samedi 30 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Dehors dans le parc y’a un type qui gueule tout seul. Il est deux heure du matin. À l’époque ça m’aurais tellement stressé j’aurais pris ça pour une voix. Écrire c’est toujours une tentative on sait jamais si on vas y arriver. J’ai terminé la lecture du bourreau de Gaudi, ça s’avère un bon roman policier. Je crois que je vous en ai parlé précédemment, ai commencé la lecture d’un recueil Spirou c’est vraiment la détente, les dessins sont magnifiques. Samedi matin, je vais me préparer un café… Le senti est pas mal endormis, toujours en tête cette policière qui met ses gants en entrant chez moi. Si j’avais pas été calme elle m’aurais sortis par la force. Je médite sur ce que je vais vous écrire, une sorte de yoga intellectuel, souvenir du patriarche qui faisait des exercices le matin… Me souviens de ce moment d’égarement où j’ai cassé ma guitare et ma télé, c’était y’a longtemps, je savais plus comment m’exprimer, un moment de colère, j’étais désemparé… C’était le moment où je devais quitter la maison paternelle, j’avais peur, j’avais tellement peur, sans argent, sans boulot… Je devais sortir le nez de mes lectures et aller affronter le vrai monde. Je vie au même endroit depuis maintenant plus de vingt ans, le goulag occidental comme j’ai rebaptisé mon quartier, me va bien. J’ai mûri, je connais mon environnement, je crois qu’il n’y a plus de complot contre moi du moins je l’espère je touche du bois. Je pense à la neige et au verglas bientôt… Le gars à la taverne qui dis que je suis pas intégré, j’ai toujours détesté ce mot. Je pense qu’il m’offrais de faire partie d’une bande de petit criminel. Y’en étais pas question, j’étais assez dans la merde comme ça, j’avais déjà ma gang. À un moment j’avais plus d’argent pour me loger et me nourrir, le chèque de sécurité du revenus juste assez gros pour vivre chez ses parents, mais j’avais quitté le « nid » familial. Je reviens encore avec cette « saloperie » de schizophrénie comment les petits boulot ne me permettent pas d’espérer grand-chose.  Toute cette pression pour que « j’intègre » ce mot que je déteste tant, le marché du travail, c’est fou ce qu’il faut faire pour s’acheter du papier cul. J’ai hâte de repartir en voyage, j’en ai discuté avec un copain peut-être qu’on partirais ensemble, il prend sa retraite au printemps.  Voilà les yeux me ferment tout seul, j’ai encore sommeil, je vais essayer de terminer ça avant d’aller dormir. Tout à coup j’ai le thème musical de Twin Peaks la série de David Lynch dans la tête, c’est ce qu’on appelle une série culte. Je viens de manger deux toasts au creton  https://www.youtube.com/watch?v=i7d0Lm_31BE Y’a quelques années j’ai regardé cette série en rafale. Bien après sa première diffusion. Lentement je termine, j’espère que votre lecture vous à plut. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 29 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis épuisé… Quelques heures pour écrire mon senti. Parfois je crois que j’écris dans le vide… C’est moi qui est vide… Quoi dire? C’est le week-end qui commence, il est encore temps de se rendre au chalet. Non! J’en ai pas de chalet c’est vous qui y allez… Moi je reste dans le goulag occidental, j’irai peut être marcher dans le quartier… Je pense à ce gars dans les escaliers du dollarama qui a laissé tomber une seringue, je lui ai dit de la ramasser, le centre-sud c’est beaucoup ça un repère de toxicomanes, les ressources qui leurs viennent en aide sont en majorité là… Je dis leurs mais je pourrais dire nous, y’a quelques années que j’ai arrêté de consommer. J’arrête ça la, étrangement à Barcelone j’ai pas croisé de toxicomanes sur la rue. Quelques mendiants pieds nus à Madrid vite repoussés par un policier…Quoi dire des rêves brisés, ces désirs qu’on avait quand on était jeune, ils se sont tous échoués sur un trottoir, un banc de parc à regarder passé les riches et les privilégiés. Vous voyez je suis toujours dans la même problématique, quand je passe les douanes on me fouille sommairement, j’ai rien à cacher… Dehors y’a un gars qui crie, ce matin j’ai fait les courses, le gars il a les mains épaisses de quelqu’un qui a trop cogné, blessé un peu partout… Aujourd’hui comme à toutes les fins du mois la police va être occupé… Je pense à ces pushers qui vendent du Fentanyl, la mort… Je me souviens, je me faisait payer cash, j’allais m’acheter de quoi faire un sandwich, je rentrais à la maison je mangeais, prenais une douche me changeais et partais sur la galère. Je rencontrais jamais personne, tout ce que j’arrivais à faire c’est me saouler parfois j’en avais assez de boire seul, je payais la bière à un compagnon de boisson. Y’a pas de poésie là-dedans, pas plus que de rentrer dans un bar désaffecté par la porte d’en arrière, de boire et de sniffer dans la crasse. Je vous raconte ça et je pense à Charles Bukowsky et ses contes de la folie ordinaire. Ma folie étais pas ordinaire elle était psychotique, parfois je me demande comment je faisais… J’étais naïf et sans desseins, encore aujourd’hui je suis étonné d’être en vie. Jamais à ma place, toujours à écouter les gens m’insulter, je disais pas un mot et continuais à me saouler. Y’a longtemps déjà, les bars étaient remplis de monde qui se tiraillaient, se poussaient, y’avait foutrement rien à faire là mais j’étais prisonnier de la bouteille. Laissez-moi vous dire que maintenant j’aime bien être chez moi, je me rétablis et j’ai laissé tomber les faux-amis… Voilà! Faut comprendre aussi qu’il y a autant de variante de toxicomane alcoolique qu’il y a de personnes. J’oublierai jamais cette époque là, parfois je vois des gens dire qu’ils avaient un problème avec l’alcool mais qui boivent encore! Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! L’argent a été déposée. Je suis certain qu’ils y en a qui ont attendus minuit dans un bar où y’a une machine à billet… C’était désolant de regarder les gens discuter autour de cette machine du jeu de scrabble. J’étais seul j’étais donc seul, je rêvais à la barmaid, j’aurais pu lui parler seulement quelques mois avant que le bar ferme. J’ai raté l’occasion une fille s’était présentée à moi en disant qu’elle était sa coloc… C’est pas clair, dans le bar y’avait qu’une machine à scrabble… Pour le staff la plupart avait l’affect affecté, moi je réussissais jamais à discuter avec quelqu’un… J’ai compris des choses quand une barmaid m’a dit que c’était pas un endroit pour discuter. Bon cette nuit je vais essayer de changer de propos. Je sais pas comment je vais faire… C’est assez malheureux mes histoires sont toutes celles de l’échec, je réussis par contre ma sobriété, je réussis aussi à écrire… Il est je crois trop tard pour me trouver une compagne, soixante et un an c’est plus très jeune pour veiller la tête dans les speakers. Hier soir j’ai terminé un roman qui se passe à Barcelone, les noms de rue évoquais quelques choses depuis mon séjour. Je suis pas resté assez longtemps y’a plein de choses que j’ai pas vue c’est malheureux quand même j’ai apprécié mon séjour, Le bourreau de Gaudi ça s’intitule le roman policier, c’est long à démarrer mais quand ça démarre on tourne les pages et ont veux plus s’arrêter. Mon goulag occidental est bien fade à côté de la ville du célèbre architecte, dans le roman on exproprie pour les olympiques ici en vrai on l’a fait pour le stade et si je me souviens bien pour l’édifice de Radio-Canada qu’on veux déjà reconvertir, y’a un projet immobilier important autour du nouvel édifice. Je me suis perdus dans Word, ça m’a coupé toute mon « inspiration ». Je trouve pas quoi vous écrire, mais oui on est avancé dans la nuit. Je vous illustre ça avec une sculpture qui est pas loin du musée Picasso, je sais pas elle est de qui, peut-être de lui. Je délire, je délire, aujourd’hui je vais au marché… Mes pensées sont loin de la littérature cette nuit, encore faut-il que ça en soit… Je sais pas si on peut nommer ça de cette façon parais que ceux qui se servent de l’internet c’est des abrutis, à ce compte-là y’en a des milliards… Je suis réveillé, je pense aux avions, à Bombardier, à Delta, Bombardier à l’époque ça s’appelait Canadair et c’était souvent dans la controverse… Le C-Series c’est certainement le meilleur avion. Hier j’ai écouté la radio, y’avait pas vraiment de propos édifiant… Je suis pas là pour vous faire une revue de presse mais comme toujours vous parler de mon senti… Je dirai pas grand-chose j’ai presque terminé. Je vous remercie d’avoir lu jusque’là!!! Heureusement j’ai pas la larme à l’œil. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

jeudi 28 septembre 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il y a de petites cloches qui me sonnent dans la tête… J’ai presque terminé de lire un énorme roman policier. La chaleur est partie mais il fait quand même très beau… Je me prépare un café. Je veux rester éveillé… Demain c’est la paye rien pour s’énerver. Après-midi qui annonce l’automne… Je suis pas triste c’est toujours une tentative de vous traduire mon senti en mots… Souvenir du niaisage à la porte d’un copain, j’attendais qu’il m’ouvre, il était pas là, je voulais consommer j’avais pas un rond, ce que j’étais con et désagréable, ça va mieux j’ai changé tout ça. Je cherche quoi vous raconter, ce midi j’ai fait un peu de ménage… Les grands écrivains traitent des choses intérieures, de l’âme… Jeudi, ils livrent la bière à la brasserie d’à côté. Je pense au sympathique ami représentant… J’ai perdu la façon de parler alcoolique, me souviens que j’étais gêné et sensible pour les autres à les entendre dire des vérités maintenant ça me préoccupe plus, les gens peuvent dire ce qu’ils veulent j’ai pas à me sentir mal pour eux. Toujours l’impression  quand même qu’on se paye ma gueule, si c’était vrai qu’est-ce que ça ferait? Pas grand-chose je suis pas si important que ça… Me souviens du Cheval Blanc la taverne vintage toujours pleine de monde. Le camion de livraison est partis… Demain c’est aussi la fête des pizzerias après un mois à manger du Kraft Dinner et de la soupe aux nouilles. J’aime à croire que je vaux plus que ça, que je peux acheter ma bouffe… La thématique c’est souvent la même à la fin du mois. Je sais plus où aller pour renouveler mon stock d’idée, les histoires d’alcoolique et de coké c’est toujours les mêmes, la dèche… Si je voulais déprimer j’aurais qu’à prendre de la bière, je le ferai pas pour aujourd’hui… J’arrive pas, j’arrive pas à parler d’autre chose que ne pas boire pour moi c’est important je veux pas mourir, les autres buveurs savent où sont leurs limites moi j’en ai pas je bois pas… Je vous parle pas de ce faux sentiment de richesse après avoir pawné une radio, une guitare, des bijoux, un rasoir à l’époque c’était à peine dix dollars et je me sentais riche comme crésus pauvre barjo. Tout ça fait longtemps mais j’oublie pas, j’ai jamais rencontré de gens sympathiques là et si je veux continuer à me rétablir et à en parler faut pas que j’y touche. Bon! Je me rappelle plus qui me parlais qu’il se faisait écoeurer parce qu’il ne buvait pas, il avait qu’à pas rester là, y’a quand-même des buveurs qui respectent ça. Je vous aurai rédiger encore une fois une chronique pas trop intéressante du buveur abstinent. Je le répète j’irai pas pour aujourd’hui, si je bois je vous écrirai pas. Voilà! Je termine avec quelques mots pigés ici et là. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 27 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j’ai le tournis, je crois que j’ai bu de l’eau contaminée à moins que ça soit l’air du climatiseur. Mes textes devraient bientôt être mis en évidence dans un site web d’une étudiante de l’université d’Ottawa. Mes journées commencent tôt mais je suis content… La semaine prochaine je parle aux gestionnaires de l’institut… Là aussi je vais me servir de mon senti… J’espère être utile. Le climatiseur fonctionne, je me bat contre le sommeil, au Québec aussitôt qu’on voie une tour on y voit un phallus, c’est bête… Est-ce qu’on dis ça des silos à la campagne? Y’a rien de moins poétique que mes tentatives d’écrire de la poésie… J’irai pas en Chine seul, je vais y aller en tour guidée. Si jamais y’a une lectrice où un lecteur qui est intéressé de m’accompagner qu’il me fasse signe y’a rien qui presse c’est pas pour bientôt. Je sais pas ce qu’ils sont devenus les amateurs de pool de la tabagie. Billard et machine à boules, tout pour occuper les petits bums… Un bout de temps j’ai eu un agent à mes trousses, j’avais rien à me reprocher, je vendais rien. Je suis pas surpris d’être où je suis aujourd’hui mais malgré tout j’avais dans mon adolescence de bonnes valeurs, des histoires comme la mienne y’en a plein le Reader’s Digest. Je sais pas si un jour je partirais pour de bon quelques années disons… Cette nuit je suis pas angoissé, le goulag occidental est quand même tranquille… Je pense aussi à cette époque où je glandais au parc des canards. J’avais bien essayé de me remettre aux cours aux adultes mais j’avais l’aide de personne c’était trop difficile, étrangement j’ai une odeur de diluant à peinture dans le nez, voilà une autre chose qui m’a intoxiqué… Je pense à la shop, au bonhomme qui, je crois qu’ils appelaient ça comme ça, honais sur une machine j’ai jamais trop compris ce qu’il faisait. Il usinait les parois des cylindres pour favoriser l’étanchéité avec le piston et améliorer l’adhérence de l’huile. Il utilisait une perceuse à colonne. C’est des métiers spécialisés, je pense à mon lecteur de la Rolls-Royce… Pendant la canicule on suait c’était difficile le mélange de sueur et d’huile, j’ y arrivais pas, pas même capable de faire mon lunch avant de partir… Ouais! On sort de la shop pour ce soir, tout ça c’est des mauvais souvenirs. Elle n’existe plus depuis longtemps cette shop-là, le patriarche en parlait encore avant de mourir. Je crois que j’ai des cousins machinistes outilleurs. Bon la nuit est avancée, je termine ça bientôt, j’essaye de vous pondre une finale digne de la meilleure pondeuse du poulailler… Souvenir encore d’un autre boulot où je montais une maison de pièces… Milles métiers milles misères. Voilà! Je crois que ça va être tout pour tout de suite, lentement je termine en comme toujours vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Lâchez pas tout de suite ç’est bientôt la finale. À la prochaine!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je crois être trop ambitieux mais je vais quand même essayer de vous écrire quelque chose toujours à partir de mon senti. Je crois qu’il y en a quelques un que vous avez pas aimé mais c’était l’inspiration du moment. Les souvenirs de voyage disparaissent lentement, dans l’avion j’étais toujours assis côté allée. Je pense à mon ami menuisier ébéniste comment il aurait apprécié les meubles art nouveau catalan, ils sont magnifiques sablé et vernis avec une grande finesse. Tout en courbe voluptueuse… On appelle ça de l’art ici parfois les meubles sont industriel au mieux on peut dire que c’est de l’artisanat. Je crois que je vous ai déjà parlé de l’époque où le copain avait son atelier, on y travaillait le week-end mais parfois on avait de longues discussions en chauffant le poêle avec le propriétaire. On discutait politique si je me souviens bien… Plus tard je téléphonais parfois à l’ami qui faisait faire des bla bla bla à ses enfants plutôt que de me parler, à cette époque il aimais pas discuter. J’aurais aimé parler je me sentais tellement seul… C’étais y’a longtemps j’étais jeune et malade je consultais un psychiatre, la psychose et cette saloperie de schizophrénie. Quand aux femmes je m’amourachais de femmes aux femmes je sais pas pourquoi elles m’ont suivi longtemps dans ma vie, rien pour remonter ma virilité. Je suis dans le senti confidentiel cet après-midi… De toute façon les trois-quarts du temps j’étais saoul ça fait un vécu pesant… Je discutais chez un copain qui est devenu mon patron, je lui parlais des voyages que je voulais faire, là aussi j’y arrivais pas je consommais trop, je payais même pas le loyer. Je devenais là aussi psychotique, j’étais hospitalisé une où deux semaine c’était ça aussi y’a longtemps, je me rétablis lentement. Ce soir je mange du Irish Stew… Cet après-midi j’ai croisé une jeune fille on s’est regardé longtemps, je me souvenais pas d’elle j’ai pas été assez vite pour lui demander si on se connaissait… Dans ma vie y’a bien des gens qui sont disparus et c’est pour le mieux, je sais pas ce qu’ils font mais moi je le répète j’ai pris le chemin du rétablissement… Ai ouvert la boîte de conserve, fait chauffé le stew et tout à coup je suis triste… Je pense à cet autre ami malade, une vrai maladie que je vous nommerai pas mais c’est dégénératif, faut pas que je me plaigne si je me compare… Lentement le ciel se couvre, ils annoncent plus frais pour demain, des orages aussi… Je sais plus quoi vous raconter mon senti est vide, vers où dois-je aller? Je repartirais bien en voyage assez longtemps encore pour m’inspirer. Vous me lisez, vous me lisez je ne cesse de radoter. Voilà mes propos, je hurle à la lune désespéré. J’espère que vous m’avez lu et que ça vous a plu. Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Je continue à écrire malgré tout, parfois je pleure à l’écoute d’une chanson, les mots sont un peu comme ma prison. Je sais ça tourne pas rond, pour une fois je voudrais en écrire un bon de ceux qui ne tourne pas rond. Non! Non! Non! Il seras long, j’essais de lui trouver un ton pour qu’a sa lecture vous faisiez un bond. J’aimerais me faire un nom me diriger avec mes ailerons, c’est pas fort j’écris au son c’est quand même lourd comme du plomb, voyons! Voyons! Voyons! Je suis sur les talons de l’étalon surréaliste de bon ton je cherche le fond vous demande la compréhension de mes araignées dans le plafond. J’ai pas d’ultimatum pas de vision, juste une leçon une pamoison pas de sinon, un texte comme la vermine dans le tronc au bas de l’arbre les étrons. Je suis prompt! Je suis prompt! Je suis prompt! Je traverserai pas le pont! Je rêve plus de voitures mais d’avions je sortirai pas de mes gonds c’est juste des maillons rien qui mène pas à la prison mais peut-être au salon. Je parle pas de vallée mais de vallon là où se cache le baron, cou donc! Cou donc! Cou donc! Je suis pas une exception, de ceux qui poussent le crayon, de la « poésie » de chauffeur de camion. Ce serait mieux écris par un cochon dans un atelier de sonorisation. Voilà c’est un citron où peut être du limon. J’essais de faire illusion où  hallucination, c’est un texte de con comme si je jouais au ballon, donnons! Donnons! Donnons! On embarque pour Pluton… Vous demandez le baillon, pour vous je dois me taire sinon… Je suis pas Platon,  j’ai pas d’électron, la tentation serait d’arrêter là avant la conclusion sans détermination. C’est un texte niais comme un melon, un potiron. Je vous dis valsons, valsons avant de faire le planton. Ça fait pas mal je vous demande pardon, je me colle à vous comme un chardon comme une épave… Dans la salade le lardon après on se lave au savon et tout à coup le mot fatal union qui mérite une réunion… Mais comment, comment survivras la passion? J’espère qu’elle éloigneras la malédiction, vous allez trouver que j’ai du front… Je pourrais vous défiler des noms de rue comme Masson et De Bullion mais non! J’exploite le filon, j’y vais avec passion, disparu les charrons, les chevaux, les quarterons… Les millions, les billions c’est pas pour moi, tout ça c’est une déclinaison digne des plus mauvais chaudrons, écrivaillons. J’y vais pour la finition, la terminaison quelques noms encore et la répétition… Je vais manger des bonbons sans nommer l’épicerie de la cave au plafond. Voilà ce seras ça j’ai plus de munition, j’aurai fait des sillons en essayant de devenir un parangon, tout est affaire de détermination, je suis ici un siphon pas un tromblons. J’espère que vous ne direz pas non à cette lecture y’a pas de sommation. Merci pour l’inclusion!!! Ciao!!!
Bernard