Bonsoir ! Bonjour ! Pour ceux qui s’inquiètent du boycott de
Facebook vous pourrez quand même lire sans eux.. J’ai un peu dormis, ai mis de
la musique des années quatre vingt. Mes services de communication sont payés. J’utiliserai
pas Facebook mon âme est agitée, j’ai hâte d’avoir des nouvelles à propos de l’édition
d’un autre livre ça devrait être bientôt. Je ne traine plus dehors la nuit, j’ai
toujours les pensées qui comme un poignard me percent la cage thoracique. Non!
Non! Je veux pas mettre fin à mes jours curieusement cette pensée est comme un
réflexe thérapeutique tant que j’en parle ici ça va. Souvent on parle de la
puissance des mots de leurs côtés tranchant dans l’esprit, j’ai démarré le
climatiseur je cherche le frais… Encore dans l’insignifiance cette nuit semble
que le quartier à la mode ces jours ci c’est la Petite Patrie tout près du parc
Molson rue Beaubien coin Iberville… Rien n’y fait je pense à Frisco à toute la
littérature de la côte ouest américaine, Ferlinghetti la librairie beat et tout
les grands qui sont passés par là. J’écoute des séries télévisées et essaye de
voir d’entendre la façon dont s’est écris. Souvenir j’arrivais au bar y’avait
pas de musique je commençais à boire et criait victoire quand la musique démarrais.
Ce furent des nuits tristes et noire, y’a quarante ans de ça… Allez j’y vais j’extirpe
les mots fous de ce qui me reste de tête, malheureux a essayer a tenter une
forme de poésie, une sorte de cut-up word à la Burrough. Ça intéresse plus
personne de réinventer l’écriture on ne cherche que le lecteur, une « belle »
façon de dire. Les émotions c’est trop peu trop tard… Je gueulais et sacrais
tellement ont me vidait avec les motards qui eux ne se gênaient pas pour me bousculer
c’étais ça aussi la folie. Combien de nuit avant la fin, avant le mortel
silence, à un moment on les trouve plus tellement jolie les enseignes au néon,
la ville nous a bouffé et tout ce qui vas avec on s’étend et attend sur le trottoir.
J’aurai écris on diras ça, manquait que le talent, le doute bien installé.
Voilà !!! C’est la chute, l’épilogue, la conclusion pour cette nuit. Comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!!
Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!
15/09/2023