jeudi 4 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Y’a un spectacle d’Aut’chose et Lucien Francoeur début novembre, quelqu’un viendrais avec moi? J’ai toujours été un grand fan de Francoeur et des Rockers Sanctifiés, il vas y avoir plusieurs poètes aussi, Péloquin et Daoust entre autre… En attendant je compose et vous propose ma prose… Les yeux me ferment seul mais j’arrive pas à dormir, j’ai fait mon lit pour être plus confortable quand je vais y aller… J’ai démarré le climatiseur étrangement j’ai chaud, je pense à l’hôtel du nord à Besançon j’y avait fait un beau séjour, un charmant petit hôtel… Je suis incapable de prédire ce qui va arriver dans mon prochain voyage, je me rabat sur le passé… J’aurai vécu et je périrai avec des mots, une mort volubile, la terreur prosaïque et poétique, mes textes apparaissent pas sur mon fil de nouvelles… Ils vont surement être là dans quelques minutes. J’entends les réacteurs d’un avion qui passe… Je pense à ce copain qui étudiais en production théâtre à Sainte-Thérèse, au collège Lionel-Groulx ses collègues disait de moi que j’étais son serin pourtant j’ai jamais été le serin de personne. Je siffle pas… Nuit de jeudi à vendredi, nuit d’ivresse et de folie, on a tellement peur de raté quelques choses on se promène dans différents bars du quartier latin… Me rappelle de ce vieil écrivain alcoolique qui harcelais les femmes, je crois qu’il en faisait des histoires c’était un écrivain de la même école que Bukowsky, vieux saoul et frondeur. Je pense à mes cartes de crédit que je paye rubis sur l’ongle ça évite toute sortes de tracas… Bientôt vendredi en fait dans quelques minutes… Je pense aux solliciteurs des chaînes de télévision câblées, j’ai pas besoin de changé… Avant, y’a longtemps à cette heure-ci je dansais sur du Billy Idol, j’ai remarqué que les femmes aiment beaucoup danser. Une piste de danse c’est pas ce qu’il y a de mieux pour « cruiser » on s’entend pas, on se regarde et on reviens bredouille… Maintenant je suis trop vieux pour m’amuser à ces choses-là même dans un bar sans alcool, qui perd tout son esprit justement parce qu’il est sec, bon! Je vais y aller encore une fois avec mon senti, quand j’écris je suis loin de la méditation tous s’agite dans ma tête les mots se poussent et se bousculent comme des spermatozoïdes à la rencontre de l’ovule, pendant le trajet plusieurs sont mort, n’ont pas résisté et font de moi un auteur bouché… J’y suis presque à cette chute, bientôt je devrai mettre une capote pour écrire ça rendras mon écriture stérile, tout ça c’est presque pornographique sinon de mauvaises métaphores qui n’ont pas besoin de kleenex… Pourtant je suis quand même en terrain fertile… Hé oui! J’y vais pour quelques derniers mots en pensant à mes lectrices féminines. J’ai presque terminé et je rêve d’embrassé… Cette nuit c’est encore beau temps pour la moto. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je souhaite un bon retour à mes lecteurs de Brossard, ils m’ont fait rêver avec leurs photos de voyage en France. Hier j’ai failli être victime d’extorsion, on voulait me faire chanter pour des visites sur des sites pornographiques ou je ne vais jamais, heureusement j’ai profité des bons conseils de mon lecteur de Deux-Montagnes, il a confirmé ce que je pensais, ne pas en tenir compte… C’est tranquille aujourd’hui grâce encore au même lecteur j’ai imprimé correctement mon billet d’avion et mon voucher d’hôtel. J’ai eu d’autre bonnes nouvelles, je vous en parlerai plus tard… Je m’inquiète pour cette extorsion, je vous dirai pas que j’ai jamais regardé de pornographie mais ça fait plusieurs années plus qu’une dizaine que j’en regarde pas… Ça va pas avec mon mode de vie, mon programme de rétablissement. C’est une autre épreuve, y’a jamais eu rien de facile mais je continue à vous écrire… Ma lectrice de Gatineau dis qu’il faut réaliser ses rêves, je suis d’accord avec elle c’est pour ça que je voyage, le prochain départ est pour San Francisco au printemps, en attendant je me documente, je m’informe sur la ville des enfants fleurs. Plus tôt dans ma vie j’ai beaucoup rêver d’être un écrivain, je crois qu’aujourd’hui j’y arrive, ce que j’écris je crois que ce seras la littérature du futur, accessible à tous. Pour la pornographie la dernière fois que j’en ai vu ce sont les dessins de Cocteau au Musée des Beaux Arts de Montréal, ça aussi ça fait longtemps. Je sais pas pourquoi je suis angoissé j’ai rien fait de mal, je crierai pas au loup on me croiras pas. Je me promène entre ce texte sur Word et la page des nouvelles de Facebook, parfois je crois écrire pour rien quoi que je place ça dans mon rétablissement. C’est assez terrible ce chantage mais je crois pas qu’on peut identifier de la pornographie sur mon ordinateur. J’ai hâte à samedi, j’aime bien lire les chroniques voyage dans LaPresse+, ça me donne des idées pour de futurs départs. Je trippe vraiment sur les avions, le Canada est maintenant le deuxième pays le plus attirant pour construire des avions et je pense que Montréal tiens une grande place. Je dis merci à ma lectrice privilégiée de Gatineau d’avoir pris le temps de « liker ». En ce moment j’écris et je pense à personne en particulier. Lentement j’arrive à la chute, je sais y’en a qui trouvent ça malade que j’écrive comme ça, tant que ça, j’ai pas eu la chance de le faire plus jeune j’essais de me reprendre, de toute façon le format blog le permet. J’ai quand même hâte de me retrouver à l’aéroport, d’attendre et de partir sur un vol. Voilà! Il me reste plus grand-chose à vous raconter aujourd’hui, c’est toujours difficile de terminer et surtout de la bonne façon, le climatiseur viens de démarrer! Je vous laisse en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 3 octobre 2018

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! J’aurais aimé, mais j’aurais aimé tous ces jours que j’ai que j’ai contre la nuit et la pitié, le blé le blé… Je voulais dire mal-aimé et ses baisés, le temps des fleurs frisées et la poésie essayé puisque vous savez vous ne me lirez qu’au jour couché aux heures brisés et c’est jugé c’est jugé je suis pas un lettré juste un lecteur un peu pédé avec la peur avec la peur de la sexualité au cœur monté en manque d’idée, dites-moi dites-moi où vais-je allé avec la peur sans métier et au malaise donné, vous me corrigerez vous me corrigerez écrire comme ça c’est pas s’amusez n’importe qui peut s’y prêtez, vous savez vous savez… Que fait tu là? Que fait tu là? J’entends le glas et le trois mat des mousaillons qui tendent les bras, on me la fait pas, on me la fait pas, j’apprends toujours que sur le tas au bout de mes pas. Pourtant les bras c’est sacré bras sont sans compas et sans éclat. Que vais-je dire? Je ne sais pas j’en fais un plat, toujours heureux d’être dans le gras, le vers je le mesure pas il est comme ça tout un cola américain des états… J’ai pas d’école que des fariboles un cœur qui écoute le sol qui veux dire sibole comme une tête folle. Un autre jour, une autre nuit dans le puit des ennuis des rêves interdits comment ais-je dis? C’est de la rimaille de la ferraille de mill-machine qui brise l’échine, je patine, je patine dans un texte sans glace qui cherche une place à la façon d’un agace, ce que ça veux dire rien de sensé juste un délire on a vu pire amateur de soupir. Et j’aimerais tant j’aimerais tant comme un poète sbire, rire et rire à ces mots et sentir. Dites moi sire vous appréciez ce que je veux dire? Parce-que moi je sais pas je vise je rate et je mire… Je ne bois plus d’élixir. Voilà pour l’amour et le discours du haut d’une tour où chauffe un four pour, pour je ne sais quelle cour à quel détour. J’aurai aimé sans larme et sans pitié avec les mots comme arme pour battre la destiné… Sans éclat et sans reine de Sabbat je reste fat… Dite moi, dite moi c’est suffisant un toit et des armoires pour y mettre les grands et les petits plats… C’est des niaiseries que je laisserai à la conciergerie pour y mettre un peu de poésie et de sentis. Allons donc, allons donc, j’écris comme on souffle dans une conque où peut-être une arme que l’on tronque… Illégal comme un shoot de crystal, une pipe de métal je n’irai pas au bal, voilà pour terminer on pense au pal, au pays de l’Oural et à ma capitale. Je termine comme si j’avais écrits avec une barre à mine… Plus de mots pour la nuit de votre lecture je remercie. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Journée fraiche d’automne, mercredi milieu de semaine. Je pense à la taverne je n’irai pas. Je me cherche un nouveau propos… C’est toujours la même chose qui me passe dans la tête des souvenirs de jeunesse alcoolisés. J’ai passé bien des années à écumer les débits de boisson montréalais… Est venu un moment où la peur et l’angoisse étaient ultra-présente, j’ai pas arrêté je couchais dans des hôtels et des motels, je souffrais beaucoup. Je croyais être victime d’un complot… J’arrivais souvent à la brasserie très tôt. Je calais une bière pour chasser la peur, à la fin on débutait en me servant un café il était trop tôt pour boire. Je suis content de ne plus vivre comme ça… C’est comme si j’avais plus de souvenirs, tout ce que je me rappelle c’est mon alcoolisme actif, souvenir de l’usine à paysage un événement artistique où j’ai acheté de la bière une caisse que je n’ai pas bue, ça semblait important pour eux tout cet alcool, on m’avait même volé mon portefeuille. Je pense à ça, ça me fâche, je crois qu’ils auraient aimé trouver mon numéro d’identification personnel… Je vous écris ça je trouve ça nul, pas beaucoup de belles phrases. Toujours mais toujours la même chose, la même histoire… J’ai envie d’arrêter là, je sais pas quoi raconter, je me répète.  En ce moment je suis seul chez moi, je réfléchis à ce que je vais écrire je téléphonerai à l’ami sclérosé. Quand j’arrive là je veux m’auto-dénigrer. Je m’en veux d’être incapable de me renouveler. J’ai terminé la lecture d’un roman, c’était intense, j’ai débuté le recueil du journal Spirou et je lis mon guide de San Francisco. Je crois que je vous l’ai écris précédemment. C’est juste des niaiseries, j’arrive pas à vous écrire de beaux mots sérieusement. Je pense à ce marathon d’écriture inter-collégial c’était au mois de mars, quand j’écris il y a un peu de ça peut-être aussi de l’automatisme, j’ai peur que vous me tapiez sur les doigts. Je me cherche, je me suis toujours cherché j’ai laissé tomber mon vocabulaire de sacre et de jurons, c’est mieux… Parfois je le crois pas que je suis à la retraite comme je crois pas avoir soixante-deux ans, les années ont passés rapidement. Quand je vous écris c’est que je veux construire quelques choses laissé une histoire derrière, parfois je suis pas très fier de toutes ces années mais au moins elles ont passées dans la sobriété. J’espère qu’aujourd’hui vous allez me donner une petite chance, c’est un défi pour moi d’écrire une nouveauté, parfois j’y arrive pas mais j’aurai essayé c’est pas long à lire mais difficile à raconter… Je suis tout près de la chute, je sais ça peut vous sembler du délire tellement c’est loin d’un beau dire, d’une belle façon d’écrire. Je termine avec la larme à l’œil en pensant à tous les lecteurs. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

mardi 2 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit je cherche, j’ai mon café, le frigidaire fait du bruit. Je pense à l’odeur de soufre dans les bars… Minuit! Plusieurs finissent de travailler c’est le quart de soir, quand je le faisais je le trouvais quand même long, de quatre à minuit… Je devrais plutôt dire le tiers de soir, trois shift de huit heure, aujourd’hui la matriarche s’en va visiter mes lecteurs de Gatineau elle y va avec mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord et sa voiture électrique. J’essais d’avoir une belle plume, c’est difficile… J’ai terminé la lecture d’un autre roman espagnol de Zafon, il venait d’arriver en librairie, c’est une brique de plus de huit cent pages assez captivantes… Maintenant lentement je vais lire le recueil Spirou et mon guide de San Francisco… Je veux aussi regarder l’émission de télé chacun son île animée par Sophie Fouron… J’ai hâte d’être dans un avion et d’avoir vraiment la tête dans les nuages. Je suis pas d’accord avec la légalisation du cannabis, ça va nous faire une trallée de psychotique. Je veux bien la réduction des méfaits mais j’y crois pas, ça va nous faire des shylocks de plus qui vont prêter pour acheter de l’herbe, du grass comme on disait dans le temps. Parfois c’est très long avant de se remettre d’une psychose toxique, c’est là que débute la schizophrénie… Je pense aussi aux publicités de la Société des Alcools du Québec à ce faux discours récréatifs quand on vend de l’alcool on a intérêt à en vendre à celui qui en bois beaucoup même si ça le tue… Souvenir de cette cliente de la Cage aux Sports qui aurais bien aimé faire amie avec la serveuse mais c’était impossible, le staff discute pas avec la clientèle… Je devrais garder ça pour moi, c’est pas tout le monde que l’alcool et le cannabis rend malheureux. Cette nuit y’a un parfum de frites pourtant c’est pas la Belgique… J’ai recommencé à m’intéresser à la bande dessinée, je me souviens dans mon enfance j’ai lu plusieurs fois les mêmes je les connaissais presque par cœur, je crois que ça m’a amené vers la « vrai » littérature. Je trouve ça important la lecture c’est ce qui m’a tenu debout longtemps, ce qui m’a supporté… Souvenir encore de ces nuits d’insomnies que j’appréciais je savais que c’était pas à deux heure du matin qu’on cherchait une job. Je pouvais me détendre, je pense encore à cette femme avec qui je vivais qui dormais sous une couette la fenêtre ouverte moi j’arrivais pas à trouver le sommeil. Ça fait longtemps tout ça, c’est une expérience que je ne referais plus… C’est long apprendre à vivre, sortir de la souffrance, l’accepter même… Bon! Je suis rendus à la chute, la nuit est assez avancée quelques mots pour bien terminer, au revoir! On ferme! Donnez nous une petite chance!!! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Comme toujours je souhaite vous revoir à la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de terminer la lecture d’un énorme roman, je suis content. Je vais essayer de vous écrire sans en être trop imprégné… Je sais pas pourquoi ces jours ci c’est comme si j’étais en voyage… Souvenir de mon voyage à Lille le printemps passé étrangement j’ai pas eu à rendre de compte. Je vais en parler à l’agent de programmation… J’ai pris des notes j’aimerais montrer aux gens que je suis pas aller là pour niaiser. Aujourd’hui c’est gris et il pleut ça me rappelle des départs… Je me souviens aussi de la tristesse de la côte-nord, de Baie-Comeau à l’automne comment j’étais souffrant quand j’y suis allé, c’était triste à Sault-aux-Moutons… Ça fait longtemps tout ça, j’étais jeune et désespéré… Maintenant je vais mieux, le temps m’a soigné. Je voyage en avion dans d’autre pays ça me plait beaucoup. Parfois j’oublie la maladie, c’est bien mais je dois quand même me soigner… Six mois encore avant mon prochain départ pour San-Francisco, je veux être étonné… Je lis mon guide de voyage National Geographic…. J’ai vingt-cinq ans de rétablissement, je me méfie toujours beaucoup. Semble que pour être écrivain il faut écrire, c’est ce que je fais, voilà parfois mes voyages m’ont fait apprendre ce qu’on faisait ailleurs en santé mentale d’autre fois j’ai voyagé pour le plaisir et la détente et voir un peu de pays, un peu du monde. Je vieillis j’ai plus vraiment de temps à perdre si je veux voir le monde, je suis peut-être déjà dans mes vieux jours. J’ai quelques bobos mais c’est pas grave… Je pense au patriarche qui a pas vécu longtemps après sa retraite, j’aimerais vivre plus vieux que ça. Voilà! J’ai besoin d’y mettre un peu de poésie dans cette vie pas vous balancer seulement mes soucis. Je sais les temps sont graves quand même il faut vivre, parfois j’essaye d’être écologique de prendre peu ou pas d’emballage d’avoir des sacs recyclables c’est pas facile. Je me sent mal et coupable de vous écrire ça… Le problème c’est ce que je fais moi pas les autres. Pourquoi je vous parle d’écologie? Je pense qu’il y a déjà trop de plastique dans la mer, on peut en recycler plus, c’est des espèces de vœux pieux… Pendant ce temps-là j’habite un quartier où les gaz d’échappements de la circulation automobile réduisent l’espérance de vie. Je l’ai déjà écrit mais enfin c’est la vie du quartier. Je comprends pas je comprends rien j’essaye de vivre et parfois pour moi ça semble interdit. Je devrais me taire, c’est ce que j’ai nommé le goulag, y’a longtemps que j’y suis pas passé… Voilà pour ce soir ce seras pomme de terre, carottes et foi de bœuf. Je sais pas comment vous écrire une belle chute, quelque chose qui donne de l’espoir, rien n’est parfait je me répète je me rétablis quand même. Je vous aurai écris ça pour aujourd’hui. Je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

lundi 1 octobre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai gagné mes élections dans mon comté… Ça fait longtemps que ça m’est arrivé… On peut dire que Québec Solidaire a fait une percée. Je crois que cette nuit plusieurs vont fêter même si il n’en ont pas les moyens… Je vous parlerai pas longtemps de ça je suis pas analyste politique… Des amis se sont désabonné de Facebook ils trouvent ça trop intrusif, on vient trop cherché de données personnelles selon eux, ils ont pas pensés aux nombreux cookies partout ailleurs sur internet. Moi je vous raconte ma vie, mon senti ici, j’ai pas vraiment d’autre informations sensibles. J’ai rien à cacher… Une ambulance passe, un type fouille dans les bacs pour trouver des contenants recyclables. Je me demande une fois passé l’euphorie du moment, ce que va faire le nouveau gouvernement… Ils ont promis beaucoup de choses, je crois pas que ce seras le gouvernement des plus pauvres… Je vais revenir à mon senti, je crois que j’étais bien parce-que j’ai voté selon mes convictions pour la bonne personne. Changement de sujet, je sais pas si vous avez remarqué les motos Indian reviennent à la mode, des motos all-american qui font un pied de nez aux Harley-Davidson, j’aime bien ces motos mais je suis incapable de les chevaucher, j’ai pas de permis et j’ai jamais été très habile avec les machines… Je mange des chips, je pense à l’ami qui a mis son bateau en cale sèche… Hier avant d’aller voter au pôle de vote, j’ai vu un gars honnête qui disait la vérité, ses voisins et voisines tellement occupé dans leurs hypocrisie racontais qu’il disait n’importe quoi, j’ai vu là une gang de petit vieux, de ceux que je veux pas devenir, rongé par la peur et l’angoisse. Je me reconnais pas dans ces gens-là, plutôt mourir que devenir comme eux… Dans ma tête c’est un senti tourbillon, je crois qu’on savait avant moi pour qui j’allais voter, le vote est sortis tant mieux. Je dis juste des lieux communs cette nuit, la politique c’est très rare que ça s’exprime en senti… Ici j’ai une recherche d’authenticité. On va encore entendre parler de politique pendant un bon moment… Voilà pour ceux qui veulent se changer les idées et voir de quoi ont l’air les motos Indian https://www.indianmotorcycle.com/fr-ca/   Je sais pas si notre nouveau député va faire des choses pour nous, si il va m’aider à sortir du stigmate de la maladie mentale. Cette nuit je vous illustre ça avec une céramique de Laurent Gascon c’est un portrait de la Bolduc rue Ontario, « ça va venir, ça va venir, découragez-vous pas, moi j’ai toujours le cœur gai et je continue à turluter » Ça y’est je suis rendu à la chute j’espère que vous trouvez du plaisir à me lire n’hésitez pas à me faire vos remarque. Encore quelques mots et n’allez pas trop vite avant de me traiter de Marxiste. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard