vendredi 2 mars 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! C’est la nuit, je sais pas trop où j’en suis dernière journée pour savoir si je pars en voyage. Je crois pas on me l’aurais signalé avant. Le problème avec la santé mentale c’est qu’il y a rien à vendre, juste montrer où est rendu l’institut avec la pleine citoyenneté, l’empowerment. Ces journées internationales, notre participation, auraient pu démontrer l’engagement de l’institut… Je pense à ceux qui sont hospitalisé à comment la psychose les détruit, je pense qu’ils sont plus important que mes envies de peddler de la santé mentale. Mais je sais pas, je vais peut-être recevoir un appel téléphonique me disant que les fonds sont là. Je pense à la fin de cette fable, « tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse » je vais me briser avec la fréquence de ces textes… Je reviens encore à mon senti, il me reste un peu d’espoir. La nuit a longtemps été pour moi synonyme d’angoisse, de solitude avec personne à qui parler, cette nuit y’a pas de neige, je pense à la musique des années quatre-vingt au regretté Stevie Ray Vaughn qu’on ne voie pas dans les rétrospectives musicales. Je termine ce texte et je retourne au cahier, je pense au poète à sa difficulté de choisir le bon mot. Il faut l’écrire et le dire son état, je suis pas trop démolis, puisque l’intitulé est au présent, dans le moment je pense toujours au voyage. Je partirai peut-être plus tard mais à mes frais. Lentement j’avance dans l’écriture de cette nuit, la semaine prochaine j’ai une présence à la radio, ici les nuits sont calme. Parfois j’ai peur de pas y arriver, de rester devant l’écran dans le silence sans même ce douloureux babil. Je pense à mes lecteurs, lectrices j’apprécie votre présence… J’ai en tête la présence du patriarche dans mon enfance quand il me donnait mon argent de poche, ça à complexifier plus tard mon rapport avec l’argent et la figure paternelle. Mes bobos sont tous partis, les démangeaisons, le mal de dos et la pression tout est beau, j’espère que ça va rester comme ça. J’essais de revenir aux émotions à les nommer c’est peut-être juste des impressions, j’arrive pas à mettre des mots sur ce que je vie, c’est peut-être de l’impuissance. Y’a quand même un amour des mots. Là j’ai un parfum de départ, un parfum d’aéroport, c’est peut-être la schizophrénie qui fait que j’ai de la difficulté à nommer ce que je vie. J’aime pas me délester avec la maladie elle a le dos un peu trop large. Lentement la nuit avance, j’ai mangé des croissants et une banane… Le matin arrive j’ai enregistré une émission de télévision sur les aéroports. Je sais pas avec quelle photo je vais illustrer. J’espère que le recueil Spirou s’est bien rendus. La finale c’est toujours difficile. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour une chute raisonnable. À la prochaine j’espère!!!
Bernard

jeudi 1 mars 2018

Au présent


                        
Bonjour! Bonsoir! Je mange des Lifes Savers. Après-midi triste et nuageux. Ce matin j’ai fait prendre ma pression semble que tout est o.k. Ce soir je crois que beaucoup vont s’ennivrés, les pauvres vont relaxer… C’est des préjugés tout ça, quand même il s’agit de survivre, sans travail dans un petit logis. Je me rappelle il y eu un temps où je partais en taxi pour boire mon chèque, ensuite c’était l’ambulance parce que j’étais psychotique… Je vous l’ai raconté cette histoire, déjà… Je veux pas savoir comment les autres font, moi je bois pas, je paye mon loyer et mes factures comme le bon gars de la chanson, pas d’alcool pas de tabac… Je sais vraiment pas quoi vous raconter, je crois que je partirai pas c’est peut-être mieux comme ça, je devrais avoir des nouvelles demain… Hier c’était l’atelier théâtre, y’a beaucoup de travail en perspective… Je me pose toujours la question si mille mots par jour c’est suffisant pour être écrivain… Ça prend un peu de poésie dans tout ça, un peu de beauté, beaucoup de travail et un peu de talent… Ce matin j’ai fait les courses, pas de plat préparé, trop de sel, je vais faire mijoter quelques légumes et mieux manger. Vide, je suis vide, j’écris rien d’utile quand je terminerai mes jours ont pourras dire il était obsédé par l’écriture mais c’était pas un très bon écrivain. Hier on m’a un peu flatté en me comparant à un grand écrivain connus. Faut pas que j’embarque là-dedans j’écris à ma façon… J’ai de la difficulté à commencer un autre cahier… Souvenir à la maison du patriarche, je soupais et tout de suite après je marchais jusque dans le bas de la côte comme on disait dans le temps… J’entrais au restaurant El Rancho pour voir si les copains y étaient, je prenais un café j’avais pas encore commencé à fréquenter la taverne du Central. Un grand bum, voilà ce que j’étais, ce que je suis. J’étais toujours dehors je tenais pas en place, jusqu’au moment où le patriarche m’a mis à la porte, j’avais tellement peur, j’ai gueulé longtemps. Justement ça fait longtemps tout ça, le patriarche est plus là, il peut pas le raconter… La schizophrénie venait de frapper, j’avais pas de job,  pas d’argent je pouvais pas louer de logement, paranoïaque, anxieux, angoissé c’est une page de mon histoire que je voudrais bien rayer. Je vous la confie cette histoire je voudrais pas que personne la vive, je suis pas sortis de l’adolescence avec bonheur, j’ai pas voulu étudier voilà où ça m’a menée… Ça sert à rien de revenir sur le passé, pour le futur il m’en reste plus beaucoup mais j’aurai fait de mon mieux avec  ce que j’ai. Voilà, je crois quand même que j’ai de bonnes valeurs. Je les ai retrouvé dans ce délire et m’y suis réfugié. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’essairai de vous en écrire d’autre À la prochaine j’espère!!!

Bernard
                                                                                                                                                   

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Hier première répétition au Théâtre du Nouveau Monde, j’ai eu du plaisir c’était intéressant. Avant de m’y rendre j’étais anxieux mais ça a finis par passer. Cette nuit mon senti est tranquille, je suis en paix, visite au dispensaire ce matin, je rencontre l’infirmière pour vérifier ma pression… J’attends des nouvelles pour le voyage à Lille aujourd’hui ou demain, après il seras trop tard. L’ami agent de programmation tiens à ce que je m’y rende c’est pas rien c’est organisé par l’Organisation Mondiale de la Santé… C’est étrange je suis presque heureux cette nuit, me suis acheté un cahier, j’ai beaucoup envie de revoir Paris… Hier je regardais une émission de télévision et vers la fin le signal a coupé, faut pas que ça arrive à un paranoïaque comme moi c’était comme si on voulais pas que j’entende ce qu’ils diraient… Je pense à préparer mes bagages, il faut aussi s’inscrire au congrès pour qu’ils préparent la programmation tout ça c’est des hypothèses je sais pas encore si j’y vais… J’espère que les petits gars vont recevoir le recueil de bandes dessinées et que ça va leurs plaire. Je pense à la rue Mouffetard… En France ces temps-ci il fait très froid et il neige, j’espère qu’à la fin mars le temps auras changé. J’ai retrouvé un bon pas de marche et j’ai du souffle. Y’a aussi que la Société Nationale de Chemin de Fer va peut-être être en grève pendant mon voyage, j’envisage de prendre un avion Paris-Lille… Déjà jeudi, le temps passe vite, c’est bon signe. Aujourd’hui j’aimerais bien savoir si je pars… Je confie tout ça à ma Force Supérieure. Je prends plaisir à vous écrire cette nuit, je suis bien réveillé et reposé. La voix me dis d’attendre de pas trop parler du voyage je peut être déçu. Je sais pas si c’est un atout d’être un patient-partenaire pour représenter l’institut comme toujours je ferai de mon mieux. Y’a pas beaucoup de poésie ce matin, j’y arrive pas… Loin, loin, je veux m’y rendre… Je sais pas pourquoi je pense à la charcuterie, si c’était tout simplement parce que j’aime ça. Y’a mon neveu qui est charcutier… Je sais cette nuit c’est pas fort ce que j’écris, je suis presque vieux hier dans l’autobus une jeune fille m’a offert sa place, je descendais au prochain arrêt, j’ai pas eu besoin… Juste pour dire qu’il y a encore de la bonté. Je vous écris ça et je vois pas le temps passé je suis comme dans une bulle à l’épreuve du temps. Je salue les snowbirds et leur visite remercie ma lectrice privilégiée pour ses commentaires… Vous semblez si bien sur la plage c’est extraordinaire… Je cherche la finale… Je vais y arriver avant que la nuit se termine, encore une fois l’écriture m’aura allégé de cette angoisse nocturne. Quelques mots encore pour terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Y’en auras d’autre une autre fois. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

mardi 27 février 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore cette nuit j’ajoute ma voix de schizophrène en espérant qu’elle soit poétique. Je veux un peu trop je crois, j’y arriverai pas de cette manière-là mais j’essaye quand même… Y’a de grands souliers a chaussé dans la poésie québécoise, les poètes me sont toujours apparus comme des surhommes de Nietzche, des surhumains si j’ai bien compris autant dans la peine que dans la joie. J’ai un peu peur de jouer dans ce champ-là, peur du nazisme qu’il peut évoquer. J’ai lu Nietzche mais je ne me souviens que de ce concept. Je devrais me taire mais la nuit me rend volubile… Sous le régime nazi on m’aurais éliminé c’est ce qu’on faisait des invalides. Ce que j’écris c’est ma contribution à la société, bien maigre mais présent et vivant…  Philosophe où poète?  Je sais pas, j’ai pas réussis à développer une pensée qui a du sens, après ces longues nuits accompagnées d’éther tout ce que je peut dire est volatile… Je sais pas si je peux parler de concrétude, de pieds sur terre dans l’authenticité et la vérité. J’appelle, j’appelle
À la poésie       à cette narration
Du senti
Mais non, il avait tort
Y’a encore des causes
À la grandeur de l’homme…
Ça me vas pas trop bien, mais j’aurai un peu tenté, ce matin je vais poster le recueil au petit gars. Je vais aussi m’acheter des cahiers pour rédiger cette pièce sur laquelle on va travailler… Je sais pas si je vais être capable de travailler comme ça… J’ai demandé à Dieu qu’il me donne une réponse pour le départ à Lille, je l’ai Prié, vous trouvez ça rigolo? Mais c’est ma dernière instance quand l’angoisse est trop forte… Je plonge en moi
Et j’adore
Les pas les marques
Sur le sentier sentimental
L’amour fauché
Réchauffé
 Ce voyage, j’espère que la neige auras fondu. Je m’en vais chez les chtis. C’est la nuit étrangement je me sent comme un dimanche, je vois les poètes dans le désespoir, écrivant accompagné d’une caisse de bière, s’enfonçant dans la douleur éthylique en retirant des joyaux poétique. Vous vous demandez surement à quoi je veux en venir? Je tiens mon bout, juste dire que c’est possible, que tout est encore possible c’est pas la fin des temps on marche pas la tête haute en sifflant. J’aimerais bien que le désespoir m’abandonne.
Thématique solitude
Près du mot
Avec l’envie
D’en écrire gros
Impérial impériaux
Comme un salaud
Cette nuit j’ai essayé une autre forme, je voulais juste aller chercher des émotions différentes je sais pas si j’y suis arrivé. Lentement j’approche de la chute, je tombe ai perdus l’équilibre narratif, ça n’a pas de bon sens, si sens il y à… Je termine en pensant à ce départ, j’espère que je vais le faire. Je vais me préparer  pour la communication. Je veux rien briser, juste adorer. Voilà! Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Il est minuit le temps que je finisse. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cauchemar, j’étais dans l’atelier, je brisais les angles des pièces, trop aigu et coupant. Discutais avec le mécanicien de machine fixe pendait que le contremaitre passait, j’en avait peur, je cessais ma jasette un gars passait avec une job que j’aurais bien aimé faire avec la perceuse. C’était y’a longtemps tout ça, je ne suis plus là… Je pense à ce voyage, j’ai hâte d’avoir la confirmation… C’est difficile de vous écrire ce matin, je « travaille » mon senti, Lille je crois que ça vas être à la dernière minute, on disait que ça se ferait dans l’urgence, elle a changé d’endroit pour moi l’urgence. On me dis de pas m’en faire, c’est difficile, j’aimerais bien savoir quand je vais partir. J’attends, je veux pas payer de ma poche. Ce matin j’ai dormis ça m’ennuis de pas savoir si et quand je vais partir… La pression elle est là pour moi aussi. Je sais pas trop sous quel angle prendre ça cette confirmation de départ qui n’arrive pas. Douché et rasé voilà pour ce matin un doux parfum… Si c’est trop tard je peux toujours refuser de partir, la Société Nationale des Chemins de fer annonce une grève pour la mi-mars çe seras pas simple, je vais peut-être prendre l’avion de Paris à Lille. Je suis anxieux… Lavé la vaisselle, si il vous plait pleurez pas trop, j’ai souvent de la difficulté mais je m’en tire. Deux téléphones ce matin, un de l’agent de programmation qui me dis de pas m’en faire et l’autre de l’ami chargé de projet pour réviser la phrase qui me présente aux bibliothèques vivantes. Le téléphone sonne, y’a personne sur la ligne, j’aime pas ça pour moi c’est anxiogène. C’était le numéro du chargé de projet. J’ai de la difficulté ce matin, l’anxiété est là je pense au départ. Je crois qu’avec tout ça je vais me ramasser en prison. Mon lecteur de Deux-Montagnes dis que je fais rien de grave… Pourtant je crois pas être un crotté… Je sais pas où est l’ennemi, celui qui m’en veux, ça fait des dizaines d’années que je vie avec cette anxiété c’est peut-être un résidu de la schizophrénie. Voilà où j’en suis avec les interdits… Bein oui! Je me fait dédommager pour mes activités, c’est pas une fortune ça me permet de mieux manger. J’ai mis la télé, l’émission judiciaire, les publicités me tuent. Je regarde ça je me sent mal, tous ces criminels… J’écoute ce que mon senti me dis, c’est rare que j’écris le matin. Demain je vais m’acheter un cahier, je retourne au papier. Ce matin bien qu’on m’ais dis de pas le faire je m’en fait. Elle est très laide cette phrase… Ça se promène dans ma tête, c’est-ce que je vous écris. Je crois que ce seras tout ce matin. Je vais terminer là-dessus en vous remerciant de m’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore, j’aurai écris à toute les heures. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

lundi 26 février 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Le souffle m’est revenu ça marche mieux. J’y arriverai jamais à faire ma marque. J’écris oui mais il semble que ce sois pas suffisant. Je suis vieux j’ai pas le temps d’apprendre toute sortes de règles d’édition. Il fait doux, les voitures passent les fenêtres ouvertes et s’arrêtent au feu rouge, on entend la radio, des shows pour le retour à la maison. Le soleil est magnifique, je travaille les mots. Dans mon quartier je risque de mourir empoisonné par la circulation automobile. Vous le savez je l’ai déjà écrit. Vain! Ce sont de vains efforts. J’arrive à rien. Parfois je crois qu’on me vole des textes, c’est possible mais c’est pas grave… Ces jours ci c’est l’abandon qui m’habite, je pense à ce coach sur facebook, on peut pas le critiquer il a réponse à tout. Je veux pas imiter personne, je suis pas tant assoiffé de réussite. Je me permets d’écrire comme ça pour vous faire lire. Je peux pas vraiment écrire sur le succès je le connais pas. J’ai choisi l’écriture y’a longtemps, j’étais encore dans la dèche et ça semblait être ce qu’il y avait à faire… Aujourd’hui j’ai pas envie de m’auto-dénigrer, je sais pas où aller. Soixante et un ans, sénior sans métier, j’ai le temps de mourir avant d’y arriver. Cette semaine je commence une rédaction en groupe, je sais pas ce que ça va donner… Ça se transformeras pas en or, j’aimerais juste que ça se transforme en art… J’ai quelques idées que j’écris pas ici, j’attends je serai peut-être inspiré. Le grand écritoire on l’efface quand on veut, je veux juste écrire d’une manière correcte sans plus, pourtant c’est du délire je répète et répète c’est déjà sénile… Y’a un parfum de panure ce soir, c’est pas de la haute cuisine… Voilà c’est la fin du mois, les voleurs de vélo ont faim, y’a longtemps qu’ils n’ont plus un sou, à l’époque un vélo usagé sur la rue c’était vingt-cinq piastres. Je vous ai souvent écris que j’aimais pas la routine mais ce blog ça en est une. Un autre parfum, celui- là de métal, je sais pas si vous êtes déjà entré dans un atelier d’usinage y’a une odeur toute particulière, j’aime pas ça… C’est pas fin, comme dans finesse, ce que j’écris… Je tente d’écrire crûment ce qui me passe par la tête… Me tenir loin des clichés. Le soleil… En voilà un cliché je le laisse passé j’y arrive avec difficulté, j’aurais aimé être un vrai artiste, me semble que parfois c’est de la frime. Ce qui m’étonne c’est que je regarde des films comme cette série la Cure, qui me dérange, j’ai quand même visionné tous les épisodes c’étais désespérant, je voulais mourir.  Voilà! C’est ici que je vous ai amené ce soir, toujours dans le même univers. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!!! Je vais essayer d’être de retour bientôt. À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!! Arrivederci!!!
Bernard

dimanche 25 février 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout, j’ai dormis un peu, pense au voyage à Lille. Je devrais préparer la communication bientôt. Je vais me préparer un café. Pas encore minuit techniquement on est toujours dimanche. Je poste le recueil Spirou bientôt… J’espère que les petits gars aiment ça. Hier soir j’étais incapable de regarder la télé, c’est juste du show, du mensonge, les shows qui parlent des shows. Ces gens là nous parlent jamais de leurs quotidien, ils nous disent jamais qu’ils trouvent la vie plate quand ils font du ménage… Je suis probablement dans l’erreur, ce sont des artistes qui ont réussis. Je parlerai pas de ceux qui sont accusés de délits sexuel… C’est assez étonnant de voir que lorsqu’ils sont en position d’autorité ils en abusent… Je pense que l’émission Tout le monde en parle va surfer là-dessus longtemps.  En fait je suis jaloux j’aimerais qu’ils m’invitent à cette émission mais je crois que je saurais pas quoi dire. Les ratés on les invites pas. Bon je laisse ça là l’autodénigrement je vais essayer de me concentrer sur mon senti. Cette nuit comme souvent j’ai de la douleur, mais non je l’ai pas lu à l’ombre des jeunes filles en fleurs. La littérature ça intéresse personne, l’ami disait qu’il était accroché au livres qu’il en étais dépendant pour se « guérir » il est entré dans une bibliothèque pendant que les gens cherchaient un titre et il s’est dit qu’il n’avait pas besoin de tout ce savoir, reste quand même que quand on lui parle on a affaire à un érudit. Je pense aux médicaments à comment ça travaille l’âme… Le psy à Lille dirige ses équipes par téléphone, c’est ce que j’ai vue à ma première visite, je suis sortis de la salle j’était épuisé. J’ai pleuré… C’était à la fondation de la pleine citoyenneté où de la psychiatrie citoyenne si vous préférez.  Ça dort dur chez les voisins je les entends ronfler. J’ai terminé mon café je suis plus réveillé, je pense au train à grande vitesse en France à comment je veux pas me perdre dans la gare. Si j’y vais-je crois que je vais filer directement à Lille à ma sortie d’avion…. J’ai hâte d’avoir plus de détail. Tout ça c’est pas mon senti ça indique pas que mon âme est chamboulée, que la douleur m’agresse et m’oppresse. Je crois que pour me rendre à Lille c’est la gare du Nord. Je fais confiance si ce voyage à a se faire il va se faire. J’espère qu’à la fin du mois de Mars il y auras du beau temps en France. Le mois de février se termine, les gens commencent à avoir faim, c’est toujours la même histoire de prestataire. Encore cette nuit je vous en aurai écris un autre, me souviens du train entre Besançon et Lille, je crois qu’il y a eu un transfert à Paris. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard