Bonjour!
Bonsoir! L’après-midi se termine, je cherche, je me cherche et veux m’inscrire
ici en mots. Je croyais qu’à mon retour ce serait plus facile de vous écrire,
mais non. Présentement je travaille sur un long texte que je voudrais publier
sur le site de l’institut dans les Humeurs culturelles, à l’institut ils
semblent avoir laissé tomber ce site, si oui vous risquez de le lire sur ce
blog. J’ai téléphoné à une personne j’attends le retour de mon appel.
Étrangement y’a un parfum de fumée, de boucane. Je croyais pas que mon
implication littéraire à l’institut aurait une fin si abrupte. Ça me rend un
peu triste c’était bien partis. Je vais revenir à mon senti, j’écoute ce que ça
dis, ça dis que même le jour c’est la nuit, mon âme est noire elle supplie, j’ai
mal à l’ennui. L’amie ne me téléphone plus je lui ai demandé d’arrêter c’était
trop difficile de communiquer. J’ai brisé ma routine de visionnement des
actualités, c’est plus simple quand je veux vous parler de moi. C’est pas un
mot qui va changer les choses pour moi, je fais ce que j’ai toujours voulu
faire écrire même si je suis pas un jeune génie de la poésie. Dehors une
voiture de police passe à vive allure encore quelqu’un de mal pris. J’ai dit à
l’amie de plus me téléphoner inconsciemment parce qu’elle m’a signalé que j’avais
trop d’imagination. C’est ce que le patriarche m’avait dit quand je lui avais
parlé de mes problèmes. J’imagine rien, c’est vrai les gens me méprisent me
traitent comme un moins que rien et la peur est toujours présente pourtant j’essaye
toujours de m’exprimer clairement. Ça part de moi ma façon de recevoir, je dois
laisser passer ça, prendre conscience de ceux qui m’apprécient et oublier ceux
qui me détestent. Ce soir je mange de la quiche même si Norman Mailer écrivait « Real
men dont eat quiche! ». Le gros steak c’est cher même si j’aime ça. Je
pense à Angèle Arsenault http://www.jukebox.fr/angele-arsenault/clip,moi-je-mange,ql0lfp.html sa très évocatrice chanson… Le four se
réchauffe, voilà ça chauffe, avec ça comme toujours je m’éloigne de ce que je
ressens. Je me vois dans toutes les maladies schizophréniques boulimiques et
anorexiques. Je les ai toutes c’est un peu la particuliarité de la
schizophrénie, je me reconnais dans toutes les maladies mentale. Pauvre fou! C’est
tellement souffrant que ça en est drôle bien que je vous dis souvent que j’ai
pas le sens de l’humour. Je pense à une amie dans le temps qui cuisinait un
maudit bon rôti de palette. J’ai mis la télé j’écoute les actualités je veux
rien manquer. Je pense que je vais placer la photo d’un restaurant de
Washington. Encore quelques mots, l’ami disait c’est toujours la finale qui est
difficile à faire on devrais commencer par la fin. Je vous parle pas des pit-bull,
ça m’énarve!!! Encore quelques mots pour être si fidèle je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
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