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Bonsoir!
Bonjour! Je viens de me réveiller, j’ai des démangeaisons dans les oreilles. Me
reste que deux émissions de Lacasa de papel
à regarder c’est très prenant. J’en
pleure… Hier j’ai reçu un avis de détermination de l’impôt… J’attends toujours
un autre courrier, les informations personnelles c’est pas très poétique… Je
vous écris et après je termine le visionnement c’est assez sanglant comme série
c’est peut être ça que la lectrice qui m’a suggéré a pas aimé… J’aime bien les
histoires à la Don Quichotte, je pense à Cervantès c’est très espagnol… N’empêche
parfois aussi je bâtis des châteaux en Espagne comme le veut l’expression, j’ai laissé Sancho Pancha chez lui je préfère
écrire sans écuyer… Pour moi l’envahisseur c’est la voisine qui ne cesse pas
ses passages sur la passerelle. Aujourd’hui je ne sors pas je baisse pas la
garde, je lâcherai que le virus à terre… C’est toujours le journal de
confinement, hier on m’a commandé un texte sur les pairs-aidant ce que je ne
suis pas encore une fois j’ai pas fait attention je crois avoir blessé le
directeur de la ligne d’écoute… Je vais essayer de trouver un angle sous lequel
abordé ça… Je suis toujours étonné de voir comment on se connait et reconnait
par nos souffrances, je peux pas te dire grand-chose si t’a pas souffert même
le mot tu en ris tu trouves ça rigolo. Je te le souhaite pas mais en
vieillissant tu vas ressentir… La nuit on entend souvent les voitures passées
avec de la musique… Hier on a eu une réunion virtuelle du groupe d’entraide c’était
bien… Je suis triste l’intervenante nous quitte bientôt, elle s’en va chez elle
en France, je l’aimais bien nos échanges
étaient riche. Elle je crois, me comprenais, beaucoup d’écoute de sa part… Je
reviens à ces châteaux en Espagne que je bâtis avec toutes mes illusions… Je
vous illustre ça avec la statut d’un roi d’Espagne je sais plus lequel, les
espagnols ont beaucoup souffert de la Covid-19… Voilà un bel anachronisme… Je
sais pas si vous l’avez remarqué j’aime bien les vieux pays, les villes les
rues et les places pleines d’histoire. Je vais y retourner le plus tôt
possible, le voyage et les aéroports les avions j’adore ça… Je me répète c’est
difficile de tirer du nouveau du confinement, le climatiseur est arrêté, j’attends
que les frontières soient ouvertes et je rêve. Parfois je me promène et y’a des
parfums d’Europe, j’adore ça y’a plein de souvenirs qui me reviennent
malheureusement les avions ne décollent plus ils sont cloués au sol… Je sais
que Boeing a repris la production du 737 Max, ils ont réglé les problèmes… Y’a
plus que quelques vols on se demande quand les frontières vont ouvrir… Voilà!
Ça ressemble à ça pour aujourd’hui, je rêve toujours du prochain départ en attendant
je vous écris et je regarde la télévision. Comme toujours je vous remercie d’avoir
lu jusque-là!!! Quelques mots encore à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! C’est la soirée de dimanche à lundi. J’espère ne pas avoir perdus de
lecteur. J’ai souvenir des kiosques dans le parc des Braves à Terrebonne parc
qu’on appelait des canards… J’allais niaiser là, jouer aux hippies j’y ai pas
fait de grandes rencontres, je jouais de l’harmonica accompagné par un copain à
la guitare… J’aimais bien le printemps on pouvait y rester plus longtemps les
soirées étaient moins fraiches… Je crois que pendant ce temps-là mon lecteur
technicien à la Rolls-Royce pêchait dans la rivière de Mille-Îles… Un jour j’ai
vieillis les amis sont disparus, j’étais seul sous le vieil érable dans le
parc… Les gars qui étaient sérieux travaillaient où étudiaient pendant que moi
je glandais, j’étais ce qu’on appelle en
anglais « a wreck » une épave, la maladie débutait… De mes frères et
sœurs personne ne me suivait et c’est tant mieux, quand j’ai été un peu plus
vieux j’ai déménagé mes affaires à la taverne du Central… Comment vous dire
qu’habiter chez mon père me rassurait ça a quand même pas empêché la folie de
m’apostropher, j’avais plus, je me demande même si j’en ai déjà eu, d’ambition…
J’ai maintenant soixante-trois ans, j’essais de rappeler des souvenirs des
roulottes dans l’île des Moulins pas
rénovées… C’est loin ça fait plus de quarante ans, à l’époque le
Vieux-Terrebonne était pas ce qu’il est aujourd’hui. J’ y met plus les pieds ça
me fait trop mal, remplis de mauvais souvenirs… Le regretté patriarche et la
matriarche y ont longtemps habité dans un condo parfois je leurs rendais une
courte visite… Y’avait la gang qui consommait, on se connaissait plus ou moins
moi j’étais dans la dope, valait mieux pas me suivre… Parfois je me demande si
mon désir de mourir récurrent viens de là où si c’est tout simplement de n’être
arrivés à rien… Si je regarde ça de loin écrire c’est ce que j’ai toujours
voulus faire. Plus jeune les copains m’invitaient dans leurs partys mais le
plaisir durait pas j’étais toujours le premier saoul mort… Un jour j’en aurai
assez, je mettrai fin à tout ça, ça seras pas plus mal… Il est plus question de
s’amuser, pourtant le prof a dit qu’un poète raté ça n’existe pas, voilà mon
métier… Les débits de boisson sont tous fermés, à la télé on voit les
propriétaires. J’ai jamais trouvé ça vertueux de vendre de l’alcool, l’univers
nocturne… Ce matin j’aimerais beaucoup recevoir du courrier, j’ai de la lecture
a acheté… Le climatiseur s’est arrêté en ce moment je me sens tout petit devant
mon écran… Quelques mots encore, les snowbirds ont bien montré qu’il était possible
de faire une belle vie loin de Terrebonne. Moi je suis présentement dans le
cœur de la couronne et j’y arrive… Ouais! Je cherche une conclusion décente, je
veux essayer de finir d’une façon plaisante. Comme toujours je vous remercie
d’avoir lu jusque-là!!! Arrêter pas là!!! À la prochaine je l’espère!!! Dites
le si ça vous a plu.
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Je suis écrivain je joue pas la comédie, j’espère qu’après une
lecture intense vous allez vivre des émotions, ne reste plus qu’à rédiger…
Souvenir familial, j’aimais bien vivre avec mes frères et sœurs… J’ai jamais
compris pourquoi du côté du travail j’y suis pas arrivé, quand je faisais un
boulot je me voyais condamné jusqu’à la fin des temps, seul à mort avec le
balai et la serpillière j’avais mal d’une
douleur toute intérieure. J’arrivais pas à faire du sens tout à la solitude du
boulot… Je pense aux amis itinérants qui entreposent leurs meubles et prennent
d’assaut la rue… Je cherche le bonheur, y’a plus aucun endroit où on peut aller
entendre des musiciens « live ». Y’a le centre d’apprentissage santé
et rétablissement, le type qui sur Zoom me tire la langue, je les entends tous
volubile qui essaient d’inventer un langage du rétablissement, peut-être que je
me trompe qu’il s’agit seulement de présenter une formation à des formateurs.
Pour moi c’est pas clair… Tout passe par le langage que nous devons avoir
commun, langage qui nous permet l’identification… Je comprends ne pas pouvoir
faire ce que je fais ici, exprimer ma douleur mais je crois que même dans un
processus de rétablissement la douleur peut être présente. C’est une des
raisons qui fait que je songe à abandonner le recovery college, l’interdiction
d’exprimer clairement, l’expérientiel, la douleur dans le moment présent qui
fait de la souffrance un savoir académique. Je sais vraiment pas si c’est bon
pour moi tout ce babil… J’essais de comprendre si un savoir émotif est
envisageable… C’est mon senti, j’essais de me rétablir avec des moyens simples,
je crois que je vais prendre une pause de tout ça, je chemine avec mon
expérience et je préfère les groupes où les gens peuvent exprimer leurs
douleurs. Je m’égare peut-être un peu mais je crois que certaines personnes
attendent une rémunération, c’est légitime mais je crois que ça va se faire
quand on auras mis sur pied les ateliers en présentiel… Ce soir je suis chez
moi après avoir vécu plusieurs samedi d’alcool solitaire, je regrette pas ce
temps d’immense solitude au bar… Je vais me permettre la douleur cette nuit, l’expression
brute du mal… J’essais de figurer combien de gens sont plus où moins touché par
la maladie mentale, moi c’est directement je souffre de schizophrénie, je reste
conscient que même dans le centre de rétablissement en santé mentale plusieurs
là aussi veulent pas l’entendre… Je vais terminer avec mon senti momentané, il
est toujours question des profondeurs de la douleur, à dessein j’utilise pas le
mot normal parce que c’est relatif pour moi ça n’existe pas… Le climatiseur
viens de s’arrêter… Je sais plus comment m’exprimer. Quelques mots encore pour
ceux qui savent, c’est pas une très jolie phrase, pardonnez moi. Dimanche déjà,
conclusion épilogue je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! Mais oui c’est finis pour cette nuit. À la prochaine je l’espère!!!
Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Samedi, je vais regarder la télé. Je ressent pas cette tension qui
souvent m’amène à écrire m’inspire… J’aime beaucoup TV5 les émissions que je
regarde sont pas entrecoupées de publicités. Bientôt y’auras des heureux dans
quelques jours les restaurants et les bars vont ouvrir pour les discothèques je
sais pas, je pense à la distanciation sur les pistes de danse, dans mon temps y’en
avait pas, on se touchais et les liquides corporel nous imprégnaient aujourd’hui
c’est le genre d’endroit que la Covid-19 apprécieraient…. Je sais pas pourquoi ,
je pense à la toune Stone cold fever https://www.youtube.com/watch?v=Xg4J8CX4xFo
et à l’obscur groupe Humble Pie… J’arrive plus tôt avec la douche et le parfum…
Hier je pensais à cette trop courte conversation avec mon voisin kabyle dans le très grande vitesse
pour Lille, il était très sympathique, cette nuit y’a des orages, des éclairs
aussi… Tonnerre, la musique y’en a pour tous les genres aujourd’hui… J’ai perdu
mon idée. J’ai à peine dormis deux heures… Je suis toujours étonné de voir la
quantité de caisses de bière au supermarché, ça me dérange pas je bois plus,
mais pour une caisse vendue combien d’entreposé dans l’étalage? La pluie, l’orage,
les restaurants fermés c’est pas une bonne nuit pour les itinérants… Mais oui!
Je voulais vous parler des sommes de
TPS/TVQ que les gouvernements versent au mois de juillet, je sais pas le
montant. Je sais, je dois pas parler de ça, ça fait BS c’est plus tabou que le
sexe. Et le mois de juin qui avance… Parfois j’ai des textes forts et intenses
ce seras pas celui-ci j’essaye juste d’être honnête… Trois heure cinquante j’ai
dormis quelques heure. J’arrive pas ce matin à trouver quelque chose d’à-propos.
Pour la pandémie je crois faire tout ce qu’il faut. Je me lave souvent les
mains à les assécher. Je reste chez moi je vais juste marcher quelques minutes
dehors, je garde une distance de deux mètres avec les gens et je porte un masque
après je peux pas faire plus… Partout dans le monde des gens manifestent contre
la mort de Floyd, je sais pas ce qu’ils font des mesures anti-virus du
confinement, tout ce beau monde ça va s’infecter… La cause auras plus personne
pour la servir… Les villes seront des brasiers si rien ne change… Le « génie »
de la maison blanche a rien trouvé de mieux a dire qu’il allait envoyer l’armée.
Encore aujourd’hui je vais rester chez moi je vais alléger le poids des
travailleurs de la santé, je crois qu’il y a soixante-dix mille personnes inscrites
pour devenir préposé aux bénéficiaires on en demande dix mille… J’étais loin de
mon senti cette nuit, loin de mes émotions. Je vous ai presque écris un
bulletin de nouvelles… C’est maintenant l’épilogue la conclusion vous en faites
pas je sens bon, voilà! Comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu
jusque-là!!! Lâchez pas quelques mots encore pour vous souhaiter à la prochaine
je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! J’étais près de ne pas vous écrire ce soir, mais je persévère. Hier à
la radio ils parlaient des écrivains qui n’avaient plus d’argent pour le loyer,
des maigres fonds dans l’argent pour la culture… Je dois pas être écrivain, j’ai
jamais eu une « criss » de cenne pour mon blog… Pas de respect pour
ce que j’écris, je chialerai pas trop au cas où… Je surestime peut-être le
nombre de mes lecteurs… Aujourd’hui encore une fois j’attends du courrier, pour
l’écriture je doute je crois que c’est essentiel à ce travail, ne pas être
certain et essayer toujours d’avancer… J’ai la certitude d’être incertain… Ce
soir j’écris… Ils en sont au dé-confinement moi j’hésite à sortir dehors… La
semaine prochaine notre intervenante française nous quitte, elle retourne en France,
elle va me manquer je m’entendais très bien avec elle, j’hésiterais pas à la
référer à des employeurs français, elle est très professionnelle … Ici
lentement on sort du confinement , les sportifs vont pouvoir jouer et les
restaurateurs ouvrir leurs terrasses, quelques tronçons de rues vont être fermé
pour laisser de la place aux commerçants… Je sais pas pourquoi je suis triste
je devrais me réjouir… Je m’éloigne de mon senti pendant que je devrais entrer
dans le cœur du sujet, l’essence même de ce qui me fait écrire cette passion
pour la vie qui me garde justement… Je suis bien réveillé déjà vendredi, c’est
difficile d’écrire et de pas tomber dans la formule, la phrase toute faite, le
lieu commun de ces très chers sociologues. Sentiment, émotions si il y a, c’est
pas une mince affaire que de les nommés, cette âme qui ne se laisse pas dire
facilement de peur de se perdre. Je creuse et frappe au pic la raison pure
parce que la mienne est saturée, pollué par tout ce qu’on entends dans cette
crise… Je pense encore à ceux qui vivent dehors, ceux qui se sont trouvés un
bout de rue et qu’on va encore déplacé pour le commerce… La réflexion est pas
très longue, toujours faites d’espoir, je suis touché parce que ça fait des
mois que je suis partis au printemps, pas de départ, je suis ému mais je
partirai bien quand ce seras le temps… Pas le grand départ bien sur même si
parfois les sirènes m’appellent pour m’échouer sur les récifs du désespoir… Je
n’entends point, je n’entends pas… et je continue essayant d’être franc quand
je vie différentes émotions…Hier je suis sortis faire le tour du parc et à mon
retour ce qui est très rare j’ai vécu une émotion positive. J’ai été rassuré,
je m’accroche à ça c’est de l’espoir… Quelques mots encore avant d’avoir trop
peur pour parler de ce que je ne me souviens pas encore, une absence… Je vous
raconterai bien un jour mais pas tout de suite… Voilà! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là!!! Vous y êtes c’est la conclusion. À la
prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Bonjour!
Bonsoir! Tout à mon écriture je boude. J’ai pas ce que je veux même si je
sais pas ce que c’est… J’ai terminé le visionnement de la deuxième année de la
série Casa de papel je suis tout aux histoires de police et de voleurs… J’aime
bien le fait que ce sois pas une série américaine, mon beau-frère aussi je
crois, l’image est tellement précise on voit le poil sur le nez des personnages…
Je vais à mon senti, j’écoute ce que ça me dis ai démarré le climatiseur
parfois les silences veulent dire beaucoup. Je me souviens d’avoir été expulsé du
parlement à Ottawa… Je sais pas si la nuit a été calme à Washington… Je me
recouche vais essayer de dormir, me revoilà j’ai dormis un peu… Je crois qu’on
se paye ma gueule parce-que j’écris ce journal de confinement… Je sais pas trop
comment m’y prendre entre la nouveauté et le crû… Déjà jeudi, j’écoute ma voix
intérieure, je suis vraiment à bout je me répète, malheureusement je peux pas
partir en voyage pour me ressourcer, me rafraichir… Ce matin je vais acheter un
couvre visage lavable, je suis d’accord avec le principe qu’il faut protéger
son voisin… Je reste chez moi j’en suis encore à la distanciation, je préfère
ça…
On m’a donné
un mi
Pour la
pandémie
Pour qu’avec
la musique
J’oublie
Ce ne sera
plus un tic
Juste un pli
Qui oublie l’Afrique
Et les
ennuis
Des mots
antiques
La survie
D’un poème
platonique
Qui finis
Voilà!
Encore des vers de mirliton pour l’ami. Je trouve pas mieux pour exprimer mon
senti cette nuit. Parfois pour qualifier mon écriture on dit qu’elle est
rafraichissante… Mon nom c’est pas Prévert Jacques, je sais pas ce que vous
faites pour mettre un peu de créativité dans votre vie, moi ça passe par l’écris…
Une chose que je vous ai jamais écrit c’est que j’adore être émus à l’audition
des talents shows sur youTube… Moi mon talent c’est ce que vous lisez
présentement… Le climatiseur viens de s’arrêter automatiquement… Je pense à cet
ami artiste qui a étudié à l’option théâtre du Cégep Lionel-Groulx à
Sainte-Thérèse. J’espère que la scène va recommencer pour lui. Souvenir d’une
riche discussion après un show au Théâtre
du Nouveau Monde c’était vraiment intéressant… Discussion avec un auteur
compositeur maintenant aphasique… Je vous donne le mieux que je peux, j’aimerais
bien que ce soit une grande œuvre, j’en ai longuement parlé avec mon lecteur de
Deux-Montagnes… Je sais pas pourquoi je pense à ces mauvaises habitudes de
voyeur que j’avais, ça me faisait mal… C’est toujours la nuit, le moment idéal
d’expression… La pandémie va malheureusement nous empêcher de serrer les gens
dans nos bras plus de gros câlins… Voilà un geste, un endroit où l’écriture
prend toute son importance, je vous embrasse tous mes admirables lecteurs.
Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est difficile de
terminer décemment. À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Ciao!!!
Bernard

Bonsoir!
Bonjour! Il me reste deux épisodes à regarder pour terminer le visionnement de
la deuxième saison de lacasa del papel… Je suis accroché me suis couché
tôt et suis déjà debout. Aujourd’hui mercredi je vais me rendre à la
librairie maintenant ouverte pour me
procurer un livre, de la lecture… Je mange trop de sucré j’ai des démangeaisons
aux mains, sur les doigts… J’ai démarré le climatiseur pour rafraichir le
studio, c’est mieux comme ça. J’aimerais vous parler de mon senti… Toute la
difficulté du monde à écrire l’émotion où au moins l’expression… Je crois que
le gouvernement québécois va réussir à recruter ses dix milles préposés aux
bénéficiaires, c’est bien… Moi je suis trop vieux pour ce genre de travail. L’intervenante
me signale que j’ai déjà beaucoup donné surtout du côté santé mentale… Viens de
manger un mille feuilles il était très bon… Le store est ouvert… La distanciation
va faire des ravages dans les bistros et les restaurants, épicure est loin… J’attends
le mot de passe de ma carte de crédit… Le climatiseur semble pas vouloir s’arrêter
automatiquement, je l’ai arrêté voilà c’est fait… Tout ça ne vous dis pas
comment je me sent, je cherche le mot juste, l’expression de l’angoisse… Ai
pris une douche, me suis parfumé c’est comme si je partais en voyage. Je vous
la répète souvent cette émotion… J’ai très hâte de repartir, je lis et j’écoute
tout ce qui se dis dans les médias sur les voyages… Je félicite les snowbirds de Gatineau pour l’achat
d’une nouvelle voiture… Il est pas encore minuit c’est pas mercredi, je sais je
devrais pas situer ça dans le temps comme ça mais je veux vous faire vivre le
moment, le ici maintenant… C’est tranquille, c’est calme chez les voisins dans
l’édifice… Je me sent pas trop lourd cette nuit… Souvenir de Lille de ma
participation à un colloque du centre collaborateur de l’organisation mondiale
de la santé… Je crois que l’eau devras couler sous les ponts avant qu’on
organise une autre manifestation internationale… Minuit! Mercredi milieu de
semaine, j’espère avoir du courrier… Je sais pas si je vais sortir, j’ai besoin
d’argent pour un cache-visage… Je commence à avoir sommeil, l’odeur, un parfum
très européen, ça me fait du bien… Je termine ça et je continue à visionner la
série… Ça doit être long trainer la nuit dans les rues de Montréal quand on est
itinérant, sans domicile fixe… J’irai pas voir… Je dis vraiment rien d’essentiel
c’est même pas informatif. Les vrais auteurs du moins les chroniqueurs s’intéressent
aux autres, leurs petites personnes passe en deuxième… Cette nuit je me
déprécie pas trop j’essais de pensés aux différentes personnes positives que je
rencontre en voyage et un peu partout… Je vais faire contre mauvaise fortune
bon cœur et je partirai dès que ce seras sécuritaire et possible. N’abandonnez
pas, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore
pour diminuer la difficulté, à la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard