mercredi 28 juin 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! j’ai beaucoup aimé la soupe aux poissons d’un restaurant place du commerce à Lisbonne et le poulpe grillé au dix septième de l’hôtel à Porto dans les deux le service était excellent. Ce soir j’ai sommeil l’éclairage du parc en face est fermé. J’arrive pas à écrire des textes polémiques c’est que le quotidien banal.  Ai démarré le climatiseur pris une douche et je me suis parfumé ça fait du bien. Cette nuit la météo annonce du smog on va avoir de la difficulté à respirer. Je crois que j’ai des proches qui s’en vont en Floride ce week-end j’espère qu’ils vont bien s’amuser. Maintenant il est temps que je plonge dans mon senti émotivement c’est assez neutre, je suis ce matin un homme sans colère. J’essais de travailler ce que je vous écris, je sais pas si les bars sont ouvert j’avais l’habitude de boire à ces heures là vingt deux heure trente vingt trois heure, le bar devenait discothèque musicale populaire les foules arrivaient surtout des gars j’ai réalisé plus tard que ça devait être un bar homo de toute façon les femmes qui y étaient voulais rien savoir de moi. Hier j’ai regardé un épisode d’une série sur des agents d’immeuble de luxe à Paris, la seule pensée que j’ai eu c’est que c’est débiles que ça véhicule pas de bonnes valeurs. On y vois que du luxe et des gens qui se pavanent. J’ai jamais compris ce que ça voulait dire vendre, je connais le principe du flip dans l’immobilier mais je trouve pas ça très honnête même si des gens gagnent leurs vie comme ça. Je reviens toujours à la pièce de théâtre Glengarry Glenn Ross qui montre la cruauté de ce monde là. Les feux c’est un parfum de fin du monde. Je sais pas, j’ai jamais su comment vivre la méthode que j’utilise présentement est bonne, j’y arrive, j’y arrive ! Je me souviens toujours de ce qu’étais l’ivresse, encore une fois je reviens sur ce thème là. On peut pas passé des années à se détruire sans que ça laisse des marques. Je ne vois rien, je n’y vois plus, la nuit m’ennuie. Voilà j’ai presque terminé, quelques mots encore, c’est la fin, la chute, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

29/06/2023


mardi 27 juin 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Encore une journée, un jour à la fois, d’abstinence bientôt si Dieu le veux ça va faire trente ans. Je regrette aucune de mes journées de sobriété quand je vous en parle comme ça j’ai un peu peur de rechuter… Faut dire que boire pour moi c’étais me tuer à petit feu, grâce à mon abstinence j’ai pu faire de beau voyage sans parler de toutes mes obligations que je remplies. Parfois je regarde les itinérants dehors c’est là où je serais si j’avais pas arrêter où pire mort. Mes voyages c’est beaucoup mieux que de prendre un verre au bistro du coin. Je racontais que les gens qui rechutais c’est parce qu’ils restaient pas sobre assez longtemps pour faire la différence, moi l’ivresse ça m’intéresse plus on disait y’a rien de plus straight qu’un gars saoul. Boire c’est souvent être conforme à une certaine société, les apéros c’est pas pour moi, ça fait juste démarrer un besoin insatiable de là il faut pas prendre son premier verre. J’ai deux amis qui m’aident dans ce cheminement ça me permet de m’impliquer dans d’autre sphères de la société, la santé mentale par exemple. J’essaye d’aider, je suis bien conscient que j’ai un talon d’Achille mais à date j’y ai pas touché. Je pense à quelqu’un dans ma famille qui fait un beau cheminement bravo ! C’est important pour moi de pas dénier que je souffre d’une maladie mentale là aussi ça me permet de me rétablir et ce qui n’est pas peu dire je suis plus heureux. J’ai parfois des idées noires mais ça finis toujours par passé. La vie pour moi c’est un long voyage où je dois me concentrer sur les belles et bonnes choses, les belles et bonnes personnes. Je me cherche plus à tout les jours que le Bon Dieu fait je me trouve un peu plus c’est un long parcours où je me réalise un peu mieux. J’atteindrai jamais la perfection mais rien m’empêche de la viser. Même en voyage les gens respectent que je boive pas d’alcool, ils ne posent pas de question et j’ai pas besoin d’expliquer pourquoi j’ai vidé le mini-bar. Y’a aussi vous tous qui me lisez c’est du bonheur de vous savoir là. Voilà!!! Je termine c’est la chute l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

28/06/2023


lundi 26 juin 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! On oublie souvent qu’on est un pays de forêts ces jours ci la nature se charge de nous le rappeler avec les feux. J’ai lu quelques part que c’est un phénomène essentiel que ça regénère le bois. Avant l’homme y’avait des feux, je dirais, même si c’est pas aussi simple que la forêt se débarrasse de ses corps morts. J’espère quand même qu’il pleut dans le nord du Québec. Je pense que le regretté Serge Bouchard en aurait long à dire là-dessus. Les épinettes brûlent, je me souviens de la route entre Val-D’or et Chibougamau une aventure que nous avait fait vivre le patriarche, y’avait de la mouche noire là madame, elles vont quand même survivre à toute cette fumée on éteins et ça deviens humide un milieu pour les moustiques. La matriarche me rappelait que dans le temps pépère allait au feu avec un siau une chaudière faute d’équipement, tout le monde avait peur. Les épinettes noire sont le gagne pain de plusieurs, y’a pas si longtemps, une génération avant moi on travaillait dans le bois on bûchait… Ce soir c’est clair à Montréal la fumée est partie, on vois bien être dans un autre monde loin du bois, souvent sur la route y’avait des camions qui transportaient des billots de la pitoune pour le moulin. C’est la génération de mon père sa jeunesse, sur la route y’avait des panneaux pour avertir de pas jeter ses mégots de cigarettes, c’était assez pour embraser la forêt. Dans mon enfance j’ai vu plusieurs photos du temps où tout le monde travaillait dans le bois, la machinerie lourde existais pas c’étais la scie mécanique et les chevaux… Je me sent un peu coupable de pas participer à l’extinction des feux bien à l’abri dans ma vie de citadin. J’espère pour mon bro que ça va être possible pour lui d’aller à la pêche au mois d’août, les gens des pourvoiries passent par des temps difficiles. Je pense que mes parents quand ils allaient à la pêche sur la côte nord vivaient une sorte de mélancolie de la forêt, moi j’ai pas connus ça j’aurais bien aimé dans mon enfance aller au chalet mais c’étais pas ça, on couchait dans une tente. Ce soir le ciel semble s’éclaircir. C’est la fin, la chute l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  À la prochaine je l’espère !!!

27/05/2023


dimanche 25 juin 2023

 



Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je suis pas inspiré, il me semble que ma vie je vous l’ai tricoté et détricoté. Je vais vous placer une photo du festival d’art contemporain de Porto, l’animation était dans le parc pas très loin du centre en autobus.. Je raffole de ça quand l’art sors dehors. Les Portugais sont curieux, la ville est remplies d’œuvre sans parler des arabesques en fer forgé et des azulejos magnifiques créé par un seul homme  Jorge Colaço à la gare Sao Bento.. Porto m’a fait pensés par sa beauté à un livre enluminé. Ça va bien quand on descend vers le Douro mais quand on reviens c’est difficile. J’ai réussis à m’orienter dans les escaliers et les petites rues Voilà je vous parle encore de ce voyage j’en suis pas tout a fait revenus. J’ai lu un livre magnifique par un prix Nobel Portugais de littérature Jose Saramago, les intermittences de la mort que je vous encourage à le lire c’est sublime. Là bas j’étais tellement emballé j’étais loin de mon senti, de mes émotions je me contentais d’admirer en prenant un café americano sur une terrasse. Y’a les rues pavés enjolivé par des dessins, la ville, le centre est pas triste. Je réfléchis déjà à un prochain départ je ne sais où, l’Irlande? L’Écosse? La Grèce? Je sais pas l’amie agent de voyage m’a déjà parlé du sud de l’Inde on verras. Pour pas me perdre je marchais sur les mêmes rues avant de partir pour Lisbonne j’ai changé mon trajet, si on se fie au Douro on peux pas vraiment se perdre. Je m’en fait pas je regarde mes photos et je me dis que je vais encore voyager. À Dorval l’autobus sept cent quarante sept nous amène droit au métro Berri-UQAM plusieurs descendent avant d’arriver là le quartier a mauvaise réputation. J’ai passé le décalage horaire je me sent mieux la semaine passée j’ai fait une grosse crise d’angoisse… Ça sers a ça aussi le voyage voir où on en est dans notre rétablissement. Parfois je regrette de pas avoir donné de pourboire aux chauffeurs entre l’hôtel et l’aéroport ils sont honnêtes. La nuit est là, les vacances sont commencées pour plusieurs étudiants. Voilà! C’est la chute la conclusion l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

26/06/2023

 

 

 

 

 

 


samedi 24 juin 2023

 

Bonjour ! Bonsoir ! Voilà la fête est passée, je célèbre plus trop depuis que je suis devenue un ainé . J’espère qu’il va pleuvoir sur les feux de forêts du nord. Souvenir d’avoir travaillé bénévolement à une place du marché sur le terrain de l’hôtel des Milles-Îles qui des années avant avait brûlée. C’était avant les grands travaux de l’île des Moulins, à part la bière j’ai pas grand-chose a vous raconter, j’ai jamais vraiment eu de plaisir. Je m’étais bagarré avec un gars, je l’étouffais on nous avait séparé… Pour moi la Saint-Jean c’était ça la peur. Je pense à la chanson « le rock’n’roll pis moé ». Semble que cette année il va y avoir des feux d’artifices à Montréal, les gens vont envahir mon quartier. Je sais pas pourquoi je pense à mon dernier voyage en avion ma visite de deux villes Portugaises, Porto et Lisbonne. J’espère que ma nièce et son mari vont avoir du plaisir là-bas… Ce soir chez moi ça sent la friture… Je pense à un plat de Porto, la franceshina c’est très bourratif, la bacalhau aussi… J’ai pas pensé à manger du poulet rôti à la portugaise c’est très bon pour en avoir déjà mangé à Montréal. Y’a ce chef d’équipe , Salvador, avec qui je travaillais je crois qu’il étais portugais. Lentement je suis sortis du décalage horaire, aujourd’hui l’épicerie était fermée heureusement j’avais besoin de rien. Ouais! Ce dernier voyage je pense aux gentils gens que j’ai croisé, à la difficulté de trouver la billetterie du terminus d’autobus à Porto, même en autobus là-bas on a une place assignée. Je me fait vieux on me fait le tarif ainé un peu partout faut bien qu’il y ais des bons côtés à vieillir. Aujourd’hui c’est dimanche, c’est vraiment décousu ce que je vous écris… Je pense aux éditions Hache, Éditions Hache : littérature (editions-hache.com) mes premiers pas dans la littérature les réseaux sociaux. Vous pouvez toujours vous procurer mon livre Obsessions parisiennes en me contactant sur mon adresse courriel b.saulnier@sympatico.ca  je vous donnerai les détails. J’ai presque terminé pour ce soir, j’espère que ça vous a plu, voilà c’est l’épilogue la chute comme d’habitude je vous remercie d’avoir lu jusque-là . Continuez on y arrive à la conclusion j’étire la sauce rien de bien original. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!!

25/06/2023

 

 


 

Bonjour ! Bonsoir ! C’est officiellement la Saint-Jean-Baptiste plusieurs vont en profiter pour se saouler c’est dans ce genre de fête que pour la première fois j’ai rencontré des étrangers méchants. J’avais eu peur d’eux c’étais sur la montagne. Aujourd’hui ça va fêter dans différents quartiers de la ville. J’aimerais vous dire comment je me sent, la fête nationale c’est encore une fête de beauf sans pays sans patrie on regarde et on écoute les autres chanter, j’aime pas la dynamique un show un stage et un public. Je préférerais qu’on mange tous ensemble et qu’on échange qu’on fasse connaissance. J’ai toujours eu de la difficulté a vivre cette fête là seul sans copine j’y arrivais pas ça me peinait beaucoup le célibat tout occupé à la fête l’été commençait dans la solitude des foules, seul au milieu de milliers. À tout les ans ça se répétais je plaçais mes espoirs de rencontre féminine dans cette fête ça arrivais jamais. Y’a pas pire solitude que dans une foule y’en a qui en profitais pour se produire en chanson. Voilà moi aussi je me saoulais pour pas vivre Baptiste sans compagnie. Je les trouvais toute belles toute fines mais j’arrivais pas à me rapprocher. C’étais un peu ça la schizophrénie la recherche de l’âme sœur et aller voir ailleurs si j’y étais. Allez pas croire je suis pas toujours resté seul avec l’âge est venue une espèce de maturité et les rencontres étaient plus faciles. Aujourd’hui je suis seul et ça me fait pas mal je détestais quand elles étaient deux à s’asseoir à ma table à la brasserie, fallait que je choisisse j’y arrivais pas. Je savais vraiment pas comment m’y prendre comment avoir des relations sexuelles j’étais toujours trop saoul pour comprendre quelque chose je préférais les guitares électriques. Hier ils ont fêté à Québec comme le veut la tradition, pas de feu ces jours ci c’est trop dangereux. Je suis seul, je m’en fait pas, je m’en fait plus c’est mieux pour tout le monde et je suis maintenant plus âgés . Je vous souhaite quand même une heureuse fête nationale profitez en pour jeter votre ligne à l’eau si c’est possible, restez libre et ne vous énervez pas l’été commence. Voilà c’est la chute l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

24/06/2023


jeudi 22 juin 2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est la Saint-Jean-Baptiste la fête nationale je me rappelle jamais si c’est le vingt trois où le vingt quatre mais je sais qu’aujourd’hui c’est férié. Le patriarche s’organisait toujours un voyage de pêche aux Escoumins sur le Côte Nord. Je sais qu’aujourd’hui ce serait difficile à cause des feux de forêts. Il pêchait de la petite truite mouchetée parfois la matriarche m’invitait pour en manger. Pour mois cette fête c’était bien souvent une saoulerie, j’ai jamais été un grand fan après les référendums perdus je trouvais qu’il n’y avait plus de raison de fêter on s’était refusé le droit d’être un peuple et aujourd’hui je crois qu’il est trop tard. Je suis pas un fan des grands rassemblements… On a pas le droit de faire des feux, mon neveu Éric en faisait de superbe, j’ai toujours aimé être assis en gang autour d’un feu, on discutais se racontais des histoires c’est ce qui me manque le plus. J’aimais bien le camping, le soir venus avoir la patience de faire un feu c’est plus possible… Les scouts faisait ça souvent j’en ai jamais fait partis. Dans mon enfance on faisait du camping en famille et le soir pour nous rassurer le patriarche faisait souvent un feu, le lendemain matin on aimait bien se faire des toasts sur la braise. Parfois s’étais difficile d’allumer le petit bois était humide, voilà une chose que j’ai appris en camping. Pour moi cette fête rimait souvent avec le bois, la campagne. J’aimais bien nourrir le feu avec une où deux bûches c’était un moment de recueillement, la lumière que ça faisait, on coupait l’humidité avant d’aller se coucher dans la tente, on dormais dans nos sleeping bags directement sur le sol, on entendait le feu crépiter, avant de se coucher on éteignait bien le feu en l’arrosant d’eau. Le feu c’était aussi les classiques guimauves, les mashmalows et parfois quand on était chanceux les saucisses hot-dogs. J’aimais bien écouter les adultes se raconter des histoires, la noirceur venait tard on se couchait plus tard. La fumée chassait les moustiques y’en avait beaucoup dans l’humidité, y’avait aussi l’agréable odeur du sapinage qui brûle. Aujourd’hui y’a plus rien de tout ça qui est possible mais ça reviendras, ça reviendras… Voilà c’est l’épilogue, la chute comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

23/06/2023