dimanche 18 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Mal à la fesse, souvenirs d’injections d’antipsychotique retard, toutes les trois semaines… C’était ça où la folie, la maladie mentale a fini par s’atténuer… J’ai de la difficulté quand on fait l’amalgame maladie mentale et tueur comment vous dire cette douleur maladive, ce besoin de soins… Parfois on me laissait retourner chez moi sans atténuation de la maladie, j’avais mal mais mal à en pleurer, douleur morale mêler avec l’excès de consommation, le désir d’en finir… C’était y’a longtemps déjà ça m’a gâché la vie, la schizophrénie. Je vivais toujours avec des retours à l’urgence de l’hôpital, parfois on me gardait dans les corridors de l’hôpital d’autre fois on me renvoyait avec un rendez-vous pour le lendemain à l’urgence psychiatrique. Je me suis perdus là-dedans, je savais plus ce que je faisais là mais j’avais toujours mes angoisses paranoïaque… Je rencontrais le psychiatre qui à part les médicaments semblait bien impuissant à m’aider dans mon rétablissement. Haldol, Lagarctil, Piportil, Ativan, Kémadrin voilà avec quoi on me soignait ça faisait aussi mal que la maladie. Je devrais pas vous dire ça, j’en révèle trop… Mais je préfère vous écrire qu’appeler le neuf un un et prendre l’ambulance pour l’hôpital. Maintenant mon mal il est pas vraiment urgent… Je peux pas expliquer comment ça s’est passé la dernière fois qu’on m’a hospitalisé, un vieux psychiatre m’a parlé en me disant je crois que le monde de l’hôpital était artificiel, que personne ne vivait là je crois, étrangement mes psychoses ont cessé… J’avais aussi essayé de me pendre dans ma chambre, on m’a mis sous observation la nuit avec des caméras. Je vous raconte ça c’est loin derrière, je jurais à n’en plus finir… Cet après-midi je veux pas y aller, ça fait moins mal et je vois pas ce que pourrais faire des étrangers. On ne garde plus les fous, ils sont tous libre et peuvent refuser les soins moi je les ai accepté je savais que j’en avais besoin. J’avais quand même peur dans l’aile psychiatrique… Des jours et des jours à faire l’aller-retour, c’était la comorbidité cette façon de se tuer à consommer mais un jour j’ai tout cessé, je suis devenus un peu plus équilibré. Je vie un peu plus en paix, l’hôpital maintenant je peux m’en passer, j’espère que je ferai pas de rechute, je suis moins malheureux. C’est pas de la romance c’est vrai autant que peux l’être une hallucination. Des heures et des heures à attendre la nuit à l’urgence souhaitez moi que ça n’arrive plus, j’ai longtemps été en pleurs, d’autre fois je ne parlais plus muet j’attendais… Je croyais qu’on pouvait voir ma schizophrénie en me regardant… La dernière chose que je me rappelle avoir raconté à un psychiatre c’est « Moi j’écoute plus la station de radio CHOM c’est fait pour les chômeurs! » Voilà! C’est mon senti pour aujourd’hui. Je termine là-dessus en vous remerciant de m’avoir lu jusque-là!!! J’ y ai mis tout mon espoir, à la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit et je suis debout. Je remercie les lectrices pour les commentaires. Beaucoup de temps encore avant de vraiment croire à ce départ… On a lancé l’idée je sais pas où elle va tomber. Ce soir il fait chaud chez moi, je pense à l’ami avec qui je dois partir, si ça se fait ça risque d’être sympathique… Le lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord m’a conseillé d’acheter le guide Lonely Planet de la Thaïlande, je vais attendre encore un peu… J’ai quand même hâte de me retrouver à l’aéroport et d’attendre l’avion. Les avions j’aime ça je trouve que c’est un beau mode de transport, l’aéroport aussi les arrivés et les départs. De longues heure de vol pour la Thaïlande des escales dans différents aéroports, c’est toujours possible d’aller faire un tour à l’aéroport Pierre-Eliot-Trudeau avant de partir, juste pour sentir l’émotion des départs. Un petit message pour mon lecteur de Deux-Montagnes je marche toujours même si c’est difficile ça semble pas vouloir se rétablir mais je lâche pas. Dans le moment y’a un parfum d’encens pourtant je suis pas encore au temple… Dimanche, j’ai jamais travaillé le dimanche, c’était toujours une longue journée, souvent on ne pouvait pas boire, la brasserie étais fermée on savait pas quoi faire parfois on allait au cinéma,où on regardais à la télé la reprise du film biographique sur le clarinettiste Benny Goodman ça se terminais toujours par son mariage, comme si après y’avait plus rien. Cette nuit je sais pas où vous amener, un peu de neige est tombé, un temps y’avait ces dimanche tout de mélancolie, d’ennuis de je ne sais quoi, il a fallu que je vive un peu avant de me rétablir. Je rêvais d’un autre temps, d’une autre époque de ma vie. J’avais l’affect dérangé, ma concubine m’avait mis à la porte j’arrivais pas à m’en détacher, ça faisait mal pourtant c’était pas de l’amour ce niaisage à la porte de chez elle. Ce sont des souvenirs douloureux, je recommencerais pas ça… Ça fait plus de trente ans tout ça, j’étais pas Don Juan… Je suis un peu étourdis par tout ce temps qui est passé, maintenant je suis seul dans ma tanière et j’apprécie. Toujours le parfum qui me rappelle différents voyages que j’ai fait, les chambres d’hôtels… Pourtant cette nuit je suis chez moi, j’ai un coup de blues… Je crois être un homme transformé, j’ai le senti désaffecté, je pourrais quasiment dire désinfecté. Je pense aux chambres de bonnes de Paris c’est surement très difficile d’y vivre… Je sais pas vers quoi vous amener pour terminer, souvent quand on se promène sur les grandes rues on croise des femmes au parfum sublime, c’est à faire rêver… Ici l’hiver on a pas le temps de s’arrêter pour respirer ces parfums. C’est le petit matin j’essais de terminer, quelques mots pour dire que j’apprécie votre lecture. Merci d’avoir lu jusque-là!!! Malheureusement le sens olfactif y est pas. À la prochaine j’espère!!!
Bernard

samedi 17 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Samedi, ce matin je suis allé marcher dans le village, en tout j’ai marché une heure sans arrêt. C’est pas beaucoup mais j’essais de m’y remettre… Ça me fait mal de marcher maintenant, je sais pas ce que j’ai, si c’est mon âge? Je veux pas arrêter… J’ai peur d’être très malade, j’en ai parlé au médecin il a rien dis sauf examiner ma tension… Ce soir je suis incapable pourtant il me semble que j’ai fait de mon mieux… Je trouve l’hiver long, cet après-midi j’ai pas dormis. J’essais de vous écrire comme toujours à partir de mon senti, c’est toujours des tentatives… Pour souper j’ai mangé des hot-dogs à la saucisse tofu. J’essaye de manger mieux voilà encore une autre tentative… Je commande pas de film à la télé, j’économise pour un futur voyage, si je suis pas mort d’ici-là. Ce soir j’ai beau avoir la volonté de vous écrire j’y arrive pas… Lentement la nuit arrive et j’ai peur de la maladie… Le patriarche a vécu quinze ans après sa retraite si je suis chanceux ce seras ça pour moi aussi, c’est angoissant… Mes souvenirs je les ai tous écris, j’en fabrique quelque un aux enfants en leurs donnant des bandes dessinées. J’ai toujours trouvé ça réconfortant dans mon enfance ces énormes recueils Mickey qui venait de chez Emmaüs. Je sais l’imprimé c’est d’un autre âge quand même c’est du bel ouvrage. C’est un peu un héritage que je veux laisser, comment étais le monde avant l’internet, les réseaux sociaux, mon bôf parlait de choses surannées, je crois qu’il faut que ça passe par là avant de devenir vintage. Je sais pas ce que je cherche à lire des bandes dessinées, je parle pas de roman graphique j’y crois pas. J’ai pas de muse plus que d’égérie, je vous écris ça seul sans accompagnement de toute façon ça donnerais que des prises de becs… Je trouve l’hiver lourd dans le goulag occidental en face du garage de la société des transports de Montréal. Le samedi soir à toujours été plus tranquille, les gars s’occupaient avec la famille de leurs fiancées, quelques un juraient à leurs douces de ne plus jamais boire pour recommencer tout de suite la semaine suivante. J’aurai pas construit grand-chose sauf ces quelques mots que j’oserai pas appeler œuvre. Après le jeune fou je serai devenu le vieux fou de qui les plus jeunes vont se payer la gueule. J’aurai tout raté mais j’ai quand même pas jouer à ça, le gars straight. Parfois j’écris trop vite, je veux pas terminer, je prends plaisir à cette prose. Je pense aux sorties que je faisais je voyais pas l’heure de rentrer. C’est y’a longtemps déjà maintenant je veille chez moi. C’est pas une manie c’est la schizophrénie qui me tiens à terre avec les « hallucinations ». Voilà pour les explications. Je termine comme ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! L’espoir est quand même bienvenu. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 16 février 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! On est pas encore samedi. Mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord m’a donné plein de conseil pour un voyage en Thaïlande. J’ai encore beaucoup le temps d’y penser mais c’est très attrayant. Hier une mésaventure au centre local de services communautaires, la personne, un asiatique qui passait au guichet avant moi a donné une adresse qui ressemblait étrangement à la mienne. Je lui ai demandé si c’est bien cette adresse là qu’il a donné mais il semblait pas comprendre. J’hésite à dire que j’ai eu une hallucination… Voyage! Voyage! On m’a conseillé d’acheter le Lonely Planet de la Thaïlande… J’ai encore le temps d’y penser mais je crois que ce serait un voyage amusant avec l’ami col bleu. C’est la soirée de vendredi à samedi, le début du week-end. Je remercie mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord ses conseils sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd. Le fils de mon ami col bleu devrais être de retour jeudi prochain, lui aussi va nous en dire plus. Je me le met bien en tête ce voyage-là, c’est surement très beau… Si je m’écoutais je partirais demain matin. J’ai déjà hâte d’être à l’aéroport. Ça m’a fait du bien de dormir ce soir cet espèce de vide au plexus solaire s’est apaisé… Je reviens avec mon senti, la rue Sainte-Catherine est très tranquille. De ce temps-là j’aime bien écouter les émissions de voyage au canal Évasion à la télévision… Dans deux semaines je commence les ateliers de rédaction d’une pièce de théâtre. J’ai quelques idées mais je sais pas si ça va les intéresser, c’est certain que des ateliers d’écriture ça peut-être questionnable comme soin à la maladie mentale, mais ça m’aide ça m’aide vraiment… Je sais que pour plusieurs, judéo-chrétien entre autre, le travail se doit d’être une torture, moi si ça deviens ça je m’en retourne chez-moi. Je sais le temps va passer vite, je verrai rien et je serai assis dans l’avion. On m’a conseillé Air China y’a des correspondances pour la Thaïlande semble que c’est pas cher. Je pourrais en profiter pour visiter Beijing… Je dois la garder vivante cette flamme de voyage… Là-bas pour manger c’est pas beaucoup plus cher qu’ici… Je m’y vois déjà en balade sur la plage. Je sais je suis un pauvre fou, je vais attendre quelques mois et je vais contacter l’amie agent de voyage. On a pas décidé encore où on allais en Thaïlande, ni même si on y allait on laisse l’idée se développer. J’ai commencé à regarder, ce seras une des rares fois où j’aurai hâte à l’automne… Voilà c’était un peu ça mon senti ce soir… J’aurais jamais cru partir à l’aventure comme ça. Je vais espérer le faire. Je termine ça et je retourne aux émissions de voyages à la télévision. Paranoïa j’entends des voix dehors je crois qu’ils gueulent après moi. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je recommence la rédaction de ce texte, la Thaïlande est attirante malgré que j’ais un peu peur à cause des histoires de drogue. Je vais en parler au copain col bleu et au lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. Je pense qu’il y est allé deux fois… Je vais attendre une couple de mois pour faire les réservations. Je pense qu’on volerais sur un A-350 d’Airbus équipé de moteurs Rolls-Royce mon lecteur technicien à cet endroit serait fier de le savoir. J’ai comme pogné le fix sur la Thaïlande je sais pas pourquoi, je crois qu’on peut se loger et manger pour pas cher je vais m’informer auprès de mon lecteur chauffeur d’autobus. Je sais pas si le copain serait d’accord qu’on fasse affaire avec mon amie agent de voyages… Je suis pas partis encore, je réfléchis partir avec un compagnon de voyage c’est surement très différent. Je partirais pour un mois, je sais que le copain veux partir plus longtemps, moi j’ai pas vraiment les moyens pour plus, tout ça c’est mon senti de cette nuit. Je me donne le temps de changer d’idée… J’aime pas tellement attendre des mois avant de partir. Je suis bien à l’aéroport quand je monte dans l’avion, je vous l’écris et je me sent un peu euphorique… L’écran m’hypnotise, je vois pas la nuit passée. Je peux toujours changé d’idée pour le moment c’est comme ça… Y’a aussi le Viet-Nam, le Cambodge, le Laos tous des pays très exotiques… Quelqu’un m’a aussi parlé de l’Amérique du Sud mais je crois pas… Y’a des voyageurs qui veulent toujours économiser sur tout, pour moi c’est pas une bonne idée… Y’a toute cette idée qu’un endroit touristique c’est pas bon!  Mais pourquoi pas, je suis un touriste veux veux pas. Cette nuit je vois pas le temps passé, en voyage je veux surtout pas chercher les ennuis. Tout ce que je veux faire c’est m’asseoir profiter de la chaleur et du paysage. Ces derniers textes sont illustrés par des photos de mon lecteur chauffeur d’autobus de la rive nord, ça donne envie d’être-là d’y aller. Je vais laisser mijoter tout ça, en parler et je verrai si je pars où pas. C’est loin encore avant de partir l’hiver est pas finis. Je sais pas si l’ami qui souffre de la sclérose en plaques va pouvoir prendre un café dans le parc cet été. En voyage le copain col bleu parlait de se louer une villa pour se loger semble que c’est pas cher… Voilà! C’est un autre projet de voyage je sais pas si ça va marcher mais ça coute rien d’y penser. Aujourd’hui j’ai rendez-vous au centre local de services communautaires je fais vérifier ma pression… C’est toujours le problème de la finale, de la chute comment ça va tomber. Lentement la nuit se termine, je vais quand même retourner au lit et essayer de rêver aux pays chauds du bout du monde. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

jeudi 15 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense encore à partir mais ce seras pas tout de suite… Il pleut un peu, la neige fond c’est triste. J’ai regardé la vidéo https://www.facebook.com/splash.simon/videos/876685675766641/ d’un gars qui a arrêté de consommer j’endosse ce qu’il dis mais je suis pas aussi enragé que lui. Je crois que je vous parlerai pas de ça cet après-midi, je me répète… Je regarde dehors par la fenêtre, y’a beaucoup de circulation, les gars s’en vont à la taverne, ils ont de la difficulté à trouver une table tellement c’est plein, ça commence par une draught et on sait pas où ça va mener. C’est la solitude au milieu de la foule, y’a longtemps où je suis allé chez quelqu’un et qu’ils étaient heureux de me voir. Avant j’allais chez les gars avec une caisse de bière, je me saoulais avant de descendre dans le bas de la ville. J’avais de la difficulté à être bien là où j’étais, parfois je marchais pour ensuite entré dans une taverne inconnue c’était une taverne gay… J’ai changé de vie y’a longtemps, je pense à ma frangine décédé qui le serait peut-être pas si elle avait arrêté… Déprimé par l’alcool, on voit tout noir. Les endroits à la mode ne m’intéressent plus, j’ai longtemps rêvé de travailler dans le centre-ville dans une tour à bureau mais j’avais pas l’instruction pour être cadre. De toute façon j’étais mal partout j’y arrivais pas. De ce temps-là je regarde des émissions voyage et je suis toujours étonné de voir tout le vin qu’ils boivent. Ça vous plait pas je suis certain ce que j’écris là… Les habitudes d’un alcoolique. Je suis à court de sujet, j’arrivais de travailler, prenais une douche et je partais me saouler sans manger… Voilà, maintenant je fais plus ça, je prends plus d’alcool. C’est toujours la même histoire, je suis passé près d’y passer. J’ai mal de vous raconter ça cet après-midi, y’a des gens qui m’ont aidé, je sais pas ce qu’ils sont devenus. Vous voyez comment je suis fou, comment je me répète, la rue Saint-Laurent et le Mile End c’est pas pour moi, je préfère rester chez moi… Tous ces gens avec qui je buvais devenaient-ils psychotique entre deux cuites, c’était mon cas… À la fin on m’hospitalisait plus, on me laisser dégriser dans ma paranoïa. Rien n’empêche que ça me fait mal de vous raconter ça… Si tu veux arrêter de boire écris moi je te dirai comment j’ai fait. La ville vie, j’arrive pas à vous écrire autre chose cet après-midi. J’en connais beaucoup qui sont mort au bout de leurs maladie mentale, ils ne pensaient qu’à se détruire moi j’essaye de me rebâtir… C’est toujours la même complainte, j’essaye en vous écrivant de pas être trop suicidaire. Maintenant j’ai peur de sortir, j’aimerais quand même rencontrer quelqu’un, une femme avec qui partager. Voilà ce que j’avais à vous dire maintenant. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

mercredi 14 février 2018

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Encore une fusillade, je pense à nos Snowbirds en Floride… Ce serait sympathique l’automne prochain de partir pour la Thaïlande, un long voyage en avion mais des paysages superbes… Je paranoïe un peu, j’ai rien réservé mais j’ai déjà peur de ne pas revenir. Ce soir comme toujours je vais y aller avec mon senti et essayer de faire des images qui vont vous parler… J’ai enregistré des émissions télé de voyage mais la métaphore c’est pas mon fort, je suis plutôt un adepte du pléonasme, je vous le dis deux fois… Je force trop ce seras pas bon faut que ça coule simplement… Mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord semble avoir apprécié que j’ais utilisé une de ses photos dans le texte précédent. J’en utilise une autre ça me donne envie de partir… Un peu plus tôt ce soir je me suis couché j’ai dormis un peu maintenant je suis debout et je vous écris… Ce petit sommeil ça calme cette angoisse toujours omniprésente au début de la nuit… Je suis content j’ai vu que la snowbird a lu un texte. Je sais pas pourquoi au lendemain de la Saint-Valentin je pense à l’amour à ces couples qui durent, ce que j’ai toujours été incapable de faire. Me suis douché et parfumé, ça sent bon et ça fait du bien, un autre privilège se doucher quand on veut. Y’a plein de mots qui me passent dans la tête, plusieurs personnes que je ne nommerai pas ça fait plus de vingt ans que je les ai vus mais ils ne m’ont jamais contacté pourtant je ne me cache pas, ils sont peut-être trop occupé avec l’alcool. Ouais! L’automne prochain dans les pays chauds ce serait bien, un voyage différent accompagné de mon buddie… Pour le moment c’est l’hiver dans le goulag occidental, je salue les lecteurs russe. Mon nombril est tellement gros je vais exploser… Je crois qu’aujourd’hui plusieurs attendent leurs paye, c’est jeudi… On va commander de la pizza… Je pense à la Guadeloupe où on pouvait manger du poisson frais et de la pizza parfois du poulet. Bientôt ce seras les rapports d’impôts, j’espère que mon lecteur de Deux-Montagnes va pouvoir faire le mien, l’an passé tout s’est bien déroulé. Je reviens à mon senti, avec ces camions qui passent faut pas avoir le sommeil fragile… Encore quelques mots, je suis perdu. J’ai encore hâte de prendre l’avion… Pour la Thaïlande y’a une escale… Je sais pas si c’est possible de se rendre à l’aéroport et de prendre un vol comme ça à la dernière minute et que ce soit pas cher…? De temps à autre reviens l’histoire du toxicomane qui se dopait dans un pays reculé, moi j’y crois pas à les entendre ils sont les premiers à avoir fait ça en Afghanistan où en Colombie à croire qu’il y avait pas de police, surtout que souvent après s’être fait prendre c’était la peine de mort. Voilà! Je termine à la prochaine!!!
Bernard