mercredi 3 mars 2021

Jeux

 



Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir j’ai regardé le match en reprise l’équipe locale a gagné. J’essais d’apprendre un texte par cœur c’est difficile… Il neige un peu. Il est minuit vingt j’écoute mon âme et sa danse émotive sa position sentimentale. Pas de poème cette nuit les muses sont pas là, comment écrire que ça fait combien de vidéos que je tourne depuis des années celui là ce seras par nécessité à cause de l’impossibilité de jouer raison de covid-19. D’habitude on joue au théâtre … Hier matin au Québec la barre du Corona virus était en bas des sept cent c’est bon signe. C’est toujours mon journal du confinement, je reste toujours avec le sentiment que les choses se répètent que je les ai déjà joué, déjà vue, ça m’ennuie, ça me dérange … J’ai sommeil, souvenir de ce psychiatre qui était tout admiratif du travail que les communautés religieuses faisaient dans le passé, la ville de Gamelin en était un exemple maintenant avec l’aide sociale on hospitalise plus. Ça devait être difficile de dormir dans des dortoirs de vivre dans cette communauté, les plus chanceux y travaillaient je crois. Parfois y’avait de longues marches à faire pour un rendez-vous… On ne s’évadait pas c’était le lieu de vie. J’essais d’imaginer ce qu’aurais été ma vie là surement sèche sans substance sans alcool tout les jours à me dire que je ne suis pas fou… J’aurais peut être croisé Émile. Je sais pas si une sortie aurais été possible ? J’aurais pu vivre comme un hobo jumpant des trains pour vivre où je pourrais travailler dans le pays, faire les récoltes là où c’étais nécessaire. Aujourd’hui j’écris je sais que pour certains je suis devenus fou mais écrire maintenant c’est ma survie, parfois je croise de vrais artistes moi je suis toujours dans l’ombre dans une sorte d’underground. Longtemps la psychose m’a dictée ce que je devais faire ma tête bouillonnait j’appelais le neuf un un pour qu’on me soigne j’étais inconscient que la dope et l’alcool m’amenaient là … Parfois je frôlais la mort, c’est y’a longtemps dans une maison de chambres une maison de fous… Je sais on ne guéris pas d’une maladie mentale encore aujourd’hui parfois je me sent persécuté victime d’un complot, j’ai peur, la paranoïa est très réelle. J’ai bien conscience de vous avoir déjà écris ça ailleurs. Aujourd’hui y’a des refuges pour itinérants plusieurs ne veulent pas admettre qu’ils souffrent d’une maladie mentale. Je vais essayer de terminer en vous livrant mon monde intérieur, ma psychose ma névrose que parfois je perd dans la prière. Je ne vois plus rien je ne vois plus quoi m’emporte dans la douleur mais oui j’ai peur. Je préfère mes murs aux murmures de la folie, avant ils disaient que j’étais pur j’ai jamais compris pourquoi. Voilà! N’abandonnez pas c’est presque terminé c’est l’épilogue . Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore, à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Ber

lundi 1 mars 2021

Hors

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je sais pas si y’avait des insomniaques qui m’attendaient cette nuit mais me voilà ! Je pense aux enfants de la super maman de Cantley, j’espère qu’ils s’amusent bien. Y’a aussi ceux de la maman photographe de premier jours. Je sais pas si le gars a recommencé à jouer au hockey mais je suis comme lui j’ai hâte, C’est toujours le journal du confinement, je pourrais écrire de l’isolement, écrire ça aide à tenir le coup à faire passé la tristesse, la douleur qui reste quand on a cru être complètement rétablis de la schizophrénie.  Souvent je lis des textes immenses, allusifs quand à la maladie, on fait tout on tourne autour sans la nommer quand ce serais essentiel … Cette nuit la poésie attend pendant que je vire au vent comme le naviguant dans la tempête, le bateau qui vogue sur les moutons blanc maritimes … Je vais essayer d’être sentimental puisque je me tourne vers mon senti c’est pas facile je vais être prosaïque, hier je suis allé chez le voisin pour l’aider à débloquer sa cuvette, j’ai pas réussis, je crois que l’ouvrier y est allé et à débloquer avec ce que j’appelle un « phish » il a réussis … Je sais pas comment ça vas être après la semaine de relâche, j’espère que tout le monde va bien se porter. Je crois que la vaccination va nous aider, Y’a toujours cette voix qui bouscule qui veux que je choisisse les mots, écrire ça calme tout ça, le babillage s’éteins se calme pourtant je veux pas écrire n’importe quoi. Je me répète je veux juste donner un nom littéraire à ma souffrance malheureusement je suis pas de ces poètes à la précision chirurgicale, nommer les choses les écrire c’est important. Le grand Général De Gaulle avait écris son appel il connaissait le pouvoir des mots. Avec la pandémie on auras tous vécu notre moment d’histoire c’est beaucoup pour ça que je tiens mon journal je veux qu’on se rappelle. Les camions passent et épandent du sel des îles de la Madeleine , çe seras moins glissant, moins coulant comme ils disent au Lac-Saint-Jean … Pour le théâtre du Nouveau Monde on approche du tournage, j’ai réussis à mémoriser une partie de mon texte c’est pas facile. Je pense à cette allemande rencontré y’a un moment, elle aime bien les hommes costauds et virils les poètes très peu pour elle. Voilà! C’est presque finis pour cette nuit, la chute toujours difficile j’ai toujours le sentiment de vous avoir tout dis, c’est pas simple … Les camions qui passent devant chez moi sont très bruyant. J’essais de connecter mon âme avec ma tête c’est de la vie ça s’en approche. J’essais de voir ce qui me stimule pour le moment à la fin comme ça c’est diminué. J’ai terminé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Lâchez pas vous y êtes arrivé. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


Hello


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ouais! Je vous avais presque oublié, Je suis somnambule ça me fait un peu peur. Je me suis couché tôt. Samedi matin j’étais dehors et y’avait des toxicomanes qui réglaient leurs affaires de speed dehors. Encore et toujours ce même propos comme si ils ne se passait que çà dehors y’a aussi tout ceux qui négocient le journal des itinérants ça pas l’air clean clean tout ça, J’ai la toune Midnight Rider des Allman brothers dans la tête. Je croyais que la nuit était plus avancée. C’est toujours mon journal du confinement. Hier j’ai écouté l’émission La Grande Librairie et j’ai lu les chroniques littérature dans LaPresse+ j’ai pris des notes pour mes prochaines lectures. On dirais que vingt quatre heures c’est pas assez. J’essaye d’apprendre mon texte pour le Théâtre du Nouveau Monde c’est difficile … Y’a des gens dehors malgré le couvre feu, c’est lundi ce matin j’ai une rencontre zoom, je raconte toujours la même chose, en tout cas ! J’ai beaucoup de difficulté à vous décrire mon monde intérieur. Je cherche une façon différente tout ce qui me viens c’est la peur l’angoisse l’anxiété rajoutés y la mélancolie la neurasthénie et allons y pourquoi pas avec la schizophrénie, j’écris la même chose j’ai pas de nouveau propos… Je pense à la ville du premier film Blade Runner dehors ça me fait pensés à ça … Je crois que je vais être vacciner bientôt, le médecin m’a pas téléphoné pour les résultats des prélèvements j’en déduis donc qu’il y a rien de grave. Ce texte là passeras pas à l’histoire comme beaucoup d’autre d’ailleurs. Y’a que moi pour dire que c’est de la littérature … En plus du journal je lis L’OBS et un roman je me répète c’est comme si j’avais pas le temps. Faut que je me mette dans la tête que même si je réussis pas y’auras pas mort d’homme c’est pas grave. Pourquoi toujours chercher à dire surtout que c’est une vieille histoire, je sais pas trop si c’est de l’auto-fiction je comprends pas pourtant je l’écris. Cette entreprise de décrire mon senti semble bien futile, comme si j’écrivais pour la beauté de la chose voilà Narcisse… Ouais! C’est le ballet des camions dans le goulag occidental, on se pose là avec l’hiver, je pense aux itinérants à ceux qui se sentent persécuté dans un refuge … Ce matin je vais aller au super-marché faire quelques achats. Je suis pas très bon pour écrire les malaises surtout quand je les crois causé par les autres. En ce moment j’écris pas comme moi c’est un autre qui écris et c’est mauvais … Finalement j’espère que vous aimez ça que je vous donne le désir de lire où d’écrire mieux que moi … Je sais pas trop comment terminer je suis pas très inspiré, tout à coup y’a un parfum de soupe aux légumes voilà ça y est ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine !!!

Bernard

 

samedi 27 février 2021

Tollé


 

Bonsoir! Bonjour! La télé est sur le match de l’équipe locale, y’a pas eu de tollé de protestation suite au renvoi du coach. Je pense à la médiatrice culturelle je crois que j’ai fait où écris quelque chose qui lui a pas plut, c’est pas grave je continus … Ce soir j’ai pas envie d’être désagréable, j’écris ça et ça me coupe le sifflet… C’est toujours mon journal de confinement ce matin je suis sortis pour acheter le magazine L’OBS, il était disponible au bureau de poste mais le numéro de la semaine précédente je l’avais déjà. Je suis allé l’acheter chez le marchand de journaux du plateau. J’essais de me concentrer pour apprendre mon texte en mars ce seras le tournage… Parfois je lis des textes nourris par le ressentiment c’est inutile. Mon écriture est toujours pareille je manque de mots j’ai beau lire je suis sans voix. J’envisage d’arrêter ces écrits à quoi bon contribuer au délire général de la pandémie. Je sais pas ce que ce serais si j’écrivais à ma belle ma douce ma tendre pas grand-chose elle n’existe pas, la schizophrénie veut souvent aussi dire schizo-affectif en fait ça pourrais s’intituler journal d’un grand malaise. Comment vous dire mon désarroi ma solitude mes malheureuses façons de faire. Ce matin métro Mont-Royal y’avait une jolie comédienne désemparée, je lui ai pas parlé… Hier j’ai été touché, j’étais en larmes, par les mots d’un comédien … Ce soir je continus ce « chemin ». J’ai pas de prétention thérapeutique pour personne d’autre que moi, j’essaye d’être holistique … Souvenir d’une liste d’adresse y’a quarante ans des lieux thérapeutiques au décor macramé, j’avais peur des sectes je me souviens qu’on me faisait attendre, j’ai préféré souffrir pas question d’ashram pour moi. Je suis paralysé … Quand je parlais de solitude on semblait pas comprendre qu’elle était toute intérieure et hallucinée. Tout à coup y’a une odeur de tabac à pipe, je crois que c’est mon eau de toilette qui d’une fois à l’autre se transforme, mais oui j’ai pris une douche ce soir ça m’a fait du bien. Je sais l’hygiène c’est pas très littéraire. Bon! Disgression l’équipe locale a encore perdue le match  ce soir. J’ai toujours l’idée que mélancolique et même neurasthénique on écris bien … Je me vois dans une vie antérieure dans un mauvais bar essayant d’écrire mais ne faire que des gribouillages incompréhensibles. Heureusement je me suis rétablis mes cahiers sont pleins de toute façon c’est bon qu’à y mettre le feu pour paraphraser le « ils ne demandaient qu’a brûler » du grand Gérald Godin. Pas de danger que je me serais intéressé à un métier comme tout le monde ce qui m’intéressait c’étais les livres, la poésie les auteurs toutes choses pour crever de faim. Je souhaite bonne nuit à tous les lecteurs lectrices nocturne. Quelques mots encore c’est l’épilogue la conclusion … Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard

vendredi 26 février 2021

Ce qui passe

 


Bonsoir ! Bonjour ! Je vous écris de tôt dans la nuit, j’essais de trouver un propos décent  c’est toujours mon journal du confinement. Dehors y’a un gars qui respecte pas le couvre feu. Je suis un peu tanné de vous écrire sur le monde de la dèche, Je pense au travail d’écriture du petit cousin comment je lui arrive pas à la cheville. La schizophrénie me permet pas d’osciller entre des hauts et des bas quand à la famille j’arrive pas à vous écrire décemment, c’est loin j’arrive pas à comment elle a contribué à me rendre fou. Faut que j’apprenne mon monologue écrire le caractère de mon personnage., Si j’étais un bon écrivain ça se saurais. Je me prépare un café j’aimerais beaucoup vous écrire avec délicatesse sur ma famille mais c’est tellement loin tout ça parfois j’ai des difficultés de communication avec la matriarche. Tout ces petits bruits dans la nuit me font pensée aux bandes son des films documentaires de l’Office National du Film des années soixante dix. Suffit pas de dire que je dois mettre de l’amour dans ce que j’écris juste le suggérer c’est plus puissant… J’ai choisis de vous écrire ce blog quotidiennement j’essais de pas trop me répéter. Je sais pas si c’est possible d’écrire une émotion sans trop s’y identifier et de la faire vivre au lecteur. Je dirais là est le défi.  Le petit cousin est fort sur le monde intérieur, je pense à Proulx …  On  répète les monologues, le trac c’est une chose mais le comédien invité nous a signalé que même si on se plantais il y aurais pas mort d’homme. Ce que je comprends c’est qu’il faut jouer comme si c’étais la dernière fois qu’il n’y aurais plus d’après… Aujourd’hui j’ai presque abandonné pourtant … Semble que notre bon gouvernement vas émettre un passeport vaccination, on va attendre un peu et partir en voyage. Je me donne encore un an … Je raconte aux amis comment je suis fasciné par la France comment j’ai hâte d’y retourner… On a eu les dates de tournage c’est bientôt en mars. Parfois quand je « travaille » avec les amis j’ai un immense sentiment de solitude, heureusement je suis plus gêné par ce qu’ils vont dire ça leurs appartiens … On m’a vendu l’idée que je suis un écrivain maintenant il faut que je livre la marchandise. Je crois que ce matin je vais acheter L’OBS. Monologues Théâtre du Nouveau Monde, atelier Recovery College, présentation aux employés du CIUSSS de l’est de l’île de Montréal, rencontre Reprendre Pouvoir voilà ce qui remplis mes semaines …  Bon! Je cherche une façon de terminer qui est solide, la difficulté c’est toujours de trouver le bon mot, c’est le dernier pour aujourd’hui. J’avance à taton sur le clavier, il est tard j’ai peur des fantômes. C’est pas fort, niaiseries pour remplir quand même comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard


jeudi 25 février 2021

Luminosité



 

Bonsoir ! Bonjour ! Journée occupée, j’ai pas terminé la réunion de la communauté de pratique Recovery College, Centre d’apprentissage santé et rétablissement … Dehors y’a une magnifique luminosité, la lumière rebondis sur la neige … Ils vont commencer le vaccin à grande échelle disont que l’âge prime sur la beauté. Encore une fois c’est mon journal du confinement. Ils parlent d’un passeport vaccin mais ils savent pas quand faut lui laisser le temps de travailler. J’ai la tête dans les nuages je pense aux avions, j’ai un texte à apprendre par cœur c’est difficile … J’espère que l’entrevue à Radio-Canada était bonne. J’ai pas à m’auto-dénigrer je fait de mon mieux … L’état d’esprit encore faut il croire en une forme de spiritualité peut être que je mêle les affaires avec la foi … Ce week-end je vais peut-être aller à la librairie, j’hésite faut réduire nos déplacements au minimum, ils appellent ça la distanciation. Je sais pas si au printemps on seras débarrassé de la Covid-19, j’aimerais bien. Je cherche, je fouille dans mon monde intérieur pour y trouver les mots de la douleur, les mots de la solitude qui m’accompagne mais que je préfère à la présence de pauvres bougres bandits décadents qui en cette fin de mois cherchent des dollars pour nourrir leurs habitudes. Parfois je reviens à ça  le comédien parlais de parrain alcoolique qu’on en avait tous un . Cette semaine quelqu’un est passé chez moi et m’a dis que j’avais de belles toiles sur les murs, j’ai dis merci …  C’est jeudi pour plusieurs c’est le jour de la paye en revenant du boulot ils vont s’arrêter à la Société des Alcools du Québec d’autre vont arrêter à la Société du Cannabis du Québec de toutes façons ils vont se geler. Je reste chez moi. Dans le moment je suis dans le silence avec toujours la même difficulté à dire mon senti où celui de l’autre. J’y vais pas avec la colère c’est pas nécessaire ce serais plus la jalousie, la déception de ne pas être un grand écrivain au vocabulaire sans fin. Je pense aux écrivains qui n’ont plus de quartier latin, qui écrivent dans le confinement impuissant. Les histoires sont souvent les mêmes servie à une autre sauce, ces jours ci c’est l’inceste dans le monde des lettres francophones, y’a toujours quelques choses de dégueulasse de monstrueux à briser l’innocence d’un enfant. Déjà adolescent je m’étais laissé épater par le grill de l’hôtel des Milles-Îles… Parfois j’étais trop idiot pour réaliser qu’on voulait ma peau. Je prenais une grosse Mol devant le scopitone. Y’a des moments où je me suis fait assommer encore c’étais pas assez pour que je lève les pîeds. C’est loin tout ça je retournerai jamais là. Je vous parle pas des gars de Saint-François … J’y reviendrai peut-être c’étais la pègre. Voilà ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Ciao !!!

Bernard

mercredi 24 février 2021

Social


 

 Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il neige, c’est toujours mon journal du confinement. Je sais pas comment traduire cluster, une éclosion ? J’ai terminé la lecture de L’OBS de la semaine, différents auteurs y sont allés de textes sur Flaubert c’est intéressant, le style, la forme, le fond, j’écris sans trop me casser la tête avec tout ça … À l’époque en même temps que je suivais le football américain je lisait Flaubert et Stendhal, j’ai un bref souvenir de Julien Saurel… J’étais trop jeune pour maintenant avoir un souvenir de Madame Bovary je devrais relire …  C’étais les lectures du secondaire de ma lectrice privilégiée. Le Rouge et le Noir j’ai lu ça avant de m’enfoncer dans la maladie, j’avais une voiture je faisait faire ma lessive par la matriarche. Ça fait longtemps tout ça … Tout est blanc demain je serai pas mal occupé. Je réalise que les journées sont courtes entre le ménage la lecture l’écriture et la télé parfois j’écoute la radio. J’y vais comme souvent quand je sais pas m’y prendre avec mon senti, je pense à l’ami décédé qui avait passé beaucoup de temps à l’institut légal Louis-Philippe Pinel, il a pas vraiment eu le temps de vivre sa vie. Après la pandémie quand ce seras terminé j’aimerais bien qu’on reprenne les rencontres dans le cadre des bibliothèques vivantes. L’émotion c’est simple à écrire mais si difficile à faire vivre, on reste seul avec ses souvenirs où aucun lecteur se reconnait, aujourd’hui ce qui va marquer la journée c’est le congédiement des entraineurs de l’équipe de hockey locale, on étais pas partis pour la coupe. J’aimerais beaucoup que vous vous reconnaissiez dans mon senti des émotions fugaces sinon furieuses où presque fugueuses. Je sais les grands auteurs aiment pas qu’on s’amuse avec les mots comme ça. Je croyais pas qu’il neigerais beaucoup … Je sais pas pourquoi j’ai souvenir de la très belle pièce Un carré de ciel, inspiré de l’œuvre du grand docteur Ferron et joué magistralement par monsieur Robert Lalonde. J’aime le théâtre et c’est une pièce qui m’a marqué. Tout à coup je pense aux amis disparus avec qui j’ai passé du bon temps à discuter ils étaient intéressants « Que sont mes amis devenus que j’avais de si près tenus et tant aimé » des souvenirs qui aident à passé la solitude du présent. Je sais plus quoi vous raconter, j’aime bien discuter littérature mais les amis ne lisent pas, c’est un peu pour ça que je vous écris pour pas que ça reste en moi. Lentement j’arrive à la conclusion, j’ai envoyé le texte précédent à LaPresse+ je serais étonné que ce sois publié … J’espère que vous trouvez ça intéressant, je sais ce ne sont que des mots mais je trouve ça important. Voilà c’est l’épilogue la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!  Abandonnez pas tout de suite ce sont les salutations d’usage !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

Bernard