samedi 5 août 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je viens de me lever, le feu d’artifice viens de se terminer. J’entends les enfants crier, je sais pas à quelle heure ils vont se coucher mais une chose est certaine ils vont veiller ils sont trop énervé, il est vingt- deux- heure quarante-cinq. Je suis en bobette, je m’en kalisse qu’ils me voient en passant sur la passerelle je suis chez moi. L’eau bouille pour le café, de temps à autre on entend un policier assigné à la circulation sifflé… La semaine prochaine j’ai deux grands événements, ma lectrice mère de famille et puéricultrice de Cantley se marie et le mercredi suivant je pars en voyage. Yesssss!!! Je viens de trouver des vêtements propre que je n’ai pas porté, le climatiseur s’est arrêté, il fait frais. Quelques jours encore et je serai assis dans l’avion, je pense que je vais confier mon voyage à ma force supérieure c’est moins énervant. J’ai une lectrice secrétaire à l’Université du Québec à Montréal qui habite Deux-Montagnes et qui pars en voyage à Prague deux jours avant mon départ un peu plus et on se croisait. Bon! J’y vais avec mon senti de ce soir, depuis que je niaise plus dans les tavernes ça va mieux, j’ai abandonné la façon de penser alcoolique, du moins l’ivresse c’est mieux pour moi et pour tout le monde. J’ai un roman à lire qui s’intitule Barcelona, une amie me l’a prêté je vais le débuter bientôt. C’est étonnant quand j’écris pas je me sent pas bien, lentement les gens retournent chez eux, je crois que c’est le dépanneur qui profite de la foule. Je pense que je vais vous illustrer ça avec le Radio City Music-Hall, j’aurais aimé voir ça du moins l’entendre quand je vous écris comme ça c’est un peu le substitut à la radio. Je remercie les lecteurs lectrices pour leurs « like ». J’ai hâte de voir la Sagrada Familia… Je crois que je vais déposer mes bagages à l’hôtel et y aller tout de suite à mon arrivée. Je vous l’écris je vais me rappeler et de l’autre bord j’ai mon cahier. J’arrive à midi dix si y’a pas de pépin… J’ai qu’à y aller tout est payé, l’avion l’hôtel et la navette entre l’aéroport  et l’hôtel et vice et versa. Je vais essayer de sortir demain matin, j’ai un DvD intitulé « It might get loud » avec Jack White, the Edge et Jimmy page à remettre à un ami. Cette nuit j’aimerais bien mettre des mots sur comment je me sent, je pense comme toujours aux illusions perdues de Balzac… J’écris j’essais de me faire une place je connais personne dans ce milieu-là… Y’a toujours de la circulation dehors… C’est pas fort ce soir, soyez indulgent… Je sais maintenant qu’à Barcelone un sandwich c’est un sandwich/bocadillo… Je regarde le guide d’espagnol, j’ai de la difficulté à retenir les mots. Je termine ici en vous remerciant d’avoir le jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard

vendredi 4 août 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Cette nuit je songe à mes ancien emplois à comment j’étais nul. Les vacances se terminent demain, on rentre à la maison pour ceux qui sont partis. Pas besoin de dire qu’on va boire un coup pour terminer ça. Ça va être le temps de récolter le potager, pour ceux qui ont pas été touché par la grêle, et de mitonner une sauce à spaghetti maison des familles. Je sens déjà le parfum d’ici. Les nuits passent lentement, le temps devrait se rafraichir. Je retourne à mon senti sans trop faire l’idiot. Souvenir quand j’avais une dizaine d’année et que l’odeur du Rambler de mon père me rendait malade. Hier j’ai regardé un documentaire sur les grands criminels des années soixante-dix, j’ai eu peur, me suis rappelé cette époque où je faisais de l’auto-stop comment en une semaine j’avais visité Charlevoix le Saguenay et le lac Saint-Jean, j’étais en camping une toute petite tente portable. Je pense que l’auto-stop c’est plus à la mode les voitures maintenant sont tellement disponible. Je suis tellement étonné qu’il me soit pas arrivé grand-chose, pense à ce bon samaritain qui a eu peur quand je lui ai parlé de mes amis motards, maintenant je comprends. Ce que je vous écris ça pourrait s’intituler, toda la noche, c’est samedi si tout va bien la semaine prochaine je vais à la noce pour ensuite me préparer pour mon voyage en Espagne. J’ai en mémoire ce voyage sur la rive-sud du fleuve que j’avais fait avec l’amie, on avait pris la petite route et visité les différentes villes les différents villages, c’était sympathique on s’était rendu jusqu’à Saint-André-de-Kamouraska… La semaine prochaine je devrais rencontrer toute la famille, j’espère qu’il va faire beau. Lentement je me réveille, j’aimais bien marcher dans les sentiers de la SÉBKA. Vraiment je radote, pense à ces kiosques à patates frites le long de la route, à l’éternel Galarneau de Godbout.  Je viens de manger un yogourt, il pleut, me souviens aussi de ces psychoses comment c’était long comment c’était dur, ça n’en finissait pas j’étais brûlé, la psychose je crois qu’en vivre plus qu’une fait de nous des schizophrènes, c’est une partie qui constitue la maladie mentale, mais c’est quand même possible de se rétablir, voilà! Je me répète… Moi je veux donner l’exemple de quelqu’un d’utile même avec la maladie, quelqu’un qui évolue, qui se rétablis vers la pleine citoyenneté. J’ai hâte de partir essayer de vous écrire autre chose, je pense pas que je vais prendre la tonalité espagnole. J’ai aussi hâte de tous vous voir, je crois que ce que j’écris c’est d’une dynamique familiale. Je sais que ma fratrie me lis. Je vais essayer de terminer en écrivant sans trop réfléchir, Picasso, Picasso, je vais bientôt voir une partie de son œuvre, bientôt je vais commencer la lecture d’un roman qui se passe à Barcelone, je vais lire dans l’avion… Voilà pour cette nuit je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ce soir c’est les orages, je viens d’écouter le regretté Michel Chartrand, y’en a pas eu beaucoup comme ça… Moi je suis pas devenus un grand travailleur, je suis juste viré fou, aliéné, avec le temps et la retraite j’ai été un peu libéré… Semble que le chômage à pas été aussi bas depuis mille neuf cent soixante-seize. Moi je pense que c’est parce qu’on a vieillis qu’on nous a mis sur des programmes du troisième âge. J’essairai pas de faire comme monsieur Chartrand. Souvent on confond le discours d’un militant avec celui d’un paranoïaque. Moi je suis tout simplement paranoïaque cette machine, l’internet c’est une grande mise en scène pour dévoiler la vie intime, on nous donne le sentiment d’être un artiste quand au fond ce n’est que pornographique. J’invente rien quand j’écris, j’essaye de donner à réfléchir… Je l’ai déjà écris, je serais bien bête de pas m’en servir même si le grand tout y découvre ma vie financière, mon revenu annuel et avec qui je communique. Rien d’intime là-dedans il sait où je vais… J’aimerais ça dire que je suis underground mais je suis juste over, en tout cas assez au-dessus pour m’exprimer. Nous autre les pauvres on mange des eggs-roll pis des hot-dogs, on est pas assez riche pour être végétarien, faut dire que parfois on en a assez de manger du riz, quand t’est pauvre tu mange ce que tu peux pas ce que tu veux, drôle d’affaire au Québec d’essayer de suivre le guide alimentaire canadien… Vous savez sûrement que je mangerai des tapas chez les espagnols, un petit séjour chez les catalans et après chez les madrilènes… Comme souvent je vous écris que j’ai hâte de partir… Je sais je suis un inculte mais je vais essayer d’aller voir des œuvres qui ont bouleversés le monde. L’avion c’est pas vraiment pour ma classe sociale biens que j’essaye de m’en sortir je suis déjà vieux. Je suis un pauvre homme dans tous les sens du mot qui essais de se rétablir de son aliénation toxique.  Je suis d’une angoisse maladive, je pars quand même, arriveras ce qui arriveras, je me servirai de mes guides d’espagnols. C’est vendredi soir le dernier avant la fin des vacances, je pense qu’il va y avoir de l’action en ville « Down at the sunset grill » c’est une chanson de Don Henley pas disponible sur la toile. Les gars vont s’amuser, trinquer et essayer de rencontrer une jolie fille, c’est difficile elles sont toutes occupées à bâtir leur avenir. Elles n’ y croient pas beaucoup à Monsieur Goodbar… Moi, dans ma jeunesse j’étais tellement fou j’imaginais pas mon avenir, ma blonde ça longtemps été ma bière, mon argent passais là-dedans, incapable de rien construire. Voilà je retombe dans mon thème de prédilection, j’arrête ça là vous le savez… Quelques mots encore pour essayer de terminer en beauté. J’invente rien, je suis rien, Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard
 

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de me lever, j’étais couché pendant le rapport Desjardins. Voilà! C’est difficile cette nuit, je coure toujours après mon senti. Il est une heure trente c’est la nuit de jeudi à vendredi. Cette fois ci je crois vraiment que bientôt les vacances se terminent. Moi je pars dans moins de deux semaines ma lectrice secrétaire à la retraite du collège de l’Outaouais m’a envoyé un petit guide des choses à voir et à faire à Barcelone. J’ai hâte d’être dans l’avion je suis un peu fébrile.  L’autobus de nuit passe… Je pense au quartier Gôtic que je vais essayer de visiter. Faut vraiment que je situe l’hôtel. J’ai aussi envie de manger comme les catalans. Je veux essayer de pas tomber dans les trappes à touristes. Cette nuit j’ai sommeil je vais me faire un café. Je sais pas trop comment je vais vous illustrer ça cette nuit, je pense que je vais me servir d’une photo de New-York, c’était un beau voyage bien que je me sois sentis dénigrer dans l’autobus. C’est le problème avec la schizophrénie parfois je distingue pas le vrai du faux. Mon voyage est payé je vais essayer de pas m’inquiéter, prier un peu… Je pense même si ça va mal dans l’avion demander à être placé en première classe, je sais pas si ça se fait… Parfois dans ma folie j’ai l’impression d’être plus connus que le pape. J’ai aussi hâte d’être à l’aéroport, je sais ça a pas de bon sens mais je crois que ce sont des lieux sécuritaires. Y’a personne qui va noliser l’avion pour me dénigrer. Mais oui on me connait pas, ils savent même pas ce que je vais faire à Barcelone. Je suis juste un touriste tranquille. Je sais pas si mon idée de voyager seul est bonne, c’est pas interdit… Je me souviens de ce monsieur qui au retour de New-York m’a donné une tape sur l’épaule, ça m’a rassuré. Souvenir  aussi d’être allé rejoindre les « collègues » à Londres j’étais seul et ça s’est bien passé. On était en pleine réforme des services en santé, pour maintenant mon voyage est pour me sortir de ça, essayer de me rétablir voir et entendre autre chose que ce qui a trait à la maladie mentale. Tout à coup je suis réveillé, j’ai terminé mon café. Les jours vont passer et la première chose que je vais savoir je vais être en voyage. Je demande au bon Dieu de me protéger. Je reviens au rapport Desjardins, je sais pas ce que c’est j’ai écrit ça tout endormis. C’est  difficile de reprendre le fil, je suis somnambule parfois j’écris des choses qui sont de l’ordre de l’inconscient. J’ai peur de ça mais j’y vais pareil. Je pense à mon lecteur chauffeur d’autobus qui voyage seul, c’est pas évident pour lui aussi. C’est toujours la nuit je termine, je veux pas courrir après les ennuis. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard

jeudi 3 août 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Jeudi, j’ai fait un peu de ménage. Si la poésie c’est le quotidien je suis certainement un grand poète qui aime l’odeur du détergent. Je médite sur ce que j’écris à travers mon senti. Dites moi pourquoi dans l’image qu’on se fait d’un poète y’a Nietzche et l’alcool? Souvent je crois qu’on veut que je me taise, les nihilistes ne veulent que manger boire et dormir pas de place pour la poésie là-dedans. La terre entière a droit à l’expression mais pas moi. Je les entends dire tais-toi! Mais tais-toi! Désolé je crie plus haut plus fort, je crie à mort. Pas de machine pour le poète, pourtant un recueil ça se fait pas à la main, une imprimerie c’est des machines. Je pense à l’usine à paysage où on m’avait piqué mon portefeuille, j’avais oublié qu’il existait encore des gens malhonnêtes. Je vais faire attention à Barcelone. Ça me brise le cœur de vous parler de ça, en fait je parle pas j’écris… C’est mon senti cet après-midi ça me fait mal. Je cherche quoi et comment vous l’écrire… L’ami quand j’ai pris la photo de la tour à fait la mauvaise blague du phallus. Les châtelains du moyen-âge devaient être vraiment homo avec leurs donjons et leurs tours dans le château. Dans les contes c’est la princesse qui est enfermée dans la tour et le chevalier va la délivrer en grimpant au grand foulard blanc. Je réécrirai pas Cendrillon. Quoi que je me rappelle plus dans quel conte j’ai pris ça l’histoire du foulard, Walt Disney? Des dessins animés? Des publicités? C’est pas très grave d’habitude les contes c’est pour les enfants… et ça sert à les calmer à les endormir, je me rappelle des contes des frères Grimm, c’était de maudits beaux livres biens illustrés.  Je reviens à mon senti, je suis un peu gêné de vous écrire ça, les contes pour enfants ma lectrice puéricultrice et mon autre lectrice professeur de design de la région de Hull doivent connaitre ça, elles ont toutes deux des enfants en âge d’aimer ça. Je sais qu’elles ont pas toujours le temps de me lire, les enfants ça prend du temps. Quand même la tour c’est souvent le point de départ de bien des histoires, des monstres malformés, des bonhommes à deux têtes, des hydrocéphales et encore… On a tendance à évoquer une sorte de geôle pour les déviants de tout acabit, je pense au marquis dans son donjon, y’a aussi je crois la belle et la bête. Je me souviens plus des contes qu’on m’a lu dans mon enfance, aussitôt que j’ai su lire je m’y suis mis. Je vous parlerai pas de la télé et du cinéma je m’en souviens pas… Quoi que Fanfreluche avait de belles histoires, c’était la Boîte à surprises. « Fanfreluche va raconter un beau conte… » Je sais c’est pas très viril tout ça, j’essayais juste mon senti. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

mercredi 2 août 2017

Au présent

 Bonsoir! Bonjour! Je crois qu’il y en a d’entre vous qui vont lire en rafale. Cette nuit est calme, je compte les dodos avant de partir, j’ai un siège côté allée… Ai démarré le climatiseur. Je sais plus trop sur quoi délirer, je suis vraiment en vacance… Je cherche des souvenirs me souviens qu’on se faisait voler nos bicyclettes à répétition chez le patriarche… Dans un autre ordre d’idée la fois que j’étais allé aux danseuses avec le parrain, il aurait aimé que je lui parle et que je me fasse faire une pipe, et cette autre fois, la matriarche étais malade, et les quatre frères s’étaient ramassé au mal nommé Limule à Saint-François à Laval pas vraiment de plaisir dans cet endroit sombre… Je reviens au départ bientôt, je cherche les différentes façons de l’écrire, c’est mon texte de la nuit, on est dans le mois d’août, toujours ce souvenir de Washington l’an passé, de ce café pris à l’étage dans un Starbucks. Quand vous me lisez je dois vous apparaitre confus mais l’idée c’est de ne rien écrire de trop linéaire. Y’a pas longtemps que je sais que celui qui fait et sert le café on appelle ça un barista. Je veux pas trop vous parler de ceux qui sont partis pour le long voyage dont on ne reviens pas. C’est jeudi à moins d’être dans l’erreur c’est le dernier week-end des vacances de la construction qui s’annonce… Je pense que les snowbirds vont eux aussi en Espagne, moi je prends des notes j’essais de planifier mon temps, je veux aussi me la couler douce sur une terrasse, chose que je ne fais plus à Montréal, à Madrid je vais essayer d’entendre du Flamenco. Étrangement le temps à pas la même portée avant de partir, il s’étire, mon nom c’est pas Robert Viau. Je sors plus la nuit j’ai peur de rencontrer de mauvais anges. Je viens de boire une limonade à l’orange, je persévère dans l’écriture, j’espère que vous lisez… Me souviens avoir brisé ma guitare et mon mini-téléviseur j’étais enragé, tout ce que le patriarche avait trouvé à dire c’est « qu’il brise pas mes affaires » parfois c’était nul à chier. Me souviens de l’orgue que j’avais malmené, brisé une prise d’écouteur. Je me prenais pour Keith Emerson du groupe Emerson, Lake & Palmer. Il était réputé pour démolir ses claviers et en sortir des sons bizarres. Voilà une de leurs excellentes chansons Lucky man https://www.youtube.com/watch?v=89g1P_J40JA  Je pense que c’était le début de tous les synthétiseurs et ma vie auras passé en écoutant de la musique incapable d’apprendre un métier, heureusement j’ai toujours été en liberté je sais l’apprécier. La lecture m’a permis de résister, si les règlements du chômage avait pas changé j’habiterais encore chez le patriarche! Je dirai pas être de la génération perdue je suis plutôt un homme perdus y’a pas eu de rédemption. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
 
Bernard

Au présent

 Bonjour! Bonsoir! Un autre bel après-midi, il faisait assez beau pour prendre un café dehors avec l’ami. Lentement les jours avant le départ raccourcissent. Vous allez dire il est obsédé et c’est presque ça. Ce soir je soupe avec les voisins, une voisine est venue me demander des Tums, je lui ai donné des Rolaids. J’ai pas pensé qu’elle pouvait être addict aux médicaments que les antiacides pour elle étaient une sorte de médicaments qu’elle avait besoin d’un comprimé de remplacement, tout ça c’est de l’ordre de l’inconscient… Parfois j’ai des brûlements d’estomac, je pense à ces sondages auquel je réponds parfois. Je suis certain que ça vous intéresse pas de savoir ça… J’ai aussi hâte d’aller à la noce chez ma nièce, ça va être amusant. Je devrais revenir sur mon senti, j’ai un peu dormis ai rêvé à de vieux « amis », des gens avec qui j’éclusais de la bière, parfois on faisait le tour des tavernes et des brasseries, ils avaient de la difficulté à me suivre parfois ils m’abandonnaient dans une taverne sans nom avec plus un rond. C’est encore mon thème de prédilection, pourtant maintenant j’ai passé plus de temps à ne pas boire qu’à boire. Je pense qu’à jeun je deviens quelqu’un, du moins plus proche de ce que je voulais être. J’ai toujours cru que les gars sortaient du bar accompagné, je les voyais jamais s’en aller. J’ai réalisé y’a pas longtemps qu’ils partaient seul la plupart du temps ils étaient pas comme moi accroché à la sexualité, du moins ils partaient avant d’être trop saoul les copines ils se les faisaient pas au bar.  J’étais taré, je racontais à un copain que même en couple je le laisserais pas tomber, c’était du délire je ne voulais pas boire seul, les chums… On m’avait vendus le bar comme un endroit où je pouvais rencontrer des jeunes étudiantes universitaires, c’est jamais arrivé. Très tard j’ai compris que les femmes sérieuses se tenaient pas dans les bars toute la nuit. Je vous ai déjà écrit là-dessus, étrangement j’attirais surtout les lesbiennes, encore aujourd’hui c’est comme ça, parlez en pas à personne c’est une confidence. Je pense que j’étais romantique, incapable de bâtir une relation saine, heureusement j’ai pas attrapé de maladie transmise sexuellement, les gars comme des idiots disaient qu’ils avaient attrapé la maladie sur une bolle de toilette. C’est y’a longtemps déjà, elle est terminée cette vie là, je suis plus obsédé par le sexe, ça me fait du bien c’est une libération. J’en vois quelques une qui se payent ma tête mais je m’en fout ça me fait pas mal, je préfère sans qu’avec. Je les respectes maintenant et j’espère qu’elles font de même. C’est plus pour moi la vie sex&drug and rock’n’roll. Je suis trop vieux, je veux vivre encore quelques années. Je me suis calmé. Voilà c’est ça pour ce soir. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère vraiment!!! Au revoir!!! À bientôt!!!
Bernard