mercredi 27 juillet 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je pense aux carnages, à cette guerre contre le terrorisme. Y’a aussi les jeunes hommes voisins isolés qu’on soupçonne, ils ont le droit de vivre, c’est la peur qui me fait voir des terroristes partout, ils frappent pas souvent dans les lieux où ils habitent. C’est la France qui est la plus touchée. J’arrive pas à écrire là-dessus. Je retourne à mon senti un paranoïaque qui a peur c’est double, ça imagine toute sortes de scénario et oui j’ai peur de l’étranger, on a beau dire c’est avec la terreur qu’ils arrivent à leurs fin… Je développe pas plus là-dessus, j’y connais rien. Je pense à l’amie aphasique, j’essais de la comprendre c’est pas facile… Y’a une grande nuit de la poésie à Saint-Venant-de-Paquette ça devrais être intéressant ça s’intitule « J’en appelle à la poésie ». Si seulement j’étais un peu poète que j’étais coupable et capable de beaux mots, de belles phrases… Si jamais vous connaissez quelqu’un qui y vas et part de Montréal, faites moi signe… J’écoute la  fameuse  voix intérieure, j’ai peur, les kamikases djihadiste sont capables de tout. C’est vrai que c’est épuisant ces assassins. Mon monde intérieur est habité seulement par l’angoisse si forte qu’elle fait croire à du calme quand ce n’est que de la peur silencieuse. Comment je fait pour écrire, je ne suis qu’un abrutis, ce que vous lisez c’est pas de la poésie, j’aimerais ça mais je peux pas je me répète… C’est toujours ce je,qui réussis pas a parler à la première personne du pluriel j’ai pas la force pour parler avec et pour les autres. Je pense à l’écho d’un fleuve du Péristyle Nomade http://www.peristylenomade.org/  C’est dans le goulag occidental bien qu’eux je crois n’approuvent pas mon idée de goulag. J’aimerais ça, j’aimerais dont ça être un artiste comme eux, étrangement je pense à l’époque où j’avais une ardoise au bistro, c’est finis tout ça, voilà que je décolle sur ma thématique récurrente je laisse faire, y’a des gens qui animent le quartier pourtant il est peuplé de pauvres qui ne fréquentent pas les riches. On va m’haïr parce que j’écris ça. Je  suis toujours dans ma folie néo-dépressionniste je vole ces mots à une chanteuse. Toujours devant mon écran, j’ai le bain Matthieu en tête un autre centre-culturel du goulag occidental  http://www.bainmathieu.ca/ dédié au développement des arts gigantesques. C’est une tournée du quartier aujourd’hui, moi je suis plus au sud dans un coin plus populaire. De quel bord s’en va la track? Je pense à la culture à comment la mienne est déficiente, à comment elles n’arrive pas à assimiler certaines idées de la coopération. Je ne suis qu’un vieux fou… Le Touski http://meowpownow.com/touski/ c’est leurs repères je peux pas vraiment en parler je ne le fréquente plus. C’est pas fort comme écriture aujourd’hui. Un vieux vendu voilà ce que je suis, je sais pas pourquoi je pense à Armand Vaillancourt. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 26 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Puisque je suis debout je vais vous en écrire un autre. Le climatiseur est arrêté ça s’est quand même rafraichis chez moi. J’attends un chèque et un livre par le courrier… Dehors une voiture passe, le conducteur chante avec sa radio… Je sais pas comment dire on viens à bout de ses souvenirs… Enfants ont rêvais le monde en espérant une télé couleur. Je me souviens aussi que le disque sortis après sa mort de Jimi Hendrix étais beaucoup moins bon que le précédent, semble qu’il sort encore des disques de lui aujourd’hui. Pour le voyage à Washington un ami m’a prêté son guide Michelin, on s’est entendu pour dire que sans littérature de voyage on ne sait pas où aller et on entre un peu n’importe où. Je sais pas si mon amitié avec la danseuse résisterais à un appel au milieu de la nuit. Je pense aux seins féminins à mon désir parfois de les tenir dans mes mains ça change de ma thématique habituelle quoi que lorsqu’on bois à la bouteille ça rappelle le tétage du poupon, dans la consommation de bière y’a un rapport à l’oralité , le sevrage c’est un peu de ça qu’il s’agit lorsqu’on cesse de boire de l’alcool. Je suis revenus à mon thème habituel. Je vais changer de cap. Quoi vous dire sur l’époque où tout un chacun se proclame écrivain… Cette nuit je suis endormis je me fait un café. Hier l’intervenante est passée pour une inspection du ménage chez moi, je vous dirais que c’est pas nickel mais c’est vivable… Pour la littérature ce que j’écris cette nuit c’est loin de Jean Genet… C’est assez extraordinaire comment le climatiseur fonctionne bien. Je suis en amour avec cette machine là. Je pense à l’Amoraliste de Gide je crois, je suis pas dans la littérature des amoureux des petits garçons disont que je préfère Lolita de Nabokov mais elle était bien jeune, une adolescente, faut apprendre à vivre avec les gens de son âge. Là je mêle tout, la vrai vie et la littérature bien que celle-ci est parfois plus vrai. Je pense à ce bon ami disparus de ma vie, il avait le sida, la dernière fois que je lui ai parlé il avait des problèmes financiers j’ai pas pu l’aider. Je crois que maintenant il est décédé, le goulag occidental l’a engouffré. Je sais pas si vous avez remarqué maintenant je compte les mots, ça vous prend que quelques instants à lire, moi ça me prend quelques heures à l’écrire. Étrangement je pense à ce tenancier de bistro, il était bien bon de m’accueillir… Je pense aux gens qui m’entouraient à un moment, des sociologues, des étudiants en sociologie, des gens patients qui espèrent voir le monde se transformer mais ça n’arrive pas. J’en suis déjà rendus à la chute, à la tombée finale du texte, quand on a pas étudié on fait ce qu’on peut, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de pas être trop lourd ce soir même si les barbares ont encore frappés. Je commence à être à court de mots on vie tous nos drames personnels. Le départ pour Washington approche, j’ai hâte. Je veux pas vous écoeurez avec mes écritures, ça reste toujours des nouvelles du goulag occidental, de ma vie intérieure aussi. Je pense au jeune garçon à qui j’ai envoyé un recueil de bandes dessinées. Je veux qu’il se sente obligé à rien, j’avais juste ça en souvenir le bien-être que ça m’apportais de lire, le bien être que ça m’apporte encore… Les copains étaient pas toujours là, parfois il pleuvait j’en profitais pour lire, je me souviens même de la colorée encyclopédie Tout connaitre, que je lisais aussi. J’écoute ce que ça dis, le soleil brille, il fait chaud, je suis vraiment pas un grand poète je manque de mots savants. Y’a un parfum de café que j’irais bien prendre sur une terrasse en bonne compagnie… Je pense à l’écran comme à un écran de jeu, mais non je ne joue pas j’aime pas ça, me souviens du jeu du pendu au bout du bar, les journées comme aujourd’hui coin Saint-Hubert et Ontario, les fenêtres de la discothèque étaient ouvertes, le staff de cet endroit je sais pas ce qu’il est devenus. Je reviens encore avec mon thème de prédilection… Le barbu me jette dehors, je suis trop saoul, je fait des niaiseries. Quand j’ai cessé de fréquenter cet endroit il a fermé, quand à la brasserie rue Saint-Laurent elle a passée au feu ils l’ont jamais reconstruit… L’oncle disait que j’avais bu trop vite que c’est pour ça que je ne buvais plus, trop bu! C’est possible j’avais pas de fond… Je m’ennuis pas de l’alcool j’y retournerais on me tuerais… Je me vois faire la tranche de bacon sur la piste de danse des Foufounes Électriques j’ai réussis à me faire jeter de ce trou aussi… On y voyait rien dans ces endroits il faisait noir, parfois on rencontrais une connaissance qui disait si j’avais su que t’étais là je serais pas arrêté. Je racontais à une copine que je m’étais jamais fait d’amis dans les bistros, les brasseries où les bars. J’étais trop dingue. Quand je bois je suis un briseux de party, rien de bon. J’ai jamais été sérieux pour prendre ma vie en main, bientôt ça va faire vingt trois ans que je n’ai pas bu je ne m’en porte que mieux. Aujourd’hui c’étais l’inspection du logement pour la propreté j’ai encore des choses à améliorer. Le ménage ça me tue, je pense à cet autre oncle qui m’avais dis « ça l’air que t’est plus capable de te torcher » ça m’avait vraiment fait mal, c’est tout ce qu’il avait réussis à me donner comme travail balayeur!  J’ai fait un peu de ménage chez moi. J’arrête et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 25 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Faut que je me fasse une idée. Je suis pas publié papier, je suis pas écrivain. Je suis qu’un pauvre type perdus dans la blogosphère, y’en a des milliards comme moi et si j’étais bon écrivain ça se saurait. Je suis pas Paul Valéry ni André Gide. J’écris ça et je pense à l’ami qui est un vrai professeur d’histoire de l’art, un homme très cultivé… Quoi dire? Y’a des choses que je garde pour mon cahier, ce soir j’ai reçu le merci de mon petit neveu à qui j’ai envoyé l’album de bandes dessinées. J’espère qu’il va aimer ça, je suis bien conscient que c’est pas un jeu électronique que c’est suranné mais parfois y’a du bon dans les vieilles choses… Si je reviens à mon senti je suis un pépère, étrangement je pense à Jacques Ferron à son Ciel de Québec qu’il faut que je relise à L’Amélanchier aussi à Tinamer, mais non je suis pas un homme de lettre juste un bum qui a trouvé refuge dans la littérature, je mentionne encore les rockers sanctifiés de Francoeur, merci d’avoir mis la littérature rock sur la map. Je sais pas si je vais avoir le temps de lire Patrick Straram, Bison ravi… Je sais la littérature ça vaux pas le cabanon bâtis dans la cour. J’ai voulus y habiter on m’a pas laisser faire c’était bon pour le chien mais pas pour moi. L’ami historien de l’art nous a parlé de Toulouse-Lautrec et du sanatorium, je lui laisse je crois qu’il va en parler à la radio. Je pense à l’absinthe qui rend pas spécialement brillant. Mon senti c’est toute ces émotions j’essairai d’en vivre à Washington. Je sais pas si j’ai de la délicatesse, c’est brut ce que j’écris quoi que c’est pas à moi de juger ça. Je suis un pauvre fou dans le quartier qu’il a désigné comme étant son goulag occidental… Parfois je mérite des tapes sur la gueule quoi que je parle pas de la façon que j’écris… Je vais peut-être tenter une autre expérience d’écriture avec les gars de la radio… Je sais pas pourquoi j’arrête jamais d’écrire, la fille qui participais à la réunion tout à l’heure me semblait une militante enragé qui a oublié de demander pourquoi on l’attachait dans son lit la nuit, la contention ça demande une réponse quand on est hospitalisé. Moi j’ai été attaché qu’une fois, tellement fou que je l’ai demandé, je voulais en finir je crois que ça m’a sauvé. Je vais vers la stigmatisation, quand les gens, j’aime pas beaucoup écrire les gens j’en suis moi aussi, souffrent et croient que les pauvres prestataires ne souffrent pas c’est une erreur, voilà le stigmate la douleur solitaire. Je sais pas trop si ce que j’écris là à du sens. Je crois que plusieurs voudraient niveler par le bas. Enfin je sais pas si je participe à l’insignifiance générale mais je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Un peu épuisé, trouvez-moi la clé… J’ai pas beaucoup de temps pour écrire aujourd’hui, ça vous fait rire. Dehors c’est pluvieux, ce midi on a mangé des hot-dogs avec les voisins… Le repas du pauvre c’était quand même bien. Je vais essayer d’être plus original, j’écris quand même pas un polar me souviens de ce titre Mystère bonne blues, moi je cherchais pas tellement c’est plutôt un complot qu’il y avait contre moi. Je me souviens de ces longs défilés de corbillard qui me faisait peur, étrangement on en voie plus, y’a plus d’églises plus de cimetières et les salons se font rares… C’est comme si y’avait plus de morts pourtant j’ai des parents et des amis qui sont partis. Je sais y’a rien de trop réjouissant à écrire sur la mort, c’est l’angoisse… Le temps passe et je suis lourd… Quand je reviens à mes thèmes de prédilection comme la toxicomanie je peux pas faire autrement que de penser à l’autodestruction… Je pense à des gens qui avaient une sorte d’orgueil de la sobriété… Ce que je comprends c’est que si je veux vivre je dois pas consommer… Je voulais vous écrire sur la prison mais je connais pas ça, j’ai été chanceux la seule que je connais c’est la prison intérieure. C’est pas réjouissant, pourtant en consommant pas un jour à la fois je me libère de la mort quotidiennement. La vie est quand même plus belle à jeun on veux pas se jeter devant les roues d’une voiture dernièrement y’a tellement de gens qui ne demandaient qu’à vivre et qui sont partis sous les balles et les bombes des terroristes, y’a de quoi se révolté quand on apprend qu’il y avait des enfants!!!... Cet après-midi je suis heavy, j’ai essayé de dormir pour me calmer m’apaiser. Je sais pas ce que la vie me réserve mais je crois que c’est plus beau que ce qu’elle me réservait avant. Quand je suis angoissé je prie et ça m’aide, j’ai lu quelque part que de pas avoir de travail ça tue, vous l’avez sous les yeux mon travail, l’écriture c’est ma raison de vivre. Les psys ont surement un nom savant pour décrire ça… Mainette, feluette combien d’autre mots pour me dénigrer, je vais laisser faire les autres, j’ai pas besoin de m’y mettre… Ça aussi quand on se sent dénigré c’est une sorte de mort, une petite mort qui fait pleuré désemparé. Je cherche les mots mauvais heureusement j’ai pas une bonne mémoire pour ceux là pourtant je me suis jamais perçu comme « gay » célibataire oui, mais pas gay… C’est un sujet délicat, d’autre mots me viennent à l’esprit, moumoune, fif, tant de mots irrespectueux… Vous les connaissez tous. Quelques lignes encore, la mort on l’à laissé, on y va avec la vie en essayant de se réjouir des naissances chez nos proches. Je termine maintenant en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Y’a pas de surprise aujourd’hui, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

dimanche 24 juillet 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Déjà de retour! J’espère que j’ai blessé personne avec mon post sur la pêche dans le grand nord. Il est vingt-deux heure sept, je vais prendre une douche je sens la merde… Ça y est je sens bon, quand je prends une douche comme ça le soir, c’est comme si le lendemain je partais en voyage, attend moi Washington j’arrive… J’étais jaloux des collègues qui sont retourné à Paris mais on peux pas tout avoir, cette année je visite les américains, ça fait partie des plaisirs du rétablissement. Je pense à l’humilité à comment vivre ça au quotidien sans me faire mal. La matriarche est de retour je crois elle devrais avoir une chirurgie finale à son œil, elle attends qu’on lui téléphone. Je vais essayer de me coller le plus possible à ce que je ressent à mon senti parfois j’ai peur parfois je m’ennuis c’est pas finis c’est la nuit et j’attends le bruit le conduit le bris. J’arrête ici c’est de la folie c’est pas permis eux on tout dis et puis et puis…Faire des histoires le soir l’écran comme un miroir dans les toilettes d’un abreuvoir, faut se voir, faut se voir pauvre poire aux idées noires qui cherche le pouvoir sur l’histoire… C’est l’heure de la peur, l’heure où on meurt en pensant à une sœur qui est partis comme ça dans les heurts d’une vie dans le tordeur… Vous comprenez pas vous comprenez pas, pas besoin s’agit juste d’arriver d’y voir un peu de beauté, de prosopée, y’a personne là, tout est bien à plat voilà je réfléchis à ça à cet exercice d’internat, de fou furieux sur un matelas. Y’a longtemps que j’ai écrit comme ça je crois, j’ai la foi je suis plus un prélart qu’un prélat pourquoi? On me marche dessus comme si c’était une plus valu… Ouais! Je suis un peu partis ça c’étais vraiment mon senti sans censure, je m’inspire des camelots de L’itinéraire, pourtant c’était pas à l’horaire ce soir je crois pas être dans la grosse misère… Je pense à l’amie danseuse de retour de Victoria, j’en connais qui pleurerais plus qu’elle prisonnière de son corps d’aphasique c’est difficile pour une danseuse contemporaine et là je me suis remis à réfléchir sur ce que je vais écrire mourir? Pourrir, polir pas dire, ils savent tous ce qu’est la poésie je suis ignorant, j’attends, j’attends ça prend du temps… Dehors des passants discutent et moi je cherche la chute, je trouve pas c’est une lutte sur une butte a regardé passer les putes. Je peux vraiment pas aller plus loin que ça… Faites le vous-même le sens il est pas unique ni inique quoi que je crois pas être malhonnête. La chute cette salope de chute je sais jamais ce qu’elle seras, je pense à mon cousin l’écrivain par là c’est un ami tra-la-la ! Trève de mots, je sais plus trop. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Je lis le journal L’itinéraire et en pensant aux camelots je me remémore mille neuf cent soixante sept, Terre des Hommes et la visite des pavillons à l’envers, entré par la sortie! Avec le grand cousin qui voulait pas faire la file d’attente… https://col125.mail.live.com/?tid=cmXM53ucxR5hGSVwAjfeRpvA2&fid=flinbox  Ça c’est pour mon ami lecteur pêcheur, lui aussi suivait à L’Expo soixante sept, moi je suis pas allé souvent à la pêche. Je préférais niaiser dans le vieux Montréal. Je mélange les choses cet après-midi, pour la pêche et le Vieux-Montréal j’étais plus vieux qu’à l’expo, je me rappelle avoir pêché avec le patriarche au Lac-Saint-Jean, un oncle aussi était avec nous pas loin de Roberval… C’est des histoires de famille élargie, faut dire que j’aimais bien aller voir les cousines au Lac… Y’a quelques années avec une copine on est allé dans Kamouraska en remontant la route le long du fleuve on a traversé les villes et les villages c’était très agréable. C’est une chose oublié y’a pas que les grands routes… Cette année je prends l’avion pour Washington, j’ai hâte de voir ça… J’essaye de revenir à mon senti, je pense à la petite école transformée en café à Saint-André-de-Kamouraska, c’est pittoresque, allez-y le café est bon… Ça me manque ça de la compagnie pour marcher quelques kilomètres sur les berges, demain si il pleut pas je vais à Saint-Adolphe-d’Howard, une sortie à la plage dans Lanaudière, tout à coup je pense à ces connaissances qui habitent dans ce coin-là, je veux pas les rencontrer… Aujourd’hui c’est dimanche il fait beau, souvenir du Balcon Vert à Baie Saint-Paul, je sais pas pourquoi je m’y sentais toujours à part, maintenant il semble que c’est fermé on y avait un très beau et très bon point de vue. On était à part parce qu’on était pas de la famille de ces hôteliers éduqués. Je vous promène d’une rive à l’autre, d’une région à l’autre, l’été est pas long faut en profiter et faire des milles à pieds. Je pense aux communes du temps, aux coop d’habitations, à comment c’est difficile de vivre en communauté à comment je préfère vivre seul… J’aime pas ça essayé d’être cool je suis de la race des révoltés des mangeurs de viande à volonté, les granolas me font ch… Je suis un citadin du goulag occidental… Je pense au mythique et disparus Ben Delicatessen, le smoked meat à son meilleur, je m’en câlisse du chimique, les toxicomanes alcooliques sont végétariens quelles absurdités. Je reviens malgré tout à ma thématique préféré, ils se dopent et sont végan!!! Je suis certain que cet après-midi vous comprenez pas mon propos, je dérive, je dérive comme un pêcheur dans un lac qu’il ne connait pas… Je pensais vous faire plaisir avec la pêche et les poissons mais c’est moi le poisson. Tout ce que je sais c’est que j’écris ce qui se passe entre mes deux oreilles. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard