dimanche 27 août 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Je sais pas pourquoi je pensais bonsoir ringuette, étonnant… Souvenir de l’odeur âcre des gymnases, des vestiaires. J’aime pas l’odeur de la sueur… J’aime pas la proximité, la promiscuité. Pourtant je fréquentais des endroits où le contact était nocif où on se faisait palper nocivement, désolé de pas avoir d’autre mots ça a pris du temps avant que je me réhabilite. J’arrivais pas à me trouver une chaise une table je restais là dans l’allée bondée de monde un verre à la main et on passait et repassait, je me laissait toucher. Mauvais contact où je perdais ma virilité. C’étais les années quatre vingt et sa musique qui m’a suivis pendant plusieurs années, désolé de ne pas être plus poétique de pas arracher de la poésie… À cette vitesse là je suis passé de la névrose ordinaire à la psychose délirante et j’en avais pas conscience les bons alcooliques savait cuver et quittait pas en ambulance… Une fois à l’hôpital on me donnait une jaquette bleu et me plaçait sur une civière dans un corridor, c’était quand même agité y’en a qui vivait leurs high là et s’amusait je demandait à m’éloigner. L’hôpital c’étais vraiment la fin je savais pas où aller. Je savais pas je savais peu où soigner mon alcoolisme ma schizophrénie ma toxicomanie, tout ça a cessé quand j’ai cessé d’être dans le déni à l’époque les hôpitaux étaient aussi bondé que les bars à la mode, maudite folie ! De toute façon j’avais besoin de soins on pouvait pas dire que j’étais pas malade. J’avais peur d’aller chercher de l’aide ailleurs qu’à l’hôpital pourtant j’ai souvent fréquenté Dom Rémy devenus Dollard Cormier ça marchait jamais jusqu’au moment où j’ai été honnête et où j’ai rencontré un excellent psychologue. Bon! J’y arrive plus, j’y arrive pas, je sais pas comment vous parler de ce profond sentiment de solitude… Je pense à Billy Idol son flesh for fantasy toute une génération à s’être perdue dans cette musique. Le rock’n’roll j’essais de comprendre le rapport entre l’alcoolisme et la musique en anglais on dis le feeling, le sentiment ? On est venus me chercher dans ce bar mais j’ai pas suivis. Ça y est c’est la chute, l’épilogue, la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

28/08/2023  


samedi 26 août 2023

 

Boonsoir ! Bonjour ! Cette nuit la porte est ouverte on entend  gueuler un gars et il brise aussi le mobilier urbain. J’ai démarré le climatiseur. J’écoute ce que dis mon corps, ce que dis mon cœur. Je cherche le bon mot et l’émotion qui y correspond. C’est dimanche on commence une nouvelle semaine. J’aimerais vous emmener dans mon monde, il est pas différent du votre c’est juste que parfois mon sentis déborde et je revis aujourd’hui ce que j’ai vécu hier c’est une sorte de déficit cognitif qui heureusement ne dure pas on parle de schizophrénie.  Restons joyeux en essayant de rendre une humeur, l’écriture ça me rend heureux, toute mes tentatives de vous dire, ce journal pour pas dire ce blog mais oui parfois c’est de l’émotion cru . J’ai beau faire le temps avance de plus en plus vite, le mois d’août tire à sa fin. Ces temps ci je suis écrasé devant la télévision et j’essaye de regarder des émissions voyage, j’ai aussi un doux parfum d’après-rasage pas trop envahissant. C’est toujours la même difficulté, l’écrivaine parlait des mots pour le dire, mais oui j’ai été blessé très tôt la mémoire seule y arrive pas…  Selon moi y’a toujours une cause une raison à la maladie mentale cause qui parfois voudrais qu’on s’entaille la poitrine, s’éviscèrerais pour s’étendre sur le plancher les tripes au vent, ce serais juste un changement d’endroit pour la douleur une façon de remplir d’air l’abdomen, le sac a entrailles . Parfois de sa province, de sa région on arrive à Montréal qu’on espère conquérir, trouver un poste, un job qui va nous permettre d’avancer pourtant on est que plongeur on arrive pas à autre chose siffler les restes de vin, les fonds de bouteilles après le service on repart en pleurant en se disant ça iras mieux demain. Je suis rien ni personne j’essais de m’inscrire, c’est le cas de le dire, dans le long cours de la littérature… Tout ça avec la lourdeur de l’angoisse, le dépit du désespoir la marque virulente du malheur. Je vais y arriver, je vais y arriver un jour je trouverai les bons mots pour me libérez.  En ce moment ça bourdonne. Voilà! J’y suis presque, c’est la chute, la conclusion , l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

27/08/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Les rockers sont mort et moi j’ai perdu le nord, le feu fesse fort je peux pas me cacher au port.  J’attend l’aurore c’est ça mon sort je suis un hébreux sans porc mon scandale c’est pas de l’ or alors alors allard le météor me brasse le sort me tiens au bord je collabore. Voilà pour la poésie cette nuit des vers de mirliton c’est pas très bon mais c’est distrayant. Cette nuit je suis content la femme de ménage est passée hier, ça sent bon c’est propre, on a réussis a mettre en marche l’aspirateur. Parfois je pense aux cruels Talibans et à tout les endroits où la guerre fait rage, aux drames écologiques aussi comment l’être humain et sa technologie sont destructeur. Pour être écolo et sauvé ma part de la planète je devrais plus voyager et m’enfermer chez moi. Je pense aux végétariens radicaux à tout ceux qui suivent à la lettre les mesures de recyclage, je crois que je pourrai plus vivre pour être vraiment écolo autant en finir… C’est beaucoup plus selon moi toute les industries qui devraient s’y mettre… On ne peux plus vivre, ce matin je vais quand même lire la chronique voyage du journal. Les glaciers fondent et moi je sais pas quel part je dois prendre j’utilise les transports en commun essais de suivre toute les mesures pourtant… Au départ je vous parlais des vers de mirliton je crois que c’est plutôt des allitérations.  Le pape disait aux jeunes n’ayez pas peur j’aurais bien eu besoin de ça dans ma vingtaine au début de le schizophrénie. Je sais pas pourquoi j’ai le souvenir de la chaleur dans la salle d’attente de la clinique psychiatrique, c’étais lourd et je me sentais si mal mais si mal… Voilà où j’en suis je vais mieux je suis presque vieux, j’aurai vécu malgré tout ici aussi je sais pas trop pourquoi j’ai le souvenir d’un pull, d’un chandail cadeau des parents de ma copine de ces années. Voilà! Les années ont passées, je me rétablis j’ai plus de fourmillement dans les membres heureusement. C’est la chute la conclusion l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  Je rajoute quelques mots c’est intéressant que j’ais pas besoin de papier, que j’arrive à écrire directement avec Word. Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

26/08/2023


vendredi 25 août 2023


 

Bonsoir ! Bonjour !  Aujourd’hui je vous écris du petit matin, hier soir les Alouettes se sont fait donné une dégelé ça en était triste à voir. J’ai dormis un peu, j’ai pas toujours la tête à la poésie, parfois c’est tout simplement mon journal quotidien. Souvenir de mon premier voyage en France avec une copine, ma mère m’avait donné un petit journal de voyage j’avais pas écrit un mot. Par contre j’avais pris beaucoup de mauvaises photos. Je vous en place une de l’époque ça fait plus de quarante ans. J’aimais bien les vendredis ça annonçait les délires des soirées à la brasserie. Il est quatre heure et quart c’est le matin. Des fois ce que j’écris c’est insipides comme de la mauvaise soupe. Je vous parlerai pas de mes problèmes informatique c’est pas très poétique même si ça rime. J’ai froid j’ai fermé le climatiseur et j’ai mis un t-shirt… Je sais pas si je vais avoir la visite de la femme de ménage. Ce matin je prend un café avec les voisins question d’entretenir le bon voisinage. Je suis bien réveillé, ma nièce est au Portugal je crois qu’elle et son mari vont apprécié. Je reste attentif aux histoires de voyages ça peux me donner des idées pour un prochain départ, je me donne deux ans. J’ai mis de la musique une excellente blueswomen . Un de mes bros a  apprécié la lecture de mon livre, c’est bien. À la radio c’est l’émission du matin, j’ai mangé des gauffres avec du sirop. Je pense aux hôtels les petits déjeuner le matin… Au bulletin de nouvelles on parle de surdose, ça me touche c’est exactement ce que je ne dois pas faire. Je veux pas vous écrire la radio, la météo c’est dix sept degrés c’est pas chaud. Ouais! Encore ce matin j’y arrive, j’ai changé un peu mon horaire pour les lecteurs nocturnes insomniaques… Souvenir de cette difficulté matinale a partir au boulot dans un milieu et avec des gens que je détestais, je me ruinais la santé dans des matins où j’avais toujours sommeil. Travailler pour moi c’était triste peu importe le salaire. Retraité! Et je suis quand même debout tôt le matin. Voilà! Je vous ai écris la fin de la nuit ma matinée. C’est la chute la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

25/08/2023


mercredi 23 août 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’aimerais amorcer avec un texte fort dire en l’arrachant è mon esprit. Ce soir y’a un match Winnipeg versus Montréal ça risque d’être intéressant. Je remercie mon lecteur de la Rolls-Royce d’avoir lu mon livre et d’avoir commenter, c’est bien. Je vais essayer de mettre mes tripes dans ce que j’écris comme beaucoup de choses c’est souvent plus facile à dire qu’a faire, hurler à la douleur au mal lancer un grand cri à la perte d’espoir sans trop pensés. Je l’arrache je l’arrache le mot pour qu’en vienne un autre avec encore un cri malheureux parce-que pour moi la poésie c’est souvent le mal être, la difficulté et écrire une cochonnerie pour délaisser l’ennuis crier au trop au tant que ce seras sans pouvoir, y’a pas de poète heureux ils sont tous dans l’urgence d’écrire une prière à Méphisto une sorte d’exorcisme voilà ça prend de l’âge. Pourquoi dire ? Pourquoi les questions ? Cet amas de mots qui oublie souvent que la poésie ça s’écris souvent avec parcimonie. Un problème là aussi se couronner poète par défaut tout au bas de la pyramide avec le clan avec la plèbe et n’écrire pour aussi dire n’inscrire que des niaiseries. Désemparé comme toujours à des milles de l’amour authentique plutôt dans la mièvrerie dans le faux des mots désaccordés qui ne peuvent plus dire de façon originale en total désaccord. Pendant ce temps là dehors le verbe se fait chair d’itinérants insomniaques qui crie au bout de sa dope… Parfois y’a plus rien à dire on essaye de décrire l’hallucination on en est incapable non je ne fait pas de la poésie j’en écris pourtant je la traine pas avec moi dans des bistros aujourd’hui disparus. La poésie ça s’impose aussi à l’université beaucoup plus cadré. On en est pas à l’écriture sur un billet de vingt et pourtant j’appelle à la vie il m’en reste peu. Je m’allume la conscience. J’en reviens au parfum je crois qu’ils l’ont changé je vais l’essayer c’est une eau de toilette. Voilà! Je termine comme ça c’est la chute l’épilogue encore une fois je crois y être arrivé, demandé pas le sens. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Bye !!! Arrivederci!!!  Ciao  !!! Obrigado !!! C’est tout merci encore !!! Goodbye !!!

24/08/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Comment écrire à partir du silence ? J’ai presque pas de mots dans la tête, j’ai hâte de voir ce que seras l’automne, des inondations ? J’écoute étrangement je dirais que c’est un silence lourd, affolant aussi j’ai pas l’habitude. Je suis pas philosophe, peut-être un peu poète et beaucoup écrivain ça longtemps été mon désir d’écrire mais je crois que c’étais pas pour les bonnes raisons, raconter mon monde intérieur je crois que c’est suffisant à tout les jours je remet mon ouvrage… Je parle de jours c’est plutôt la nuit, cette nuit je suis moins torturé… Souvenir d’une adolescence perturbée passés à jouer aux cartes dans une salle dont j’ai jamais su à quoi elle servait , j’allais plus en cours je comprenais rien je sais pas comment ils ont tous fait… Quand je pense à ça je veux me faire mal, il est bien tard il est bien tard pour me reprendre. J’ai donné ce que je pouvais partout où je suis passé ce que j’aimais c’est jouer mais j’avais de la difficulté à être encadré. Hier quelqu’un me faisait remarquer qu’on étais toujours plus vieux quoi qu’on fasse l’important c’est la capacité de faire. Je me suis toujours demandé pourquoi chez les gars de la couronne nord c’étais le blues qui étais fort? Ce matin je rencontre quelqu’un pour faire une courte « biographie » de mes hospitalisations en vue d’une préparation pour une recherche. Cette nuit je suis moins fourbu… Je reviendrai pas sur le passé brasser la douleur c’est inutile comment ont-ils fait pour vivre jusqu’ici sans trop souffrir ? Maintenant pour moi c’est le repos, le calme, la paix pourtant parfois j’ai des sursauts douloureux… Soixante sept ans et je cherche encore à être au monde. Le mot c’est celui là cherche et même recherche je serai jamais finis toujours perfectible. Cette nuit je suis en bonne santé mentale, ça m’apaise me décentre, l’espoir toujours l’espoir du rétablissement quotidien. Je sais pas comment vous dire sans trop vous écoeuré si vous en êtes au début de votre rétablissement. Jamais oublier que c’est juste aujourd’hui… Voilà !!! J’en ai presque terminé c’est la chute la conclusion l’épilogue. Parfois les mots me manquent c’est pas tout de dire faut réaliser. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

23/08/2023


lundi 21 août 2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Je viens de lire quelque chose de superbe. J’ai des croutes a manger avant d’atteindre une telle beauté c’est un texte de ma petite cousine Claudie aller sur sa page facebook vous allez le trouver c’est très touchant. J’écris et quand je tombe sur un texte pareil je suis gêné. C’est si bien dis… Chronique d'une jeune thérapie:

C'est comme une rencontre d'enfants... Veux-tu être mon ami? Veux-tu qu'on s'aime pour vrai même si c'est pas pour toujours? Les enfants, ça dit « oui » et ça a une mémoire de poisson rouge. Les adultes, ça dit « non » et ça se souvient.

Mais, des fois, y'a deux coeurs d'enfants qui s'ouvrent et c'est la magie qui embarque. Des fois, on se reconnait rien qu'entre coeurs d'enfants. Ton enfant intérieur, je veux jouer à la tag avec lui, je veux soigner ses bobos, je veux que, quand il pleure, il se mouche dans mon chandail. Ton enfant, je veux qu'il saute dans mes bras, qu'il sourie quand il me voit dans la foule, qu'il puisse respirer mieux quand je le prends par la main. Je veux aussi qu'il continue de grandir, devant mes yeux.

Pis je veux que tu veuilles la même chose pour mon enfant à moi. Je veux que tu veuilles rien que l'aimer, même si elle est exigeante, même si elle pense tout savoir et qu'elle a toujours raison, même si elle pleure, même si elle demande tout le temps ton attention, même si elle te tape sur les nerfs des fois. Je veux que tu veuilles être patient... mais émerveillé, aussi, par mes sourires, mes bisous, mes câlins, mes émotions qui prennent toute la place, mes succès, mes dessins qui dépassent les lignes, mon progrès, mes idées.

Je veux que tu veuilles te souvenir de tout, que tu prennes des photos. Je veux que mon coeur de petite fille soit le plus beau parce qu'il sera finalement fait d'un bout du tien.

Peut-être que la petite fille a jamais été une petite fille parce qu'elle ne voulait pas être un poids de plus, une préoccupation, une inquiétude, une déception de plus pour sa maman. Alors, elle a toujours essayé de tout faire comme il faut, parfaitement; être gentille, polie, bonne à l'école, respecter les règles, faire attention, ne pas se mettre dans le trouble, fréquenter les bonnes personnes, assumer ses responsabilités. Fallait la rendre fière.

La fierté, c'est pas de l'amour.

Impressionner, c'est pas de l'amour.

Faut pas être triste. Être triste, ça fait mal aux autres. Et être parfaite, c'est ne faire de mal à personne...

 Voilà le texte dont je parle une belle sensibilité, moi j’ai longtemps été en thérapie avec un psychiatre, toujours trop souffrant pour mettre en mots. J’étais lourd de peine, lourd de ne pas savoir si j’allais me rétablir. Souvenir de la salle d’attente et de la chaleur torride qu’il y faisait du silence pesant. Je me souviens de consultation qui durais pas beaucoup plus que dix minutes par contre un jour j’ai consulté un psychologue qui s’est avéré efficace je le remercie encore. J’ai envie de vous dire qu’aller rencontrer le psychiatre et pleurer je sais pas si ça m’a aidé. Je savais bien qu’il y avait pas de guérison possible on reste toujours schizophrène malgré tout, malgré soi et j’ai vécu désespéré. J’aurais aimé qu’on me prenne par la main et qu’on me console mais personne semblait avoir les mots pour adoucir la dureté du monde. Je suis toujours resté avec l’impression que j’étais pas très important pour le psychiatre qu’il me soignait à la va vite parce que c’étais sans espoir. Je restais pris avec mon angoisse et mes éternelles introspection dans la lourdeur, Souvent on consulte et on reste désespéré du monde autour. On raconte nos consultation à qui veux tu pour ensuite se faire réduire en bouillis alcoolique et existentielle ça faisait mal. Je ne voulais pas commencer a magasiner un psychiatre pour moi ils étaient tous les mêmes. Les jours ont avancé j’ai vieillis et je me suis résigné. Je ne rencontre plus de psy, je ne bois plus et je dis merci. Je reviens sur la dureté de la vie à la difficulté d’y trouver de la joie. Et ce faux départ dans la vie cette mauvaise thérapie, la seule réponse, les seuls soins qu’on croyais valide pour moi c’étais le travail pourtant encore une fois tout ce que j’y trouvais c’étais le désespoir. Maintenant les soins sont plus de strictes nécessité j’y arrive et j’aime bien discuter à ma dernière rencontre avec un psy il m’a parlé de mes cheveux gris comment ils faisaient foi de tout. Voilà c’est la chute l’épilogue la finale pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

Le texte  Chronique d’une jeune thérapie est de Claudie Saulnier

22/08/2023