lundi 23 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pourquoi j’ai de la peine ce soir, pourtant il fait beau temps et je suis allé prendre un café dans le parc pour ensuite me rendre au voilier d’un ami. Je lui ai parlé du restaurant de la marina en Guadeloupe comment c’était extraordinaire. Ce lundi les gens préparent leurs bateaux pour le mettre à l’eau le week-end prochain. Je racontais a l’ami que j’étais pas bon barreur pas plus que conducteur où motocycliste. Moi mon sport c’est la marche, la randonnée pédestre, j’avais bien du plaisir avec la dernière douce. J’ai peut-être les larmes parce que je suis heureux malgré tout. C’est grand, grand soleil, j’arrive pas à le croire, même à Cuba il a pas fait beau comme ça. J’entends de la musique latine, ça réchauffe le cœur… Je disait à l’ami comment j’étais vieux, lui disait vieux peut-être mais beau, tant pis pour celle qui n’ouvrent pas les yeux. J’ai revisionné  http://www.lapresse.ca/videos/actualites/201604/29/46-1-les-poetes-maudits.php/10b0145470df4f3cbe73dbace3ebe89a  le vidéo où je participe, le caméraman a mis bien en évidence la cicatrice que j’ai sous l’œil droit, j’oserais dire que c’est une cicatrice fondatrice, le début de la peur et de l’angoisse, le départ de la notion d’abandon dans le sang sur le bord de la route… Maintenant j’entends rock around the clock, ça comme ma blessure c’est vieux, je devais passer par là autrement je crois que j’aurais été encore plus détestable mais avec l’ami on se disait qu’a vingt ans on pouvait pas être sage, maintenant y’a des choses qu’on veux plus faire.  Je crois par exemple que j’ai assez rédigé mes mémoires me voilà donc qui cherche l’émotion, le senti et comment c’est difficile de le dire, de l’écrire. Ce soir j’ai commencé a vous écrire avec la peine et je peux pas m’empêcher de pensés à des valeurs que j’ai, l’amitié en est une, l’authenticité, et l’honnêteté aussi. J’ai longtemps dis qu’il fallait se changer soi avant de vouloir changer le monde, mon défaut c’est que j’appliquais pas cette belle philosophie maintenant je sais un peu plus de quoi il s’agit. Je vous dirais que je sais comment se sent une marmotte blessée le long de l’autoroute.  Ce soir j’ai pas peur je sais que j’ai passé une honnête journée, j’entends des gens qui parlent en arabe, je pense aux bombes en Syrie, encore un carnage, pour quand la fin?  Ça ressemble à l’été ce soir, je suis pas jardinier, tout ce que je « sais » faire c’est écrire, mais je suis pas tombé dans la bonne talle au départ, pourtant comme je l’ai déjà écris, les gars étudiaient aux arts graphiques y’avait assez de talent là pour faire un livre. Enfin vous me lisez ici c’est pas plus mal et je crois qu’il y en a d’entre vous qui croient pas à l’expression disont que je suis « impressionniste » mais juste pour ce soir, le temps de lire ça. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine!!!

Bernard

dimanche 22 mai 2016

Au présent


Bonjour!Bonsoir! Ce soir je reviens avec une œuvre de Claude Millette https://parcmedericmartin.com/2015/05/13/exposition-du-sculpteur-claude-millette-dans-le-parc-mederic-martin/ qui nous fait le bonheur de prêter plusieurs sculptures exposées dans le parc Mederic Martin, c’est un parc important du quartier moi je l’appelle le goulag occidental mais c’est aussi la Petite Pologne, je pense que c’est à cheval entre le centre-sud et Hochelaga Maisonneuve. L’ensemble de l’œuvre s’intitule Crescendo celle que je vous présente est en acier brossé et malgré le matériel utilisé on y sent une légèreté. Je parlais avec un ami des difficultés de la soudure comment il fallait se protéger les yeux et les poumons, en anglais on dis « le fume » que ça dégage c’est très nocif, effectivement on sent un crescendo dans les œuvres une montée comme chez les danseurs danseuses malgré que les sculptures soient immobiles elles dansent ont sent même qu’elles veulent s’envoler c’est pas peu dire… J’ai un peu cette nostalgie de l’atelier du bruit que fait le métal qui s’entrechoque de la torche à acétylène qui découpe… J’ai lu à un endroit que monsieur Milette avait pas fait de maquettes qu’il s’étais laissé aller à la création sur le champ. Bravo! J’aime beaucoup quand on ajoute des œuvres au patrimoine urbain. Les autres sculptures dans le parc sont en acier corten, un type d’acier qu’utilisent plusieurs sculpteurs, les œuvres sont prêtées pour un an, je pense déjà qu’on pourrais inviter un autre sculpteur l’année prochaine et peut être en faire une tradition. Moi quand je regarde des sculptures ça m’émeut, ça me parle, c’est moderne en même temps qu’antédiluvien, les dimensions c’est intéressant on fait le tour et on choisis l’angle qui nous parle le plus, elles montent les sculptures de monsieur Millette elles s’éloignent du sol pourtant… Je contemple ces sculptures et je pense à ce qu’on appelle aujourd’hui les mixed-média, les œuvres exposés dans le parc font partie d’une tradition de travail de la matière, le mixed-média est plus évanescent. Y’auras toujours des gens pour travailler l’acier, la sculpter comme on dis si bien. Bon! Venez voir de vos yeux, y’a jamais trop de monde, ça provoque la réflexion la mienne c’est sur mon rapport avec le travail manuel. Viens de finir de souper, une escalope de dinde sautée dans l’huile d’olive avec herbes de provence et pommes de terre et carottes c’étais pas mauvais. Oui! C’est difficile de dire une émotion de la traduire, souvent les émotions les moins nobles sont les plus faciles a exprimer… Ça se tiens pas trop mon texte aujourd’hui, de la sculpture à la cuisine aux émotions. Tout à coup je pense aux grottes de Lascaux, je crois pas que les fresques étaient faites pour se nourrir, c’est un leg pour l’humanité juste dire qu’il n’y a pas que des brutes… Je sais plus trop quoi vous raconter passez au parc Méderic Martin ça vaux la peine. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine chicane j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

samedi 21 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Aujourd’hui j’ai fait une longue marche avec l’ami Éric, ça me tentait pas de rester à la maison. J’ai profité du beau temps mais j’ai les jambes en compote. Les voisins passent toujours sur la passerelle, c’est fatigant… La fenêtre est ouverte y’a de l’air qui circule, c’est l’anniversaire de la matriarche, je lui en souhaite un joyeux… J’ai un peu mal à la tête, c’est le soleil je crois, je me sens envahis par les voisins. Je m’en fais pas trop ceux qui mènent ce genre de vie restent pas longtemps. Je bois beaucoup d’eau y’en a qui appellent ça la poteaumanie… Je suis tout mêlé dans les mots de passe informatique mais tout fonctionne… Je me sent lourd, pesant, je voudrais vous dire comment vraiment je me sens , j’y arrive pas, je prends mon temps… Cet après-midi on s’est arrêté à la boucherie Polonaise, l’ami s’est acheté du saucisson et une pièce de viande entre le lard et le bacon, ça va surement être très bon, je pense à un autre ami qui habite près de là, on aurait pu arrêter mais l’ami Éric est en fauteuil roulant c’est trop de trouble… Étrangement j’ai l’impression d’avoir une vieille pharmacie de bois vitrée devant moi, la voisine gueule sur ceux qui se promènent en char, c’est l’été qui commence… Comme toujours j’entends grincer les balançoires du parc, beaucoup de monde sur la piste cyclable cet après-midi… Je suis désolé pour les maringouins chez ma lectrice retraitée du Cégep de l’Outaouais, je sais pas si elle est anxieuse y’a un bébé qui s’en viens dans la vie de son fils et de sa blonde. Moi aussi j’attends, je suis impatient c’est pas parce que j’ai pas de descendance que les autres doivent pas en avoir.  Lentement je me sens plus reposée, c’est peut-être ça que je peux appeler mon sentis, des souvenirs aussi sont dans mon sentis cette époque y’a longtemps où je faisait beaucoup de vélo, je crois que la première piste cyclable passait dans Villeray, rue Boyer où Christophe-Colomb… Je pense à ces gars habillés et coiffés comme des vedettes rock chevauchant des vélos à un pignon, faut être fort des mollets et y’a l’attitude aussi des espèces de trompe là… J’ose pas le dire ça porte malchance surtout sur les rues où y’a des voitures stationnées qui ouvrent leurs portes sans trop regarder, je crois qu’ils vont donner des contraventions. Les soirs comme ce soir c’est très vivant dans le goulag occidental, les gens discutent en marchant sur le trottoir. Je crois que je vous ai déjà écrit là-dessus. Je regarde les toiles que j’ai chez moi, je sais pas ce que ça vaut, simplement des décorations exotiques… Lentement le soleil  se couche, c’est bon de rester dans sa lumière, je crois que je vais vous quitter dans pas longtemps, vous quitter! Juste terminé ce texte. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai un nouvel appareil photo, l’ai acheté jeudi ça été livré vendredi, très rapide… Je me sens tout chose, tout drôle. Je veux vous dire comment je me sent c’est très difficile, je dois faire la part des choses entre les émotions et les sentiments, émotivement c’est bien sentimentalement j’ai pas d’amie à qui je peux dire que je l’aime, étrangement dans le monde des sentiments je tombe rapidement dans le grandiloquent. Le jour se lève lentement, on attend un bébé dans l’Outaouais, tout le monde a hâte qu’il arrive… Dehors les corneilles croassent, « J’ai jamais voulu jeter mon dévolu sur toi, jamais voulu de toi, ce soir j’ai que le blues pour passer le temps »-Stephen Faulkner. Un gars fouille dans les bacs cherche les bouteilles à cinq où dix cents. Mon acouphène est virulent ça sille dans mes oreilles. Je sent le goulag occidental qui se réveille, pense aux shops Angus c’est magnifique ce qu’ils ont fait avec cet édifice, c’est à la limite entre HoMa et Rosemont bel exemple d’architecture réussis. Je crois que je vais aller marcher dans ce coin là ce matin… Il fait jour, les arbres sont tout feuillus, j’essais d’écouter la musique en moi… Ça fredonne et je bave… C’est beaucoup plus facile de lire que d’écrire, écrire faut prendre le temps, tant, tant et si bien que le vent que l’argent il me ment pourtant je le sent au néant en ciment pourquoi pourtant vous m’en direz tant… C’est juste un jeu un amusement de peu rien pour mettre le feu où dire adieu mais assez pour rester au pieu avant de zieuter les cieux bleu… Ces quelques mots sont pas loin de l’inconscient je joue sans trop réfléchir ça a le sens que vous donnez moi je reste là avec mon long nez de désespéré, mon coup d’épée inachevé et cette lignée a interprétée… Une phrase sur les photos que je veux prendre me reviens en tête, je pense aux murales un peu partout sur le plateau, c’est beau… J’ai mis mes jeans, cette nuit le store est resté ouvert… Deux gars discutent en passant sur la rue… Aujourd’hui c’est l’anniversaire de la matriarche… Avec mon appareil photo j’ai l’impression d’être un voleur d’image… Je sais plus si je vais sortir, je crois que je vais attendre le téléphone de l’ami pour prendre un café dans le parc, je me souviens quand je couchais dehors de l’humidité, de la rosée, c’étais pénible étrangement je pense à la France à comment ça va mal dans ce pays là… Je vais me mêler de mes affaires ce qu’ils font ça me regarde pas. J’arrive à la conclusion de ce texte. Je sais pas comment vous terminer ça sans être redondant, les mouettes cherchent de la bouffe je crois que moi aussi je vais manger, je sais plus comment on appelle ça des tartines où des toasts. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 20 mai 2016

Au présent

 
 

Bonsoir! Bonjour! Magnifique journée, les commis du supermarché ont été très gentils. Viens de regarder l’émission littéraire sur TV5, c’était intéressant, j’arriverai jamais là, mon histoire je vous la raconte un peu chaque jours , l’été voilà et on est pas attaché, je sais pas pourquoi j’écris ça… Je suis rendus vieux je m’en aperçois quand je me penche pour attacher mes chaussures je perds le souffle et ça fait mal, comment voulez-vous que je joue? Je préfère la marche et encore j’ai là aussi de la difficulté. Hier je me rappelais plus le nom de cette plante de Provence la lavande, ça sent si bon… J’irai pas boire sur les terrasses de bistro, j’ai mieux a faire, j’écris je sais pas comment… Les éboueurs ramassent les rebuts, je me ferai ramassé je ne sais par qui, comme un restant… Orgueil et voitures décapotables, musique hip-hop le son au fond et on remarque… Je me souviens de mon arrivé dans un appartement de Villeray avec un copain on dérangeait la voisine en écoutant Stevie Ray Vaughn au fond… Bon! J’y vais encore pour le senti, c’est le plus difficile, dans le moment je veux pas dépenser d’argent, je suis pas riche… J’ai un beau gros steak dans le frigo ce seras le souper avec pommes de terre carottes et légumes… C’est assez étonnant comment je me sent vous m’auriez dit qu’un jour ce serais ça je vous aurais pas cru. J’essais de pas trop bousculer mes pensées juste de garder un état de plénitude et de bien-être cette expression galvaudée. Quand on veut faire l’intéressant c’est là que le vide se présente… Je crois que les merles chantent, j’entends le chant de ces oiseaux par-dessus la circulation. C’est difficile de pas se répéter, j’ai souvenirs quand j’allais jouer au baseball après l’école je me sentais si mal. J’ai toujours préféré avoir le nez dans les livres, ça a du sens mais voyez ce que ça a donné. Une écriture de bavard… Comme toujours à cette heure-ci les gens rentrent à la maison quelques un vont se faire un B.B.Q. c’est bien! Après le dur labeur un  peu de plaisir, y’a aussi la chaleur dans l’usine, la sueur et la chemise qui collait dans le dos. Je sais pas ce que vous pensez de l’écriture, peut-être que vous trouvez que c’est un moyen facile de passé le temps mais y’a plus que ça, faut que j’écoute ce que ça dis, une ou deux voix en choisir une et l’écrire… Y’a des gens qui préparent leurs terrasses sur les toits du goulag occidental. Quand j’approche de la fin du texte comme ça,  je me précipite en avant en écoutant le bruit des motos à grosses cylindrées. Demain j’irai marcher mais j’empiète sur le moment présent. Je sais plus trop quoi vous raconter, trente mots avant de terminer, j’arrête donc en vous remerciant… C’est un peu trop tôt pour les remerciements. Le pire c’est que je… Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 19 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Y’a des choses plus importantes que mon blog, comme l’arrivée d’un enfant. Je souhaite que tout se passe bien. La télé diffuse le jet set sur le tapis rouge de Cannes. Ici c’est le jet freak sur la moquette bleue du goulag occidental. Ce soir j’ai mangé une excellente omelette jambon-fromage… La vérité c’est que je suis anxieux, pour l’arrivé de ce bébé j’espère que tout va bien. Je me répète mais c’est ça l’anxiété, ça m’obsède… Un avion est tombée en méditerranée, l’hypothèse de l’attentat terroriste est retenue… Ça me fout la trouille, mais je crois que les autorités vont resserrer les mesures anti-terroristes. Les journées passent quand même très vite c’est lourd, c’est lourd, j’ai un poids sur les épaules. Ce soir je pense aux travailleurs forestiers de la scierie de Saguenay, le bois je connais pas ça du moins dans la forêt, j’ai travaillé dans la fabrication de ski et après dans les portes de bois. C’est de vieilles histoires tout ça… Je devrais recevoir la confirmation que revenu Canada a reçu mon rapport d’impôt. J’ai téléphoné tout semble o.k. Je suis loin de mon senti, faut lire entre les lignes… Mettre des mots sur mon état intérieur c’est jamais facile. J’ai souvenir des psychoses, je dis pas mes psychoses elles ne m’appartenaient pas, je n’étais plus moi au plus profond de la maladie mentale. Je veux que les gens m’aiment mais pas à tout prix avec l’âge on en laisse. C’est pas très mature d’écrire ça… J’ai mal parce qu’un avion est tombé… Le soleil brille c’est jour de paye pour certains, ce soir les jeunes vont fouèrer. Téléphone de la lectrice retraitée de l’Outaouais, le bébé s’en viens… Toujours beaucoup de plaisir a voir les lettres, les mots, les phrases, les pages apparaitres dans l’écran. Je respire et gonfle ma bedaine ça me fait du bien, le soleil plonge chez moi, les journées s’étirent encore, ça ressemble enfin à l’été. Je suis calme ce soir pendant qu’à la télé ça s’agite. Y’a un parfum d’ail qui entre dans le studio. Je veux pas volontairement me placer dans un état de malaise pour avoir quelque chose a écrire. Hier j’ai remarqué que plusieurs personnes écrivaient l’histoire de leurs rétablissement. Moi je veux pas faire ça, je crois que j’ai pas finis de me battre, je suis pas zen, j’aime pas cette littérature que je sais pas comment qualifier. J’aimerais quand même produire un livre d’auto-fiction. Je sais pas si ce que j’écris peux ressembler à ça, c’est en contradiction avec ma recherche d’authenticité. J’ai laissé tomber l’idée d’élaguer mes textes, me semble que c’est mieux quand ils sont fournis qu’on y sent plus l’angoisse. Je sais bien que si je vous lis pas vous me renverrai pas la balle. Lentement je termine, je suis content de vous écrire c’est peut être enfantin mais j’espère qu’un jour j’écrirai un livre. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

mercredi 18 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai brisé mon appareil photo, c’est le troisième que je passe. Aujourd’hui me suis rendus au quatrième forum citoyen sur la santé mentale et le monde du travail. On a enregistré une émission de radio, le thème était la divulgation, quand on travaille doit on révéler qu’on souffre d’une maladie mentale. Y’avait des experts universitaire moi je pense qu’il faut le dire les confrères de travail sont plus perspicaces qu’on pense ils vont le découvrir dans peu de temps… J’ai aussi assisté à un atelier avec un patron conciliant, ça m’a fait pensés à mon père quand il parlait de son travail il disait agir en bon père de famille. Je pensait que ces modèles là était révolus mais je suis pas un grand gestionnaire c’est ce que j’ai dis… Que le forum citoyen prenne le thème du travail ça m’a fait pensés à un virage politiquement à droite, bein oui! Je pourrais aller flipper des boulettes chez McDonald mais ça me donnerais quoi? Des questions j’en ai eu, la production, les machines, mais mon nom c’est pas Karl Marx, je pense aussi au rythme de production dans certaines jobs, je parle de ces emplois là parce que je n’ai connus que ça, la vérité c’est que je suis même pas bon pour balayer et faire de l’entretien ménager. Dans l’atelier c’était assez pénible de voir les intervenants louanger le « bon patron » o.k.! O.K! Je lui donne une chance les faits c’est que lorsqu’on demande de l’aide pour avoir du travail, on se retrouve presque tout le temps dans une P.M.E. et c’est difficile. Ça c’est terminé avec une chercheuse qui nous a parlé du stress de comment c’étais nécessaire, des exercices a faire pour le faire baisser, la respiration et l’écriture que j’ai retenus parce que ce sont deux que je pratique. C’est à peu près ça ma journée d’aujourd’hui. Je reviens à la pluie et au beau temps… Ha oui! Je vous ai pas parlé ce cet autre fredonneux éducateur spécialisés, un abrutis selon moi à qui je ne demanderais pas d’aide pour tout l’or du monde. J’ai finis par comprendre ce qu’étais le présentéisme une éducatrice me l’a expliqué. Je dois vous avouer que ça aussi je l’ai fait longtemps. Je sais je suis différent et je me demande pourquoi certains ne m’acceptent pas, je leurs ai jamais fait de mal, je les connais même pas… Semble qu’on en auras jamais finis avec le gagner son pain à la sueur de son front sans parler de l’exploitation de l’homme par l’homme, ce sont toutes de vieilles idées que je suis incapable d’articuler… Je me sent tout chose, tout drôle je sais pas ce que je suis allé faire dans ce forum là, c’étais surtout des femmes et j’ai pas eu envie d’aller délirer sur la scène. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là, pardonnez moi j’ai besoin de votre indulgence!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard