dimanche 4 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai dormis quatre cinq heure, je reviens comme toujours juste avant la fermeture des bars. La semaine prochaine je vais manger dans un restaurant à tapas de Montréal pour me donner un avant-goût de Barcelone et Madrid. Je crois que j’ai une autre grippe, j’ai eu deux cycles de sommeil. J’essaye comme toujours de vous traduire mon senti, le café est noir et très chaud. Je suis réveillé pense à ceux qui ont passé la nuit à chanter au karaoké… Souvenirs d’une chanson, je voudrais voir la mer, je m’étais planté la metteure en scène étais furieuse. N’empêche c’était pas comparable au Banquet de la mémoire, une lecture… Dehors ils repeignent la signalisation sur l’asphalte… Je me sent mal de vous écrire à propos de ce ratage de l’interprétation de la chanson de Michel Rivard. Ça fait plus de vingt-cinq ans tout ça… J’ai toujours hâte d’être à Barcelone, de voir l’architecture de Gaudi, ses bancs de céramique. Je pense au coq sur la table de cuisine de mes lecteurs d’Aylmer. Dans le goulag occidental y’a des céramiques représentant différentes vedettes de la chanson. Je crois que sur la Rambla à Barcelone y’a une céramique de Miro. Je vais essayer de mettre un peu de fioriture dans mon écriture, je me trouve un peu crû dans ma façon de vous écrire, le style, le style c’est ce qu’il y a de plus difficile… Comme toujours j’ai les avions en tête. J’ai mangé une banane, y’a rien de très intéressant dans cette phrase là. La semaine passée à l’atelier sur la stigmatisation ils semblaient étonnés d’apprendre que j’essayais d’avoir la discipline d’écrire cinq cent mots par jour. Je cherche toujours le nouveau que je peux vous raconter mais y’a que du vieux comme la tabagie où on jouais au pool dans mon adolescence, pool et machine à boule pour le petit bum que j’étais. Je pense à la voiture MG qu’un gars s’était acheté, il est devenus mécanicien… J’aime pas beaucoup les femmes qui ont peur de moi. Je  trouve rien à rajouter, l’avion dans deux mois, je veux pas parler de l’actualité je sais qu’il y a eu un drame sur le pont de Londres. Six morts et les terroristes abattus voilà! Je suis triste, je veux pas trop parler de ça, les forces de l’ordre doivent se concentrer sur les terroristes du web. Maintenant c’est la nuit. Ce matin je vais acheter du lait, ça me fout la trouille ces attentats on frappe des innocents… Je vais faire une prière pour eux, ça répare rien mais mes pensées sont avec les familles. Je termine ça et je retourne me coucher, on veux pas de policiers lourdement armés à Montréal c’est tant mieux, j’espère qu’ils vont bien nous protéger… J’ai écris que je parlerais pas beaucoup de l’actualités, c’est déjà trop… J’espère que mes lecteurs de Hull on fait une belle vente de garage. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
 

samedi 3 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J’ai avertis les voisins qui passent devant sur la passerelle, ils continuent quand même, je sais pas ce que ça leurs prends… Je vais essayer d’être tolérant. Le soleil semble vouloir percer, on entends la musique qui joue dans les automobiles. J’essaye de dormir j’y arrive pas, déjà aux actualités ils parlent des fraises qu’on pourra cueillir bientôt. Je crois qu’ils vont accueillir des mexicains pour la grande récolte. J’ai pas le pouce vert, je sais pas où en sont rendus les potagers… Plusieurs ont sortis leurs campers, j’aimerais bien campé et passé les soirées autour d’un feu. Malheureusement le goulag occidental est dans le centre-ville et demain on va encore nous écoeurer avec le tour de l’île à vélo. Je sais pas ce qu’ils diraient si des milliers de cyclistes se réunissait et allait se promener dans les rues résidentielles de Laval et Duvernay… Enfin, là aussi je tolère. Souvenir du potager de la douce, j’y ai arraché quelques mauvaises herbe ç’est à peu près tout, c’était des potagers écologique sans engrais chimique, mais la terre était pas très belle elle avait besoin d’être travaillé et labouré. Ça fait déjà quelques années, des étés à semer éclaircir et désherber, j’étais pas fort là-dessus… L’agriculture biologique c’est une science avec ses bouquins de spécialistes qui indiquent quelle plante pousse auprès de qu’elle autre plante. J’étais pas très fort sur le social autour de ça, je suis un vieil ours mal-lèché… J’aime pas beaucoup le principe de la campagne à la ville. Bon! J’ai réussis à me réveiller, je pense au potager de mes lecteurs d’Aylmer, il va être beau j’en suis sûr comme tout ce qu’entreprend ma lectrice. Mon lecteur à sortis sa chainsaw et à buché, étonnant… Les cadets de la police passent en vélo, c’est bien de service. Cet après-midi j’ai besoin d’air j’ai ouvert la fenêtre et le vent pousse l’air frais dans le studio. Je regarde mes activités, lundi j’ai une réunion plénière du groupe d’entraide le matin, mercredi j’ai une réunion du conseil d’administration d’Antenne Communication, vendredi je rencontre la travailleuse sociale et lundi le douze j’ai une rencontre de recherche à une heure. Je me dis toujours ça va finir mais y’a toujours quelques choses. Je suis pas indispensable… Juste ordinaire comme beaucoup d’autre. J’ai quand même hâte d’avoir le dédommagement. Je sais pas qui fait la faveur à qui, je fais la faveur de participer où on me fait la faveur de m’inviter. Est-ce que c’est des activités gagnant-gagnant? Je sais pas trop comment terminer, j’essais de voir y’a une de ces circulations dans le goulag occidental. Je sais pas si les travaux ont repris même si les ingénieurs sont en grève. Les gars de la construction vont tomber en vacance au mois de juillet là aussi je sais pas si ça va retarder les travaux, de toute façon ça me regarde pas. Voilà pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je sais pas si c’était une arnaque mais y’a des centaines de gens qui vont plus sur mon blog… Je sors de la douche et je me suis parfumé le temps passe bientôt si tout va comme prévu je vais prendre l’avion. J’ai pas grand-chose à vous écrire, hier j’ai dit aux voisins que j’étais tanné de les voir passés devant chez moi sur la passerelle. Me revoilà devant mon écran. Ce matin le jus d’orange me fait penser au petit déjeuner à l’hôtel… J’arrive attendez je vais vous décrire mon senti… Je pense à mon logis j’ai jamais habité aussi longtemps au même endroit. J’aime pas beaucoup quand mes voisins bousculent mes habitudes. J’ai mangé une banane ça m’avance à rien de vous écrire ça, j’entends les camions au moteur bruyant. Je pense à la pipe de Magritte… Y’a tous ces dédommagements qu’on me dois pour différentes activités à l’institut, ça semble pénible pour eux de remplir leurs part du contrat à date quand on m’a demandé j’ai dit oui et je suis allé j’ai pas manqué une seule fois et je crois que j’ai livré la marchandise. J’attends, j’attends toujours. J’ai mis mes jeans parfois les gens vont passer un week-end à Québec moi je le fait pas ça me rappelle trop de mauvais souvenirs du début de ma schizophrénie, cet immense sentiment de solitude que je ressentais et la peur… Je pense à ce gars qui est devenus journaliste à Québec, l’idée de partir qui me faisait mal, je suis toujours resté dans la région de Montréal, je m’ennuyais quand même quand la vie a bouffé les copains. On a tous pris nos chemins, le mien passait par l’hôpital j’étais si malade, une injection d’antipsychotique retard à toute les trois semaines c’était pénible, heureusement j’en ai finis avec ça. Je traitais mon corps comme une poubelle, j’absorbais toutes sortes de cochonneries et je croyais pas être très malade mais je l’étais… J’ai envie d’écrire que je me décomposait vivant, heureusement y’a un bon Dieu pour les malheureux j’ai réussis à me rétablir maintenant je vais mieux je prends mes médicaments comme prescrit et j’ai arrêté la boisson et la drogue, ça va mieux… Ça fait presque vingt-cinq ans de ça, je suis beaucoup moins angoissé, j’ai plus besoin de me rendre à l’urgence de l’hôpital, je suis pas guéris mais je me rétablis. C’est mon senti pour cette nuit… Les bars sont maintenant fermés les avinés rentrent lentement à la maison, j’entends les voisins qui ronflent, souvenir d’une voisine à Rosemont sur la neuvième qui gardait son fils à coucher sur le sofa, c’était l’époque du petit chèque d’aide-sociale. J’ai un peu peur de vous écrire ça, je vie quand même mieux, j’ai vieillis, je peux dire que j’ai mûris… Voilà! Lentement je termine je vais retourner me coucher après ça. L’ami m’en voulait de l’avoir oublié. Mais enfin!!! Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard

vendredi 2 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Toute mes excuses pour le texte d’hier mais j’étais désemparé. La fatigue me fait délirer. J’aime bien les voitures de mon lecteur de Deux-Montagnes, j’espère qu’il a gardé son Challenger. Moi tranquillement je vois mon voyage arriver. J’ai hâte de voir la Sagrada Familia. Je suis un peu perdu j’ai plein de rendez-vous… Je croirai que je pars quand je serai assis dans l’avion. Je vais essayer d’écrire sur mon senti mais un peu plus doucement qu’hier, j’ai bien apprécié les commentaires de mon lecteur de Repentigny. Cet après-midi je suis calme, je reste chez moi j’ai pas envie de sortir, hier quand même je crois avoir eu des commentaires positifs sur ce que je fais. Je vais ralentir le rythme, cinq cent mots à tous les deux jours peut-être? Je sais pas si je vous ai raconté que j’ai retrouvé mon couteau de poche, je suis très content. J’essais de rester tranquille de m’apaiser en regardant tranquillement passé la journée. Je reviens sur le stigma, je tiens pas la société responsable de ce que je suis devenus. Aujourd’hui je suis content d’être ce que je suis mais y’a toujours place à amélioration, comme je l’écris souvent je fait de mon mieux… Je trouve pas d’anecdote sur mon passé à raconter. Je pense à Trump qui crois pas au changement climatique, qui va détruire une partie de son pays et empoisonner ses concitoyens. Dans le goulag occidental où j’habite, les hommes meurent beaucoup plus jeunes à cause de la pollution automobile, on vit pas à la Maison Blanche. « Make America great again » il va plutôt en faire un enfer et je m’abstiens de parler du racisme et des prisons, des condamnations à mort. J’ai dis au début que je serais plus doux je vais essayer. Dans mon rétablissement je devrais pas argumenter sur des thèmes pareils… Je pense aux voitures électriques, à mon lecteur collectionneur de voitures, c’est la liberté… Je peux pas trop parler de pollution automobile, moi je prends souvent l’avion et je sais pas comment ça pollue un avion… Tout ce que je peux dire c’est qu’il faut vivre malgré tout et faire ses choix. Moi, je choisis les choses simples mais je suis pas granola, on a beau me dire qu’on rase les forêts pour nourrir les bœufs, j’aime bien la viande. Je veux pas faire de polémique… Remarquez que ce soir je mange du poisson avec des pommes de terre et des carottes rien de trop nocif. Je crois que même ceux qui habitent la campagne vont au supermarché. Les produits du terroir c’est bon mais ça coûte cher. Je suis pas capable de construire un discours écologique et de m’y tenir. Je veux bien le retour à la terre y’a personne qui est contre la vertu mais je psychanalyserai pas des poules pour manger, le trauma du poulet ça change quoi au B.B.Q. Voilà ce que c’est pour aujourd’hui. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard

jeudi 1 juin 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je suis fatigué, grosse journée sur la stigmatisation. On m’a fait parler, ils voulaient savoir en quoi ça m’aidais de m’identifier comme schizophrène paranoïde avec co-morbidité. J’ai répondu que c’était surtout pour aider les autres ceux qui ont de la difficulté à s’identifier et à se rétablir. Je veux aussi démontrer qu’on peut vivre comme un honnête homme même avec une maladie mentale. Voilà la paranoïa qui s’empare de moi, j’ai peur du T.S. qui donne la formation, je crois qu’il s’introduit chez moi quand je suis pas là et qu’il déplace de petites choses pour m’irriter pour m’agresser. Je le vois comme un membre de la gendarmerie royale du Canada pourtant je suis coupable de rien, je sais c’est du délire… Je suis épuisé c’est ce que ça donne quand je respecte pas mes limites… Mon lecteur de Deux-Montagnes me conseille de jamais perdre de vue que la maladie mentale fait des ravages chez moi, des fois je suis écoeuré en estie de cette folie… Je joue pas au fou au contraire je le suis, ce soir je vais m’enfermer chez moi et écouté la télé. Je veux pas faire de mal à personne, je m’implique et j’aimerais qu’on nous dédommage comme entendus. C’est rien de très équilibré ce que je vous écris ce soir, je veux pas faire d’administration je suis pourris là-dedans… Ça c’est vraiment mon senti ma neurasthénie de gars qui a passé une mauvaise nuit. Je crois qu’il y a un gars qui dors dans le parc en face, parfois j’ai ce désir-là de prendre la rue de tout abandonner… Je suis pas d’accord avec ceux qui demandent l’euthanasie, même ceux qui souffrent de démence et d’alzheimer, c’est facile parler de ça quand on est jeune et en bonne santé mais la vieillesse devrais être mieux accueillis. Je pense à l’ami sclérosé mes pensées sont avec lui. Ce matin j’étais très ému de leurs parler de mes textes brillamment lu par Marc Béland. C’est pas tous les jours que mes textes sont mis en valeur comme ça, j’en reviens pas la preuve je vous l’écris encore… J’espère dormir cette nuit les nuits blanches me détruisent, m’épuisent… Je sais, je sais je suis un pauvre fou qui s’arrache la vie avec des mots sortis de je ne sais où… La poésie est partie y’a longtemps, me reste que des mots de mort, des mots de mal, des mots de pal au corps… Je donne la claque pour vous terminer ça dans l’ordre du senti… Ça pas de bon sens je suis quand même pas Walt Whitman, nord-américain oui mais francophone qui se trahis un mot devant l’autre… Bien sûr bientôt la fête nationale, certains vont fêter à coup de tapes sur la gueule debout sur une caisse de bière. Quelques mots encore avant de terminer, j’ai mal, j’ai mal et j’ai peur. Je crois que j’en ai assez fait pour cette année. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bernard

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Encore des mauvais souvenirs à l’époque où je me levais très tôt pour ma run du journal Montréal-Matin, je la faisais même si y’avait parfois un chien pas catholique. Ça a mal tourné, je dépensais l’argent du journal pour acheter des cigarettes et les partagé avec mes chums, j’étais malhonnête le patriarche avait payé cent dollars, ce qui étais beaucoup d’argent à l’époque, au superviseur. Je me levais pourtant le matin c’était pas ça le problème, plutôt mon rapport avec l’argent. J’étais déjà un grand bum c’est comme pour le jeu scrabble tout le monde dis que je suis bon mais on m’a jamais vu gagné une maudite game. Ma débâcle existentielle a débuté comme ça, je faisais plus rien à l’école je fumais des cigarettes et fréquentais la bibliothèque… Très rapidement ça s’est détérioré je me tenais avec ceux qui faut pas, ça a duré longtemps au moins vingt-cinq ans dans la drogue et l’alcool pour ensuite devenir fou, paranoïaque avec un fond de vrai dans ma peur. Je vous raconte ça et j’ai peur qu’on me lise aux douanes et qu’on me laisse pas passé… Souvenir de cette douanière qui m’avait interrogé au retour d’un congrès à Milan. Elle a pas été trop dure quelques questions sur le rétablissement, j’ai répondu ce qu’il fallait, la vérité, et on m’a laissé passer. Ce matin je participe à un atelier sur la stigmatisation, c’est toujours intéressant, le stigmate faut croire que j’en ai un mais comme je disais à l’ami je suis pas près à mettre la faute sur la société. Y’en a qui sont passé avant moi et ont laissé mauvaise impression comme on dit « chat échaudé craint l’eau froide ». J’ai longtemps fréquenté des gens qui avaient toute sorte de préjugé pour eux j’étais un B.S. un bon à rien je sais pas pourquoi je retournais toujours les voir, il me faisait mal d’un mal moral, j’ai dû descendre très bas pour prendre conscience que c’était pas mes gens, c’était pas ma place et le seul à qui je faisais mal c’était moi. J’y vais plus dans les bistros, après mon passage dans des chambres à mourir je suis maintenant bien chez moi dans mon logis. La fenêtre est ouverte j’entends les rumeurs de la ville. Les bars viennent de fermer là aussi j’y vais plus, la nuit m’a tout dis ce qu’elle avait à me dire, étrangement je pense au nouveau site d’injection supervisé si vous lisez ceci et vous vous injectez allez-y au site ça va peut-être vous sauvez la vie. Ce matin j’ai pris une douche et me suis parfumé j’aime ça… Je connais pas les noms des drogues qu’on trouve dans la rue et c’est tant mieux, j’ai plus envie de me suicider… ni de déménager. Quelques mots encore, je sais qu’il y a des gens qui souhaiterais me voir replonger dans la folie toxique, pas aujourd’hui. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!!
Bernard

mercredi 31 mai 2017

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je baille, je suis fatigué, suis allé à la librairie pour acheter des livres ils étaient trop cher. On a quand même pu profiter d’un après-midi ensoleillé… Pour l’indemnisation je vais me calmer, c’est eux qui me doivent, j’ai pas de dettes. Ça deviens difficile d’écrire, me suis préparé un café… Je veux pas trop délirer sur mon départ. Mon travail se passe dans les corridors entre le bureau de l’un et le local de l’autre. Stigma, stigmatisation, je racontais à l’ami que je voulais pas me mettre à délirer sur la responsabilité de la société, mon rétablissement c’est à moi que je le dois bien que j’ai pas encore tellement compris ce qu’est la stigmatisation et l’ostracisme. Je crois qu’on me garde à part à côté mais en même temps c’est une position qui me permet d’aider les autres. Juste de leurs dire que malgré tout, tout est possible… La difficulté c’est d’essayer de rentrer dans les modes et les cadres du marché. Je fais pas de la grosse philosophie on parle de marché du travail et c’est celui-là que les gens désirent le plus… Pourtant on travaille pour manger se loger s’habiller et le reste viens de surcroit mais parfois la job c’est un tue monde, on s’épuise à s’en rendre malade ensuite on en prend un autre on passe au prochain. L’expression le dis bien gagner son pain à la sueur de son front. Tout ça pour vous dire qu’à trop vouloir m’intégrer je me suis rendus malade, j’ai fait les mauvais choix… Pour le patriarche le travail ça devait faire mal, la douleur du draveur où du bûcheron on migrait vers la ville pour avoir un travail plus payant et plus facile… Tiens tout à coup je pense à une salle de réunion où le gars fixait les yeux sur moi, je me rappelle avoir fait ça avec une fille je la fixait des yeux, j’étais adolescent je connaissais rien mais je l’aurais pas regarder elle l’aurais demandé. Si jamais elle lit ça et se reconnais je lui fait mes excuses. Ça aussi je vous l’ai déjà écrit vous voyez bien que je délire. Je vous jette ça là comme un trop plein récurrent, un trop plein qui reviens. Non! Non! Cet après-midi je me dénigre pas, j’essaye depuis un moment déjà de me corriger. Je sais pas si je vais y arriver.  Je laisse faire les autre, je suis responsable de mon rétablissement. De ce temps là mes texte sont comme une ronde enfantine, je chante et vous dansez, je sais pas trop où aller. Le stigmate c’est un signe non spécifique qui indique que la personne est malade. À trop vouloir être pareil on deviens différent, on l’a pas écris dans le front mais c’est tout comme. Ouais! Je sais pas comment terminer ça… De nos jours la folie ça se soigne, se traite mais… Je termine ici en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère!!! Au revoir!!!
Bernard