samedi 23 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je mange des Life Savers , il fait un temps superbe. Je cherche quoi vous raconter dans l’actualité c’est le décès du dramaturge Marcel Dubé. J’aimais pas beaucoup ses téléromans, il employait un langage trop châtié un peu loin du monde enfin c’est ce que j’en pense avec le petit peu d’émissions que j’ai regardé. Mais je reviens à moi, à mes sentiments intérieurs. Je rêve encore à Paris, je crois que je serais bien accueillis, je retournerais visiter le Louvre. Vous devez me trouver fatigant avec les voyages et les avions mais je veux en profiter avant d’être trop vieux, ce week-end y’avait les courses de Formule E à Paris, des rapides voitures électrique. La matriarche m’a téléphoné pour que je regarde les images, la tour Eiffel et les immeubles on s’est dit qu’on étaient tous les deux passé là. Je crois qu’un jour je vais y retourner. Je salut ici l’ami professeur d’histoire de l’art, hier on est allé petit déjeuner au Miami un restaurant à la décoration au sommet du kitch. J’espère que j’ai pas été trop bête avec lui c’est tout de même un homme des arts et de culture. Je crois pas avoir dis de bêtises. Y’a aussi les snowbirds je sais pas si ils continuent la lecture de mon pauvre blog… Je crois que j’ai des acouphènes dans le silence ça sille dans mes oreilles remarquez que c’est pas en passant des années la tête dans les boîtes de son de la discothèque qu’on développe son ouï. Je crois que j’ai déjà écris là-dessus. Une vie c’est bref y’a des moments de solitude que j’ai su apprécier. Je pense à cette époque où je travaillais dans le recyclage de carton et de papier. Je ramassais des poches de jute remplies de papier, ce qui valait le plus cher c’était le papier d’ordinateur, ça existe plus je crois. Aux actualités, des écrivains qui parlent de leurs droits d’auteurs, moi j’y pense même pas, je trouve ma satisfaction juste de savoir que vous me lisez. Pour un écrivain qui en vie combien ont d’autre métiers? La course des E cars se passait dans le quartier des Invalides recouvert de bitume qu’on va enlever. Ça fait quatre cent ans que Shakespeare est mort, je me demande qui retire ses droits d’auteur? C’est difficile de se renouveler, la palette d’émotions est quand même pas si grande. Je sais c’est froid ce que je vous écris du moins c’est ce que je ressent  tout ce que je vie c’est de la peine où de la joie de la peur parfois et du courage aussi en anglais ils écriraient « mixed emotions ». À la télé j’ai encore vu de ces images magnifiques des capitales d’Europe. J’y retournerai, j’y retournerai. Ça ressemble à du délire continental ce que je vous écris. Je crois que je vais terminer ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour terminer. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 22 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi j’ai ouvert la fenêtre, j’entends les voitures qui passent c’est un peu comme le ressac de la mer. Longtemps j’ai ri des gens au camping Sainte-Madeleine qui disait s’endormir au son des voitures qui passent sur l’autoroute vingt. Voilà maintenant c’est moi je suis un peu comme la grosse madame accoté sur son oreiller dans la fenêtre qui regarde l’action dehors. Les stores se balancent au vent pendant ce temps-là les carottes et les pommes de terre cuisent. C’est pas une très belle phrase, j’ai quand même pas envie de vous raconter mes rêves érotiques de toute façon je m’en souviens plus il est trop tard, je vous laisse imaginer. Le parc est vert les arbres c’est pour bientôt. Je crois que mon lecteur de Terrebonne disait que la pêche était ouverte. Ça roule lentement y’a surement des policiers pas loin… Les mouettes crient pour se partager des miettes de pain. Les mouettes c’est un peu ce qu’il y a de plus sauvage dans le goulag occidental. J’essais d’imaginer le vendredi soir des gens qui rentrent à la maison ceux qui ont l’âge vont s’occuper de leurs enfants peut-être faire du sport avec eux, une sortie au cinéma? Parfois quand tu vie en banlieue t’a pas envie de retourner dans le traffic. Ils vont peut-être passé le rateau sur la pelouse pour après faire un B.B.Q. C’est ça la banlieue, il est un peu tôt pour ouvrir la piscine quoi que si ils la font chauffé mais c’est pas très écologique. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes et sa nouvelle voiture sport, elle est magnifique, un bijou a frotter. Je crois que les petits garçons vont faire comme nous faisions et joué au hockey balle dans leur bout de rue. Je dirais qu’on fait des nouvelles rues pour ça, joué. Bientôt ce seras le baseball, j’aimais moins ça, je vous en ai déjà parlé. Y’a surement des jeunes hommes qui ce soir vont jouer aux cartes dans le sous-sol chez un copain et en fin de soirée ils vont se commander un sous-marin et se régaler. Je me souviens on écoutais les Carpenters et la chanson The Letter, reprise par plusieurs dont Joe Cocker. Moi parfois je jouais de la « air guitar » avant la lettre je me roulait par terre les copains rigolaient. Je me sentais déjà bien seul. J’aimais pas rentré à la maison rapidement est venu le temps des grills et des hôtels. Je me rappelle y’avait un scopitone, on me laissait entré je restais tranquille, les plus vieux s’amusaient dans la discothèque, c’était avant les brasseries. Soudain chez moi ça sent le brûlé, c’est moi les patates ont pris au fond. J’ai mangé si y’a une chose que j’ai appris c’est de pas jeter la bouffe, j’ai enlevé ce qui étais brûlé et j’ai mangé. Voilà ce que ça donne pour ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! Je vous dis au revoir!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Lu un texte sur le suicide, on le considère comme la vrai la seule question fondamentale. Je pense à cette chanson de Brassens « Mourir pour des idées, oui, mais de mort lente ». Plutôt que le suicide on devrais offrir une sortie de ce monde de souffrance, là où ça deviens difficile c’est dans le monde carcéral, devrait on libérer les gens qui font des tentatives dans les murs? Je peux pas m’empêcher de pensés aux itinérants, sans toits sans travail la vie les faits chers payés leurs erreurs. Je crois que je vais revenir à mon sentis, j’ai pas de réponse aux problèmes que j’évoque précédemment, ça me fait quand même mal de pensés à ça, la prison où la mort, moi je suis simplement fou, c’est vivable mais parfois je souffre à vouloir en finir mais je me raccroche toujours. La ville, la société c’est ça, des destins qui se croisent parfois pour le mieux, d’autre fois pour le pire. Cette nuit j’ai mal pourtant je m’en tire avec la gratitude, merci d’avoir un lit un toit et à manger pour le reste à part les livres je crois pas que le matériel soulage les douleurs de l’âme. Je crois que le mot raccroché que j’utilise précédemment est équivoque, je sais pas trop quoi écrire peut être que je tiens bon. C’est quand je veux faire le philosophe que je suis au pire. Je m’en veux un peu, ma vie d’avant est toujours très présente, la semaine prochaine on travaille la création collective, j’ai hate. Je pense au père qui parlait d’une façon incompréhensible dans une réunion politique télévisé, c’est là qu’il a raté sa chance d’être sénateur, il voyait ça comme la poule aux œufs d’or parlés en à Duffy. Ici la nuit les voisins sont tranquille, y’a personne qui fait comme moi dans le temps à la maison de chambre. J’écoutais de la musique la fenêtre ouverte. Je me pensais le DJ de Montréal. Tout à coup y’a un parfum de soupe, poulet et nouilles y’a rien de meilleur… Je suis comme à boutte, je m’écoute ça se passe dans ma tête c’est loin d’être le silence je compose sans décomposé. Ai sortis les biscuits salés, cette nuit c’est très Montréal, très goulag occidental. Je vous écris ça pendant que dehors il pleut, ça se passe au plexus mon affaire heureusement je suis pas boxeur. Dans ma tête je me dénigre je vous l’écris pas c’est toujours la même histoire. Je suis pas le plus grand des hommes mais quand même à chaque victoire que j’ai sur moi je grandis intérieurement. Peut-être qu’à force de l’écrire je vais le croire, s’estimer voilà une chose importante sans oublier l’humilité. Je crois que cette nuit et ce texte vont bien se terminer. Je suis heureux d’écrire avec la machine c’est pas très organique mais pour lire vous pouvez toujours imprimé. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!À bientôt!!!

Bernard                                                                             
                                                                                                                                                                                                                                          

jeudi 21 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! J’ai de la peine cet après-midi, Prince un grand de la musique est décédé, https://www.youtube.com/watch?v=F8BMm6Jn6oU , Purple Rain c’est une magnifique chanson, je me rappelle aussi sa moto dans le film, j’ai eu quelques larmes c’est un peu jeune pour mourir. Je voulais juste vous le signaler au cas où vous vivez sur Mars. C’est les années quatre-vingt qui sont en deuil malgré tout c’était de bonnes années. J’écris lentement, je veux pas écrire de niaiseries n’empêche j’ai un peu de nostalgie… Dehors les motos sont sorties, je les entends ronronner, le film avec Prince j’ai l’impression d’y avoir rêvé je l’ai vu une fois ça m’a fait pensés à West Side Story, peut-être que je suis dans le champ, vous pouvez me le signaler… Je pense que je me reconnais plus dans les artistes que dans les hommes politiques, tout ces décès c’est triste quand même. J’ai une boule dans la gorge, les larmes aux yeux, ça me rajeunis pas mais je suis pas si vieux… Quand je veux rejoindre quelqu’un au téléphone et qu’il n’est pas là je laisse un message et après je téléphone trois où quatre fois sans en laisser, je m’excuse. Je suis tellement anxieux ça me fait faire des choses comme ça. Lentement le ciel se couvre, dans le parc une femme fait du jogging, c’est pas une bonne idée de dire que je fais mes niaiseries à cause de l’anxiété. J’ai qu’à me contrôler. Je pense à mon goulag occidental dans mon Amérique du nord pas loin de New-York où il faut attendre des heures en autobus pour passés les douanes. Prince c’était ce que l’Amérique avait de meilleur dans la création pop, l’ami dirait du rock des familles. Dehors les balançoires grincent, les enfants courent dans le parc mais à quoi bon puisqu’on va tous disparaitre faut quand même faire de son mieux et gagner notre ciel faute d’avoir su gagner sa vie. Les jeunes filles sont très souples elles font des pirouettes sur l’herbe. J’ai toujours des problèmes avec les métaphores j’arrive pas à en faire je suis perdus comme un blanc à Montréal-Nord, ça c’est raciste je crois disons que je suis perdus comme un chrétien dans une mosquée, ça aussi c’est douteux… Mais le goulag occidental c’est pas un endroit pour être politiquement correct. J’attends de ressentir quelque chose, un sentiment, une émotion aujourd’hui de ce côté-là j’ai été servis, je pense à cette sœur que j’avais qui est partie à tous ces amis aussi, j’ai une prière pour eux et j’espère qu’ils veillent sur moi. C’est vivant dans le goulag occidental, jeudi soir la paye on arrête au bistro prendre un verre où deux et on en ressort qu’au bout de la nuit. Hier on m’a dis de me faire plaisir mais mon plaisir c’est de vous écrire ceci que je termine. Voilà! C’était ça pour aujourd’hui! Merci d’avoir lu jusque là!!! Quelques mots encore, une finale comme je sais pas en faire. À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 20 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis fatigué la réunion à l’institut m’a beaucoup demandé. Je sais pas si j’étais à propos. Couché de soleil orange ce soir, ça annonce beau pour demain. Je crois que les chercheurs de l’institut rient de moi, je fais de mon mieux avec ce que j’ai… Dans ma tête on me paye pour que je prenne soin d’un collègue.Ce soir je suis complètement vide. J’ai ouvert la fenêtre je suis torse nu, ce soir j’essaye, j’essaye, j’essaye, je pars toujours trop tôt pour les réunions mes journées sont pas assez meublées. Cet après-midi quand je suis revenus je me sentais comme un moins que rien. Je préfère les répétitions du Cabaret Poétique aux réunions de comité. Lentement je me calme comme dis la matriarche j’étais partis en peur, ça définis bien le paranoïaque que je suis. Les enfants jouent dehors dans la ruelle, ils crient c’est bien le beau temps. Nous on jouais sur le parterre de l’école Jeanne-Lajoie sur la rue St-Vital à Montréal-Nord je me souviens très bien de ça, la gang de petit gars j’avais neuf dix ans parfois je croyais que j’étais grand et je fumais en cachette deux où trois cigarettes volées. J’ai fait un long détour avant de m’installer dans le goulag occidental, j’y suis bien, mais oui c’est le Centre-Sud! Je sais pas si ma lectrice d’Aylmer se rappelle du magazin chez Marguerite sur la rue Monselet où du disque d’imitateurs des Beatles acheté par papa à la pharmacie d’en bas. Des fois j’aimerais bien redevenir un enfant, y’avait des contraintes mais c’étais quand même amusant. Mais ça on le sait pas qu’on vie les meilleurs moments, l’adolescence a été un gâchis, de la douleur, de la souffrance et j’en ai pas vu venir la fin. Je crois que je suis devenu un adulte à la fin de la trentaine. Dans le parc en face les gars jouent au soccer. Je me rappelle avoir brisé bien involontairement la bicyclette mustang d’un copain. Je crois que ma mère avait payé pour les réparations essentiellement des rayons de roue. C’étais pas une enfance de pauvres ce que les autres avaient ont voulait l’avoir, parfois oui, parfois non… On jouait au football dans le champ de sable, en anglais ils appellent ça du sandlot football. Je pense qu’un de mes frères jouait avec nous. Je commence a avoir des problèmes avec le PC, c’est pas très grave je l’ai arrangé. Ce soir j’essaye comme toujours de mettre des mots sur mon état mais je m’égare, deviens nostalgique et oublie le plus important le moment présent. Les voitures klaxonnent, la semaine passée je suis allé à Terrebonne y’a longtemps que j’ai mis les pieds là, je m’en ennuie pas, beaucoup de voitures, beaucoup de commerces, hé oui! C’est très commercial. Comme souvent je sais pas comment terminer, quelques mots encore avant d’oublier. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À bientôt!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 19 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je m’essaye encore pour un autre, pense à Cuba à la mer chaude. J’ai vraiment rien vu du quotidien des gens à part peut-être à La Havane. Je pense au capitole en réparation, à cette place centrale où y’a plein de taxi, ce bistro ombragé mais vide, ces terrasses d’hôtels avec un band de musique en plein vendredi après-midi. Avant de partir cette serveuse qui me donnait du chéri et me demandait si j’allais revenir. Je me souviens aussi de la place dans la vieille Havane où on vend de vieux disques et livres. Discuté un peu avec notre guide qui disait être privilégié de travailler avec les touristes. Vous devez vous dire que j’en reviens pas de ce voyage, c’est vrai je veux juste repartir je ne sais où mais non j’ai pas acheté de cigares ni de rhum, souvenir aussi de cette balade en autobus entre Varadero et La Havane, le long de la mer c’étais bien. J’avais de la difficulté je parle pas espagnol même avec les madames Pipi. Je vous ai pas parlé du café comment il est bon, comment la serveuse répondait à mes désirs en me le servant sans que je le demande, un espresso allongé double, magnifique au goût superbe. Ce soir dans mon lit j’ai la danse de Saint-Guy j’arrête pas de virailler, j’ai même je crois de petites convulsions fatigantes… Vous le savez je vie presque pour le prochain voyage. Je sais que nos snowbirds sont de retour avec leur Courailleuse qui a rendu je suis certain de fier service. Je reviens sur mon sentis à comment quand j’écris j’aime la nuit. La Havane c’était faite belle pour la visite d’Obama, cette semaine Raoul Castro a déclaré que les services sociaux, étude, médecin, agriculture ect. Allaient demeurer nationalisé même avec l’arrivé des américains. Malheureusement sur place même dans les tout-inclus on sent que les cubains ont faim. La nuit à Cuba j’écoutais Radio Rebelde, de la musique et des propos du cru et même une ligne ouverte. Je ne sais trop comment vous dire mon sentis cette nuit. Je pense à mon père à cette main gauche aux doigts manquant à comment toujours assis à sa gauche elle m’obnubilait, ça aide pas a travailler de ses mains j’ai quand même réussis à me servir des miennes un temps pourtant… Pas de métier beaucoup de misère, quelqu’un cette semaine me racontais avoir acheté une maison à Cuba, je crois pas que c’est possible, quoi que bientôt les cubains de Miami vont pouvoir rendre visite à leurs familles. Je connais bien peu de choses de cette réalité là. J’ai tendance a croire que ceux qui sont contre Castro sont des voleurs… Je vous aurai pondu ça cette nuit c’est pas nouveau j’attends le prochain voyage je ne sais où. J’ai finis mon café et j’ai terminé la rédaction. Merci d’avoir lu jusque là!!! À bientôt et à la prochaine j’espère pour d’autre propos et un peu plus de sentis. Merci!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je m’y prends de bonne heure cet après- midi. Le vide me fait mal, dehors un toxicomane à vélo s’arrête dans le parc, il prépare sa dose sur le banc et dans l’abribus. C’est plein soleil, un autre gars fait les poubelles pour ramasser les contenants recyclables. Je sens ça lourd dans ma poitrine, pense au mal de l’âme c’est pour ça que j’écris pour le projeter m’en débarrassé mais c’est toujours à recommencé… Je devrais pas m’en faire sinon de mon mieux, la voisine passe sur la passerelle, elle claque sa porte, je crois que pour quelques dollars elle vend ses meubles. Aujourd’hui j’ai décidé d’illustrer mon blog avec une œuvre de Laurent Gascon un co-fondateur de l’escouade de la muralité dans les années soixante dix. C’est une céramique en hommage à l’affichiste Vittorio une œuvre de 2009 au coin de Fleuran et Ontario, dans mon goulag occidental où dans le Centre-sud de Montréal si vous préférez. On peut qualifier le style de monsieur Gascon de « néo-pop art ». Ça met de la beauté dans un quartier qui en a bien besoin… J’ai beau écrire j’ai quand même mal, l’anxiété qui me ronge et la peur de je ne sais quoi, la paranoïa… « Je voulais te dire que je t’attends »-Michel Jonasz. Oui j’attends, c’est que je sais faire de mieux attendre, je suis patient et même patient dans les urgences où on soigne pas en attendant… Je croque une pomme en pensant à ces logements mal insonorisés qui créent de la chicane entre voisins. La pomme ça remplis un peu ce vide existentiel, ce mal au plexus solaire. Dans ma tête ça va quand même bien, je suis conscient du chemin qui me reste a faire, j’en fais un peu chaque jour en sachant très bien que la perfection n’est pas de ce monde. Une pensée pour le mécanicien père de famille à Cantley qui semble pas bien allé je lui souhaite un prompt rétablissement. N’oubliez pas Le Cabaret poétique, Quête d’identité et d’imaginaire c’est le 2 mai à 19hrs vous pourrez me voir sur scène avec d’autre au TNM. Bon! Étrangement quand j’ai plus beaucoup de mots je tombe dans l’auto-dénigrement, ce que je ne ferai pas ici je vais essayer d’être bon avec moi de donner une autre forme à mon narcissisme. Je me tape l’épaule ça se peut pas que ce que je fais ce soit rien que de la merde. Si je prends mon temps que j’écoute pas cette voix négative qui veux toujours prendre le dessus, ça devrais aller. En attendant toujours dans le parc un gars joue au ballon. Plus de travail que de talent, y’a de ça dans l’écriture beaucoup de transpiration et un peu d’inspiration, c’est vieux comme le monde tout le monde sait ça… Ça tire sur la fin pour aujourd’hui ce que je vous écris. Je termine donc en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine et à bientôt j’espère!!! Ciao!!!

Bernard