jeudi 12 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il fait un temps superbe, ai marché rue Ontario me suis acheté un guide et une carte de Washington. J’étudie ça, j’ai déjà hâte de partir suis un peu anxieux j’ai un peu peur de me perdre mais je suis pas un enfant je vais trouver l’hôtel. C’est bien la fenêtre est ouverte, j’ai deux plateformes pour écrire mon cahier et ce blog… Je connais les tarifs d’autobus à Washington mais je sais pas de quelle façon on paye, on achète un billet? Je suis déjà anxieux mais ça risque d’être amusant. Rue Ontario y’avait un café fenêtre ouverte rempli de jeunes étudiantes qui travaillaient. Elles étaient toutes dans leurs univers. J’ai faim la dernière fois que j’ai préparé des pommes de terre et rédiger mon blog elles ont brûlées. Bon les pommes de terre et les carottes sont sur le feu je vais accompagner ça de saucisses italiennes fortes. Lentement le temps se couvre, aller pas boire votre paye sur les terrasses y’a des comptes a payer!!! Ce soir à la télé y’a une de mes émissions préférées « Des racines et des ailes » Ça me fait rêver. Je pense au Young American du regretté David Bowie, veux, veux pas le Québec c’est aussi l’Amérique. Québec j’y suis allé souvent, c’est tout petit, le commis de la boutique de guides et de cartes me disait que Washington c’étais petit, on verras,. Je fais attention a ce que j’ai sur le feu, ça bouille. C’est pas prêt. Je vais étudier mon guide pendant quelques mois c’est un guide du National Geographic c’est pas rien, semble que leurs bureau est à Washington. « Quelle belle journée, quelle fraîche matinée, qu’elle joie de te rencontrer »-Gilles Valiquette. J’y vais à toutes les fois pour le coup de circuit et c’est toujours des fausses balles, je passe rapidement de in à out. Ce dont j’ai peur chez les américains c’est les armes à feu… Avant de faire rôtir les saucisses je les fait bouillir on se croirais dans le livre de recettes de Bernardo, rapide et simple. Je suis pas tellement intérieur cet après-midi, mon âme, mon âme celle-là!!! Elle est parfois intolérable, ce midi  sur la rue Visitation y’avait un magnifique parfum de bouffe maison. J’avais envie de m’inviter et de manger. Finalement j’ai souper, la saucisse avait un excellent gout de réglisse, j’ai ouvert la télé manger ça me calme on dirais qu’après je suis moins fou. Lentement j’y arrive mais à quoi, quand j’ai finis de vous rédiger ça je me sent mieux, par la fenêtre entre une odeur de marihuana… Rien pour me geler quand il fait beau y’en a qui en profitent pour toker leur joint dehors. Quelques mots encore, mon état psychologique je crois qu’il est bien, on feras pas de miracle icitte. Je ne fume pas, je ne fume plus n’importe quoi. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Au revoir!!! Ciao!

Bernard

mercredi 11 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive un peu tard ce soir, y’avait un jeune noir qui fouillait dans les boîtes postales… Rien a faire avec ça, ces gestes là ce sont toujours les pauvres qui les posent, ça me fait pensés aux terroristes aux jeunes radicalisés… Je pense à ces deux jeunes, noirs eux aussi, qui m’ont volé ma tablette électronique après ils vont dire qu’on est racistes appliquant leurs racismes à l’envers… Bon j’abandonne ça là. Parfois j’ai peur de ces jeunes hommes… Je reviens sur mon sentie les cons qui fredonnent des airs inconnus, ça me fout l’angoisse. Dehors les chiens jappent, les maîtres crient et moi j’y vois que des ennuis… Aujourd’hui c’est l’été, j’imagine que les terrasses sont bondées, quelques un vont se saouler. J’entends les balançoires qui grincent. Je sais pas trop trop où je vais avec ça, on entends aussi les mouettes. C’est toujours la même rengaine, la même chanson… J’aimerais beaucoup écrire quelque chose de réjouissant, à la télé ce sont les stars de Cannes toujours aussi sexy. Je suis d’accord avec Woody Allen, les œuvres d’art c’est pas fait pour les concours, on joue pas au football, la compétition c’est pas très artistique… Pourtant un écrivain qui gagne le prix Goncourt il s’assure d’un bon revenus, ici c’est le prix du Gouverneur Général qui arrive avec une belle somme, faut pas rêver y’a pas de prix pour la littérature on-line. Je radote, vous voyez bien que je radote incapable du moindre humour. Ça a pris du temps avant que je prenne conscience que c’est chez soi qu’on est le mieux. Je pense à la très chère amie qui s’en va en Roumanie, j’espère qu’elle va faire bon voyage… Quand la chaleur arrive le goulag occidental s’agite. Je sais pas où je vais, à tous les jours comme ça c’est le défi que je m’impose écrire pour vous. Lentement la nuit s’en viens mais les journées s’étirent… J’ai commencé a lire un Malraux une œuvre importante du siècle précédent. Vous allez me dire on en a rien a faire de Malraux ce qu’on veux c’est de l’argent et du plaisir facile. Je vous répondrai que c’est pas dans mes valeurs, je valorise toujours l’effort même si parfois le résultat est pas terrible. Le plus grand des talents demande toujours du travail. C’est très moraliste mon affaire on est pas avec Burroughs ni avec Miller n’empêche y’a de la beauté dans leurs œuvres, le sexe est bien présenté. Je crois que les voisins lisent pas leurs journal, ils font grogner leurs chiens enragé trop stupide pour voir que l’animal peux dévisager un enfant. Ce soir c’est pas fort ce que j’écris. J’aime les chiens, les bouviers bernois mais j’ai pas de place et je veux pas d’un chien qui pleure de solitude. J’arrive à la conclusion encore quelques mots. Je vous salut tous mes lecteurs. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! J’étire un peu mets de l’eau dans la soupe. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

mardi 10 mai 2016

Au présent


Bonne nuit! Bonjour! Tant qu’a être debout autant vous en taper un. J’ai reçu les réservations pour mes vols vers Washington. J’ai hâte si vous saviez comme j’ai hâte. Me semble que je vous ai pas assez parler du Challenger ce bolide que mon lecteur de Deux-Montagnes s’est acheté, une force d’accélération brute qui vous colle à vôtre siège, une voiture d’un autre âge, une voiture de loisirs je dirais… Je vais revenir à mon senti, les insomnies me dérangent mais pas assez pour que je prenne des somnifères. Mais oui! C’est la nuit il est assez tôt et les bars sont encore ouvert mais je vois pas ce que j’irais faire là, risquer de rencontré des alcooliques et des toxicomanes actifs qui n’en veulent qu’à ton porte-monnaie… Le philosophe si j’ai bien compris nous dis que la machine, le réseau c’est le goulag, je pense aussi aux rhizomes de Deleuze, l’hyper-machine arborescente en pensant aussi à des espèces de synapses et de neurones électroniques, je m’excite, je m’excite!!!  Je sais qu’il y a beaucoup de monde qui voient le web comme une espèce de téléphone rose où tu passe le temps en regardant des jeunes filles et en t’adonnant à de basses besognes érotiques… Comment je me sent? Un peu décalé vis-à-vis de la « vrai » littérature, je vois pas pourquoi je continue, la vie est vache mais je peux pas me permettre le ressentiment vous le savez. J’ai souvenir de la fête des moniteurs des parcs où une gentille fille m’avait invité malheureusement je venais de me faire arracher toutes les dents, si y’a une chose qui m’a brisé  mes nuits c’est bien les rages de dents. « J’ai souvenir encore d’une rue d’un quartier »-Claude Dubois. Je réfléchis ces mots que je vous écris là c’est presque ma chair… Étrangement quand je dors pas la nuit c’est comme si je partais en voyage le matin, je suis fébrile… Je le répète j’ai très hâte d’aller à Washington, encore une fois j’ai pris une douche et je me suis parfumé, j’aime avoir une bonne odeur, un jour les gars de la gang ont découvert le punk, ils se sont fait rasé le crâne, ils étaient désormais anarchiste même si je soupçonne que pas un ne savaient ce que ça voulais dire. À la brasserie le serveur qui crie « attention c’est chaud » et il ne transporte qu’un plateau de bières foides. Ouais! Ils ne s’est jamais passé grand-chose dans cette brasserie on cuvait notre bière en écoutant la musique du juke-box… Je me souviens du premier jeu de ping-pong électronique. Y’avait de tout dans cette brasserie, des calmes et des agités, des brutes et des doux, des méchants et des gentils, la ville était encore petite on se connaissait tous, le chômeur et le facteur buvaient au même endroit, c’étais la vie de ce moment. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir et à bientôt!!!

Bernard

 

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai fait une sieste comme vous voyez j’essais de vous donner a lire chaque jour. Cet après-midi je me branche encore sur mon senti. À force de faire ce que j’aime je crois que je vais devenir bon. Je pense à mon prof de discours poétique au CÉGEP, je l’aimais bien… C’est vieux tout ça, la poésie on y crois plus, on y crois pas, moi je crois qu’il y a quelque chose de salvateur et de thérapeutique dans le geste d’écrire. Je suis allé chercher du lait, sur le bord du trottoir une jeune fille qui avais la craque du plombier lavait sa bicyclette, une belle raie comme on en porte qu’au printemps et souvent à notre insu… L’ami du cabaret poétique en avait aussi une on pouvait l’apercevoir quand il faisait le foetus de bébé, c’était indécent pourtant on ne lui en pas parlé, il perd toujours ses culottes, c’est ce qui arrive quand on porte des pantalons taille basse. Ce sont des considérations esthétiques d’habillement mais ça me dérange un peu… Je suis fatigué c’est ça mon senti cet après-midi. J’essais encore de ne pas m’auto-dénigrer. J’ai lu à quelque part que le regretté poète Gaston Miron n’avait écrit qu’un livre, Miron c’étais le poète de la révolution tranquille. Je me triture l’intérieur, me bat l’âme pour y trouver je ne sais quoi d’original. Je pense aussi à Gérald Godin et ses Cantouques très montréalais son dernier recueil, il ne demandait qu’à brûler, est une merveille. Godin c’est la Montréalitude… Je vous donnerai pas un cours de poésie ici, même si vous vous faites vieux, vieilles plongez y dans la poésie on y vie de belles émotions. Faute de vous faire vivre les miennes je vous dirige vers les autres… Le Québec est la terre de grands poètes. Moé je suis bein mal amanché pour faire des vers de solitude, on écris pas en groupe c’est un travail solitaire où on ne sait pas ce qu’il donneras, à qui, à part soi.  J’ai souvenir de cet immense sentiment de solitude, je tape sur mon clavier et je crois être Glen Gould dans les Variations Goldberg. J’essais d’y mettre de la musique dans ces mots j’y arrive pas trop, vous suivez? Voilà déjà une semaine je jouais dans un cabaret poétique, ce fut un succès… Lentement j’avance j’ai des déjà vu, des émotions déjà vécu innommables. Je pense à Milan la capitale de la mode, une année j’y suis allé ce fut un beau voyage, un vrai pas le voyage des hallucinations. La grande place à Milan est superbe le duomo aussi. Ça me faisait tout drôle de marcher seul dans une ville inconnue. J’espère revivre ça dans une autre ville… C’est pas terminé les voyages j’en fait encore, je vais à la rencontre de mon prochain. Une moto passe elle fait bien du bruit mais n’avance pas Bon! J’espère que je vous ai pas trop ennuyé, j’arrête en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!!

 

Bernard

 

