, je crois qu’ils voulaient en profiter pour me vendre une tablette plus récente plus grande de quelques millimètres. Je vais m’arranger avec ce smart cover je crois que les produits apple ont une durée de vie bien définie, c’est un peu décevant… Cet après-midi j’ai eu une réunion du comité éthique et rémunération, je crois que l’argumentaire y est qu’ on peut justifier… On m’a demandé si je voulais faire une présentation aux journées annuelles de santé mentale au printemps, j’ai dis oui, ça va vite. Si tout va bien je serai de retour de San Francisco. Je me rend compte que j’ai des crôutes à manger pour ce comité, je suis incapable d’utiliser leurs langages, j’y vais avec l’authenticité c’est mieux pour moi et pour tout le monde. Je peut je crois les aider à la direction santé mentale et dépendance, c’est réciproque… À la réunion je leurs ai fait mon numéro de paranoïaque pour illustrer comment parfois mon rapport à l’argent est difficile. Bon! Je reviens à mon senti, hier j’ai marché pour revenir chez moi, je voulais vérifier si je serais capable de le faire pendant mon voyage aux États. C’est encore vendredi, les magazins viennent de fermer, je pense à ces deux salauds du vol à la tire qui m’ont volé ma première tablette encore une fois hier je racontais que mon implication m’évitais l’hospitalisation du moins jusqu’à maintenant. Cet après- midi on a parlé de psychiatrie citoyenne de sa pertinence et de son importance, elle valide les nouvelles pratiques en psy et quand je parle donne du crédit à ce que les professionnels avancent… Je vais le répéter encore une fois ici vaux mieux une rémunération et une participation à différents comités q’une hospitalisation il y va du rétablissement. Je pense aux formes que prend le rétablissement et aussi de mon rapport à l’argent, je me rappelle on me disait de budgetter mais budgetter rien c’est impossible, un coup le loyer payer et l’achat d’un peu de bouffe ça y est c’est terminé… Heureusement je ne vie plus ça et c’est tant mieux. Je me répète, chez les travailleurs sociaux on gère la misère ils ont parfois droit à des confessions du patient avant de l’envoyer à la banque alimentaire pour ceux qui n’aiment pas cuisiner pendant un moment on va au resto-pop où à l’accueil Bonneau… hier en revenant je pensais à la tension de la psychose à l’égarement dans son environnement à la déconnection à la peur… Voilà avec quoi j’ai fait ma journée d’hier, samedi je vais me régaler avec le cahier voyage de LaPresse+. Encore quelques mots pour arriver à la chute. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis impatient, j’attends une couverture pour ma tablette électronique depuis deux jours, elle arrive pas, ça va le faire exprès je dois sortir cet après-midi, ils vont essayer de me la livrer… Je participe à un comité sur l’éthique de la rémunération chez les patients-partenaires. C’est intéressant bien que ça remette en cause bien des idées reçues. Souvenir des testicules du taureau à la bourse de New-York. La réunion c’est cet après-midi… Pour le colis j’ai que les données d’hier pourtant c’est un colis UPS, je croyais que c’était la poste qui était en grève. Je me suis recouché j’ai rêvé, j’avais laissé un petit sac de cuir que je portais au cou  dans l’autobus, c’étais le soir dans une petite ville de province. Je passait devant les terrasses de différents bistros, j’ai loué une voiture pour aller chercher mon sac, quelqu’un devait monter avec moi, je l’ai trouvé il où elle ne parlais pas beaucoup. J’ai causé avec son amie qui m’a dis que c’était une bonne personne, me suis réveillé… J’ai hâte de voir si je vais recevoir mon colis, presque trois heure, le night life du jeudi se termine bientôt du moins celui qui est légal et qui permet de vendre de l’alcool jusqu’à cette heure. Mon rêve c’est le senti de la nuit, je cherchais la voiture avec le bon numéro de plaque. Voilà le bar est fermé je le traverse, je vois deux demoiselles discuter. Je suis sur une sorte de rond-point dans une ville médiévale si ça peut, y’a de hauts murs. C’est toujours une histoire de senti même celui de la nuit, c’est pas un cauchemar mais c’est pas très confortable… Je me suis dépêché de vous l’écrire sinon je l’aurais oublié. Hier j’ai regardé le football, on m’a envoyé un hoax pour avoir mes coordonnées et frauder. J’ai pas répondu. Comme je vous l’ai écrit au début j’ai dormis un peu, je pense aux gars qui cherchent un endroit pour dormir, il fait déjà trop froid pour coucher dehors, ça se réchauffe pas ça se refroidis… Lentement je me réveille comme toujours j’essaye de dire mon état mon senti dans la nuit… La rue est tranquille, j’espère recevoir mon colis aujourd’hui. Je crains que quand ils passeront je serai partis mais je vous l’ai déjà dit c’est mon anxiété. Au moins je saurai qu’ils sont passé, je vais demander à ma puissance supérieure que tout ça se passe bien. Voilà! Encore un peu de mots, j’ai beaucoup aimé la photo de la bague de vingt-cinq ans de service de mon lecteur technicien à la Rolls-Royce. Je crois vous avoir déjà parlé de ça, j’ai déjà fait ce job là mais j’avais trop d’ambition et je savais que ça servais à rien, jour après jour le même boulot ça deviens monotone. Je suis devenus rien de plus de ce que j’écris là… Un pauvre gars… C’est la chute je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard