vendredi 9 mars 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je me suis réveillé, je faisait un cauchemar. Je me souviens plus à quel propos. La neige a cessé, je vous écris parce qu’après je me sent mieux. Hier j’ai regardé l’émission sur les aéroports et les avions au canal explora. J’ai enregistré aussi une cité dans le ciel je trouve ces émissions passionnantes. Je veux pas passés pour un plouc aux journées internationales. J’ai dormis un peu, je remercie tous les gens qui ont travaillé dans l’ombre pour que je fasse ce voyage. C’est vendredi la semaine est presque finis, mon ami col bleu dois me téléphoner… Je me suis fait mal avec mon sac-à-dos. J’ai hâte de voir quelle température il va faire en France à la fin du mois. Je vais passer à la caisse chercher de la monnaie pour la lessive et des euros pour le voyage. J’ai terminé mon café. J’aime bien vous écrire dans la nuit mes écris, mon sentis semble plus à propos. J’entends le bip d’une machinerie qui recule, j’aimerais bien rencontrer aux journées internationales ce monsieur avec qui j’avais partagé la scène en Guadeloupe, un haut-fonctionnaire français. J’ai un peu peur que ces journées soient anarchiques. Je vais faire confiance. Je suis plongé dans l’écriture, j’espère que vous appréciez, y’a une odeur de gaz d’échappement de voitures. Je fais défiler la page word sur laquelle j’écris et je pense au rouleau de Jack Kirouac. Bientôt les bars vont fermer, la nuit de jeudi c’est souvent une grosse nuit, plusieurs ont eu leurs paye et vont se saouler en cherchant l’âme sœur. Ils vont rentrer seul à la maison, ils ne cherchent pas au bon endroit. Je reviens à ma thématique, heureusement cette nuit je suis pas trop angoissé. J’attends la facture pour le voyage, je veux la faire parvenir au plus tôt au Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l’est de l’île de Montréal. J’écris ça et j’ai peur de déplaire, soyez indulgent… En regardant le bulletin de nouvelles français de TV5 et d’autre émissions qui parlent de la France je me disait je l’aime beaucoup la France mais c’est pas que des shows télé… J’ai repris l’écriture du cahier ça deviens plus difficile, mon écriture est sur deux plans qui se nourrissent l’un l’autre. Je vous l’écris parce-que je veux pas arrêter. Vous avez le droit de me le dire si vous trouvez que je radote. Cette nuit contrairement à l’habitude je sent bon. Ce que vous lisez c’est un peu le journal de mes événements cervicaux, c’est très écervelés. Rapidement une ambulance passe en hurlant… Bien que je vais juste faire un transfert de l’avion au train à l’aéroport Charles-de-Gaulle à Paris je vais illustrer avec une photo parisienne. Je vais essayer de me débrouiller là-bas. Voilà! J’y suis presque encore pour cette nuit, quelques mots encore pour les fervents lecteurs. J’arrive à la fin et comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

jeudi 8 mars 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir je suis prêt à partir. J’ai mon billet d’avion et ma réservation d’hôtel pour la fin du mois. Cette semaine j’étais très nerveux mais tout s’est bien passé. Ce soir je suis calme ça me fait du bien. La semaine prochaine je vais préparer ma communication. J’ose pas trop encore vous imposer mon senti. Je vais voler sur Air France, je crois que c’est bien… L’hiver s’achève encore avec la neige bientôt le printemps je crois… Je pense à nos snowbirds et à leurs Courailleuse à la chaleur en Floride. Dans l’avion je vais avoir la vidéo individuelle, j’ai trois paires d’écouteurs de mes vols précédents. Je suis heureux de partir pour quelques jours et d’aller voir ce qu’ils font en santé mentale, les innovations participatives dans les autres pays. Je crois que je serai un bel exemple de où on est rendus au Québec. Je vais voir si les stigmates sont toujours présents dans les vols d’avions internationaux. J’ai pas l’intention de faire scandale. Je racontais hier à mon lecteur de Deux-Montagnes que j’avais retrouvé mon bon pas de marche je suis très heureux de ça. Aujourd’hui c’est la journée de la femme, pas la fête, mais la commémoration des différentes luttes que les femmes ont menés et mènent encore pour l’égalité dans toute les sphères. Parfois je me plaint mais j’ai pas subis la discrimination et pas vraiment l’ostracisme qu’ont vécues plusieures d’entre elles… Parfois je suis un peu macho mais j’ai pas le tour avec elles. J’ai repris la rédaction des cahiers, ai relu le carnet de notes espagnoles, je crois qu’il y a quelque chose a faire avec ça… Avec l’âge je m’intéresse au monde, la sexualité ne me mène plus ça aussi j’en suis heureux. Vous pouvez dire que je suis un vieux fou je suis très confortable avec ça. C’est du domaine du sentis, je suis un peu fatigué, de dire les mêmes choses avec les mêmes mots, c’est pour ça que j’essais de vivre du nouveau. Je pense à l’hôtel de Lille, c’est quatre étoiles ça doit être pas mal. Ma place dans l’avion est sur le côté de l’allé c’est ce que je préfère… Un paranoïaque comme moi « normalement » ça voyage pas, mais ça fait partie aussi de ma folie de me battre contre ça. Je pense aux cris que j’ai entendus dans le métro hier c’est tout comme si ces gens savaient que j’avais cessé un médicament, comme si ils travaillaient pour une riche compagnie pharmaceutique qui me persécute… J’ai entendus mais j’ai pas vus ce soir je suis très calme là-dessus. C’est pour ça que j’aime plus sortir la nuit. Pendant ce temps-là chez moi, les voisins cognent les portes heureusement ce seras jamais comme la maison de chambres. Je suis solitaire mais je crois qu’il vaux mieux être deux pour se réconforter. Ce soir c’est comme ça que ça se termine. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! J’ai mieux dormis cette nuit. Il neige mais pas autant que prévu. Hier soir j’ai fait une présence à l’émission Folie Douce. Aujourd’hui j’espère avoir des nouvelles de Lille, disons qu’après une bonne nuit de sommeil je suis moins fébrile. Je sais pas trop quoi vous raconter, j’ai recommencé les cahiers c’est plus artisanal. Mon ami l’agent de programmation devrais m’appeler aujourd’hui… J’écoute ma voix intérieure, c’est pas polyphonique comme souvent dans la schizophrénie. Hier je me suis endormis vite… C’est jeudi la semaine est presque finie… J’attends les fonds pour payer le voyage, ce matin il est tôt, en Europe il est dix heure. J’ai des souvenirs de la shop d’un vieux monsieur qui y travaillait, maintenant c’est moi le vieux  je n’y suis plus dans la shop. C’est mal rédigé… J’ai de la difficulté, je me souviens d’une année où à la même date je m’étais rendu à la Guadeloupe pour les journées de santé mentale, y’a pire je dirais… Pendant le mois je devrais faire le livre vivant à quelque reprise… Ça aussi j’attends des confirmations. J’écris pas rapidement, je pense à ce que je veux vous dire de mon senti. Je crois que parfois les cris que j’entends sont bien réel, que ce sont des gens qui les fonts quand ils me croisent dans les corridors du métro. J’ai hâte de partir, j’y vais avec Air France, ça promet, je prendrai aussi le train… Je crois qu’à la gare de Lille je vais prendre un taxi jusqu’à l’hôtel. On croit souvent que les schizophrènes ne peuvent rien faire d’eux même, c’est faux, je me bats aussi contre ce stigmate-là. Ce matin je puais vraiment, ai pris une douche et ça va mieux. C’est le petit matin, je pense au prochain voyage, j’attends des nouvelles, je me répète, j’ai vue des photos de l’hôtel ça semble bien. Je vais me préparer pour faire la communication, je crois qu’ils ne m’attendaient pas seul… J’ai hâte de me retrouver dans l’avion, l’organisation mondiale de la santé c’est pas rien. Je me souviens plus si je l’ai écris, j’ai retrouvé mon souffle et mon rythme de marche, je suis content. Hier j’ai lu un texte de ce blog à la radio, j’y ai donné l’adresse internet. Semble qu’on va pouvoir m’entendre au Canada « coast to coast ». Il neige encore, la matriarche va pas trop bien je crois qu’elle trouve l’hiver long, elle n’en sera que mieux quand le beau temps va revenir.  Voilà encore quelques mots pour l’édification de mon sentis, je sais c’est de la folie mais j’y aurai passé ma vie. Écrire! Voilà ce que j’ai toujours voulu, lentement, toujours mais en y pensant pas trop en étant plus dans l’instinct… Je retourne me coucher en attendant que le téléphone sonne. Ça y est presque pour cette nuit comme toujours c’est à l’arraché. J’espère recevoir un courriel de Lille pour confirmer ma présence. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

mercredi 7 mars 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cette nuit ce qui me préoccupe c’est mon départ pour Lille, à moins d’un changement de vrai dernière minute je devrais partir. J’attends des nouvelles de là-bas pour avoir le programme des deux journées et confirmer ma présence. C’est assez pour provoquer de l’insomnie… Je suis pas très fort sur les préparatifs de voyage, ce que j’aime c’est le voyage même. J’ai dormis qu’une couple d’heure, je veux étirer mon séjour d’une nuit… Je suis impatient je voudrais que ça se fasse comme par magie. J’aimerais que vous compreniez mon sentis cette nuit, j’ai hâte de partir. Avant je dois préparer ma communication, l’agent de programmation va m’aider… Parfois j’oublie ma puissance supérieure comment j’ai pas beaucoup de pouvoir sur les choses pourtant les journées internationales sont sur l’empowerment… J’ai tout le temps peur de faire une gaffe. Je vais y passer que quelques jours. Me reste que quelques repas à prévoir. Je crois que l’adresse que j’ai donné pour assister aux journées c’est la bonne. Mon sentis est pas très fort cette nuit c’est très cérébral. J’ai hâte que les français répondent. Peut-être que d’autre québécois vont être là, je suis déjà en mode nuit blanche. Là-bas je devrai prendre des notes pour faire un rapport de mon séjour. Les journées internationales du CCOMS sont intitulées,  « Citoyenneté et empowerment en santé mentale : innovation participatives en France et à l’international ». Je vais leurs parler des patients-partenaire de l’expérientiel et des différents comités auquel j’ai participé, je vais essayer d’élaborer là-dessus et l’importance d’être dédommagé monétairement. Ce soir j’enregistre une émission radio. Je vais être franc avec vous je sais pas où je vais avec tout ça mais j’y vais quand même. Je vais essayer de me calmer. C’est important, je vais y arriver. Je crois que je vais leurs parler de ce blog, ça cadre bien avec les nouvelles technologies. Cette nuit ce que j’écris est un peu répétitif. Je suis bien éveillé je m’en fait pas pour l’insomnie… Je vous rédige ça et après je retourne au cahier c’est important. Du calme, du calme c’est ce que je veux un jour à la fois, je pense au train j’espère qu’ils seront pas en grève, je crois que c’est pour ça que je voulais étirer le voyage… Je sais je suis un pauvre fou qui combat le stigmate de la maladie mentale, une sorte de Don Quichotte, je suis pas le premier à écrire cette image. Ça aussi devrais être dans ma communication. Je pense que les imprévus sont ce qu’ils sont faut faire avec. Sur France vingt-quatre ils parlent d’une grève à Air France… C’est un peu ça l’aventure. Quelques mots encore pour terminer, ma limite elle est là si il y a grève ça me rend doublement impuissant. J’ai eu peur je croyais avoir perdu ce texte, mais non je l’ai retrouvé. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! C’est la chute comme toujours de la même façon. À la prochaine j’espère!!!
Bernard

lundi 5 mars 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore debout cette nuit, je sais pas trop quoi vous écrire. Hier j’étais à une rencontre du groupe d’entraide le matin et dans l’après-midi j’ai eu un atelier théâtre au Théâtre du Nouveau Monde, c’était fort intéressant. Je vais essayer de rédiger quelque chose pour la semaine prochaine. Ce soir j’ai une réunion du conseil d’administration d’Antenne communication, la semaine à commencer en fou. Je sais pas si on peut dire ça, comme toujours j’y vais avec mon senti, j’entends ronfler le voisin… Hier je suis revenus en marchant du théâtre, dans l’après-midi j’ai eu la chance de saluer la directrice. Mon corps n’est pas à vendre, mon cœur non plus et j’ai que le silence pour parler de mon âme. J’essais d’écrire à chaud de dire l’espérance au matin, vous savez et je me traine dans cette écriture du vouloir insomniaque. Je sais que parfois ma prose vous touche plus mais j’arrive pas toujours à cet état… Je suis assis en caleçon devant l’écran de mon ordi et j’essaye de vous dire… Hier j’ai traversé le quartier gay à pied, c’était très vivant, un gars sortais du sauna avec une gentille odeur de savon. Voilà où j’en suis… J’ai de la difficulté à nommer l’émotion, la nuit comme ça tout est bien silencieux, je suis beaucoup moins paranoïaque beaucoup moins peureux, j’essais de dire ce que je veux.  J’espère encore et toujours, je ne pense plus à la mort… Le voisin ne ronfle plus il est surement réveillé, à cette heure ci y’a des oiseaux de nuit encore debout, dans la nuit de lundi à mardi les boîtes sont quand même assez tranquille. Parfois quand je marche c’est comme si j’avais une épée de Damoclès aux dessus de la tête, j’ai peur tout simplement peur de la ville, je sais pas pourquoi, je sens une menace quelqu’un dans mon dos c’est l’angoisse… Dans le goulag occidental, la neige est presque toute fondue. À la campagne les érables coulent ça fait le bonheur des acériculteurs. Dans le frigo j’ai encore un peu de sirop… Lentement je médite sur ce que je veux vous écrire, l’idée c’est pas de faire mon intéressant, juste d’écrire le malaise où le bien-être, bien-être une expression souvent associé à la pauvreté à des prestations d’aide monétaire accordé par le gouvernement pour survivre en dernière instance… Le malaise est souvent là même si à tous les jours j’essais de faire du mieux que je peux. Je fais pas chanter personne, je saurais pas comment faire, le mal je suis pas très bon là-dedans. J’en ai presque terminé pour cette nuit, je suis vidé. Pour la photo qui va illustrer ce texte je veux juste vous dire que je suis pas infographe. Je crois que le voisin lave sa vaisselle pendant ce temps-là le texte achève, j’ai de la misère à terminer mais lentement j’y arrive me reste plus qu’à vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

dimanche 4 mars 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Faute de voyager, je regarde des films d’avion https://www.youtube.com/watch?v=QCv7SYn-v1Q sur la C-Series de Bombardier. Le petit film me fait vivre plein de souvenirs. J’ai jamais volé sur cet avion mais je connais assez bien les aéroports. Si vous saviez comment j’ai envie de partir, parait qu’en Thaïlande y’a pas de papier de toilette, faut nettoyer ses affaires à la main, j’aime moins ça. Faut bien que le paradis ais des défauts ça aurais pas de sens… Le C-Series 100 c’est un jet régional, je pense qu’il fait pas de longues traversées… Ma dernière envolée c’est quand je suis allé à Barcelone et à Madrid l’an passé, encore là les vols avaient pas d’écran individuel, je me rappelle qu’au retour j’ai regardé les deux films, un de super-héros et l’autre une fiction sur une enfant surdoué… Mon dernier voyage c’était pendant les attentats du dix-sept et dix-huit août l’an passé, j’ai été chanceux je partais pour La Rambla mais j’ai changé d’idée, je vous écris ça je vie toute sortes d’émotions… C’est aussi du senti ces souvenirs, cette nuit je me sens un peu comme dans un avion qui pars de Montréal en soirée, j’arrive toujours tôt pour le départ. Bon! Ce matin j’ai une réunion du groupe d’entraide et ensuite un atelier de théâtre, une autre expérience où on va tenter d’écrire en groupe, le théâtre c’est émotivement exigeant… Je vais le faire quand même… Le thème c’est je veux de l’amour. Je vous écris ça et j’en demande quand vous me lisez je crois que vous m’en donner. J’ai testé ma tablette électronique je crois que c’est possible d’envoyer des courriels. Je suis éloigné de l’émotion cette nuit, je suis de plus en plus abrutis, les Oscars m’intéressent pas, pas plus que tous les autre galas d’artistes. Je suis jaloux je veux en faire moi aussi de l’art, je sais pas si j’y arrive… Ce que je fais c’est exigeant, je sais pas pourquoi je pense à la bière comment ça me démolissait… Je suis un foul finis… Le mois de mars est commencé. J’écris la nuit j’ai rien retrouvé, je fais des phrases comme ça gratuitement sans aucun sens juste pour la beauté des mots, étrangement y’a une odeur de tabac je sais pas pourquoi y’a longtemps que je ne fume plus je confond peut-être avec le dessous de bras, l’aisselle, voilà! C’est encore un écris de nuit, y’a personne autour de moi qui blogue aussi… Je l’ai déjà écrit, la machine est là ce serait sotise  de pas s’en servir. Je vous le répète comme toujours vos commentaires sont les bienvenus. Lentement je m’achemine vers la finale de la nuit. Je termine rarement avec bonheur c’est maintenant lundi une nouvelle semaine qui commence, je crois que je vais être pas mal occupé. Tout à coup j’ai faim je termine ça et je vais manger. Voilà! Je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là. Je souhaite qu’il y en ais une prochaine!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est un dimanche de solitude. J’ai recommencé l’écriture des cahiers. Je croyais que ça me démêlerais mais au contraire ça rajoute à la confusion. L’ami trouve que je suis intelligent parce que je lui ai dit un mot qu’il cherchait. Vous savez que l’intelligence c’est pas tout… Une petite famille, le papa la maman et deux enfants passe sur le trottoir, lentement je deviens conscient de ma folie,  elle est émotive sans danger pour les autres mais avec parfois un désir d’en finir avec moi. J’y vais lentement sans poésie définitive, je veux m’installer dans la durée. Vous voyez peut-être où ça peut me mener. Moi je sais pas, j’écris sans destin, sans destination, sans dessein… J’ai beau vouloir ça mène à rien. J’aimerais avoir les mots qu’il faut, les mots d’espoir… Tout à coup la foi s’impose et on me ridiculise pourtant l’esprit est nécessaire, indispensable je dirais… Je le dis pour rester présent dans ma quête. Je reviens avec mon manque de confiance, ma paranoïa, parfois j’oublie de prier pour alléger ça. Non! Je suis pas un gourou, je suis seul et n’embarque personne dans mes histoires. Voilà c’est là que la poésie me quitte avec des mots de marins des expressions nautiques. En fait c’est ce mot embarquer, que je ne peux faire puisque je n’ai pas de vaisseau. Je répète je suis seul dans cette mer de mots. Ce vocabulaire c’est mon barda que je traine ici-bas. Je me dis que j’y arrive mais le doute est toujours là. Parfois je pense à ceux qui font le mal dans des lieux à vocation spirituelle, je n’y vais plus, je n’y vais pas… Donner moi un peu de bonté, je vous la rendrai pourquoi-pas?  Je tente d’écrire avec la foi, je me répète comme souvent. Je dois faire honneur aux mots, pesés toutes leurs beauté et savoir les utilisés.  Je sais pas, tout simplement, c’est remplis de fautes et d’erreurs pourtant j’y vais toujours et tout le temps pardonnez le pléonasme. Vous voyez je me perd, j’avance parfois pour mieux sauter et me péter la gueule avec de mauvais mots. Rien de nouveau, juste du doute sans héros. Je sais pas pourquoi parfois quand j’écris je pense à mon bôf, peut-être parce qu’il m’inspire. Pourtant il est loin d’être curé. Je suis entêté pourtant j’ai rien à prouver. Y’a un personnage de bandes dessinées qui comme moi se réjouissais d’avoir quelques centaines de pages consultées, c’est pas grand-chose… J’ai pris un break pour regarder la fin d’une émission sur les avions, la British Broadcasting Corporation c’est toujours intéressant. Une disgression voilà ce que je vous écris en ce moment. C’est moins grave quand c’est pour terminer. Je souhaite un bon voyage à la super-maman de Cantley elle rentre chez elle. Je termine là-dessus, moi je pars pas, je vous remercie comme toujours d’avoir lu jusque-là!!! On en rajoute un peu c’est pas fort, à la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!! Bye!!!
Bernard