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Les réservations pour le voyage à Washington sont faites. J’ai déjà hâte de partir. Il est quatre heure vingt-quatre je suis debout, Narcisse pue il va prendre une douche, c’est fait! Je sent bon. Hier j’ai regardé un reportage sur la bataille de Verdun pendant la guerre quatorze-dix-huit c’était horrible pourtant y’a encore des guerres et le front est partout. Je pensais à ces illustrés que je lisais dans mon enfance la guerre y étais idéalisé, les américains gagnaient toujours, ça donnais l’envie d’y aller, j’étais incapable de visualiser la mort d’en faire autre chose qu’un concept pour bandes dessinées. J’ai petit-déjeuner,des toasts avec du beure ai j’ai aussi regardé les numéros et le parcours des bus jusqu’à l’hôtel en attendant je suis collé dans le goulag ocidental, pense à « l’affection particulière » qu’avait le cheuf pour le faubourg à m’lasse, on dis de lui qu’il lui manquait une couille… À Verdun les hommes d’état faisaient des discours pendant que les poilus crevaient. Ce matin il fait beau soleil et c’est doux. Je me suis recouché et j’ai dormis. Le repos parfois ça inspire vous rappelez vous du film Alexandre le bienheureux c’était extraordinaire. J’ai rêvé mais je ne me souviens plus de quoi. Je lis présentement sur la littérature et internet ça s’intitule Google Goulag, c’est un livre, l’auteur est pas chaud chaud à l’idée d’un cyber espace littéraire, c’est un penseur un philosophe qui a de bonnes idées sinon des intuitions. Il parle pas beaucoup des tirages de livres qui sont parfois eux aussi très confidentiel. J’arrête ça là je vais laisser décanter cette écriture et je vous en reparlerai. Aujourd’hui c’est mardi je me croyais samedi!!! Écrire c’est ça, ça se fait envers et contre tous, seul et pour se faire aimer parfois on aime l’œuvre même si l’auteur est un parfait abrutis « mea culpa ». Me  suis habillé, on aime pas que je raisonne à pleine page, j’avoue que le contact direct je l’ai pas, je suis lu mais y’a pas d’interaction c’est tant mieux. Le Google Goulag me prête des intentions que je n’ai pas… Je ne me dénigrerai pas encore aujourd’hui. J’ai pas besoin de votre avis. Je suis en écriture comme on est en analyse vous pouvez peut-être lire ma part d’inconscient. Ce matin je pense aux col-bleu  à comment ils sont essentiel à la bonne marche de la municipalité. Bravo messieurs! Je bave mon café, je sais vous dites c’est pas de la vrai littérature c’est quand même écris dans l’urgence de créer, le désir de s’exprimer vous allez me dire c’est pas suffisant ça prend la qualité que validerais un éditeur, pourtant… Vous êtes ici sur les berges de la folie où je ne me rappelle plus si je l’ai dis où écris… Dehors une ambulance passe un peu tôt pour faire un A.C.V. voilà j’ai écrit une niaiserie. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

 

 

lundi 9 mai 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je prépare mon voyage à Washington… En attendant ici c’est gris mais les arbres deviennent vert. Je pense à l’aéroport, aux avions de Porter. J’espère que je me ferai pas écoeuré parce que je suis célibataire… L’agent de voyage m’a téléphoné pour régler tout ça, tout ce voyage. J’ai déjà hâte de partir… Je cherche de quoi vous écrire? Ce petit voyage je crois que ça va m’inspirer… Dans le parc y’a un gars avec un lévrier. Ce matin j’ai eu une réunion, une des participantes dormait debout, elle voulait pas retourner se coucher, ça me rappelais l’époque où je passais des nuits debout et dormais dans les toilettes. Je travaillais pas fort, fort. La poésie le jour c’est moins lyrique, le cœur du goulag occidental est agité tout ce qu’on peut lire ce sont les publicités sur les camions en voilà un de fruits et légumes Gaétan Buono, très coloré. Je suis quand même fatigué, je vie au rythme de la circulation et des klaxons… À l’aéroport de Washington y’a peut-être des navettes jusqu’à l’hôtel. Le vieux mon’onk pense aux bébés de ses nièces. J’ai mis un chandail, la journée est fraîche… Je trouve pas, je trouve pas c’est une journée très ordinaire, on a pas le droit de me faire ça, parfois le soleil veut percer mais il n’y arrive pas. Je suis pas Walt Whitman le grand poète américain, ai reçu la confirmation de mes vols et j’aurai la confirmation de l’hôtel vingt huit jours avant le départ. Je suis déjà tout excité… Ça va me faire des choses a raconter, peut être un autre texte pour les humeurs culturelles. De tants à autre y’a une percée de soleil, j’entends le bourdonnement des scooters, de vrai guêpes de vrai mouches… Je suis reposé cet après-midi, je vais regarder les actualités… En panne d’inspiration ça arrive parfois rédiger à chaque jours ça demande des efforts et de la discipline en plus de rester près de mon ressentis, ai reçu la confirmation de l’assurance voyage je souhaite ne pas avoir besoin de m’en servir. Lentement j’avance dans ce texte, j’ai lu que les gens ne lisaient pas j’écris donc pour rien mais j’espère quand même qu’il y a quelques maniaques de mon acabit qui lisent autre chose que la boîte de céréales. Si on écoute certains philosophes la littérature est mortes, bein voèyons!!! J’ai qu’a rédiger des modes d’emploi pour les télévisions c’est très poétique. Quand tout ce que vous avez a rédiger c’est une demande de sécurité du revenu je suis bien d’accord ça fait pas de la grande littérature. J’entends un gars dehors parler de commentaires, n’hésitez pas si vous en avez faites les moi parvenir. C’est pas une très belles phrases ça aussi!!! J’essaye de créer quelque chose dans mon écran j’aime toujours voir apparaitre cet amoncellement de mots. Je pense que celui-ci tire à sa fin. Les mauvaises habitudes sont difficiles à perdre. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!!

Bernard

dimanche 8 mai 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est lundi matin et je suis debout tôt. C’est un beau moment pour explorer mon monde intérieur et laisser advenir un peu de spiritualité. Me suis couché tôt ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide hier après midi j’ai fait un tour de « machine » la Challenger de mon frère, tout un bolide. On a roulé au son de Whole lotta love de Led Zeppelin, j’ai eu plein de souvenirs de jeunesse… C’étais la fête des mères on a mangé du gâteau avec la matriarche. Je pense toujours à mon voyage à Washington, je crois que c’est la chose a faire cet été. « Montréal est une femme »-Jean-Pierre Ferland. Les voitures c’est le passe-temps de mon lecteur de Deux-Montagnes, une belle folie étrangement il deviens presque granola dans son alimentation, c’est bien… Et ma nuit deviendras le jour, de l’obscurité jailliras la lumière, ça fait un peu gourou comme phrase. Je pense aussi à ma lectrice de Deux-Montagnes, je sais pas pourquoi j’ai sentis un petit froid hier chez elle. C’est pas très grave c’est juste mon senti, . Moi j’essais de pas être dans le ressentiment, c’est mortel pour moi je dois accepter. C’est vraiment la nuit je suis réveillé et je vous écris. Je remercie aussi mon lecteur de Terrebonne qui est venue me déposé à la porte hier c’est très gentil. En bon paranoïaque je voudrais que tout le monde m’aime, je pense à un photographe de Terrebonne un vieil ami que J’ai pas vu depuis des lustres, la dernière fois il exposait ses œuvres dans un café de la rue Saint-Denis, c’étais bien, c’étais beau… Je pense au ronronnement de la Challenger, à comment à une certaine époque ce bruit me déstabilisait, ça ronronnait dans ma tête pourtant y’avait pas de voiture, c’étais ma folie, ma schizophrénie, je me sentais poursuivis… Le   goulag occidental est tranquille, j’essais de l’animer avec l’écran. Point limite zéro en anglais Vanishing point un film culte à voir pour les amateurs de poursuites en voitures. Je veux pas vous raconter le film acheter le où louer le vous m’en direz des nouvelles. Bein oui! On est lundi matin y’auras pas de courses folles pour rentrer au boulot étrangement je pense aux gars qui travaillent à l’île des Moulins,ça fait bien des années tout ça, j’ai construit ma vie ailleurs. Je le regrette pas. Maintenant j’écris j’aimerais bien dire une œuvre mais je sais pas… C’est étonnant comment je permets la créativité aux autre mais moi je me le permets pas. J’arrête ça là ce matin je me dénigrerai pas. J’essais de voir quel grand artiste a habiter à Terrebonne, hier le long de la traque je voyais Ville Mont-Royal la huppé. Je suis vraiment pauvre. Je pensais à ce qu’aurais été mon destin si j’avais habité là. Ça sert à rien tout ça je viens de Terrebonne. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard