lundi 28 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Me suis ramassé un peu, c’est moins poussiéreux. Aujourd’hui y fait frette… Pas de courrier encore aujourd’hui, une ambulance passe lentement beau temps pour une hypothermie. Demain la météo annonce de la neige, le bôf à l’air confortable dans sa traversée du pont de la Nouvelle-Orléans… Nus’aut icitt on gèle pis on regarde les ptits oiseaux… Le ciel est d’un bleu, d’un bleu madame à pierre fendre… Peut-être que les snowbirds peuvent me faire entendre la musique qui joue à la radio là-bas. Je sais vraiment pas où j’en suis, je pense à l’ami qui à étudié longtemps et qui enseignais à l’université. Je vous écris ça et je vais noter différentes petites choses pour mon voyage à San Francisco… Aujourd’hui on m’a demandé si je me préparais …!! Bien sûr que je me prépare. Je serai partis que quelques jours c’est pas beaucoup mais c’est mieux que pas du tout… J’ai terminé la lecture du roman policier, il était pas très bon. Faut se préparer à rester enfermé pour les prochains jours une tempête s’annonce… Ce matin au groupe d’entraide y’avait de nouveaux visages, ça faisait du bien… Des gens qui en veulent des battants depuis longtemps. Ai lavé la vaisselle, y’avait un parfum de peinture pourtant avec ma sinusite je devrais être incapable de distinguer les parfums. Je fais une cure de silence et d’actualités, dans l’appart c’est désert et je veux rien entendre. Je suis chez moi, la neige ce seras pour cette nuit. Souvenir d’un hiver où mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord m’avait laissé son Chevrolet Monte-Carlo j’avais fait sauté le starter et abandonné la voiture sur la rue Chambord mes histoires de voitures c’est toujours comme ça. Y’a beau faire frette y’a des irréductibles qui font leurs jogging. La journée est passée, ce matin j’ai marché sur un dangereux trottoir glacé… Je regarde dans le ciel si je verrais pas ma passion un avion. Je pense au bonhomme à ville Saint-Laurent qui m’avait causé en anglais comme un attrape nigaud, c’est probablement un vieil anglophone qui crois encore aux colonies du commonwealth, je lui ai pas causé longtemps. Pas de respect! La circulation est dense les gens rentrent chez eux, quelques un se sont arrêté au bistro pour une bière… Les rames de métro sont pleine, ça se pousse devant derrière… Plusieurs parmis les plus pauvres sont épuisés et la semaine ne fait que commencer. J’ai mangé mon macaroni chinois, j’ai hâte d’être à l’hôtel de Frisco, le Beresford… Voilà! La journée s’achève sur quelques mots… J’ai hâte de « travailler » à la création collective du Théâtre du Nouveau Monde, ce matin on a encore parler de mon écriture. Vous en avez un exemple ici… J’en suis à la chute, j’entends sacrer dans ma tête c’est…. Je ne sais comment dire. Comme toujours et au même moment je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que ça vous plait. À la prochaine au revoir et à bientôt!!! Ciao!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 27 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! À part une visite au supermarché hier je suis pas allé très très loin. Comme toujours on rêve de voyage en regardant celui des snowbirds… Je mange des chips en vous écrivant, je les ai rangé ça donne des brûlements d’estomac, me suis versé un verre de jus d’orange. La dernière semaine de janvier est entamer après c’est le court mois de février, le mois de mars pour bien se préparer et ensuite les vacances à San Francisco. Les gens avec qui j’en parle me disent tous que je vais faire un beau voyage. J’ai hâte d’être à l’aéroport. Je crois qu’aujourd’hui les snowbirds seront en Louisiane, dans un autre ordre d’idée je termine la lecture d’un polar de Philip Kerr comme on dis quand on sait pas quoi dire c’est rafraichissant, quelques pages encore et ensuite je relis le guide Ulysse de voyage en prenant des notes. Je sais pas pourquoi les choses m’apparaissent verte pourtant je suis pas golfeur. J’en connais qui ont surement hâte d’aller jouer un neuf… Je sais pas si mon lecteur de Deux Montagnes va faire l’acquisition d’une autre voiture vintage?... Je m’égare, je voudrais vous parler de mon senti, pour être franc avec vous il est pas passé minuit. Je me suis allongé j’arrivais pas à m’endormir, la machinerie passe dans la rue, je me suis préparé un café… Je suis décongestionné et pour ce qui est de mon senti je trouve toujours ça agréable de vous écrire même si parfois ça ressemble à du chialage, mon senti est rarement transparent y’a souvent de la peine et des larmes c’est la rançon de celui qui veux être « vrai ». Je suis pas journaliste juste un bloggeur qui souhaite vous avoir comme lecteur de ses écritures quotidiennes… Je pense à mon enfance à ce nouveau voisin avec qui j’arrivais pas à m’entendre il me crachait dessus, ça se terminais toujours comme ça après avoir essayé d’échanger des cartes de hockey… Y’a cinquante ans de ça j’allais chercher un nouveau voisin pour me rendre à l’école, c’étais pour l’aider mais lui me bourrais de menteries ça été long avant que je réalise ça… À l’entendre il sortais avec toute les petites filles qu’on croisait, moi parfois j’avais des chances mais j’étais trop balourd, je rêve encore à elle cinquante ans plus tard. C’est vrai que je savais pas vraiment quoi faire avec les femmes ça été long avant de me déniaiser, encore aujourd’hui je suis pas tout à fait à l’aise… Je sais pas si tous ceux qui ont fréquenté le collège privé ont eu des vies meilleures que moi, ils sont rentré dans le rang moi je peux dire que j’ai pas pris le pas et j’ai vécu… J’ai pas appris à avoir de l’estime de moi, bien que j’en ai un peu plus… Voilà! Je sais pas ce que ça vous dis tout ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Cette nuit je me lève confus, je croyais pas qu’on est dimanche. Je pense à la super-maman et à son mari qui sont présentement à Cuba… Je me torture en pensant aux avions, j’ai beau me dire c’est pour bientôt je trouve ça long, j’ai jamais fait ça réservé un voyage si longtemps d’avance… Souvenir d’un voyage déprimant à Baie-Comeau sur la Côte Nord, j’aurais pu coucher dans le plus bel hôtel , je me suis ramassé au poste de police provinciale tellement j’étais angoissé tellement j’avais peur, on m’a offert un lit dans une maison de thérapie. J’étais tellement peureux perdus fanfaron, j’y suis resté une nuit et je suis partis incapable de rester là pour soigner mon alcoolisme ma toxicomanie, c’est une chose que j’ai réalisé beaucoup plus tard. Ça fait près de quarante ans tout ça, une chose que j’ai raté brûlante à ma mémoire… Maintenant je me rétablis un jour à la fois, mon angoisse se présente par pic, je la laisse pas me dominer, j’ai plus besoin de me cacher. À Baie-Comeau je sais pas pourquoi j’avais abandonné ma voiture plutôt que de l’amener chez le mécanicien. L’angoisse me torturais tellement, avec le temps ça s’est apaisé… J’aimerais pas que les petits enfants héritent de ça, c’est tellement lourd ça fait tellement mal et ça prend tellement de temps avant de trouver un moment où on est bien… Cette nuit c’est bien tranquille je peux me reposer, la solitude me pèse pas. Dehors quelqu’un crie je ne sais quoi, je pense à mes derniers moments de consommation… Parfois j’ai encore peur quand j’entends passé des gens dehors la nuit, pour moi les gens honnêtes sont à la maison à cette heure-ci… Itinérants, c’est probablement des itinérants qui gueulent dehors, ils cherchent à déranger… Avec ça je vous raconte toujours la même histoire, ma dernière thérapie je l’ai réussis j’ai pas consommer depuis c’est mieux comme ça… Je reste quand même toujours une personne anxieuse, parfois quand je suis pas là c’est comme si on envahissait mon chez moi… Je dis merci aux lecteurs assidus, ça fait toujours plaisir de savoir que ce que j’écris vous intéresse. Je sais pas quand j’ai perdus mon innocence, hier en me couchant je voulais me barricader chez moi, je crois que c’est l’apanage, une concession faite à la solitude. Pendant ce temps là pour terminer je suce des menthes, toujours une pensé pour les fabuleux snowbirds… Je pense à mon arsenal de produit contre le rhume et la grippe, de l’eau salée et des pastilles, du sirop et des comprimées je crois qu’avec ça ça va passer… Bon! J’en ai presque finis pour cette nuit quelques mots encore pour vous dire merci, je sais pas pourquoi je pense à Victor Lévi Beaulieu peut-être à cause de son grand talent. Je sais pas avec quoi je vais vous illustrer ça. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!


Bernard

samedi 26 janvier 2019

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Samedi, je sais pas si c’est bien utile d’écrire tout ça, une façon de montrer que le rétablissement est possible. Comment dire que cet immense sentiment de solitude est disparu, sentiment qui me faisait m’acoquiner avec n’importe qui et où je descendais dans les bas-fonds maudits. J’étais malhonnête c’est la part de mon malheur, aujourd’hui j’essais de changer tout ça. Y’a des années déjà… J’ai reçu des souhaits pour la nouvelle année de la Fédération des Travailleurs du Québec, je sais pas qui pense à moi dans ce syndicat… J’ai peur, je pense à quelqu’un avec qui j’ai travaillé y’a très longtemps au moins quarante ans, j’étais dans le népotisme, ce qui ne m’a pas aidé à rester un travailleur en santé, ce passage de ma vie je préfère l’oublier je savais pas vivre… Je laisse ça là j’en ai assez écris là-dessus. Maintenant j’essais d’être responsable, de pas laisser la paranoïa m’envahir. Je me suis cassé, je me suis brisé, j’essais de me reconstruire, il est un peu tard mais j’ai une nouvelle vie… Il est pas question que je retourne à la shop vous le savez, je suis retraité… Maintenant je rêve de voyage et d’avion et c’est-ce que je fait… Je pense à ces passagers d’un vol d’Air Transat qui ont malheureusement été intoxiqué au dégivreur pour avion, je pense qu’ils vont mieux ont va leurs offrir un autre vol… Janvier tire à sa fin un peu plus de deux mois et je prends des vacances à San Francisco. Si vous saviez comme j’ai hâte de partir je vous en parle tout le temps, l’avion c’est un Boeing 737 Max 8, j’ai choisis mon siège… Je pense aux snowbirds, à ma lectrice, mais oui je vous lis j’aime bien les photos… La voisine se promène sur la passerelle pour je ne sais quoi. Tout à coup l’angoisse s’empare de moi, j’entends un avion qui passe, c’est rien ce que j’écris j’arrive pas à déjouer l’ennui, je souhaite un bon vol à la super-maman et à son mari. Si je pouvais aujourd’hui je partirais aussi, mais c’est pour plus tard… Je pleure, j’ai mal c’est triste, je sais vaux mieux être de bonne humeur vous pleurez jamais vous? J’essais d’être en accord avec mes émotions. Ils vont à Varadero je crois j’y suis allé y’a quelques années et oui ils partent d’Ottawa pour Varadero, bravo! Tout ça fait des familles de voyageurs c’est bien, je pense que le regretté patriarche aimerais ça il appréciait les voyages. Lentement le soleil se couche, je sais pas pourquoi je reste triste… Quelques mots encore, je pense au vieux camarade disc-jockey, il m’en a fait entendre de la bonne musique. Je sais pas comment terminer, je veux pas écrire n’importe quoi. C’est assez pour cet après-midi l’inspiration y est pas. J’en suis presque rendu à la finale à la chute, l’épilogue quoi! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

vendredi 25 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je crois que c’est au moment où on veut abandonner qu’il faut continuer. Je sais pas combien ça fait de pages que je vous écris, aujourd’hui c’est le cahier voyage de la Presse + . J’ai beaucoup apprécié les photos des snowbirds en Floride, c’est mal rédigé je veux juste écrire que je vais apprécier la lecture du cahier voyage. Les snowbirds sont probablement mieux là où ils sont que nous avec nos neiges éternelles. Hier la matriarche m’a téléphoné pour me dire que ça fait déjà un mois que Noël est passé on s’ennuie pas. Moi j’ai toujours le spleen baudelairien, une profonde tristesse née du mal de vivre. Je vous mentirai pas c’est beaucoup moins intense que dans ma jeunesse. Je sais pas si on peut établir un rapport entre le spleen et la schizophrénie, la profonde douleur dont on ne sait que faire même pas écrire parce que le poète y est passé avec ses Fleurs du mal et qu’il nous tiens muet par la justesse de ses vers…On se disait avec un ami que tout serait bien pâle, bien inutile après Beaudelaire et moi qui ai le front d’appeler mes petites choses des nouveautés, c’est peut-être l’innocence de l’enfance… Je sors de la douche me suis parfumé et j’aime ça… Quand je fais ma toilette comme ça je pense à l’hôtel…
Tentative inutile
Battre le poète
Dans sa course
Pourtant j’essais toujours
Lui empruntant le spleen
Que j’ai connu
Maintenant disparu
Dire dire la faiblesse
D’une écriture traitresse
Qui veux vous toucher
Mais n’y arrive pas
C’est raté je me relis et ça ne me touche pas. J’espère que votre lecture en seras une d’émotion… Ma meilleure écriture elle est derrière moi, je suis un has-been pourtant l’écriture auras été une maitresse fidèle, les grands poèmes s’écrivent avec la peur de la mort, quand on décris une agonie… On peux pas se réjouir de mourir, j’écris ça en pensant aux jeunes poétesses qui sont parties enragées devant la mort… Moi je suis paranoïaque voilà pour ma peur de la mort, les plus jeunes sauront, je pense à cette mère qui tente de faire connaitre le recueil de poèmes de son fils qui s’est suicidé… Souvent les paroles les plus touchantes meurent avec leurs auteurs.
Je lâche un grand cri
Le cœur ouvert
La tête qui brûle
Pourquoi la vie me tue
Un mot après l’autre
Toujours assez
Vous direz vous saurez
Ce que je ne sais dire
 J’ai quand même hâte de partir pour San Francisco, j’espère que mes jambes vont se rétablir, je crois que oui. À l’époque l’étudiante en animation culturelle voulait pas devenir mon agent littéraire j’étais déçu. J’écris quand même… Voilà, bientôt je termine, je vous aurai dit du plus profond de mon senti, j’essais de vous dire pourquoi j’écris, ça panse la blessure, donne une pause à la douleur. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin c’est glacé, j’ai marché pour revenir du centre local de service communautaire. Je sens une grande fatigue, l’infirmier m’a dit que ma pression est bonne. Le facteur semble avoir rien laissé. J’arrive à rien… Je sais pas quoi vous raconter, je pense à Boston qui est aussi enneigé… J’ai hâte en maudit de partir, y’a les snowbirds qui sont à la chaleur… L’office municipale d’habitation doit avoir reçu les documents pour le renouvellement de bail avant le six février, encore deux semaines…Cet après-midi je suis battu, je cherche une façon de combattre le stigmate, je sais ce sont des histoires de « fou ». Le ciel se dégage c’est d’un beau bleu, je pense au bôf le mari de ma regretté sœur qui est un fan des Bruins, il aimait bien Bobby Orr. L’année où je suis allé à Boston avec la douce au restaurant on a rencontré une petite famille, la jeune fille apprenais le français elle nous a fait la conversation, le père était un ancien joueur du Canadien dont j’ai oublié le nom… Les gens passent sur le trottoir l’oreille collée à leur téléphone, à l’époque fallait être important pour avoir un portable aujourd’hui c’est n’importe qui. Cette semaine y’avait une embâcle sur le fleuve les bateaux ne pouvaient pas passés, ils ont finis par la défaire. C’est loin de mon senti fatigué tout ça. Je pense à l’époque de mes « études » secondaire comment je trouvais ça difficile d’être dans une classe différente pour chacun des cours jamais avec les mêmes amis, j’ai pas fait long feu… Je vous raconte des vieilles affaires, j’étudiais pas, je jouais aux cartes ou au ping-pong. Je crois qu’il y avait des faussaires qui s’étaient fabriqué de faux bulletins. C’est vieux tout ça, j’ai quand même pas rencontré de grands génies qui viens de cette école là. J’arrive quand-même à vous écrire quelque chose, je vais prendre la direction de mon senti, le patriarche disait à tous les jours suffit sa peine… Cent fois sur le métier tu remettras ton ouvrage et patati et patata… Ça a pris beaucoup de temps avant que je réalise que je suis un bum… Pourtant y’avait des gars qui travaillait pas mais jouais au hockey c’était pas beaucoup mieux que moi. Je pense à cette vie que j’essaye de me faire depuis vingt-cinq ans, je suis retraité et c’est bien… Le soleil est là, les journées s’étirent, je fouille dans mon vocabulaire cérébral, ça été long avant que je comprenne qu’on pouvait m’attaquer pour ce que je disais. C’était pas de la paranoïa juste que je parlais trop et on voulait que je me la ferme. Ce matin j’ai croisé deux policières, elles semblaient pas m’en vouloir, je crois qu’elles s’occupaient des itinérants. Voilà j’arrive à la chute encore quelques mots, j’entends les camions qui reculent dans la cours de travaux à côté. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 24 janvier 2019

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai des brûlements d’estomac c’est très désagréable. Me suis couché très tôt ai dormis par épisodes, je croyais que c’était samedi nous ne sommes que vendredi. Je pense aller au cinéma mais je sais pas quel film j’irais voir. Je crois que je vais attendre dans l’avion parfois les films sont très intéressants dans ma dernière envolée sur Air France j’ai visionné le grand prix deux milles dix-sept du festival de Cannes, cent vingt battements par minutes, le combat contre le sida de la communauté gay de Paris des années quatre-vingt à aujourd’hui. Un film très touchant, je trouve Air France très audacieuse d’avoir mis ce film à l’affiche sur ses vols… Je pense aux amis gay comment ils sont cultivé et comment ça peut déplaire à certains que je les fréquente. J’ai fréquenté des groupes gay et téléphoner à des lignes d’aide gay on m’a bien fait savoir que j’étais pas gay. Je sais pas comment on nomme les schizophrènes dans mon genre, parfois j’ai l’impression qu’il n’y a que les homosexuels qui ont le monopole de la souffrance. Je reviens au syndrome d’immuno déficience acquise, comment j’aurais pu moi aussi en être victime à cause de ma toxicomanie où de mes relations sexuelles pas protégés. J’ai cessé toute ces pratiques à risques, je suis abstinent partout… Toujours étonné de ne pas entendre parler du sida depuis l’apparition de la trithérapie, elle ne guéris pas et c’est pas un vaccin, ça me fait mal de vous écrire là-dessus… Ouais!  Le film dans l’avion très réaliste et très torride, toutes ces associations  pour faire avancer la cause. Je reviens à la santé mentale c’est comme si le sida n’existais pas on en parle jamais cloîtrés qu’on est chez soi… Si y’a des erreurs dans ce que je raconte corrigé moi je suis prèt à vous entendre. Je pense à ces femmes qui entourent les homosexuels et que n’attirent pas les hétéros c’est parfois frustrant, je sais que dans leurs vocabulaires ils ont un nom pour les désigné… J’ai vieilli comme un schizo décati, en voulant avoir un langage politiquement correct, je réalise que mes textes sont beaucoup moins fort… Les toxicomanes et le fentanyl, ils auront pas le temps de s’infecter ils vont mourir d’une surdose… C’est encore pas mal tabou, ces histoires d’homosexualité de santé mentale on est toujours dans la maladie qu’on catégorise quand il ne faudrait pas, on se rétablis de différentes manières de différentes maladies et on est tous des êtres humains si fragile… Merci! Pour moi ça va mieux, je pense à tous ceux qui cherchent un abri cette nuit à la sortie des bars, ils sont seul n’ont rencontré personne… Voilà je termine comme ça en vous répétant comment je suis bien chez moi. Je crois pas que j’irai au cinéma, j’ai encore mal à l’estomac. C’est la chute je termine avec cet épilogue, en conclusion je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard