samedi 23 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore une fois je me lance et cherche le propos sur lequel je veux écrire. C’est certain que j’y vais avec mon senti même si mon lecteur en chaise roulante me dis qu’à toute les fois où j’évoque ça je vire de bord. Nous disions donc le senti qui pour un paranoïaque est toujours la peur devenant une sorte de moteur. Je me souviens du psy avec qui je voyageais qui me demandait si je faisais assez confiance au gens avec qui j’étais. C’était à Milan en route vers Trieste y’a pas eu de problèmes, on était dans un luxueux et confortable train. Comment vous écrire que pour moi la nuit quand je m’endors c’est une petite mort. J’entends l’annonceur parler de l’alcool en disant que c’est comme du Cool-aid que ça descend tout seul. J’ai jamais aimé le fort et la bière ça me faisait mal de boire ça… Je m’éloigne de mon senti bientôt minuit, c’était l’heure où on quittait la brasserie pour aller au bar finir la soirée éméché… Je me sent bien un peu endormis mais pas si mal… Je pense à ce type qui me parlais des petites truites sur un ton incestueux, il racontait les voyages de pêche avec son père c’étais pas jolie, jolie ça sonnait névrosé. Je veux pas que mon lecteur de la Rolls-Royce se sente visé c’est pas de lui qu’il s’agit… C’est dimanche tous les commerces sont ouverts, on entend vrombir les motos de grosses cylindrées. Y’a des gens qui ont le même discours depuis des années, ils ne changent pas moi j’espère grandir dans la vie me rétablir pour le mieux… Y’a un parfum qui me fait penser à l’Europe dans l’air, je pense aux amis directeurs d’hôpitaux français… Je sais pas si monsieur le pair-aidant de Québec va beaucoup parler de rétablissement, il est maintenant conférencier à son compte on lui souhaite bonne chance. Je reviens à mon senti, je mange des menthes souvenirs d’enfance comme si j’en avais jamais eux assez… Les bonbons c’est bon pour les personnes en rétablissement. Je vais quand même y arriver à vous parler de mon senti, à ces émotions qui me tordent le cœur, m’essorent l’âme. Cette nuit je suis pas en peine, l’été à Montréal y’a beaucoup de motos mais c’est jamais comme dans les villes européennes, c’est des espèces de scooter de grosses cylindrées. Ça me sert à rien de chercher la bibitte je me sent bien, heureux et tranquille, je sais pas si c’est ça la sérénité… Je suis pas habitué, l’angoisse est toujours présente mais elle fait moins mal… C’est difficile de nommer cet affect, je crois que c’est une affaire de couple quand on est seul on pense pas trop à ça. Je passe du senti aux choses matérielles, cette nuit je suis pas très touchant. Je termine et je vous aurai pas tout dis. Merci d’avoir lu jusque-là pour moi c’est toujours un plaisir de vous écrire!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’en commence un autre, il fait vraiment un temps superbe. Je crois bien illustrer avec une photo d’Espagne. J’aurai fait plusieurs milles avec ces photos http://legoulag.blogspot.ca/2017/08/schizophrenique-barcelone-et-madrid-1.html  Voilà encore une fois pour ceux qui manquent de lecture ça va jusqu’à dix. J’aime à croire que c’est intemporel. Cet après-midi c’était café dans le parc avec l’ami. Je prends mon temps… Mon petit bonheur c’est de vous écrire, j’arrive pas à parler en schizophrène. Parfois y’a des gens qui m’adressent la parole dans un langage incompréhensible, c’est ce que j’appelle langage schizophrénique, j’ai pas encore la parlure de ce genre là. Je cherche à faire sonner la langue, le temps m’amène à des propos que je ne veux pas avoir, je veux pas me perdre dans la licence et la litote… En dire moins! Vous n’auriez plus rien à lire, je préfère être prosaique… Dehors y’a une voiture qui klaxonne. J’aime bien l’application blogger, y écrire. Je sais y’en a qui aiment quand je suis laconique. C’est rare, les mots sont là pourquoi pas s’en servir. Tout ça c’est des propos d’apprenti poète. Je pense surtout au grand Pierre Perrault et à « la suite des choses » je continue malgré tout avec vous et parfois à court de mots… Ce soir je crois que le voisin cuisine des pommes de terre, une espèce de poésie culinaire avec son parfum.  De quelles grandes écoles sortent nos nouveaux poètes? On les formes pour la chose économique, la langue de bois et fuck la poésie… Une nation de gérant, voilà ce qu’on veut… C’est bête à manger du foin, j’allais écrire à manger du chien, mais question rentabilité le gérant serais content. Je vais pas m’embêter à essayer de terminer avant les actualités. Les nouvelles c’est toujours le drame, ça me fait parfois mal. Vous cherchez peut-être de quel senti il s’agit, c’est pas celui de la nuit. Je me réjouis vous voyez, on peut pas toujours être triste faut célébrer une arrivée dans les mots. Je sais pas pourquoi je pense à la Harley blanche d’une connaissance, une moto presque de police. En anglais on dis « poetry » pourtant je suis pas à court de vocabulaire pour nommer… La vaisselle trempe dans l’évier, c’est tout simplement le quotidien, y’a rien de magnifique, le curé dirais c’est l’ordinaire. Mais j’ai jamais eu affaire aux ecclésiastiques, j’ai perdus le fil à chercher la bonne façon d’écrire. Je cherche pas la cure, si ce n’est celle qui va me soigner, m’amener vers le rétablissement, la spiritualité je ne peux en faire abstraction… Vous m’envoyez me faire voir, une consultation chez le chamane… Je vais revenir avec des cigarettes et après avoir joué dans les machines, pas de sweat lodge je suis pas amérindien. Je pensais pas que mon senti se dirigerais vers ça… Je suis pas amateur de bingo, je préfère l’art. Je crois que j’en ai assez écris, je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

vendredi 22 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Toujours la même tentative, écrire mon senti, essayer de le rapprocher du dire. Il est minuit quinze nous sommes samedi. Je me prépare un café, pense à mes velléité d’écrivain… Hier pour quelques instants j’ai perdu mes bracelets santé mentale. J’ai pris une pause et je les ai retrouvé dans le lit entre le matelas et la bordure, c’était certainement un épisode de somnambulisme  où je les ai enlevé inconsciemment, somnambule c’est pour moi ce qui est le plus proche de l’inconscient. Je me demande ce que ça voulait dire. Enlevé les bracelets c’est surement sortir du monde de la maladie mentale, se poser comme « guéris » même si ça n’existe pas, essayer de savoir ce que je serais devenu sans soin psychiatrique comment écrire que la mort m’attendais que j’aurais pas résister à la lourdeur schizophrénique avec les comorbidités.  Ce qui m’ « aidais » à vivre en même temps me tuais… Je pense à tous ces boulots ingrats et je vais pas m’humilier à vous les décrire, non plus que m’auto-stigmatiser, me dénigrer, je crois que quelques un d’entre vous jouissent quand je fais ça mais cette nuit je veux pas me faire mal. Y’auras pas de bière pour me remonter, j’y vais de façon sobre. Vous voyez j’en sors jamais de ce sujet, je pars des bracelets et me retrouve dans ce qu’étais l’ivresse… Souvent avec l’ami on s’étonne que depuis tant de temps on discute encore de ça, l’alcool avait pris tant de place, on vivait de chèque en chèque en s’achetant de la bière avec de l’argent empruntée. Je pense que c’est une des clés de la sobriété ramener l’alcool au conscient avec le savoir… Vers où ça nous amène… Vous devez être tannée de lire mes délires, moi ça m’aide à rester sobre, encore cette nuit les bars sont toujours ouvert mais je préfère m’asseoir chez moi et vous écrire… Vue de chez vous c’est surement ça que vous dites, c’est un malade un maudit malade! Mais oui, c’était pas de l’ordre de la névrose mais beaucoup plus de la psychose douloureuse, c’est pour ça que mon rétablissement est parfois difficile mais j’y arrive… Les thèmes sont pas différents, ce que je viens de vous écrire est je crois de l’ordre du senti, faut savoir distinguer le senti de la psychose, la paranoïa disait le psy ça se raisonne mais pas la psychose il faut avoir des soins. J’en ai été conscient très tôt de cette maladie, j’ai galérer d’hôpital en hôpital, d’urgence en urgence… Je suis heureux j’ai plus besoin de m’y rendre, mon senti se porte bien… Je pense au discours impossible que vous fait tenir la maladie, comment la folie est dangereuse pour soi et les proches… Lentement je me rétablis, je pourrais aussi vous écrire sur l’affect comment les relations amoureuses sont difficiles. Mais ce seras pour une autre fois. Je termine en vous remerciant de m’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je suis pas très inspiré. Je lis un roman qui se passe à Barcelone, un roman policier… J’ai reçu par le courrier les recueils de bandes dessinées Spirou, que je vais lire pour ensuite les faire parvenir aux petits gars de Cantley… Je sais pas pourquoi j’ai l’âme lourde, l’automne déjà mais j’ai quand même de bons souvenirs de voyages en Espagne… C’est tout récent que je voyage comme ça, j’aime… Je vais placer une photo du Musée d’Art Contemporain de Barcelone maintenant en grève, sa conception est de Richard Meier, en construction de mille neuf cent quatre-vingt-sept à mille neuf cent quatre-vingt-quinze, pour ouvrir le vingt-huit novembre mille neuf cent quatre-vingt-quinze dans le quartier El Raval. J’ai beaucoup aimé ce quartier… Bon! Je laisse là les souvenirs de voyage et j’y vais avec mon senti, vendredi d’un beau temps pas ordinaire, la matriarche me disait hier que les feuilles avaient jaunies, dans ce temps-là je peut pas m’empêcher de pensés à Jacques Prévert et à Yves Montand… J’ai toujours le désir de partir même si je traîne cette saloperie de maladie mentale partout où je vais. Faut pas que je me laisse arrêter, souvenir du Adios du commandant de bord du vol Iberia. Je m’inquiète un peu pour le voyage de mes snowbirds, je crois que ça va bien se passés ce sont de bons voyageurs. Je pensais au climatiseur, il vient de démarrer il est bien régler. Moi je suis pas un grand voyageur, je vais apprendre avec le temps… Y’a mes moyens aussi qui sont limités, mais comme on dit c’est mieux que rien. J’aime bien prendre mon temps dans un bistro en attendant l’ouverture des musées. On m’a dit qu’il y avait pas de mauvais voyage, marcher dans Madrid c’est quand même pas mal. Je m’éloigne toujours de mon senti, je sais pas pourquoi je suis ému, je pleurerais… C’est l’heure de rentré à la maison, ça sert à rien c’est plein de bouchons, ça roule pas. Je vous place encore le lien pour mon « récit » de voyage http://legoulag.blogspot.ca/2017/08/schizophrenique-barcelone-et-madrid-1.html  vous pouvez trouver et lire les dix si vous êtes patients. Je sais plus trop quoi vous raconter, parfois j’aimerais avoir une amie pour me promener… Je crois que je suis trop bougonneux, je vais rester seul. J’aimais bien attendre un rendez-vous dans un bistro en prenant un café, bien que parfois je sais pas de quoi discuter… Je pense bein que je vais finir mes jours seul, je vais profiter de cette solitude pour vous écrire, vous faire lire, je sais pas si un jour ça va être de la littérature, je sais c’est plus, parfois, de l’ordre du journal intime. Entendu hier à la télé « un homme qui lis en vaux deux » peut-être mais quoi dire de celui qui écris? Ce soir je me dénigre pas. J’ai fait de mon mieux. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

jeudi 21 septembre 2017

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai dormis un peu, refait mon lit, je suis bien réveillé. Ai mangé un yogourt des balkans. Aujourd’hui c’est vendredi, suis heureux que deux lectrices m’ais signalé qu’elles avaient lu… Il est minuit quinze je suis plus réveillé que je l’étais dans l’avion. À l’altitude où il était les hublots étaient fermés pour créer une pénombre, y’a des gens qui dormaient. La prochaine fois je vais prendre l’option plus même si je bois pas d’alcool. Je mangerai tout de même pas le repas dispendieux créer par le chef Daniel Vézina à moins que pour faire changement je prenne une autre compagnie aérienne. Y’a ma lectrice de deux montagnes que je félicite, si vous voulez en savoir plus vous lui demanderez… Aujourd’hui je vous illustre ça avec ces chers avions, je racontais à mon lecteur de Deux-Montagnes que dans les réceptions je ne regardais pas qui buvais ou ne buvait pas d’alcool… Souvenir de cette époque où j’étais « roadie ». Je transportais avec mes collègues les caisses d’équipements de différents bands de musique souvent on devais monter ça au deuxième, on faisait ça rapidement ces nuits là je restais réveillé. Je me souviens aussi du grand rideau de scène noir… Je viens de manger maintenant j’ai sommeil, encore deux heures pour aller s’abrutir dans les bars « à la mode ». J’ai vu que la grenouille étais maintenant coin Saint-Laurent et Sherbrooke, le dernier cri pour les m’a tu vu aviné. Je me souviens j’allais entendre James McDonald dans ce coin-là. Je pense à l’ami recherchiste à la radio, j’ai lu ses textes je crois qu’il essaye trop d’écrire à la mode Rolling Stone où Best où  Rock’n’Folk… Je la connais la tonalité de ces revues je les ai lu longtemps, c’était pas toujours la classe. Le propre de ces magazines c’est d’être à la mode quand ce cycle là n’y est plus elles disparaissent, y’a que Rolling Stone qui résiste avec son huile d’olives. Y’avait un copain qui me parlais de la payola, cette façon qu’avait les gérants d’artistes de payer les disc-jockeys pour faire jouer leurs clients à la radio et monter de faux hits parade. Je crois que c’est plus comme ça l’industrie de la musique est devenue trop grosse, Angelil est plus là pour nous dire comment il a fait. Semble que hors des grandes compagnies y’a pas beaucoup d’argent à faire… Les bluesmen vont continuer à faire du taxi et des gigs la fin de semaine, l’argent va se faire sur les ventes de drink et de bières. J’ai souvent tendance à voir la présence du monde interlope là-dedans. Parfois y’avait une « légende » qui passait à Montréal, souvent un vieux bluesmen noir qui jouais pour ses drinks, le genre de gars qui traine pas beaucoup d’équipement et qui est pas payant. Chaque band avait son club, sa salle on y voyait souvent les mêmes clients. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Place à l’imagination… Barcelone manifeste, j’y étais pour les attentats et je les regardes manifester pour leurs indépendance. J’espère que ça causeras pas de problèmes à mes voyageurs d’Aylmer. Un paranoïaque de ma trempe ce sent responsable de tout ce qui peut arriver là-bas. Je suis allé à Washington, ils ont élu Trump, je vais à Barcelone y’a les attentats terroristes, je suis prêt à dire que c’est de ma faute et je vous parle pas de l’ouragan à Cuba où je me suis aussi rendu. Je suis responsable du sort du monde… Mais non je suis pas aller à Mexico, les tremblements de terre c’est la faute des essais de missile nord-coréen. Je vous le disais d’entrée de jeu c’est mon imagination… J’ai le complexe du complot assez fort. Il y a des morts je devrais pas parler comme ça pourtant, il va surement quelque part se trouver un journaliste pour nous parler de la théorie du complot. Y’a d’excellent roman qui sont écris sur cette base là. Voyons-donc on laisse Trump dire que le réchauffement de la planète ça n’existe pas… Je peux y aller de ma responsabilité terroristes et Nord-Coréennes. Y’a aussi eux des attentats à Paris y’a quelques années et je m’y étais rendu quelques années avant. Je vais vous épargner et rester chez moi, encore ils vont peut-être attaquer Montréal. J’écris ça prenez moi pas au sérieux, les paranoïaques et les complots c’est comme la mer et l’eau. Je me vois déjà aux mains de la police anti-terroriste juste pour avoir osée écrire le mot… Quand j’ai commencé à écrire ce blog je m’étais dit que je me servirais pas de l’actualité mais c’est difficile de l’éviter. Je sais c’est un sujet délicat et c’est assez facile d’étaler son ignorance. Mais non! Je me dénigrerai pas, il est pas question ici de mon senti, le seul que j’ai c’est la peur. Je peux pas vous en écrire plus. Non! Je termine pas là-dessus, je veux toujours rédiger le même nombre de mots. Essayer de vous dire comment je suis dérangé pour coller deux ou trois événements aussi éloignés. J’ai peur, j’ai peur qu’on m’arrête pour avoir écrit ça pourtant la liberté d’expression ça existe, même si cette expression est toute croche.  Ce que vous lisez là c’est vraiment l’œuvre imaginaire d’un malade mental. Je pense à la distance entre la parole et l’écris. Je semble pas l’avoir ici, malade mental j’irai pas plus loin pendant que dehors une voiture klaxonne, ça aussi j’en suis responsable avec mon énorme nombril, le monde tourne pas autour de moi, faut pas que je me laisse prendre au jeu. Je ne suis responsable que de ma personne. Cet après-midi j’étais loin de la poésie, j’écrivais une espèce de senti distortionné, le monde va mal et j’espère pas être touché. C’est pas terrible comme écriture c’est même pas drôle. Je vous laisse là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard  

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout très tôt, le goulag occidental est tranquille. C’est comme si enfin l’été étais là. Pourtant bientôt ce seras l’automne et ses couleurs, je sais c’est un cliché.  Je sais pas trop quoi vous raconter, j’ai hâte d’entendre l’interview que j’ai donné à la radio. Un peu plus d’une semaine et septembre se termine. Je pense encore aux avions, j’espère que mon public d’Aylmer va faire un bon voyage même si ça brasse à Barcelone. Je vous avouerai que pendant les dix jours passés en Espagne j’ai pas parlé beaucoup. Je me vois encore dans le jardin du Prado, c’était beau… J’espère que j’aurai jamais besoin d’être hospitalisé dans un centre hospitalier de soins de longues durées… Je pense à la matriarche qui se tire très bien d’affaire. Je vais vous placer pour illustrer une photo d’un tableau d’une magnifique catalane. Mon voyage c’est un rêve comme si j’étais jamais partis, pourtant je me souviens de mon départ à l’aéroport de Madrid sans trop de difficulté. Je vais mettre ça clair c’est pas une peinture qui représente la matriarche… Je sais pas si l’ami historien de l’art est toujours à lire ses polars, moi présentement je suis encore à Barcelone grâce à la lecture d’un roman policier… J’ai des démangeaisons aux mains, j’ai appliqué une petite crème, ça fait un peu efféminé, vous pouvez penser ce que vous voulez… Voilà une vieille chanson française aux couleurs de l’Espagne, Sombreros et mantilles https://www.youtube.com/watch?v=VuhUFgf7yyc  C’est presque du folklore. Je vais faire une autre tentative de vous écrire mon senti, je suis beaucoup moins angoissé que je l’étais, je veux pas toujours vous raconter la même histoire… J’ai mangé un peu, des céréales, je pense aux charcuteries du petit déjeuner à l’hôtel, j’ai toujours de la difficulté à vous écrire sur mon senti c’est des disgressions. J’écoute, j’écoute ce que ça dis parfois j’ose pas vous l’écrire tellement c’est indécent… Une autre indécence, mon nouveauté affilié à l’art nouveau. Quand j’écris je peut pas être autre chose que contemporain, les réseaux sociaux ne me le permettent pas. Je pense que la dame à la mantille c’est un thème classique de l’art Ibérique. L’angoisse m’a quitté cette nuit, et j’ai pas eu besoin de consommer Dieu merci! J’entends le tic-tac de l’horloge, je fais pas la différence entre l’anxiété et l’angoisse, je devrais moi qui veux toujours nommer les choses. L’angoisse est une manifestation possible des troubles anxieux, je crois que un ne va pas sans l’autre. J’associe beaucoup l’angoisse avec la mort, la peur de mourir. Présentement je crois que c’est à un niveau normal, quoi que la norme là-dedans je sais pas trop ce que c’est. À propos du tableau la dame à l’air sereine. C’est peut-être la reine Sofia, je sais pas… Bon! Je suis un peu fatigué et je veux me lever ce matin pour l’émission de radio. Je termine donc comme à l’habitude en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard