samedi 28 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Lentement je lis le recueil du magazine Spirou, ça m’allège la tête et je trouve les dessins magnifiques. Ce matin j’ai préparé des pâtes à la bolognaise c’est bon… Je voulais me rendre à un parc près de l’aéroport Trudeau mais les routes pour s’y rendre sont fermées. La semaine prochaine ce seras le mois d’août, l’an passé j’étais en Espagne… Je pense aux problèmes qu’ils ont avec les trains en France ça démarre mal les vacances. Voilà, l’agence de voyage qui faisait des soldes pour partir en Chine à des problèmes, je vais laisser tomber cette option-là. Je sais pas pourquoi j’ai sommeil, j’ai quand même dormis cette nuit. Je mange des bonbons, je crois que je fais un retour en enfance… Souvenir de ces vieux recueils qui ressemblaient à des images d’Épinal, j’avais huit neuf ans et j’adorais lire ça… C’est comme ça que j’ai appris à lire, je l’ai jamais regretté, la lecture m’a supportée quand j’étais au plus mal, parfois je pense à certains diplômés qui ne savent pas lire… J’aimerais avoir la paye du cabaret littéraire et théâtral la semaine prochaine. Je vais être patient. On s’entend pour dire qu’écrire c’est pas payant mais je le fait pas pour l’argent. L’été passe vite ça en est épeurant…  Dans mon enfance au mois d’août j’avais hâte à la rentrée, de nouveau vêtements et l’attirail scolaire, les livres qu’on nous prêtais et que maman recouvrais avec du papier cartonné, au primaire j’aimais ça l’école, ça s’est gâté au secondaire. Dans mon adolescence j’avais un crush pour une jeune fille mais c’était pas réciproque… Bientôt soixante-deux ans et je pense encore à mes échecs amoureux. Le seul amour que j’aurai eu toute ma vie c’est la littérature. Quand au plus mal je tournais les pages pour oublier, pour m’évader. Elle m’accompagnait partout parfois quelques mots me réconfortais. Mes aventures je les vivais dans les romans, je peux quasiment dire des amours virtuel.  Je comprenais toujours après quand une jeune fille voulait faire l’amour, je lui touchais pas, c’était pas le désir qui étais pas là mais j’avais peur je savais pas comment m’y prendre… J’ai quand même vécu quatre ans avec une femme plus vieille que moi ensuite le désir, la chair m’a fait faire ce que je ne voulais pas… Je me croyait viril mais j’étais idiot, je pensais juste à baiser, je croyais que tous les autres gars étaient comme moi. Et la mort, le désir de mourir pour que cesse la souffrance était toujours présent. J’aurais aimé vivre dans un autre monde moins difficile, j’y arrivais pas… Maintenant ça va mieux, je vous confie ça c’est de l’ordre de l’intime une vie en cahin-caha… J’ai eu deux époques une où je vivais sans sexualité et l’autre où il n’y avait que ça. Je me dénigrerai pas c’est terminé, je m’abstiens, je suis libéré. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 27 juillet 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Heureusement qu’il y a le climatiseur, je dors un peu. Me semble que ça fait longtemps que je suis partis que j’ai mis les pieds à l’aéroport que j’aime tant. Je me vois attendre avant de passés les douanes et après sur le quai d’embarquement à regarder les avions, les vols pour l’Europe sont souvent sinon toujours dans la soirée. J’arrive toujours beaucoup plus tôt pour sentir l’atmosphère particulière des départs enfin faut pas trop que j’en demande je suis partis une fois ce printemps. J’ai pris le train à grande vitesse, ça s’est bien passé, j’ai discuté avec mon voisin Kabyle il était sympathique. À un moment dans l’aéroport il y a beaucoup de monde. Je prends un chariot pour trainer mes bagages. J’achète jamais rien dans les hors taxes c’est trop cher, ce sont des produits de luxe. J’arrive tôt ça me permet d’apprivoiser l’angoisse. Hier j’ai regardé une émission Des Racines et Des Ailes que j’avais enregistré, on y parlait beaucoup de vin mais j’en bois plus, n’empêche les vignobles sont beau. Je sais pas si mes lecteurs de Deux-Montagnes en voyage en Espagne vont visiter un vignoble? Je pense qu’il est trop tôt pour les vendanges… J’ai dormis quelques heures, le défi c’est d’écrire malgré tout, animer ce blog et vous faire lire mes pensées… Je voulais écrire ma détresse mais je suis pas dans cet état autrement c’est l’écriture qui est une passion… La passion c’est pas suffisant pour écrire un bon texte. Je sais que parmi mes lecteurs y’a de grands voyageurs moi je fais que commencer à voyager et j’adore ça… Voyages, lecture, écriture vous me l’auriez dit y’a quelques années je vous aurais pas cru. Tiens voilà une pensée pour ce cher bôf qui déménage, je lui souhaite beaucoup de bonheur dans sa nouvelle maison. C’est la nuit de vendredi à samedi, j’ai hâte de lire les pages voyages dans LaPresse+ . J’attends des nouvelles de la personne en charge des communications de l’institut, elle doit me donner rendez-vous pour que je lui raconte mon histoire pour un livre à paraitre. Ça fait pas de très belles phrases mais j’aime bien, et je vous le dis souvent, le côté cru et brut de tout ça. Me suis arraché un cuticule sur un doigt… Hé oui! Samedi encore et la semaine prochaine c’est la paye, je devrais pas vous en parler. J’aime bien entendre les nouvelles à propos d’Airbus, j’ai probablement voyagé dans un de leurs avions… Je dis bienvenue à tous les nouveaux lecteurs,  lectrices. Je sais qu’il y a des écritures plus déjantées que la mienne plus je ne sais comment dire, digne d’un simplet mais je n’en suis pas un j’aime bien la complexité des choses… Cette nuit j’ai été heureux de vous écrire, je vais essayer de pensés à une écriture de livre pour le futur. Voilà! C’est terminée pour cette nuit encore quelques mots pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi c’est chaleur et grand soleil. Suis allé manger au Nickels Place Versaille avec la charmante personne en charge des communications à l’institut… Dans le métro j’avais l’impression d’être en voyage. Je lui ai raconté comment j’aimais les aéroports et les voyages, vous le savez je vous l’écris souvent… Vendredi, pour plusieurs la semaine est finie et les vacances débutent… Chez moi je suis bien, le climatiseur est bien utile, c’est vraiment n’importe quoi ce que je vous écris quand j’y mets pas mon senti. Va falloir que je l’écrive un jour ce livre quand c’est le blog je brûle toute mes idées. Je devrais espacer ma production, mon senti lui n’attend pas, souvenir de ces journées où j’allais trimer avec pas un sous en poche pour manger. Parfois y’avait un camarade généreux qui me prêtais cinq dollars sans savoir si il le récupérerait. Souvenir de toute la paperasse que j’ai signé pour me faire soigner, ça venais je crois de la régie d’assurance maladie du Québec, c’est vieux presque quarante ans… Je pense à la vision diabolique que certains ont envers les psychiatres, plutôt mourir que se faire soigner… J’étais si perdus aujourd’hui je me reconstruit je suis plus tout jeune mais je peux dire que je connais un peu la vie. Je souffre pas de déficience intellectuelle, ce côté-là je crois qu’il est même un peu trop fort. Je sais pas si ça se peut de trop réfléchir… Tout à coup y’a un parfum d’orange… Je dois le nourrir ce blog, vous avez peut-être une mémoire olfactive, je vais encore vous parler de l’adorable eau de toilette Britt Rythm Burberry , c’est réjouissant. J’ai regardé un peu les boutiques dans le centre d’achat, je trouve ça cher les vêtements, j’en ai pas besoin, j’aime pas beaucoup magasiner d’une boutique à l’autre c’est pas mal les mêmes prix. J’ai le Maintenant je le sais de Jean Gabin dans la tête  https://www.youtube.com/watch?v=orDR4JA91F4 . Bien sûr que je suis ignorant, lentement je cherche un propos. Je crois que c’est toujours plus long de vous écrire que pour vous de me lire. Je racontais comment j’aurais aimé travailler dans un bureau comme le patriarche mais pas contrôleur ni comptable, les chiffres ça jamais été mon fort. Je prends un peu de temps pour vous écrire, c’est pire que dire. Les mots ne se poussent plus dans ma tête, j’essais de construire. Vous l’avez peut-être déjà lu. Je sais pas si ma prose est honorable, je sais pas pourquoi j’ai le sentiment d’être en Europe… J’ai de la difficulté à accepter que ça peut être confortable d’écrire. J’ai plus l’habitude de la souffrance, de la douleur. Je terminerai pas en m’auto-dénigrant. Je suis-je crois une bonne personne. Les mots ça paye pas en argent sonnant, mais ça rapporte un peu de sérénité, l’expression, la rédaction me calme. Voilà! Ce seras ça pour aujourd’hui, j’espère vous avoir fait plaisir. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère encore!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin je pense aux stigmates cette difficulté que nous avons quand nous décidons d’appeler les choses par leurs noms, dans mon cas la schizophrénie à noter que je ne suis pas un schizophrène mais que je souffre de schizophrénie un état qui peut s’améliorer avec le temps. C’est pas facile ce que j’essais de vous écrire, je suis différent mais en rétablissement. Ça devrais faire la différence, j’aime aussi dire que la force c’est de demander de l’aide ce sont tous mes sujets de prédilection. Y’a ceux aussi qui manquent de respect et appellent les médicaments des peanuts incapables qu’ils sont de nommer les choses par leurs vrai noms et par là entrainent les gens dans de terribles rechutes psychotiques. J’aime bien dire que je suis en rétablissement, que la maladie a pris une pause que j’entends les bonnes femmes qui connaissent tout dire que les médicaments ça sert à rien, que même avec ça je vais faire du mal. Je suis dans le un pour cent des gens qui souffrent, ma pensée elle est pas magique je dois me soigner. C’est mon senti cette nuit, depuis que je me rétablis les choses sont plus pareilles juste dire que l’expression est payante en rétablissement, que j’apprécie tout le monde à mes côtés qui me lisent. J’oublie jamais que j’ai des moments incertains que je vacille parfois mais que je reviens toujours plus fort afin d’être un « exemple » à suivre pour tous mes pairs. C’est mon senti cette nuit avec la difficulté d’écrire de façon sensé la psychose, quand j’y suis pas je me rappelle surtout de la souffrance. Au fond c’est une guerre un peu vaine mais je veux montrer qu’il y a des façons saine de vivre avec la maladie. Aujourd’hui  je rencontre quelqu’un pour lui parler de mon parcours qui va paraitre dans un livre… J’ai un peu peur ça me sort de ce que les gens appellent zone de confort.  Cette nuit comme souvent, c’est pas facile d’écrire mon senti. Quelques pas dans mes bottines pour prendre conscience de ce que je vie, heureusement, je me répète, aujourd’hui ça va mieux. Je pense toujours à la rechute que je vais essayer d’éviter aujourd’hui… Je veux pas donner ce pouvoir-là aux gens, C’est pas qu’une simple névrose c’est la psychose paralysante, le désir d’en finir et la peur de l’autre. Rien de confortable. Je ne bois plus, je ne fume plus et mon entourage est plus sain. Quand je vous écris où que je donne des entrevues le but est toujours d’aider. De montrer qu’il y a rien d’impossible que oui même malade vous pouvez partir en voyage évidemment la maladie est moins virulente. Encore aujourd’hui j’arrive pas à vous décrire mes psychoses, avec le temps j’en perd le souvenir mais pas celui de la folie, de la douleur. Voilà! Je crois que j’ai de bonnes valeurs, je termine avec ça en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 26 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! La journée a passé vite. Je vous écris sans trop savoir, j’ai fait la sieste lentement je me réveille. J’ai une pensée pour des petites cousines et leur regrettée maman. Comment le temps passe, comment de jours en jours j’en ai moins à vivre, on appelle ça vieillir, hier j’ai croisé un gars qui a assisté à la représentation de la création collective Je Veux D’l’amour. Il ne m’a fait que des compliments. C’est vrai que c’était une belle expérience, j’en étais sortis enchanté. Juste me souvenir me fait vivre de belles émotions, le cabaret littéraire et théâtral était bien aussi. Y’a aussi cet ami qui est je crois disparu, comme il était gay il disait ne pas être bon dans les sports c’était un érudit très cultivé qui en connaissait beaucoup sur les arts et le monde artistique. Je m’ennuis des conversations que j’avais avec lui. Un jour il est déménagé, il disait qu’il n’arrivait plus à payer le téléphone, il vivait avec un copain qu’il s’était fait. Je crois qu’il aurait aimé que je lui donne de l’argent, mais son histoire de téléphone avait pas de sens. À l’époque où je l’ai connu j’avais pas encore commencé à voyager, mais on allait au théâtre et on discutais… Le mois de juillet tire à sa fin, hier j’ai raconté des pans de ma vie à un journaliste, j’espère que ça va donner espoir à quelqu’un encore un souvenir du temps où je couchais sur le sofa des copains et où au début du mois je m’achetais une bouteille de vin ça me donnait sur le moment un peu de « courage » pour ensuite me plonger encore plus dans la maladie. Parfois les gars me payaient à manger… J’étais je crois un itinérant, c’étais y’a plus de trente ans. J’ai survécu à la galère, je suis content de me rétablir, maintenant mon logis est une habitation à loyer modique. Je suis heureux, je vois le quartier d’un autre œil… Avec le temps j’aurai vécu beaucoup de choses, beaucoup d’émotions, beaucoup d’amitiés y’en a qui sont disparues mais je reste toujours avec la matriarche mes frères et ma sœur. Mardi une pairs-aidante famille racontais qu’avec la maladie mentale toute la famille étais malade. J’aime bien croire que quand je me rétablis la famille aussi.  J’ai réalisé comment c’était difficile de dire la psychose, cet étau qui vous enserre la pensée, cette douleur sourde et ces voix angoissantes, ce désir de mourir aussi qui est partie de la maladie. Faut que je le dise je vais mieux, les choses se sont arrangées, j’ai du plaisir à vivre, ça a pris du temps mais j’y suis, j’espère que ça va encore s’améliorer. C’est ce qu’on appelle se rétablir, je garde loin l’hôpital, je remarque de moins en moins dans le quartier les multi-poqués. Voilà où j’en suis aujourd’hui. Je suis rendu à la chute de ce texte. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’amorce la rédaction toujours au milieu de la nuit, comme souvent j’ai de la difficulté à démarrer. J’attends que l’amie responsable des communications me contacte pour savoir où on va luncher demain. J’ai bien dormis cette nuit… Je cherche des souvenirs à vous raconter… J’espère que les lecteurs lectrices de Cantley et de Gatineau ont pas été inondés hier… Les thèmes de cet été canicule et inondations… Je pense à ce commis d’épicerie qui se dit victime d’intimidation par un « caïd », c’est à son travail, il a de la difficulté et peur de se faire agresser… Je crois que c’est de la paranoïa de la maladie mentale, il dis avoir contacté des gens, sous entendue la pègre au cas où il lui arriverait quelque chose. Je crois qu’il se sent tellement rien c’est une façon de se donner de l’importance. Schizophrénie? Probablement, sans dire qu’il est toujours de retour à l’institut au prise avec la psychose. Je connais ça, ça m’est arrivé, la peur, l’angoisse, la paranoïa parfois je vie ça… Quand je vous écris la nuit, le temps passe rapidement. J’ai le Clair de Lune de Debussy dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=ruf5I4eQHY8  c’est beau… Me suis fait un sandwich aux tomates, toasté. La paranoïa, je sais pas comment les psychiatres appellent ça ce sentiment qu’on complote contre soi. Selon moi dans la peur y’a toujours quelque chose de vrai… À une époque où je rencontrais le psychiatre à toute les semaines, je me disait qu’il savait que j’allais être vivant la semaine suivante sinon il m’aurais pas donné de rendez-vous. J’étais malheureux mais si malheureux quand je prenais le bus sur le boulevard Rosemont, je croyais que tout le monde savait que je me rendais à l’hôpital. Le bus étais remplis d’étudiant, je crois que j’étais déjà stigmatisé. Y’a longtemps déjà de ça, maintenant les gens m’offrent leurs place dans l’autobus… Ouais! C’était le grand vide, je me débattais quand même dans cette descente, le désespoir me poursuivais, je vivais mal mais je vivais maintenant ça va mieux je me suis inventé un métier d’écrivain. Je dis jamais que je suis autodidacte je crois que c’est pas assez exigeant et j’ai suivis quelque cours. L’écriture, cette chère écriture j’y ai mis tant d’espoir, je risque d’être déçu… Je continue contre vents et marée… Je veux pas me défaire, débâtir mon senti même si mon écriture c’est de la folie. Le climatiseur fonctionne toujours, il s’est pas arrêté cette nuit. J’ai ouvert la porte pour voir le temps qu’il fait c’est encore humide… Tout à coup j’ai plus rien à dire, je pense à quelques crapules qui travaillent en santé mentale. Ils sont supposés nous accompagner pas nous dénigrer. Ils aimeraient beaucoup que je crashe… Pas aujourd’hui, je remets plus ma vie dans les mains des employés d’un hôpital. Le dispositif de santé mentale est là, reste plus qu’à s’en servir décemment. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

mercredi 25 juillet 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le temps est lourd, suis allé faire quelques achats au supermarché. Y’a deux policiers qui ont arrêté un gars sur la rue Dorion. J’ai sommeil pourtant ce n’est que l’après-midi. Il pleut et je crois qu’il vas y avoir un orage, le climatiseur fait du bon travail. Je voulais pas vous le dire mais j’ai donné une entrevue au Journal de Montréal, ça s’est bien passé. Mercredi, la semaine achève y’en a plusieurs qui sont en vacances. Ce matin j’ai lu le recueil Spirou, c’est intéressant, c’est pas que pour les enfants, je voulais aller en Chine mais l’agence de voyage à rabais est sous tutelle. Je fais réchauffer des pommes de terre, des carottes et du brocoli que je vais manger avec un bifteck au poivre intérieur de ronde. J’ai eu quelques petits problèmes avec le clavier mais j’ai réussis à les régler. Je me sens bien aujourd’hui, la pluie c’est un peu désolant pour les gens qui sont en vacances mais c’est quand même mieux que ce qui se passe en Grèce… On a une pensée pour eux. Quand j’ai des petits pépins j’arrive à me calmer avec une prière, ça fait la « job ». On a fait une séance photo avec une jolie photographe qui avait pas l’air née de la dernière pluie. Je vous fait une confidence, je prie à genoux, pas longtemps mais quand-même… Je vais essayer de terminer avant les actualités de dix-sept heure. Les légumes sont prêt je vais faire cuire mon bifteck. Bon! J’ai souper, c’était bon, beaucoup de légumes je crois que c’est santé, la télé diffuse… et moi je suis confus… Le journaliste se faisait pas d’illusion sur la lecture de ses entrevues, ça prend quelque chose d’accrocheur. Bientôt on va me dédommager pour le cabaret littéraire et théâtral. Souvenir des randonnées au Mont-Tremblant sur le site Pimbina à Saint-Donat, ça faisait des pique-nique agréable avec la douce, c’était les bons côtés de cette relation, la dernière fois que j’y suis allé on a faillis frapper un chevreuil. Je sais pas si l’orage s’en viens ici mais au nord le ciel est noir. Je prends mon temps pour vous écrire mon senti à la vue de ce ciel affolant. Ça passe au-dessus, il tonne mais ça se dégage… Parfois à l’intersection y’a des accidents, bon la pluie a repris. J’ai bien fait de sortir cet après-midi. Les agriculteurs vont être content…la pluie… Vous me direz, « il a pas grand-chose à écrire » c’est possible mais mon écriture je la traque dans mon senti et pour le moment il se cache au plus profond de mon âme. Lentement j’y arrive, les mots et les phrases font des sauts. J’ai parlé du regretté Maurice G. Dantec j’aimais bien sa prospective fiction pas toujours simple à comprendre mais ça faisait partie du plaisir. Quelques mots encore pour terminer si vous vous êtes rendu ici vous avez surement un peu aimé. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard