Bonsoir! Bonjour! Il fait froid on s’en aperçois quand on
monte dans des voitures qui sont pas toute neuves. Dans le nord ils ont commencé
a faire de la motoneige, une activité que j’ai jamais faite. J’essaye d’accorder
poésie et motoneige, ski-doo qu’on disait ski-doo doux, doux, doux… Les
snowbirds ont acheté leur roulotte, j’ai vu des photos c’est beau et luxueux.
Ils pourront pas s’en servir cette année le terrain est en réparation. Hier j’ai
marché un peu dans le métro ça va mais dehors c’est difficile, j’y suis quand
même arrivé. Dis moi poésie quand seras tu là ? Les lecteurs semblent te lire
mais moi je te vois pas, c’est toujours une histoire émotive un état sensible
presque douloureux a l’écoute de soi, du bourdonnement des mots. Dans mon âme
ça sonne creux comme si j’étais aride de sentiment, y’a toute ces belles qui me
lisent j’aime à le croire… Une chose que je comprend pas c’est qu’on veux
toujours m’apprendre a écrire comme si je savais pas je crois qu’ils veulent
que j’écrive ce qu’ils veulent entendre pas d’audace juste du convenus voilà l’utilité
et la liberté du blog. La forme, le format ils diront ce qu’ils voudront. Il
est trois heure du matin, un voisin cogne aux portes je crois qu’il cherche du weed.
Parfois je pense que la seule façon
honorable de mourir c’est le hara-kiri, le seppuku. Voilà! C’est recommencé
cette nuit semble qu’il y a quelqu’un qui casse des vitres… Le voisin est venus
parler à la ligne d’urgence, il est à bout de souffle., il me parle d’indien de
noir je les connais pas. La police est là, ça commence a faire deux fins de
semaine en file ! Heureusement je dors pas, y’en a un qui semble avoir décidé
de défoncé. Moi je veux juste être tranquille, en paix… Et si toute cette
histoire était inventée, si c’étais le voisin qui était en cause, ils vont dire
que je suis une langue sale. J’essais de ma rappeler quoi faire pour mon rétablissement
dans ces moments de crise. Je reste chez moi, quelques mots encore, les
nouveaux voisins sont turbulent c’est la nuit de samedi à dimanche rien de très
intérieur dans ce texte. J’ai sommeil, l’édifice semble revenus au calme. Je
vous écris la même chute comme à l’habitude, merci d’avoir lu jusque-là !!! À
la prochaine je l’espère !!!
08/01/2023