mardi 16 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Cette nuit j’écris pour les insomniaques avec comme souvenir de douloureuse nuit angoissante. Heureusement les insomnies sont encore là mais la douleur est partie. À cette époque je me levais au milieu de la nuit avec l’angoisse du lendemain. Je crois que personne peut imaginer comment c’était dur, comment c’était difficile… Je sais pas pourquoi je pense à la musique du groupe Morse Code Transmission https://www.youtube.com/watch?v=HtRXnVkXuGg  Cette nuit je suis chez moi et je suis bien. Je pense au psychiatre qui voulait je crois m’apprendre à vivre, les femmes avec qui j’étais voulaient pas me laisser vivre la nuit. Je dormais pas j’avais trop peur maintenant mes insomnies de petit vieux je les vie bien… Je salue les snowbirds qui vont bientôt partir pour la Floride. Je crois qu’ils sont bien fier de leur Courailleuse. Hier le nombre de lecteurs à baissé, je vais revenir à mon senti… Je sais pas pourquoi j’ai cette chanson interprétée par Isabelle Boulay dans la tête https://www.youtube.com/watch?v=kXWT5E4Crgg c’est une très belle chanson qui me tire des larmes. J’en ai pas eu d’amour comme ça, hier dans le métro j’ai croisé une jeune fille qui me rappelait une copine dont j’ai plus de nouvelles, une écrivaine aussi qui avait mangé son pain rance avec qui j’avais beaucoup de plaisir à causer écriture et littérature. Je suis hypersensible c’est pas ce qu’il y a de plus aidant pour vivre, je vois pas les bons côtés de ça, juste les mauvais, la douleur dont je vous parlais au début…  J’essaye d’écrire des vers avec le mot sud, c’est trop difficile ça mène à rien… Je cherche l’image sans trouver, je savais qu’un jour j’écrirais sur cette machine… J’avais pris l’habitude d’écrire des je  t’aime sur l’ordi de la copine, ça fait longtemps il était pas en ligne. Le temps s’adoucit c’est quand même pas le temps de coucher dehors, il est passé minuit la taverne est fermé… Je pense à la vieille taverne du Cheval Blanc… Je vous écrirai pas là-dessus encore ce soir, je préfère et de loin le voyage. Notre lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord s’en va au Mexique je crois… Je peux dire que dans ma famille les gens voyagent. Je reviens à mes souvenirs de voyage en Guadeloupe, c’était magnifique, tout le plaisir de se baigner dans la mer au mois de mars, les plages de sable blanc à la mer turquoise, c’est magnifique. On était moi et le directeur adjoint en voyage pour les journées annuelles de santé mentale de La Guadeloupe, moi j’allais pas là pour en montrer mais pour apprendre, de toute façon d’après ce qu’ils disaient ils en avaient un comme moi presque guéris, je me souviens d’un événement au centre de Pointe-à-Pitre… Lentement je termine, vous pouvez pas imaginer comment je suis heureux d’avoir fait ce voyage, le plus difficile c’est toujours la chute, la finale, quand même je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il tombe une petite neige, mardi après-midi. Ça peut pas être plus l’hiver que ça. Je crois que mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord s’en va bientôt dans le sud avec sa douce. On lui souhaite un beau voyage… Moi j’ai souvenir de mon voyage à Cuba, j’avais bien aimé La Havane… J’irai pas dans le sud cette année j’attends des nouvelles pour le voyage à Lille en France. Me suis fait rembourser un montant payer en trop sur Amazon, j’ai eu un bon service, en fait j’ai pas remboursé j’ai juste annulé la facture. Je crois que je vais encore y aller avec mon senti, aujourd’hui je suis pas sortis, j’ai dormis un peu et j’ai commencé à lire un roman que j’avais dans ma bibliothèque. J’ai pas besoin d’acheter de livres y’en a plein que j’ai pas lu qui sont sur les tablettes. J’ai aussi regardé deux films documentaire sur les femmes itinérantes, sans domicile fixe, en France. Ça semble très dur. Hier en revenant de la réunion je marchais en pensant à comment ce serait difficile si j’avais pas d’endroit où habiter. Dehors dans le froid marcher pour pas geler essayer de trouver où coucher parce que les refuges sont plein et encore on entends pas souvent la difficulté de vivre dans ces endroits. Moi j’appelle ça la promiscuité,  parfois quand on a quelques sous on entre à la taverne pour de la bière ça permet un peu d’oublier la misère. Je vous écris souvent là-dessus c’est un sujet qui me fascine… Toujours le souvenir de ces années de bringue, des loyers pas payé et des créanciers qui me courent après. J’hésite à vous écrire là-dessus, j’ai peur qu’ils reviennent… Ai pelé des carottes et des pommes de terres, que je vais manger avec un steak et une saucisse, c’est loin de mon monde intérieur tout ça… Je crois que certains européens trippent sur l’Amérique, le Canada moi je suis un Canadien qui trippe sur l’Europe. Toujours le désir de partir pour les vieux pays… Chaque hiver je suis chanceux j’ai pas besoin de faire la manche. Mon lecteur de Deux-Montagnes collectionneur de voitures, m’a déjà dit que j’étais chanceux d’avoir déjà plus voyagé que le patriarche… J’attends des nouvelles sur des textes que j’ai soumis pour une lecture à la journée des libraires indépendants. Je crois que c’est au mois d’avril j’ai encore le temps. J’espère que l’ami de cette organisation va les apprécier. Y’a un voisin qui trouve ça beau chez moi, j’ai essayé d’y mettre de la couleur, de la vie, les éboueurs passent, ils ont surement froid.  Lentement les pommes de terre cuisent, me souviens que dans le tout inclus pour Cuba la bouffe étais pas très bonne… J’essaye de terminer ce texte sur une bonne note, faire une bonne finale. J’ai quelques mots encore je pense à Fidel. Voilà c’était ça pour l’instant. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

lundi 15 janvier 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Hier j’ai assisté à mes deux réunions, un adjoint à la direction était là pour nous expliquer vers où ils s’en vont j’arrête là c’est confidentiel ce qu’il nous a raconté. J’ai compris que ça prendrais au moins sept ans et qu’ils semblent très pro patient-partenaire et que c’est appelé à durer. C’est toute une histoire des locaux du CIUSSS de l’est de Montréal de leurs utilisation optimale. J’ai hâte d’avoir des nouvelles de la fondation pour les différents projets. Hier j’ai beaucoup marché à peu près l’heure conseillé dans la publicité, étrangement malgré le froid j’arrivais à marcher moins vite mais je marchais… J’aimerais beaucoup me rendre aux journées de Lille, me semble qu’on a quelque chose d’original à dire et à rapporter. J’espère que la direction va accepter. J’aime beaucoup donner de mon temps, j’apprends des choses nouvelles… Je leurs racontais que pour moi je devais trouver la balance entre activités dédommagées de Reprendre pouvoir et activités bénévole du comité des utilisateurs, les deux se marient pas très bien un est « bénévolat » all the way je crois que c’est à cause du côté militant du comité des utilisateurs, là-dedans ma paranoïa est un peu à l’envers. Je vois le malade qui se sent persécuté et pour qui la maladie se sont les autres. Je crois qu’il fait pas appel au comité pour les bonnes raisons. Je crois pas que c’est très utile de magasiner un psy. J’ai de la difficulté à vous expliquer ça autrement que par des requètes inutiles, dans la psychose y’a souvent cette idée de persécution qui fait dire mais non je suis pas malade, pourtant… C’est toujours la nuit, ce soir j’ai dormis… Je pense à mon lecteur insomniaque de deux montagnes… Moi je suis chanceux, j’ai toujours demandé à consulter, j’ai toujours cru que le problème c’était moi, cette invivable angoisse elle partais de moi, aujourd’hui c’est beaucoup moins présent… Hier on me demandait ce que je faisais dans la vie, j’ai répondu que j’étais trop occupé pour travailler ne serait-ce que d’écrire ce blog quotidien ça me prend tout mon temps… Je vais revenir à mon senti, aujourd’hui j’ai pas à sortir dehors c’est bien j’irai pas me geler la face dehors… Je sais pas si la direction santé mentale va prendre exemple sur Trieste en Italie et fermer l’hôpital pour donner les soins dans la communauté. Je verrais bien la transformation des locaux en coopératives de travail. C’est complexe tout ça, l’hospitalisation si nécessaire dirais le psy en chef de Lille. Hier l’adjoint à la direction nous a parlé du manque de logement aux loyers abordables pour les gens qui sortent de l’hôpital, c’est aussi la psychiatrie citoyenne, la pleine citoyenneté qui dois prendre ça en charge, là où les groupes comme reprendre pouvoir peuvent revendiquer faire des représentations. Hier j’ai eu des réponses reste à voir si ça passeras l’épreuve du temps. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore une nuit d’insomnie. Je sais pas pourquoi je pense à la Sicile faut dire que j’ai vraiment été marqué par l’œuvre de Mario Puzo, mais dans la vrai vie c’est pas romantique, la mort toujours la mort partout… Je pense à ce poison le fentanyl qui tue, ils vendent ça parce qu’ils veulent faire un coup d’argent sans trop travailler, la dope c’est souvent à cause de la paresse des revendeurs, les consommateurs sont souvent blessés et veulent « soigner » leur blessure… Faut se méfier de ne pas tout perdre à cause d’un craving comme disent les travailleurs sociaux. Voilà sur la photo où me mènerais la consommation. Je passerais tout ce que j’ai là-dedans incapable de payer un loyer ou de coucher dans un refuge. Je suis pas guéris, je consomme pas juste pour aujourd’hui. Je trouve la vie plus intéressante comme ça, ne serait-ce que de prendre une douche quand je veux… Je peux pas toujours vous écrire de la poésie c’est très demandant, faut que je m’en tienne au réel, pas que la poésie soit pas réelle, c’est même selon moi la plus réelle des littératures qui plonge dans le vrai l’authentique. Je pense à ce gars qui a quitté l’hôpital avant d’avoir son congé, il a fuis dans  la nuit avec un drap pour roupiller, ses bagages aussi, c’est maintenant un itinérant sans affiliation, sans institution pour le soigner, lui crois pas être malade… Quand même on le soigneras pas avec de la lecture mais beaucoup plus avec des antipsychotique pour le ramener un peu plus au réel lui permettre de sortir de sa paranoïa et de suivre un traitement… Laissez-moi vous dire que cette nuit je suis très heureux de pas être à l’urgence et attendre pour avoir une civière dans un corridor… La dernière fois que je suis allé à l’hôpital j’ai rencontré un gars avec le même nom de famille que moi… Voilà, je suis près à coopérer pour recevoir mes soins, quoi que maintenant je suis suivis en première ligne avec un médecin de médecine familiale, je le consulte pas souvent pour la maladie mentale, Bell à commencer ses publicités, on cause pour la cause. Je suis toujours près à en parler de la schizophrénie, juste de montrer qu’avec le bon traitement et les bonnes valeurs on peut se rétablir.  Ça semble simple mais ça l’est pas, y’a des décisions à prendre de l’aide à demander ne serait-ce que pour trouver une activité qui va nous remonter, nous stimuler… En attendant j’écoute ceux qui souffrent, je peux vraiment pas faire grand-chose ils sont soignés par des professionnels. Je serais très prétentieux de croire que je peux mieux faire qu’eux. Voilà, j’ai passé la nuit chez moi sans besoin de téléphoner au neuf un un avec le souvenir de ce gars qui dénigrais ceux qui appelaient l’urgence. Voilà! C’est terminer pour cette nuit je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots, à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

dimanche 14 janvier 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Viens de manger une pizza comme le prolétaire que je suis. Demain j’ai deux réunions, une de mon groupe d’entraide l’autre du comité des usagers… Je sais pas si ce seras aussi froid qu’aujourd’hui… Je pense à la passion, au désir de faire quelque chose avec l’écriture. Je pense aussi à cette époque où j’étais très pauvre, on me donnait quelques boîtes de conserve et du baloney j’avais que ça à manger… À la fin de ma dérive je suis allé manger des hot-dogs dans la roulotte du regretté Pop’s. Je sais pas pourquoi le fait de savoir que cette roulotte étais là ça m’a aidé à me rétablir. Pauvre! Je le suis encore mais c’est suffisant pour un homme seul… J’essaye comme souvent de m’arracher l’âme sans faire de mise en scène, juste dire mon malaise. Je sais pas pourquoi après un moment à regarder la télé j’ai des pensées mortifères comme dirais l’ami… Je vous écris et ça m’aide à m’en débarrasser… Vous allez dire que je fais pas assez de sport mais ça m’ennuie quand je suis seul… Je vous écris pas une longue complainte à faire sauter les embâcles émotives pour se perdre dans une débâcle de mots malheureux, d’enfant de malheur. Ouais! C’est loin d’un roman fleuve, j’écoute le malaise… Je colore ma  singuliarité de pourpre, me saigne au frette de ces maudits mots inconnus, j’arrive pas à les repérer pour mieux les écrire pour ensuite les effacer. Parfois je me demande à quoi je peux bien servir, y’a au moins un lecteur qui dis que ça sert à quelques chose… Non! Je n’irai pas à la chasse au phoque, je laisse ça à mes camarades autochtones, je suis loin de la mer… L’hiver c’est la pêche et parfois la chasse… Je suis trop urbain pour ces sports là. Souvenir! J’ai longtemps été sans téléphone, je pensais toujours déménager et voulait pas le faire installer, ça fait un bout que j’habite au même endroit… Le tabouère de cycle anecdotique je l’ai pas… Quand on veux faire trop beau on arrive à rien… Des phrases pas de bouts. Faute d’écrivain je serai un grand bouffon triste, la larme comme une alarme, je serai avertis.  Le temps que je prends pour vous écrire me soulage m’apaise… Je pense que je vais m’en tirer avec un peu de gratitude autrement j’ai déjà connus pire. Voilà! Je regarde mon ombre sur le mur c’est ma seule compagne, l’angoisse est toujours là mais j’arrive à vivre avec… Je suis pas rigolo mais parfois nigaud. Je veux vous garder à bord du texte avant de vous jeter… Ma bouée ce seras d’autre mots auquel j’espère vous allez vous accrocher. Je laisse là la misère ce soir… J’ai débuté avec elle je termine sans… J’ai bien mangé, j’arrive quand même pas à faire de belles métaphores. Ce seras tout pour ce soir comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Je termine vraiment avec une finale, à la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Quatre heure du matin, les camions de déneigement passent rapidement. Mon écriture est pas égale j’arrive pas toujours à avoir de la force et à vous raconter quelque chose de neuf. Les heureux snowbirds s’en vont bientôt en Floride. J’ai une pensée pour celle qui est partie définitivement. Parfois je m’ennuie même si on s’entendait pas… Je vais encore essayer de vous inscrire mon senti. Je suis las à tenter toujours l’écriture de mon univers intérieur parfois j’ai le grand poète en tête en fait j’en ai deux ou trois qui ont fréquenté l’institut d’un bord ou de l’autre… Je pense à un vitrail que j’ai découvert dans un escalier… Ça sent plus la cigarette, depuis que j’ai arrêté je trouve que ça pue, surtout les cigarettes de contrebande. Je sais pas si les patients pouvaient fumer à l’époque des congrégations religieuses… La dernière fois que j’ai discuté avec le psychiatre chercheur il semblait regretter cette époque, aujourd’hui ce sont les services sociaux qui nous stigmatisent, les montants d’argent déposés partout en même temps… Le bas de la ville les maisons de chambres c’est là où vivent les anciens pensionnaire asilaire, si on reculait cent ans en arrière on m’aurait gardé chez les sœurs… Il y aurait une histoire des soins à écrire pour ceux qui étaient violent dans l’ancien temps… Je vais-je crois sortir cet après-midi, j’ai toujours l’image du poète il a finis à l’asile mais c’est pas plus mal, c’est autre chose qui m’habite depuis longtemps, au cours secondaire on aimait pas beaucoup qu’on s’intéresse au perdu… Me souviens de cette enseignante de français qui nous parlait de ses enfants qu’elle envoyait à l’école privée avec son salaire d’institutrice de l’école publique. C’est là je ne sais pourquoi que j’ai commencé à m’intéresser à la poésie, Francoeur, Péloquin… Je crois qu’on m’avait rayé de l’enseignement, je trainais dans les locaux étudiants en assistant parfois au cours déjà je n’en faisait qu’à ma tête… Je suis bien conscient qu’aujourd’hui je suis trop vieux pour la poésie. Je vous raconte ça parce-que je m’accroche qu’il ne me reste que ça pour pas mettre fin à mes jours, les vieux « poètes » c’est pathétique… Ain’t no rock’n’roll encore là c’est une affaire de jeunes hommes pas de vieux bonhommes… Je viens de me perdre, comme souvent quelqu’un est passé sur la passerelle pour aller je ne sais où à cinq heures du matin. Mais oui dans le bas de la ville les sœurs missionnaires de la charité s’occupent encore des laissés pour compte, de ceux qui en ont assez et se laissent dériver dans le malheur… Voyez-vous je le répète je suis un pauvre fou qui essais de vivre de mémoire… Ce que j’écris c’est pas important c’est juste le geste qui compte. L’enseignant universitaire me demandait combien ça faisait de pages milles mots, deux! Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Encore quelques mots pour vous dire à la prochaine je l’espère!!! Ciao!!!
Bernard

samedi 13 janvier 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! La neige a cessée. Tout ce qui avait fondu est revenus.  Pelé des pommes de terre et une carotte. Je pense à ce copain disparus qui ne croyait pas aux vertus curatives de l’écriture pour lui un poème une chanson c’était la même chose que le bottin téléphonique. Moi je vais absolument à l’envers de ça avec mon senti… J’écoute l’émotion ce qu’elle dis j’essais de vous l’écrire c’est pas facile et encore moins quand c’est pas douloureux… Il me racontait que si il était menacé de mort il devrais tuer le menaçant. C’est pas très bien ce que je vous écris là… Pas de poésie, la télé est sur le patinage artistique y’a surement beaucoup de poésie dans ces mouvements chorégraphié… Bon! J’ai mangé des saucisses italiennes fortes, à la télé ils sont passé du patinage artistique au football américain, un autre genre d’émotions… Fermé la télé, je vous reviens vraiment présent, le soir est tombé s’agit de m’inspirer… Les camions remplis de neige ronronnent devant la souffleuse.  Je suis chez moi, plusieurs n’y croient pas à la libération par l’écriture. Ils croient plus au pouvoir de l’argent, c’est pas dans mes valeurs… Je trouve pas quoi vous écrire, je veux aller trop vite pourtant j’ai tout mon temps… Y’avais des samedi où j’essayais de me remettre de ma brosse de la veille. Je vais pas dans cette direction là c’est trop fréquent… Les snowbirds font surement leurs bagage, la Floride je vais y aller un jour… Ce matin dans les pages voyage de LaPresse+ ils parlaient de la Guadeloupe un endroit que j’ai visité pour le travail avec l’ami adjoint à la direction, de belles plages de la verdure et une mer superbe, j’y retournerai… Quand il neige comme ça j’ai envie de vert et de chaleur. Le temps passe quand même rapidement. Je sais pas si nos différents projets vont être accepté par la fondation, ça en fait beaucoup, congrès, théâtre, livre ouvert… Je sais pas si la journée du livre des libraires indépendants vas avoir lieu, je vais y lire un de mes textes. Avec tout ça je suis loin de mon senti parfois y’a une odeur de marijuana… Je tiens ça loin de moi ça servirait juste à nourrir ma paranoïa… Quand je cherche quoi vous écrire c’est souvent une chanson qui prend la place, c’est là toute la difficulté, la tenir loin et écrire quelque chose d’original… Cette semaine pour une recherche on me demandait si mon père et ma mère avait étudié, mais non! C’était pas vraiment un bon exemple, j’aurais aimé mais j’avais pas d’aide et j’étais très fou. J’ai survécu, le psychiatre me conseillait de lire c’est ce que j’ai fait, n’empêche j’ai toujours admirer les gens qui ont fait des études… Je me serais tenus loin de tous ces petits ateliers où j’ai souffert… Maintenant il y en est plus question. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine comme toujours j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard