jeudi 14 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Pour ceux qui s’inquiètent du boycott de Facebook vous pourrez quand même lire sans eux.. J’ai un peu dormis, ai mis de la musique des années quatre vingt. Mes services de communication sont payés. J’utiliserai pas Facebook mon âme est agitée, j’ai hâte d’avoir des nouvelles à propos de l’édition d’un autre livre ça devrait être bientôt. Je ne traine plus dehors la nuit, j’ai toujours les pensées qui comme un poignard me percent la cage thoracique. Non! Non! Je veux pas mettre fin à mes jours curieusement cette pensée est comme un réflexe thérapeutique tant que j’en parle ici ça va. Souvent on parle de la puissance des mots de leurs côtés tranchant dans l’esprit, j’ai démarré le climatiseur je cherche le frais… Encore dans l’insignifiance cette nuit semble que le quartier à la mode ces jours ci c’est la Petite Patrie tout près du parc Molson rue Beaubien coin Iberville… Rien n’y fait je pense à Frisco à toute la littérature de la côte ouest américaine, Ferlinghetti la librairie beat et tout les grands qui sont passés par là. J’écoute des séries télévisées et essaye de voir d’entendre la façon dont s’est écris. Souvenir j’arrivais au bar y’avait pas de musique je commençais à boire et criait victoire quand la musique démarrais. Ce furent des nuits tristes et noire, y’a quarante ans de ça… Allez j’y vais j’extirpe les mots fous de ce qui me reste de tête, malheureux a essayer a tenter une forme de poésie, une sorte de cut-up word à la Burrough. Ça intéresse plus personne de réinventer l’écriture on ne cherche que le lecteur, une « belle » façon de dire. Les émotions c’est trop peu trop tard… Je gueulais et sacrais tellement ont me vidait avec les motards qui eux ne se gênaient pas pour me bousculer c’étais ça aussi la folie. Combien de nuit avant la fin, avant le mortel silence, à un moment on les trouve plus tellement jolie les enseignes au néon, la ville nous a bouffé et tout ce qui vas avec on s’étend et attend sur le trottoir. J’aurai écris on diras ça, manquait que le talent, le doute bien installé. Voilà !!! C’est la chute, l’épilogue, la conclusion pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

15/09/2023


mercredi 13 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Hier j’ai lu le recueil de poèmes de l’ami Nordman Chaman Rivard à la lecture de ses vers sur le moment on trouve ça ordinaire mais quelques minutes plus tard ça nous touche nous déstabilise ses rimes viennent nous chercher ses vers sont un refuge une expression  contre l’itinérance qu’il a connus. L’ effet est là après quelques instant la simplicité assumée nous touche on se sent tout drôle. L’homme ne cherche plus il est poète et l’inscrit dans son livre. Je dirais la poésie au risque de paraitre un peu niais mais des poèmes en partage qui le soulage.. Ses vers sont pas grandiloquents j’y vois les rimes comme une forme d’humilité l’homme impose son « style » sans s’excuser, une écriture salvatrice au relent de la fin des années soixante dix rock’n’roll et contre-culture bien vivante. Je dirais aussi chaman oblige une écriture guérisseuse, des mots et des gens qui ont imprégnés toute une génération, curative des addictions. Je le boudais Nordman mais j’en suis devenus fan, un rockeur dans la tradition des sanctifiés je dirais même martyr de l’itinérance avec l’espérance que sa poésie l’ancre chez lui à combattre la solitude et ses démons. On le lis et on sent les rimes dans sa tête et toute la souffrance qui l’a mené à ça c’est touchant on ne demande pas mieux pour l’homme qu’on souhaite inspiré encore. On ne parle pas ici de poésie brûlante mais plutôt du ton d’une opérette rock. On ne réveilleras pas Jim Morrisson ni ne ressusciteras Charles Baudelaire mais Rivard rajoute une pierre à l’édifice de la poésie je dirais « Like a Rolling Stone » on sent une démarche et espère qu’elle dure dans le temps en souhaitant que le poète nous donne d’autre vers émouvant de ceux qui coutent cher dans le temps.  Le chaman je sais pas si il s’inspire aux champignons mais on le verrais quand même dans une sweat lodge, dans la grande maison autochtone près d’un totem. Pour finir je parlerais d’écriture du rétablissement de la pleine conscience qu’il faut s’occuper de soi. Merci Nordman j’ai beaucoup aimé te lire. Voilà c’est la chute l’épilogue la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt Chaman !!! Obrigado !!! Mon amitié la plus sincère !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bravo !!!

14/09/2023


mardi 12 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonsoir ! Hier soir j’ai rencontré quelques personnes au lancement du recueil de poésie d’un ami c’étais sympathique. Ça se passait dans un quartier, coin Iberville et Beaubien, que j’ai longtemps fréquenté, le poète m’a avoué qu’il ne lisait pas beaucoup pourtant selon moi c’est essentiel. J’ai fait la promotion de ma prochaine parution. J’ai sentis chez certain une profonde dépression qu’ils soignent avec de la bière, Ils disent qu’ils vont bien mais n’arrivent pas à se convaincre. J’ai bien aimé rencontrer tout ces gens, je crois que l’ami a vendu plusieurs recueil. On pourrais appeler notre gang l’école du Théâtre du Nouveau monde. Je veux pas faire de compétition littéraire mes écrits ont droit eu aussi à une édition papier. Un ami a dis que le poète et moi on ressemblait à Charles Bukowski et Hunter S. Thompson je lui ai dis merci et j’ai précisé que je buvait plus autant que Bukowski dans ces réunions là je suis plutôt asocial. Souvenir de la terrasse du Détour tout à côté, j’y brûlais la chandelle par les deux bouts, l’intersection est maintenant populaire. Un coin de la Petite Patrie méconnus je n’y vais plus. J’ai hâte que mon livre sois édité. Je me souvenais plus qu’il y a une caisse populaire et un guichet automatique tout à côté… Le Détour c’était y’a un moment plus de quarante ans, je m’ennuis pas de cet endroit. Bon! Je vais essayer de remonter dans mon monde intérieur. J’ai une chanson dans la tête je crois qu’elle s’intitule tu te souviendras de moi. Les aspirants auteurs ont tous la postérité dans la mire ils veulent faire l’histoire de la littérature quand même j’ai bien aimé le sourire des jeunes filles. Je devais pas vous parler de mon prochain roman c’est pour bientôt. J’essais de me creuser l’âme de dire avec sensibilité mon état sans parler de mon âge, dire toujours dire sans s’approprier les mots de l’autre, hier une amie a signalé à ses copains que je suis un grand lecteur ça m’a permis de rester vivant. Pour aujourd’hui j’en ai finis avec l’alcool, je disait que ça m’avais fait trop mal que je voulais pas y retourner. Voilà!!! C’est la chute, l’épilogue, la conclusion, hier j’étais le premier arrivé et le premier partis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

13/09/2023

 


lundi 11 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai pas dormis j’ai de la difficulté a rester éveillé hier j’ai rencontré mon collègue pour préparer  la formation. J’entends le train, le voisin écoute des valses de Strauss. Je me suis recouché j’ai rêvé j’arrive pas à me souvenir c’était agité  J’arrive pas a m’inventer un monde onirique, je trouve pas je trouve rien à part peut être une mêlé des corps un peu comme au rugby. Le temps s’est rafraichis j’ai fermé le climatiseur. Guerre, feu, tremblement de terre voilà ce qu’on vois à la télé c’est triste… J’ai suivis une sorte d’atelier sur les problèmes concomitant et santé mentale semble que c’est long avant que les gens réalisent qu’ils sont toxicomane/alcoolique le psy qui donnais la formation disait qu’il aimait bien quand les gens s’engageait à rester sobre ne serait-ce que cinq minutes. Encore aujourd’hui je vais essayer de rester sobre, j’aime pas beaucoup l’idée de réduction des méfaits quand je bois je me démolis et je sais pas quand ça va s’arrêter? La mort? Il disait qu’il fallait garder quelque chose de wild si j’ai bien compris, je crois que pour moi c’est l’écriture. Les tatoos aussi peuvent servir à se rappeler. J’ai eu mal si mal aujourd’hui je crois pas y retourner. On dis aussi que les gens préfèrent se faire soigner au CHUM centre ville les pushers sont pas loin. Je sais on crois que je pars en voyage pour me péter la face à l’étranger mais non j’en reviendrais jamais où tellement amoché… Quelqu’un crie dehors, un de ceux là découragé qui n’y arrive pas et vie dans la rue, je pense à toute ces overdoses à comment il ne faut jamais consommer seul et garder un kit de naloxone. J’aime bien raconter mon histoire je crois que ça peut aider. La santé mentale et les troubles concomitants c’est reliés presque tout ceux qui souffrent ont un problème de consommation. Je reviens souvent là-dessus mais ça fait si mal c’est si marquant faut pas l’oublier et je crois pas que ça vas arriver aujourd’hui. Je suis heureux bien que ce monde de consommation reste pas loin, souvenir du film Clean and Sober, mes premiers pas dans la sobriété. Voilà c’est la chute, la conclusion, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

12/09/2023


dimanche 10 septembre 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Ça part mal ce soir le désir d’écrire est pas là. J’ai fait le couch potatoes toute la journée, deux émissions littéraire trois matchs de football ,méchant légume. Ce matin je vais à l’institut pour la rencontre des personnes ressources en concomitance ensuite dans l’après-midi une rencontre virtuelle avec le collègue sur la formation c’est une rencontre informelle on va certainement parler voyage lui aussi est allé au Portugal. Lentement je me réveille. J’ai démarré en vous parlant du désir à mon âge c’est plus ce que c’étais y’a plus d’amour passionnel torride et c’est tant mieux. Le seul qui arrive pas a croire c’est moi, je fait toujours de mon mieux semble que ce sois pas assez, la nuit avance je suis tout à mon urbanité montréalaise. Je pense au jeune et mythique Émile qui a stérilisé l’image du poète avec la folie institutionnalisé et je compte pas Gauvreau des années plus tard avec sa charge de l’orignal épormyable, il s’est tout simplement défenestré le type t’a beau avoir écris une grande œuvre si tu reste pas vivant à quoi bon, le Québec a sa côte part d’écrivain mort. J’ai peut-être pas leurs talent mais je suis vivant. Que de destin pathétique j’arrive pas à mettre un peu d’humour là dedans, les lettres québécoises sont souvent des lettres mortes a graver sur votre pierre tombale. Pendant que la terre meurt j’écris c’est ce que j’ai trouvé de plus salvateur. Je sais à mon âge il est un peu tard pour faire le poète mais c’est pour rester en vie et libre. J’abandonnerai pas l’œuvre reste encore a écrire, les désespérés ont besoin de se geler de s’intoxiquer ils ne croient plus en rien, à la dope peut être mais ils se tuent lentement. Ce que j’ai compris contre le suicide c’est qu’il faut en parler mais je sais toujours pas ce qu’on promet aux grands désespérés pour qu’ils ne s’enlèvent pas la vie, je pense à Dédé Fortin partis bien vite notre univers artistique… C’est pas quelques séjours en soin psychiatrique qui va redonner foi dans la vie et je parle même pas de schizophrénie. J’ai pas de leçon pas de recette autre qu’essayer de vivre aujourd’hui. Voilà! C’est la chute l’épilogue la conclusion, comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

11/09/2023


samedi 9 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous fais une confidence c’est ma saison de télé préférée des matchs de football mur à mur le week-end, canadiens américains le choix est là. Je viens de manger un cornet de crème glacée ça fait du bien. Je me cherche une thématique pour le blog de cette nuit.  Tiens je vous mentionne que l’équipe locale les Alouettes a perdue. Je veux pas déplaire à ces dames je sais qu’elle n’aiment pas beaucoup les écritures sur le sport. Je me souviens d’un match où j’étais allé avec le patriarche et la matriarche j’étais déjà très malade les copains sportifs étaient tous là plus haut dans les gradins, j’étais heureux de les voir mais je suis resté assis avec mes parents j’avais peur j’étais tout mêlé. Des souvenirs le dimanche après-midi je regardais les Steelers de Pittsburgh avec entre autre Terry Bradshaw et Lynn Swann de grands joueurs dans des matchs décris par le regretté Raymond Lebrun c’était à Radio-Canada on avait pas le câble et la télé était en noir et blanc. J’aimais bien essayer de deviner les jeux qu’ils allaient jouer par la passe où au sol ça occupait les longs dimanches après-midi d’automne. Les receveurs de passe m’ont toujours impressionné. Je sais pas si je vous ai déjà raconté ma rencontre dans la salle d’attente de L’urgence hospitalière avec un joueur, il étais blessé mais très comique ça détendais l’atmosphère, c’est peut-être pour ça qu’inconsciemment j’ai souvent demandé du secours à l’hôpital pendant les psychoses. J’étais à l’urgence de l’hôpital Sacré-Cœur j’attendais qu’on me recouse le visage… J’aime bien ce sport, aujourd’hui le commentateur a parlé du rugby un sport sans équipement mais à un autre niveau, je l’ai jamais compris ces jours ci c’est la coupe du monde avec les fameux All Blacks Australiens impressionnant. Comme ça vous voyez ce que je vais faire aujourd’hui à la télé y’a au moins trois matchs de football américain commenté en français… Ce qui est aussi impressionnant ce sont les foules de spectateurs les stades sont toujours à guichet fermés. Je vous parlerai pas de la publicité ce n’est que ça, la bière, la bière, la bière … Voilà! C’est la chute, la conclusion, l’épilogue je termine là-dessus en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!! Obrigado !!!

10/09/2023



 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir j’ai regardé un reportage sur le grand nord québécois, c’étais très touchant j’ai pleuré, y’avait la magnifique Elisapie. Ça me touche quand ils parlent des problèmes d’alcoolisme et de toxicomanie des premières nations, je me reconnais un peu là. Ailleurs à Gatineau, y’a des femmes itinérantes qui accouchent dans un boisé, je crois qu’elles ont peur de l’hôpital. J’aimerais bien être capable de vous décrire comment elles se sentent dans un studio entouré de psy, d’intervenantes et de travailleurs sociaux c’est assez pour faire peur et souvent ce sont des personnes qui aiment pas être contrôlé c’est toujours difficile de garder un logement quand tu a le sentiment qu’il est envahis. Dans la rue tu traine le minimum quand même y’en a qui voient des signes dans les choses qui sont dans la rue. Ils les ramassent pour accumuler des preuves et étayer leurs discours paranoïaques. Je me lève pas de rêve significatif, je reviens à l’itinérance ils boivent pour oublier ils oublient pour boire, j’ai pas envie d’embarquer dans ce train là on sait pas si on vas être capable de sauter, de jumper une fois en marche, faut voir tout le trouble qu’on se donne pour boire comment on se fait haïr. La vie de hobo est jamais aussi belle que dans les romans ça dors très mal sur le trottoir encore que cette nuit on peux dormir dans une tente l’humidité vous rentre quand même dans les os. J’en connais pas qui se lèvent un matin avec l’ambition d’aller vivre dans la rue, la difficulté elle est là plusieurs pensent qu’ils sont assez fort pour s’en sortir seul c’est impossible. Les « amis » que tu te fait dans la rue ils veulent ton cash c’est tout, au début du mois c’est bien mais après la première semaine faut trouver une combine. Mais oui ça prend des logements pour tout ce beau monde mais quand ils vont avoir le choix entre payer le loyer et boire que vont-ils faire ? Je vous raconte ça en connaissance de cause j’étais là… Voilà! Je reviens toujours à ça je tiens pas à savoir si les bars ferment toujours à trois heures. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Encore une fois j’y suis arrivé !!! À la prochaine j’espère !!!

09/09/2023