mercredi 27 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai envie de parler orientation sexuelle, juste vous dire que j’ai jamais eu de relations sexuelles avec un homme ce qui m’empêche pas d’avoir des amis gay comment vous dire que ça me blesse quand j’entends ces mots, fifs, moumounes, tapettes et plusieurs autre quand bien même je coucherais avec des hommes ma vie sexuelle vous regarde pas, ça ne regarde que moi… Ce soir ça pue,  j’ai ramené cette odeur de la répétition, je reviens dans mon sentis, selon moi un schizophrène-paranoïaque avec co-morbidité ça toujours peur de se faire sodomiser et j’en suis un, on me dis toujours que c’est pas bon de m’ouvrir là-dessus mais si je dis pas que je me rétablis qui va le dire? Tiens tout à coup ça sent l’ail, je vous raconterai pas mes nombreuses psychoses c’est toujours ça qui arrive quand je m’implique dans des projets artistiques, ce soir je suis chez moi, je peine encore à vous écrire, je veux pas aller dans l’inconscient qui par son fait est absent, vous pouvez peut-être le lire, moi je délire en me réjouissant d’avoir mangé de la soupe au pois maison. Je suis presque un vieil homme, un sexagénaire, je pense aux amis avec qui je joue, j’espère que j’ai un peu de talent, hier je vous ai pas parlé de certains problèmes ça s’est bien réglé, j’ai été délicat je crois et ça a bien tourné… Je pense à certains collègues que je soupçonne de s’adonner aux plaisirs interdits, le jour en groupe… Les plaisirs interdits c’est pas ce que vous croyez c’est plutôt des substances illicites, c’est relaxant, ça détend, ça permet de faire le rigolo mais c’est beaucoup plus difficile à jeun… Si vous vous sentez visé parlez m’en, je disais au collègue que ça me dérangeais pas que la terre entière se saoule mais pas moi, c’est une forme de sentis que je vous écris là, la nuit est mort le jour est roi… Je crois que sortir le soir c’est surtout pour tuer les angoisses pour nourrir les rêves qu’on est incapable de réaliser quand la nuit a cessé d’être magique faut la laisser aller et vivre à plein tube le jour… C’est toujours après, Ferré chantais « Il n’y a plus d’après à Saint-Germain-des-Prés » ça a jamais commencé pourtant on vas y arriver… Je sais pas si c’est bon ce que j’ai écris pour le Cabaret mais la personne qui fait la mise-en-scène a fait une belle job d’assemblage. Demain c’est texte et musique j’ai hate d’entendre… Quand je suis au théâtre je pense à un ancien copain qui rêvait de ça…  Lentement j’y arrive, j’ai hate d’avoir terminé pour ce soir, encore quelques mots je crois perdre la psychose c’est une bonne chose, les voix elles sont vrai dans les répétitions, ma voix me dis que c’est bon. Voilà comment ça se termine ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Ciao!

Bernard

mardi 26 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Viens de regarder et d’écouter une très touchante chanson de Richard Séguin notre Bruce Springsteen québécois. Ce soir c’est tranquille chez moi, je divague et ne suis pas en vogue avec mon goulag avec mes logues pourtant une plogue c’est cent dix où deux cent vingt, je joue pas dans le fourneau je veux pas me brûler les mains. C’est difficile ce soir y’a des choses que je veux pas vous raconter j’attends à demain ça va peut-être se concrétiser. Je suis bon mais je veux pas faire ma tête enflée, parfois quand on monte on chute et prend une débarque qui nous laisse devant rien qu’un moi déglingué. Vraiment ce soir, je goutte ma solitude, seul dans cet idiot de goulag occidental qui existe même pas… Je pense qu’il y a eu une opération policière place Gamelin, les petits bums ont décalés leurs arrêt de transport en commun. Y’en avait trois qui niaisait devant chez moi dans l’abribus, je sais pas, je sais pas, je niaisait pas là dans ma dérive j’essayais de trouver le pusher pendant la nuit… Emportez moi avec vous, dans vos jours les plus durs, les plus crûs, je pense à cet ancien voisin qui avait une photo de lui dans sa jeunesse beau bonhomme, mais maintenant si il est pas décédé il est déglingué par le sida… Je vous parlerai pas de cette maladie là heureusement j’ai été épargné, y’a un bon Dieu pour moé… J’écoute ce que ça me dis je pense à tout ces gens que j’ai vu aujourd’hui. J’ai pris du plaisir a faire ce que j’ai fait, le jeu, le jeu, la lecture j’ai fait de mon mieux. Le soleil est couché aux États ils ont des ouragans, nous ici c’est encore le froid… Je suis pas encore arrivé au bout de mes mots, je sais bien que pour terminer il est un peu tôt, je veux vous en donner pour votre misère pour votre plateau, un nom du père, un héros. Étrangement j’ai le mot miserere dans la tête, je crois que j’aurais pas fait un bon curé, trop de sacrilèges trop de jurons… Pis là je veux vous parler de la foi, de ma foi que j’essais d’avoir je crois, oui je crois! C’est plus utile disons que je crois aussi que Pascal c’était pas un cave. Lentement j’avance dans ce qui est quasiment un blog œcuménique, je demande la force spirituelle ceux qui rient, ceux qui se marrent vont peut-être un jour rester avec moi pour prier. Quo vadis? Je sais pas j’avance en âge vers le même endroit que tout le monde, j’espère que la boite va être belle et la musique à fond la caisse… C’est un peu triste d’évoquer une fin mais c’est pas pour aujourd’hui. Je pense que je suis encore bon pour un grand bout. Mais là j’étire un peu trop, je vais vous trainer jusqu’au dernier mot. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 25 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Comment vous dire? La police me harcèle où du moins ils se paient ma gueule. Je devrais pas écrire ça, ça va les nourrir dans leurs mépris. Si ils m’en veulent tant que ça qu’ils viennent me chercher chez moi mais j’ai rien sur la conscience. L’écrivain les traitait de « parking lot attendant ». J’y arrive pas la dernière fois que j’ai eu affaire à eux on m’a emmené en prison, mais je sais que je suis pas criminel mon passeport est en ordre. Pour les voix je vais vous avouer que j’en ai qu’une et c’est celle là qui vous écris. Je crois que la médication joue un grand rôle… Ce soir j’écris des bêtises tranquille chez-moi. J’ai peur des policiers, bonne raison pour rester tranquille, je crois que ce midi ils savaient que j’allais manger un papa burger chez A&W… Semble que la police en sais beaucoup plus sur nous qu’on le crois. Bon! Pour tout de suite je la lâche la police, ils peuvent me faire beaucoup de mal. Je me souviens y’a pas longtemps une femme policier est venue répondre à nos questions, elles étais pas très très méchante. D’autre vont vous dire que c’est ma paranoïa, ils font leurs jobs. Ce matin à la répétition c’étais bien tout le monde était à l’heure… Tout à coup j’ai des souvenirs de gare et aussi du grand-père de mon lecteur designer à la retraite, son grand-père donc qui était ingénieur des trains c’est pas rien. C’est bien aussi comme lieu de passage la gare et une fois partis se faire bercer par le train. Je sais pas ce que ça évoque pour vous mes textes parfois on y lis des choses qui ne sont pas là. J’écris beaucoup je veux devenir meilleur… Ce soir je suis moins fatigué, le soleil se couche doré… Me rappelle ces gares d’Europe aux toits très haut et la foule qu’il y avait là à Montréal la gare est souterraine et surtout fréquenté par les trains de banlieue quoi qu’il y a des destinations pour les villes américaines et aussi Toronto et Ottawa. Encore une phrase ratée mais je veux pas trop la travailler ça fait partie intégrale de mon écriture gauche. On nous annonce un train électrique pas loin du goulag occidental complémentaire au métro et aux autobus, on va pouvoir filer jusqu’à l’aéroport… J’ai toujours ces policiers dans la tête, c’est des gens a ne fréquenter qu’une fois retraité. Non ce soir je me dénigrerai pas, je vaux plus que ça. Je suis honnête et authentique si ça vous plait pas allé voir ailleurs, y’en a plein à la prose incertaine, au destin incertain. Ça aussi je répète, la confiance en soi c’est difficile parce que souvent j’ai peur. Je vais terminer avec confiance mais sans certitude de vous plaire avec ce texte. J’arrête donc ici en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque là!!! Je vous étire ça encore merci et à la prochaine j’espère!!!
Bernard

dimanche 24 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je cherchais le sculpteur d’une œuvre sur la Place Paul-Émile Borduas dans le quartier latin. J’ai trouvé la photo mais jamais aucune mention de l’artiste. Pour illustrer je me suis donc rabattus sur un silo du Vieux-Montréal, le seul qui reste je crois. Je sais c’est toujours préférable de parler de l’architecte mais faites vos recherches. C’est confus mon affaire aujourd’hui, disons que je suis pas de l’époque du Refus Global, mon manifeste à moi disait que les élus c’était tous des trous-du-cul rien pour faire peur mais un manque de décorum pour les autorités. Le printemps est arrivé rien ne change, c’est toujours l’austérité… Je voulais vous parler des fonctionnaires comment ont en leur demandais, mais je connais pas ça je suis prestataire pas fonctionnaire. Je veux toujours vous parler de mon sentis mais parfois ça semble impossible, je dors le jour, je dors la nuit je suis tout mêlé, vais-je y arriver? Je dois absolument rester connecter avec mes émotions sinon je deviens psychopathe. Je pense au In cold blood de Truman Capote, c’est de la folie ce que j’écris là… J’écoute mon âme et essaye d’écrire de la romance, de la romance du goulag occidental où on mange des patates bouillies à la mode poor british, irish,… Bon! Devrais-je m’acheter un shack à Saint-David-de-Falardeau? J’aime trop le goulag occidental je veux rester près de l’aéroport. C’est pas le mal de l’âme que j’ai c’est le mal des poumons, des glaires! C’est dégueulasses… L’ami viens de me téléphoner on a pas de réunion du groupe d’entraide demain, je pense que ça nous affaiblis comme groupe ces activités extérieures. J’avais ouvert la télévision, je l’ai fermé on peux pas vraiment dire que je suis déconnecté, la machine gobe ce que je lui donne, je pense que c’est très enfantin ce que j’écris là. Je suis toujours a essayer de voir ce qu’un auteur adulte sérieux écrirais. Je veux mettre d’autre mots qu’amour dans ce que j’écris, je veux que ce soit plus effectif affectif. Je m’arrête, réfléchis pense à ce silo à comment parfois ça deviens une façon de travailler, mais c’est pas pour les ouvriers la force des choses font qu’ils travaillent avec différentes équipes, peut être que je me trompe? À l’usine j’étais très seul dans ma production. Je me souviens plus de ce que ça veux dire « se faire rouler dans la farine », c’est mentir, embellir les choses, on étoufferas pas dans le silo. Je sais pas comment je suis arrivé à ça, on peux me reprocher bien des choses mais je suis pas menteur. Je pense à vous qui rentrez au boulot demain moi j’ai une répétition en fait je répète toute la semaine. Je vous souhaite une excellente semaine. J’essais comme souvent de terminer ce texte d’une manière élégante. Je salue tout mes lecteurs en les remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour vous dire que j’apprécie votre lecture. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

samedi 23 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je mange des Life Savers , il fait un temps superbe. Je cherche quoi vous raconter dans l’actualité c’est le décès du dramaturge Marcel Dubé. J’aimais pas beaucoup ses téléromans, il employait un langage trop châtié un peu loin du monde enfin c’est ce que j’en pense avec le petit peu d’émissions que j’ai regardé. Mais je reviens à moi, à mes sentiments intérieurs. Je rêve encore à Paris, je crois que je serais bien accueillis, je retournerais visiter le Louvre. Vous devez me trouver fatigant avec les voyages et les avions mais je veux en profiter avant d’être trop vieux, ce week-end y’avait les courses de Formule E à Paris, des rapides voitures électrique. La matriarche m’a téléphoné pour que je regarde les images, la tour Eiffel et les immeubles on s’est dit qu’on étaient tous les deux passé là. Je crois qu’un jour je vais y retourner. Je salut ici l’ami professeur d’histoire de l’art, hier on est allé petit déjeuner au Miami un restaurant à la décoration au sommet du kitch. J’espère que j’ai pas été trop bête avec lui c’est tout de même un homme des arts et de culture. Je crois pas avoir dis de bêtises. Y’a aussi les snowbirds je sais pas si ils continuent la lecture de mon pauvre blog… Je crois que j’ai des acouphènes dans le silence ça sille dans mes oreilles remarquez que c’est pas en passant des années la tête dans les boîtes de son de la discothèque qu’on développe son ouï. Je crois que j’ai déjà écris là-dessus. Une vie c’est bref y’a des moments de solitude que j’ai su apprécier. Je pense à cette époque où je travaillais dans le recyclage de carton et de papier. Je ramassais des poches de jute remplies de papier, ce qui valait le plus cher c’était le papier d’ordinateur, ça existe plus je crois. Aux actualités, des écrivains qui parlent de leurs droits d’auteurs, moi j’y pense même pas, je trouve ma satisfaction juste de savoir que vous me lisez. Pour un écrivain qui en vie combien ont d’autre métiers? La course des E cars se passait dans le quartier des Invalides recouvert de bitume qu’on va enlever. Ça fait quatre cent ans que Shakespeare est mort, je me demande qui retire ses droits d’auteur? C’est difficile de se renouveler, la palette d’émotions est quand même pas si grande. Je sais c’est froid ce que je vous écris du moins c’est ce que je ressent  tout ce que je vie c’est de la peine où de la joie de la peur parfois et du courage aussi en anglais ils écriraient « mixed emotions ». À la télé j’ai encore vu de ces images magnifiques des capitales d’Europe. J’y retournerai, j’y retournerai. Ça ressemble à du délire continental ce que je vous écris. Je crois que je vais terminer ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour terminer. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 22 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai ouvert la fenêtre, j’entends les voitures qui passent c’est un peu comme le ressac de la mer. Longtemps j’ai ri des gens au camping Sainte-Madeleine qui disait s’endormir au son des voitures qui passent sur l’autoroute vingt. Voilà maintenant c’est moi je suis un peu comme la grosse madame accoté sur son oreiller dans la fenêtre qui regarde l’action dehors. Les stores se balancent au vent pendant ce temps-là les carottes et les pommes de terre cuisent. C’est pas une très belle phrase, j’ai quand même pas envie de vous raconter mes rêves érotiques de toute façon je m’en souviens plus il est trop tard, je vous laisse imaginer. Le parc est vert les arbres c’est pour bientôt. Je crois que mon lecteur de Terrebonne disait que la pêche était ouverte. Ça roule lentement y’a surement des policiers pas loin… Les mouettes crient pour se partager des miettes de pain. Les mouettes c’est un peu ce qu’il y a de plus sauvage dans le goulag occidental. J’essais d’imaginer le vendredi soir des gens qui rentrent à la maison ceux qui ont l’âge vont s’occuper de leurs enfants peut-être faire du sport avec eux, une sortie au cinéma? Parfois quand tu vie en banlieue t’a pas envie de retourner dans le traffic. Ils vont peut-être passé le rateau sur la pelouse pour après faire un B.B.Q. C’est ça la banlieue, il est un peu tôt pour ouvrir la piscine quoi que si ils la font chauffé mais c’est pas très écologique. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes et sa nouvelle voiture sport, elle est magnifique, un bijou a frotter. Je crois que les petits garçons vont faire comme nous faisions et joué au hockey balle dans leur bout de rue. Je dirais qu’on fait des nouvelles rues pour ça, joué. Bientôt ce seras le baseball, j’aimais moins ça, je vous en ai déjà parlé. Y’a surement des jeunes hommes qui ce soir vont jouer aux cartes dans le sous-sol chez un copain et en fin de soirée ils vont se commander un sous-marin et se régaler. Je me souviens on écoutais les Carpenters et la chanson The Letter, reprise par plusieurs dont Joe Cocker. Moi parfois je jouais de la « air guitar » avant la lettre je me roulait par terre les copains rigolaient. Je me sentais déjà bien seul. J’aimais pas rentré à la maison rapidement est venu le temps des grills et des hôtels. Je me rappelle y’avait un scopitone, on me laissait entré je restais tranquille, les plus vieux s’amusaient dans la discothèque, c’était avant les brasseries. Soudain chez moi ça sent le brûlé, c’est moi les patates ont pris au fond. J’ai mangé si y’a une chose que j’ai appris c’est de pas jeter la bouffe, j’ai enlevé ce qui étais brûlé et j’ai mangé. Voilà ce que ça donne pour ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! Je vous dis au revoir!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Lu un texte sur le suicide, on le considère comme la vrai la seule question fondamentale. Je pense à cette chanson de Brassens « Mourir pour des idées, oui, mais de mort lente ». Plutôt que le suicide on devrais offrir une sortie de ce monde de souffrance, là où ça deviens difficile c’est dans le monde carcéral, devrait on libérer les gens qui font des tentatives dans les murs? Je peux pas m’empêcher de pensés aux itinérants, sans toits sans travail la vie les faits chers payés leurs erreurs. Je crois que je vais revenir à mon sentis, j’ai pas de réponse aux problèmes que j’évoque précédemment, ça me fait quand même mal de pensés à ça, la prison où la mort, moi je suis simplement fou, c’est vivable mais parfois je souffre à vouloir en finir mais je me raccroche toujours. La ville, la société c’est ça, des destins qui se croisent parfois pour le mieux, d’autre fois pour le pire. Cette nuit j’ai mal pourtant je m’en tire avec la gratitude, merci d’avoir un lit un toit et à manger pour le reste à part les livres je crois pas que le matériel soulage les douleurs de l’âme. Je crois que le mot raccroché que j’utilise précédemment est équivoque, je sais pas trop quoi écrire peut être que je tiens bon. C’est quand je veux faire le philosophe que je suis au pire. Je m’en veux un peu, ma vie d’avant est toujours très présente, la semaine prochaine on travaille la création collective, j’ai hate. Je pense au père qui parlait d’une façon incompréhensible dans une réunion politique télévisé, c’est là qu’il a raté sa chance d’être sénateur, il voyait ça comme la poule aux œufs d’or parlés en à Duffy. Ici la nuit les voisins sont tranquille, y’a personne qui fait comme moi dans le temps à la maison de chambre. J’écoutais de la musique la fenêtre ouverte. Je me pensais le DJ de Montréal. Tout à coup y’a un parfum de soupe, poulet et nouilles y’a rien de meilleur… Je suis comme à boutte, je m’écoute ça se passe dans ma tête c’est loin d’être le silence je compose sans décomposé. Ai sortis les biscuits salés, cette nuit c’est très Montréal, très goulag occidental. Je vous écris ça pendant que dehors il pleut, ça se passe au plexus mon affaire heureusement je suis pas boxeur. Dans ma tête je me dénigre je vous l’écris pas c’est toujours la même histoire. Je suis pas le plus grand des hommes mais quand même à chaque victoire que j’ai sur moi je grandis intérieurement. Peut-être qu’à force de l’écrire je vais le croire, s’estimer voilà une chose importante sans oublier l’humilité. Je crois que cette nuit et ce texte vont bien se terminer. Je suis heureux d’écrire avec la machine c’est pas très organique mais pour lire vous pouvez toujours imprimé. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!À bientôt!!!

Bernard