mercredi 21 novembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est la nuit, j’ai que le voyage en tête, encore quatre mois. Je sais pas trop quoi vous raconter, je vais me rabattre sur mon senti. Je suis bien réveillé j’ai pas de nostalgie me souviens quand même du Bryant park à New-York j’y avais passé quelques minutes, Manhattan m’y apparaissais moins épeurantes.  Pendant toute ces années j’aurai visité quelques capitales du monde, la matriarche pas trop étonnée me disait c’est des villes y’a du monde… La côte ouest j’y suis jamais allé c’est surement différent. Cette nuit j’ai dormis, mon café à refroidis, je repense à cette affaire de struggle for life, la lutte pour la survie, on est pas des animaux c’est un concept qui m’apparais assez nazi, seul les plus forts survivent, les humains s’aident et s’entraident… Je suis plus de ceux qui aident leurs prochains. Pour que je me rende à soixante-deux ans y’a des gens qui m’ont aidé. Je vous parle de ça c’est une conversation du café du commerce que j’avais eu avec un gars y’a longtemps, il rageait devant sa bière parce-que j’étais pas de son avis. Souvenir aussi de ce boiteux qui est apparus deux fois dans ma vie, j’en ai eu peur. C’est toujours la nuit, ils annoncent de la neige et du vent pour ce matin… Je suis pas très allumé, je ferai quand même pas le portier, une job de fier-à-bras… La douleur que j’avais est presque disparue, la snowbird avait raison c’est des petits bobos qui apparaissent avec l’âge… Aujourd’hui j’attends un colis, je suis pas un grand savant mais aujourd’hui je suis plus du aimé vous les uns les autres…  C’est très décousu ce que j’écris, des bribes de phrases que j’appose ici et là, j’espère qu’à mon voyage aux U.S.A. on me demandera pas si j’ai déjà fumé du pot, ça fait plus de quarante ans de ça… Et j’aime pas ça… La semaine passé un infirmier m’a examiné par téléphone, j’avais rien de grave… Il est pas encore trois heure, ils osent pas sortir du bar pour fumer de peur de ne pouvoir y revenir. Mais non je m’auto-dénigrerai pas, j’essaye d’être bien et bon. Les plans d’eau sont pas gelés faut oublier ça pour le patin à moins d’aller à l’aréna. C’est toujours pareil, les autre semblent mieux et meilleur que moi. Je vais essayer de pas boire aujourd’hui, le moment présent c’est ce qui est important depuis plus de vingt-cinq ans. Je pense à mon lecteur de Deux-Montagnes j’espère qu’il a trouvé le sommeil… J’arrive presque à la chute encore cette nuit, les bars vont fermer, ne vont rester ouvert que quelques blind pigs, dans les bas-fonds on est toujours les rois maudits. Je sais vraiment pas ce que je faisait là, la fille ne croyais qu’en Janis Joplin et Jim Morrison tous les deux morts d’overdose. Voilà encore une fois pour cette nuit. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine en vous souhaitant à la prochaine je l’espère!!!
Bernard
 

mardi 20 novembre 2018

Poème 20 novembre


Puisqu’il me faut tout dire

Que le diable m’emporte

Chez les anglos pourris

Qui demandent

La chienne de mes chiens

L’usage de mes mains

Pour étouffer encore

Celui des serins

Sans lendemain

Sans mots sans rien

Pour toujours

Du sang du bain

Tuant le prochain

D’un cœur sans frein

Sans refrain oserez vous

Le pain le mot malin

Assassin d’un train

De la mort vilain

Une proie une fin

Au présent



Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui il neige, j’ai été très touché par le osti de criss de tabarnak  https://www.youtube.com/watch?v=DvR6-SQzqO8&fbclid=IwAR2qWTmrKQc0h-jOY3Ik12Ob1FCcC2q2wh76KeNqRHNz5sTb7ebD0hrbs6E qu’a envoyé mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord. L’hiver commence et c’est comme si il avait pas de fin c’est pas encore décembre… J’ai ouvert la porte, besoin d’air et d’un café, je m’endors… Ai reçu des nouvelles du centre collaborateur de l’organisation mondiale de la santé, on y parle de e-santé mentale c’est intéressant… Je sais pas si la neige participe de notre santé mentale, ce matin j’ai marché j’étais bien dehors. Ma lectrice snowbird me dis qu’il faut rester actif c’est ce que j’essaye de faire. Les lecteurs snowbirds s’en vont au Nouveau-Mexique et en Arizona cet hiver, j’espère qu’ils essairont pas de se faire passé pour des réfugiés avec leurs fifth wheel… Moi je rêve toujours d’aéroport et d’avions, San Francisco risque d’être bien. Y’a toujours le flux de passagers qui débarquent avant qu’on attende au quai… Ça fait du bien l’air frais ça réveille, un ami m’a dis qu’il y avait de beaux parcs à San Francisco. Mardi, la semaine avance je gobe tout ce qu’il y a a gobé sur ma prochaine destination, j’ai mon voucher pour Alcatraz et pour l’autobus Hop-On Hop-Off, j’espère que ce seras pas trop compliqué… J’ai fermé la porte je suis plus réveillé, j’ai envie d’aborder mon senti… Je me sent un peu comme le voisin grano de Bob Gratton, le mois se termine les gens ont faim, les gens ont soif… Ils s’agitent pour chercher du cash. Je pense à ce copain que je croyais aidé en lui disant de faire appel à l’aide aux employés de son job, ils l’ont foutu dehors j’ai un peu peur qu’il se sois suicidé… Ça m’a donné une leçon, je dois laisser les professionnels travailler. Je vais recevoir mon colis demain en fin de journée… Lentement le concierge nettoie la neige sur les passerelles. Je sais pas pourquoi tout à coup je me sent mal, j’aime pas quand ça s’agite autour de moi. Encore une fois tout le monde a faim, tout le monde à soif, les pawnshop font des affaires… C’est loin de mon senti tout ça ce matin je me suis empiffré d’un pouding chômeur… Dehors tout est blanc, déjà… Je digère pas. Je pense que je vais illustrer avec de images d’aéroports, il est presque seize heure, je sais vous me trouver malade d’écrire comme ça à tout les jours. J’essais de me regarder de prendre conscience de ma façon d’agir passé, présent et à venir… Je dois absolument m’améliorer. Je suis content on a replacé l’ami sur sa chaise, il est sortis du lit, c’est bien… Été comme hiver les voisins s’agitent, j’aimerais bien vous écrire quelque chose de sentimental mais j’en suis incapable. Je veux pas faire beau… Les gens reviennent du boulot… Je termine de cette façon en vous remerciant d’avoir lu jusque-là, viens de recevoir un appel d’un cabinet d’astrologie!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!


Bernard

lundi 19 novembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Écrire c’est pas tellement subversif, c’est pas de sitôt qu’on va lancer des pavés. Mardi, hier à la réunion nous n’étions que trois on a quand même discuté. J’avais bien compris l’art gothique n’a rien à voir avec les wisigoths, merci à mon ami historien de l’art… Je laisse ça là je vais plutôt vous parler de mon senti, les wisigoths et les ostrogoths on en parlait à la petite école, leurs batailles et leurs guerres de royaume.  Je racontais à un ami que faute d’avoir baigné dans la culture dans ma jeunesse, j’avais de la difficulté à nommer les écoles classiques quand même j’aime bien l’art… Je vais vous illustrer ça avec la photo d’un tableau de Vincent Van Gogh l’auto portrait à l’oreille bandée… Je suis inculte j’ai pas de leçon à donner… Me souviens de ces bouquins Time-Life auquel j’étais abonné. Je préfère me servir de mes photos même si elles sont pas bonnes ça donne une « couleur ». Je me berce devant l’écran c’est l’angoisse… J’ai dormis un peu, je me souviens à quelques moment je terminais ma soirée d’ouvrage à minuit, parfois je partais enragé sans signer le cahier de départ, j’aimais pas beaucoup le contre-maître, la job aussi d’ailleurs, l’entretiens ménager dans une école secondaire, je trouvais toujours un sous sur le plancher ça m’en prenais pas plus pour devenir fou… Cette nuit je suis battu, j’aimerais bien recevoir cette couverture pour mon Ipad aujourd’hui… En rétrospective si je regarde ça la maladie est arrivé parce-que je portais pas de masque et que je respirais l’odeur du thinner mélangé à la peinture. J’aimerais pas voir mon cerveau il ressemble certainement à un gruyère.  C’est assez pour vouloir mourir. Nos administrateurs m’ont placé sur le bord de la route, je suis pas un génie, je suis juste un intoxiqué permanent. Je guérirai jamais… Sirène de pompiers, de polices, je continus quand même à vivre. J’ai peur de la mort de ce qui m’attend, comme nous tous j’en sais rien… Chose certaine mon histoire paraitrais pas dans le Selection du Reader Digest c’est le cas de le dire, ça en est une à dormir au gaz… Je me souviens de ces petits quartiers industriels que je détestais, j’aurais préféré travailler au centre-ville. Comme un idiot dans les annonces classées de LaPresse je regardais les offres d’emploi pour les cadres le mercredi… Je dis idiot parce-que j’ai tout juste l’instruction pour le ménage et le balai que je déteste. Il est trop tard je suis un bum senior à la retraite. J’aurais aimé travailler au centre-ville et vivre à Outremont… Je vie plutôt au centre-ville et je ne vais jamais à Outremont, ça m’aurais pris une fortune plus que tout ce que j’ai bu. Voilà comme toujours j’en suis à la chute pour cette nuit, quelques mots encore pour bien terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je vous ai donné ce que j’avais de mieux à lire. À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je suis fatigué, il fait noir tôt… Mise à pied, grève voilà le tableau des actualités. J’ai commandé un accessoire pour ma tablette électronique je devrais le recevoir bientôt. Ce lundi est presque finis je m’ennuis… Souvenir, j’étais le premier à me laver les mains à la sortie de l’atelier, on se bâdrais pas de m’avertir, ils savaient que je travaillerais pas là toute ma vie. Maintenant je suis fou, j’essais de construire quelque chose avec l’écriture, un ami m’a parlé des parcs de San Francisco semble qu’ils sont très beau.  Un peu plus de quatre mois et c’est mon départ, j’ai parlé aux copains des cerisiers en fleur, ici y’a déjà de la neige le temps est triste. Gadoue, voitures et autobus sales, j’essaye de figurer ce que font les gens à la retraite. Y’a tout ceux qui travaillent pour améliorer leurs sort, je suis pas de ceux-là, j’essaye de rester vivant… À la télé les publicités de Noël ont déjà débuté, deux semaines et c’est décembre, je sais pas si les gens vont se faire cadeau de cannabis. Ça trime dur moi… Je suis chez moi j’entends comme toujours les voitures qui ronronnent… Je pense à l’amie médiatrice culturelle, un beau métier… Je racontais comment c’était difficile l’histoire de l’art quand tu y a pas passé ta vie, moi je connait surtout la culture pop des années soixante-dix. Éric Clapton, John Mayall, les Rollings Stone, Jeff Beck… et aussi les bluesmen américain comme Willie Dixon, John Lee Hooker, B.B.King sans parler des grands jazzmen comme John Coltrane, Miles Davis, Charlie Parker… C’est surtout une “culture” musicale, je commence juste à m’intéresser aux impressionnistes en peinture… Les signataires du Refus Global, le magnifique vitrail de madame Ferron métro Champ-de-Mars. J’écris n’importe quoi je sais bien que cette dame est pas une impressionniste. Je vais illustrer avec son œuvre… Je viens de tuer une mouche, c’est à ça que je suis bon tuer des mouches… J’ai pas la plume du grand et regretté docteur Ferron… La noirceur est arrivé, ils ont réédité les Fous crient au secours de Jean Charles Pagé, que j’ai déjà rencontré dans les années où je fréquentais les bas-fonds. Je veux aller trop vite ce soir, j’écris sans réfléchir, je vous raconte pas les années de lecture de Rock’n’Folk, Best, et plusieurs magazines français… J’ai un peu lu Mainmise, la contre-culture mais mon affaire c’était surtout la bande dessinée. Avec tout ça je suis loin de mon senti, de mes sentiments, je suis fatigué et comme on dis si tu est fatigué fatigue pas les autres. Le bôf connais ça je crois… J’approche de la chute, de l’épilogue ce seras ma chronique encore une fois ce soir… Mes excuses à tous les gens « cultivé » je peux pas vous parler d’agriculture je connais pas…. « Keep on rockin on the free world »-Neil Young. Voilà comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 18 novembre 2018

Au présent



Bonsoir! Bonjour! Je sais pas pourquoi je pense aux blessés de guerre…Surement que c’est grâce à eux que je peux m’exprimer comme ça… Je suis toujours heureux d’avoir vos commentaires, j’y aurai mis tous mes souvenirs dans ce blog, même les copains disparus, la semaine passée je suis allé sur le plateau Mont-Royal. J’arrive pas à m’y faire c’est devenus tellement anglophone, les gens « chillent » comme ils disent, devant un café… Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide, lundi déjà, j’ai commandé une couverture pour ma tablette électronique. Je sais pas trop quoi vous raconter, mes voyages vers l’Outaouais en auto-stop l’hiver ? Le froid sur le bord de l’autoroute, le train est devenus dispendieux. Je comprends aussi qu’avec toute leurs marmailles les snowbirds ne m’invitent plus. Le temps passe je vieillis dans quelques mois je serai à San Francisco, j’impressionne pas beaucoup la matriarche avec mes voyages, c’est comme si elle les avait tout fait, ça me fait mal de l’entendre. Je me dépêche de voyager avant de devenir gâteux, c’est pas quand je serai enfermé dans un centre hospitalier de soins de longue durée que je vais pouvoir me permettre ça. Pour la matriarche ce sont toujours les autres les meilleurs moi je suis moins que rien, c’est difficile à mon âge de remonter l’estime que j’ai de moi. Cette nuit c’est du chiâlage, y’a une nouvelle édition des « Fous crient au secours » de Jean-Charles Pagé, on retourne en arrière à une institution entièrement dédié à la maladie mentale et s’y on s’était trompé avec cette désinstitutionalisation, si c’était pas mieux de concentrer ces soins particuliers, on saurait où ils sont nos fous, encore y’a rien de réjouissant dans la psychose urbaine et toxique. Je sais pas si ça se fait, se faire ramassé par Urgence santé à la sortie d’un bar et amené directement à l’hôpital psychiatrique. J’imagine qu’il faut avoir une histoire… Je sais que les camions de l’institut Pinel sont blanc, souvent les gars sortent de là en croyant qu’ils sont guéris qu’on leur donne un placebo, ils retombent rapidement en psychose… Je me demande si l’enfermement mène à la poésie, nos grands poètes étaient et sont encore des hommes libres… Moi j’écris de ma prison chimique que je me garde bien d’arrêter de peur de la psychose. Pour ce qui est d’Émile à l’institut je crois qu’il en avait soupé de la poésie, de la mélancolie, comme plusieurs d’entre nous son temps le meilleur était derrière lui. Je m’y serai adonné aux lettres, dans la solitude loin des écoles et de l’université, les idées d’instruction littéraire en sont de maniaque de faible estime de soi. Quand je me compare aux grands ça vaux rien ce que j’écris. Voilà, je suis déjà dans la chute, je fréquente pas les « salons » littéraire, les auteurs m’intimident… Je pense souvent  à l’intelligence à ce que je fais avec… Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!  Ciao!!!


Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je prépare des pâtés chinois, reste que les pommes de terre à pilé après ça s’en va au four… Terminé! Un copain m’a appelé il voulait avoir les paroles du minuit chrétien, un peu tôt vous allez me dire, dimanche d’hiver je me souviens que parfois on allait chez un oncle qui habitait lui aussi Montréal-Nord et qui, chose rare à l’époque avait la télé couleur. Le four semble brisé il chauffe pas… Voilà c’est réparé, je vais manger du paté parmentier chaud… Anniversaire du show de Nirvana, bein non! Kurt Cobain c’était pas un loser mais il souffrait… L’élément du bas fonctionne je sais pas pour celui du haut. Je suis loin de mon monde intérieur, j’ai bricolé un peu ça fonctionne… L’après-midi est avancé… J’ai chaud, mes petits bobos me font moins mal, le quotidien c’est pas très poétique, lentement le soleil se couche mon obsession des avions m’a lâché aujourd’hui. J’ai beaucoup de difficulté à vous écrire, c’est l’hiver demain matin j’ai une réunion, je fait chauffé le repas, je suis loin d’un monde sensible, je vais devenir un rôteux de blé d’inde… Je sais, je suis toujours accroché sur les ont dis, non je suis pas une calvaire d’âmanchure de moumoune… J’ai bien soupé…, ouvert la porte pour me rafraichir un peu. Les voitures passent, c’est l’hiver déjà… Les jeunes sont invités à souper, ils marchent vite, j’arrive pas à être poétique je le répète… Les poètes ils réussissent toujours à faire quelque chose de leurs humeurs les plus noire… Voilà le ciel est orange… Y’en a qui sont au loundge écoutent de la musique contemporaine du genre Bouddha bar en sirotant un drink… J’ai vous le savez rayé l’alcool c’est mieux pour moi… Il commence déjà à faire noir, vous savez pas combien ça coûte écrire des phrases comme ça. J’ai pas fait la sieste aujourd’hui… Une femme passe avec son enfant dans sa poussette, j’espère que les plus jeunes lisent ce que j’écris. Je sais ce ne sont que des mots mais ça donne un sens à ma vie… Mon temps est finis, j’écris mais avant c’était plus musical, j’ai perdu la mélodie, perdus le rythme et ça fait de la prose de vieux bonhomme. Ce soir j’essais de vous donner une shot, j’y arrive pas, c’est toujours mon discours d’impuissant littéraire. Y’en a qui écrivent moins bien mais copulent plus, le coït c’est souvent… Voilà, les lampadaires éclairent, je sais pas ce que font les itinérants avec un hiver si tôt, c’est plus vraiment la température pour dormir sur le trottoir. Y’a toujours des cyclistes… De vieux souvenirs de stage vidéo, une expérience, pendant que je filais vers une impasse, un cul-de-sac… Je crois que je ne dois pas me placer en position de demandant. Je dois donner plus et mieux. Je vous les donne ces textes c’est moi. Je suis presque arrivé à la chute. Quelques mots encore, merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard